[Digital Business Africa] – L’opérateur de télécommunication Intersat qui propose des solutions Internet par satellite dans la région africaine a annoncé la signature en marge de la conférence internationale IBC 2019 (International Broadcasting Convention), tenues à Amsterdam du 12 au 16 septembre d’un contrat de partenariat avec Azercosmos OJSC, l’exploitant de satellites d’Azerbaïdjan.
Suivant les termes de l’accord, Azercosmos à travers le
satellite Azerspace-2 devra fournir une ‘‘communication fiable’’ sur l’ensemble
du continent africain. Cela concernera Internet, le réseau, le son, la vidéo et
autres services de transmission de données.
« Azerspace-2
contribuera à éliminer le problème de l’accès à l’information numérique dans
les régions isolées d’Afrique », explique Intersat. Dans la foulée,
l’opérateur ajoute que les satellites de l’Azerbaïdjan – Azerspace-1,
Azerspace-2 et un satellite à orbite basse Azersky fournissent des services
Internet à 2/3 du continent africain. Ce qui devrait également permettre à
Intersat d’améliorer sa qualité de couverture, mais également sa zone de
couverture.
[Digital Business Africa] – L’information est donnée par les médias nigérians : La filiale nigériane du groupe de télécommunications sud-africain MTN souhaite lever 272 millions de dollars à la bourse nigériane, la Nigeria Stock Exchange. L’opération annoncée devrait se faire à travers une émission de billets de trésorerie.
A travers cette opération, l’opérateur entend investir dans le renforcement de son réseau et améliorer ses capacités opérationnelles. Alors que MTN Nigeria vient de lancer dans le pays son service de mobile money, il devrait pouvoir récolter les fonds nécessaires à son opérationnalisation et à sa vulgarisation. Aussi, alors que l’opérateur est étroitement surveillé par le régulateur, il entend aussi renforcer les investissements dans la qualité de ses équipements, ce qui lui permettra d’éviter d’éventuelles sanctions, mais davantage, de gagner en qualité de service et d’accroitre son nombre d’abonnés.
[Digital Business Africa] – La 5G est une réalité en Afrique du Sud. Ceci, à la suite de son lancement par l’opérateur téléphonique Rain. De fait, l’Afrique du Sud devient le second pays en Afrique à lancer la 5G à usage commercial. Ceci après le Lesotho.
Pour un début, seule les clients habitant à Johannesburg, ville de lancement pourront avoir accès à la 5G. Par la suite, le réseau s’étendra à d’autres villes du pays comme Durban et Cape Town avant la fin 2019. D’un point de vue commercial les clients devront débourser une somme mensuelle de 1 000 rands, ce qui équivaut à quelques 72 dollars US.
En Afrique du Sud, le marché de l’installation des équipements 5G a été confié à l’équipementier chinois Huawei, alors que ce dernier a été quasiment expulsé du marché des Etats-Unis, et très en difficulté sur le marché européen.
Par contre, le groupe continue de garder la confiance de plusieurs chefs d’Etats africains. En théorie, le réseau 5G exploite le spectre 3,6Ghz et offre des vitesses de téléchargement pouvant grimper à plus de 700 Mbps.
[Digital Business Africa] – – Alors que Bridge for Billions s’apprête à fêter son 4ème anniversaire à annoncé ce 18 Septembre 2019, l’écosystème digital créateur d’opportunités pour les start-up annonce The Leap Pitch Challenge. Un concours ouvert à tous les entrepreneurs en phase initiale terminant le programme d’incubation en ligne de Bridge for Billions.
Selon les organisateurs, The Leap Pitch Challenge leur donne la chance de gagner 5000$ en capital d’amorçage et l’opportunité de développer encore leur projet.
Les participants seront invités à présenter leur projet en ligne le 29 octobre 2019, devant un jury de professionnels et un public international. Ils pourront notamment suivre une masterclass dédiée afin de les préparer au mieux à l’exercice du pitch pour le grand jour.
Le gagnant du Leap Pitch Challenge bénéficiera également
d’une visibilité médiatique internationale, ainsi que de sessions de conseil en
investissement par Volition, partenaire de Bridge for Billions.
“L’accès au soutien à l’innovation est devenu un luxe, c’est
pourquoi notre motivation principale est de libérer des opportunités pour ceux
qui souhaitent générer un changement. C’est exactement ce que fait le défi Leap
Pitch, tout en contribuant à bâtir un écosystème entrepreneurial plus vaste et
plus inclusif”, commente Pablo Santaeufemia, CEO & cofondateur de Bridge
for Billions
Bridge for Billions se présente comme l’écosystème digital qui connecte les entrepreneurs en phase de démarrage aux opportunités de croissance, en construisant des programmes d’incubation en ligne pour les entrepreneurs dans le monde entier.
[Digital Business Africa] – Dans un message spécial adressé à ses compatriotes le 10 septembre 2019, le président de la République du Cameroun, Paul Biya, annonce la tenue d’un « grand dialogue national » en vue d’évoquer principalement les solutions de sortie de crise dans les régions anglophones du Nord-Ouest et du Sud-Ouest et pas seulement.
« J’ai décidé de convoquer, dès la fin du mois en cours, un grand dialogue national qui nous permettra, dans le cadre de notre Constitution, d’examiner les voies et moyens de répondre aux aspirations profondes des populations du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, mais aussi de toutes les autres composantes de notre Nation. Le dialogue dont il est question, concernera principalement la situation dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Mais il est évident qu’en cela même il touchera à des questions d’intérêt national, telles que l’unité nationale, l’intégration nationale, le vivre- ensemble, il ne saurait intéresser uniquement les populations de ces deux régions », avait déclaré le président.
Les dates de ce dialogue sont désormais connues. Il se tiendra du 30 septembre 2019 au 04 octobre 2019 et sera présidé comme annoncé par le Premier ministre, Chef du Gouvernement, Joseph Dion Ngute.
Le dialogue impliquant plusieurs
composantes de la nation dans plusieurs régions, un site web a été mis sur pied
par le gouvernement camerounais pour donner les informations pratiques
concernant ce grand dialogue national.
Les thèmes à aborder, les participants, les hôtels retenus pour accueillir les participants sont disponibles sur cette plateforme web à l’adresse www.nationaldialogue.cm.
Sur ce site web, l’on apprend par ailleurs que les contributions à ce dialogue peuvent être adressées à l’adresse [email protected] et les médias qui ont besoin d’une accréditation pour couvrir cet évènement peuvent demander une accréditation en écrivant à la même adresse.
— Major National Dialogue / Grand Dialogue National (@CmrDialogue) September 17, 2019
Sur les réseaux sociaux des infos peuvent également être obtenues sur les comptes @CmrDialogue sur Facebook, Twitter et Instagram et sur le hashtag #CmrDialogue.
Toutefois, le programme n’y est
pas encore disponible tout comme le site web n’est pas encore sécurisé.
[Digital Business Africa] – Au Ghana, c’est une récompense qui vient reconnaitre l’effort de plusieurs années dans la promotion de meilleures télécommunications en Afrique. La ministre ghanéenne des Communications, Ursula Owusu-Ekuful, a été primée lors des Telecom World Awards 2019 de l’Union internationale des télécommunications (UIT) à Budapest, en Hongrie. Elle a notamment été primée pour “son engagement exceptionnel et sa participation en tant que partenaire précieux des événements ITU Telecom World“, explique le secrétaire général de l’UIT, Houlin Zhao, qui présente la lauréate comme un membre excellent et exceptionnel du syndicat.
Dans la foulée de cette
distinction, le Centre numérique d’Accra, crée par le gouvernement ghanéen pour
exploiter le potentiel numérique du Ghana en promouvant l’entrepreneuriat et
l’innovation numériques et placé sous l’autorité du ministère des
Communications et créé, a été annoncé comme le lauréat 2019 du Prix de l’UIT
pour les meilleures pratiques mondiales en matière d’écosystème/ Pour sa part,
Vokacom qui regroupe des innovateurs de Ghana Post Digital address a remporté
le prix du meilleur modèle d’entreprise.
Pour le Ghana donc, il
s’agit d’une participation très satisfaisante. En réaction, la ministre Owusu-Ekuful,
s’est dite honorée de la reconnaissance de ses pairs : “C’est un grand privilège pour mes modestes
efforts au niveau international, sur la coopération dans le développement et la
mise en œuvre d’initiatives en matière de TIC avec des collègues ministres au
cours des deux dernières années et demi, qui a été récompensée et récompensée
par l’UIT. Je suis profondément émue et ravie. Ce prix m’encouragera à faire
encore davantage, aux niveaux local et international, pour réduire la fracture
numérique dans l’intérêt de nos pays et de notre population ».
[Digital Business Africa] – Au Botwana, la société Telecommunications Corporation Limited (CTB) a annoncé le 17 septembre 2019 le doublement de sa capacité sur le satellite de communication AMOS-7 de Spacecom. Cette opération lui permettra d’améliorer la qualité de l’Internet qu’il distribue à ses utilisateurs, notamment ceux situés dans les zones rurales. Cela permettrait également à CTB de déployer des services de point d’accès Wi-Fi dans tout le pays.
Satellite de communications Amos-7.
«La communication par satellite via AMOS-7 facilite notre croissance et remplit notre objectif, qui est de fournir des solutions de communication de qualité supérieure au Botswana, partout et partout, pour leur permettre de vivre en connexion. Elle nous permet également d’offrir aux citoyens des zones jusque-là mal desservies plus d’options pour communiquer à travers le Botswana et au-delà», explique le patron de CTB, Anthony Masunga.
Cette annonce intervient alors que le distributeur de contenu multimédia ViewMedia a également fait part de son intention de lancer une nouvelle plate-forme de diffusion numérique pour l’Afrique francophone de l’Ouest sur le satellite AMOS-17. Dans ce contexte de forte sollicitation des satellites, David Pollack, directeur général de Spacecom a fait savoir que d’ici la fin de l’année, sa société disposera de trois satellites desservant l’Afrique : AMOS-7, AMOS-4 et AMOS-17.
[Digital Business Africa] – Le nouveau Directeur de Cabinet du Ministère de l’Economie Numérique et de la Poste, Dr GUIBESSONGUI N’Datien Severin, a pris officiellement fonction. La cérémonie de passation de service, sous la supervision de l’Inspecteur Général, Jules KOUADJO, s’est déroulée le 13 Septembre 2019, à la salle de conférences, sise au 23étage de l’Immeuble Postel 2001, à Abidjan-Plateau.
A cette occasion, le Directeur de Cabinet sortant, M. Henri DJOMAND, a traduit sa gratitude et ses remerciements au Ministre Claude Isaac DE pour la confiance placée en lui depuis juillet 2018 et à l’ensemble du personnel du ministère pour ‘’leur disponibilité’’ et ‘’leur engagement’’ à ses côtés pour mener à bien les missions à lui assignées.
A cette occasion, le Directeur de Cabinet sortant, M. Henri DJOMAND, a traduit sa gratitude et ses remerciements au Ministre Claude Isaac DE pour la confiance placée en lui depuis juillet 2018 et à l’ensemble du personnel du ministère pour ‘’leur disponibilité’’ et ‘’leur engagement’’ à ses côtés pour mener à bien les missions à lui assignées.
Après avoir présenté l’organisation et surtout les missions du ministère, M. DJOMAND a fait un tour d’horizon des principaux projets et les acquis du ministère avec l’ensemble des structures sous tutelle. « L’Administration étant une continuité, je souhaite que tout l’appui et le soutien que j’ai toujours reçus de vous soient également mis à la disposition du nouveau Directeur de Cabinet », a-t-il lancé aux membres du Cabinet présents. Avant de souhaiter bon vent à son successeur.
Pour sa part, le Directeur de Cabinet entrant, Dr GUIBESSONGUI N’Datien, a salué ‘’la disponibilité’’ et ‘’la collaboration fonctionnelle’’ de son prédécesseur. « C’est un Gouvernement de mission comme l’a indiqué le Chef de l’Etat, SEM Alassane OUATTARA. (..) Nous serons des outils de la mise en œuvre de la mission assignée au ministère. (..) Je suis homme de mission et je jouerai ma partition », a-t-il déclaré. Tout en réaffirmant sa disponibilité à travailler avec l’ensemble du personnel pour le rayonnement du ministère.
Après la remise de dossiers et la signature du procès-verbal marquant la passation officielle de charges, l’Inspecteur Général, Jules KOUADJO, a traduit ses remerciements au Directeur de Cabinet sortant pour le travail abattu et par la même occasion, il a marqué sa disponibilité et celle de l’ensemble du personnel à l’endroit du nouveau Directeur de Cabinet afin de mener à bien sa mission.
Notons que depuis le mercredi 04 Septembre 2019, M. Mamadou SANOGO tient désormais les rênes du Ministère de l’Economie Numérique et la Poste en remplacement de M. Claude Isaac DE.
[Digital Business Africa] – Au Kenya, le géant des télécommunications Safaricom a débuté la distribution des dividendes bruts par anticipation pour un montant total de 74,9 milliards de shillings, soit plus de 720 millions de dollars américains. Une distribution qui intervient à plus de deux mois de l’échéance initialement prévue.
La distribution des dividendes aux
actionnaires de l’opérateur témoignent de sa bonne santé financière. En effet,
Safaricom a terminé l’exercice achevé en mars 2019 sur de très bonnes notes,
avec un bénéfice net de 63,4 milliards de shillings, soit environ 610 millions de
dollars. Ce qui représente un montant supérieur aux dividendes distribués.
Selon le rapport, «compte tenu de la position solide du bilan, nous avons proposé un dividende spécial de 24,8 milliards de shillings pour cette année (0,62 shillings par action)». En effet, le chiffre d’affaire de l’opérateur au dernier exercice était de 240,3 milliards de shillings, soit environ 2,3 milliards de dollars.
[Digital Business Africa] – La Communauté de développement d’Afrique australe (SADC) pourrait définitivement supprimer les frais de roaming entre ses membres avant la fin de l’année 2019. L’annonce a été faite le 13 septembre 2019 par Sherry Singh, le président de la Southern Africa Telecommunications Association (SATA), par ailleurs CEO de Mauritius Telecom (MT). Pour que la suppression des frais d’itinérance prenne effet, il faudra que tous les pays membres de la SADC ratifient les accords. Ce qu’il espère intervenir avant la fin de l’année 2019. Et pour l’instant, 13 pays sur 15 l’ont déjà ratifié.
« J’aimerais demander à d’autres pays de se joindre
à nous. Je pense qu’il y a plus à gagner à devenir un réseau régional plutôt
que de penser uniquement du point de vue des pays. La raison pour laquelle
leurs opérateurs ne se sont pas encore inscrits pourrait être un retard
administratif ou peut-être qu’ils ont besoin d’une autorisation, un éclairage
ou même une motivation. Mais nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour
essayer de les convaincre », explique Sherry Singh.
Idéalement, il affirme
que l’abolition des frais de roaming entre les Etats de la SADC devrait avoir
lieu avant le 1er octobre 2019. Seulement, il ajoute que même si ce
délai sera un peu retardé, ce retard ne devrait être que de quelques semaines.
[Digital Business Africa] – C’est dans une correspondance datée du 13 août 2019 que la secrétaire exécutive de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique, Vera Songwe, informe le ministre congolais des Postes, des Télécommunications et de l’Economie numérique, Léon Juste Ibombo, de sa décision de sélectionner le Congo pour le lancement d’une phase de pilotage du réseau 5G. Ce qui fera du pays l’un des pionniers africains à expérimenter cette technologie.
« Le lancement de cette phase de pilotage du réseau 5G comprendra une série de tests techniques et l’analyse des opportunités y relatives dans un certain nombre de pays africains…Ces tests seront exécutés en étroite collaboration avec le gouvernement, les opérateurs de télécommunication locaux, l’Autorité de régulation des télécommunications ainsi que les acteurs du secteur privé afin de saisir les opportunités émergentes offertes par la 5G », explique dans sa correspondance Vera Songwe. Elle ajoute ensuite que « ces tests permettront aussi au gouvernement et au régulateur de prendre toutes les dispositions nécessaires pour la disponibilité et une attribution efficace des bandes de fréquences 5G prenant en compte les projets de déploiement techniques et commerciaux ».
Le lancement de cette phase de pilotage du réseau 5G, explique Vera Songwe, comprendra une série de tests techniques et l’analyse des opportunités y relatives dans un certain nombre de pays africains. Le projet relève de la politique de la CEA à l’appui des efforts des Etats membres pour tirer profit de la révolution numérique aux fins de la transformation économique des pays africains.
Sur les raisons du choix du Congo, la secrétaire exécutive de la CEA évoque l’engagement du Congo pour le développement inclusif et durable des télécommunications et des TIC. En cas de succès de ces tests, le Congo pourra servir de modèle à d’autres Etats africains à y être aussi favorable afin d’effectuer leur entrée dans la technologie 5G. Pour le ministre Léon Juste Ibombo, c’est une très bonne nouvelle pour l’écosystème du numérique au Congo.
[Digital Business Africa] – Les jeunes porteurs de projets dans le secteur égyptiens de la Fintech pourront, dès 2020 bénéficier des financements publics mis à disposition par l’Etat. Ce sera dans le cadre du fonds d’investissement de 50 à 100 millions de dollars porté par la Banque centrale d’Egypte, qui entend dans le même temps mettre sur pied un laboratoire de technologie financière.
Sur le principe, ce fonds qui entends positionner l’Egypte comme hub régional de services financiers digitaux financera la recherche sur la finance digitale et soutiendra les startups nouvellement lancées et à fort potentiel. Il sera en plus doté d’un laboratoire d’applications technologiques innovantes
[Digital Business Africa] – Ce sera la petite ville togolaise de Aneho qui abritera l’Agence francophone pour l’Intelligence artificielle (AFRIA). La première pierre de l’institution sera officiellement posée en marge du symposium régional sur le thème « Pour une Intelligence artificielle (IA) éthique et inclusive au service du développement durable, de la paix et de la sécurité en Afrique de l’Ouest » qu’abritera le pays du 16 au 17 décembre 2019. Organisé par l’Unesco, l’OIF, la CEDEAO, l’UEMOA et le gouvernement togolais, ce Symposium d’Aneho réunira les principaux acteurs du numérique africain, dont les ministres francophones en charge de l’économie numérique, les chercheurs, institutions et chefs d’entreprises, mais aussi des startuppers, des opérateurs privés et des bailleurs internationaux.
« L’Intelligence artificielle est devenue un des grands enjeux de ce siècle. Toutes les grandes entreprises du monde de la Tech sont engagées sur les problématiques de l’IA, sous l’impulsion des GAFAM(Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft). Son évolution combinée à celles de la robotique, de l’éducation, de psychologie, de l’informatique des objets, de la blockchain et de la génétique va profondément bouleverser nos sociétés et l’Afrique ne doit pas rater le virage numérique.Parce que les enjeux de l’IA sont aussi d’ordre politique, social, éthique, économique, juridique : investir dans l’IA et développer une réflexion critique est devenu un impératif non seulement pour les Etats, les organisations internationales, mais aussi pour les entreprises et les universités qui anticipent le monde de demain», explique Eric Adja, Directeur du bureau régional pour l’Afrique de l’Ouest (BRAO) de l’OIF, chargé de la coordination du symposium d’Aneho et de la mise en place de l’AFRIA (Agence francophone pour l’Intelligence artificielle) cité par La Tribune Afrique.
L’objectif de la création de ce
Centre est de doter les pays d’Afrique francophone d’une certaine compétence
technique afin de développer des solutions, et d’échapper à la « cybercolonisation »
de l’Afrique. Sur le procédé, il s’agira de mutualiser les efforts et les
connaissances des experts et pays africains afin de permettre au continent, qui
est actuellement invisible sur le terrain de l’IA de pouvoir émerger, et en
devenir un des acteurs les plus impliqués.
[Digital Business Africa] – C’est l’une des annonces phares du Forum africain sur la gouvernance de l’Internet qui s’est terminé le 12 septembre 2019 à Ndjamena : La reconnaissance des contributeurs Africains à l’émergence d’un Internet meilleur sur le continent. Ainsi, au cours d’une soirée de gala, l’Union Africaine, la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique et le Gouvernement tchadien ont décerné des Prix pour la contribution au développement d’Internet.
Ridha Guellouzde
Le premier lauréat est Ridha Guellouzde Tunisie. Il a proposé en 1998 à la Conférence des plénipotentiaires de l’UIT à Indianapolis de convoquer le Sommet mondial sur la société de l’information (SMSI). Depuis lors, il est à l’avant-garde du SMSI et du FGI dans le monde, en Afrique et dans les pays arabes.
Mr Makane Faye, Senior Regional Advisor, Coordinator, e-Applications, UNECA, speaks at the 8th World Telecommunication ICT Indicators meeting, 2010
Le second prix est revenu à Makane Faye, retraité de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique et à Moctar Yedaly de l’Union Africaine. Ils ont mis en place le Forum africain sur la gouvernance de l’Internet et le coordonnent avec succès depuis sa création, malgré les appréhensions de toutes sortes des uns et des autres. En outre, ils ont renforcé les partenariats existants et emmené de nouveaux partenaires et plus de pays africains et de CERs dans le processus de gouvernance de l’Internet.
Moctar Yedaly, le chef de la Division de la Société de l’information, de l’Infrastructure et de l’Énergie de l’Union africaine.
A travers ces distinctions, l’Union africaine et la CEA entendent encourager le développement d’un Internet libre sur le continent. Une tâche qui est d’autant plus rude que le réflexe de plusieurs dirigeants africains, y compris celui du Tchad qui a abrité la rencontre est de suspendre Internet en cas de menace pour leur régime. C’était le cas au Tchad, au Cameroun, au Soudan, au Gabon, en Ethiopie, en RDC, ou encore même au Congo.
[Digital Business Africa] – S’en est fini pour l’aventure Afrimarket. La place française de marché en ligne qui opérait dans cinq pays d’Afrique francophone devra fermer boutique, et se retirer du marché. Ses fondateurs, Rania Belkahia et Jeremy Stoss ont déposé au tribunal de commerce de Paris une demande de mise en liquidation judiciaire. Ceci, après que les deux fonds en lice pour investir dans l’entreprise 20 millions d’euros aient pris la décision de se retirer du processus de levée de fonds en juillet 2019.
« Dans le courant de l’année dernière, nous avons
commencé à chercher des investisseurs pour un tour de table de 20 millions
d’euros et nous sommes entrés en discussions avec plusieurs fonds. Nous étions
en due-dil (process d’audit pré-levée) avec plusieurs acteurs. Deux d’entre eux
se sont positionnés dans la dernière ligne droite, mais nous ont lâché au
milieu de l’été. Le principe d’une start-up est que si on ne la finance pas,
elle s’arrête», explique Rania Belkahia.
En plus de la question du financement, la débâcle d’Afrimarket vient principalement au moment où son principal concurrent lève des fonds. Signe de sa vitalité, Jumia a réalisé en avril 2019 une levée de fonds de près de 200 millions de dollars lors de son entrée à la bourse de New York. A titre de comparaison, dans le même temps, Afrimarket peinait à trouver des investisseurs auprès desquels lever 20 millions d’euros.
« Nos investisseurs historiques nous ont soutenus
depuis le début et durant les huit mois de la période d’audit auprès des fonds
intéressés, mais après, il n’y avait plus de trésorerie… Nous
avions tous conscience que ce marché de l’e-commerce en Afrique requiert
beaucoup de capitaux et il en aurait fallu dix fois plus pour y arriver. Il
nécessite des moyens colossaux pour l’évangéliser et le stimuler», ajoute Rania
Belkahia. Avec ce dépôt de bilan, Afrimarket envoie au chômage quelques 250
personnes en Afrique et en Europe.
[Digital Business Africa] – Aujourd’hui, le constat est là. Dans
plusieurs pays, la sanction des opérateurs télécoms pour mauvaise qualité de
service n’apporte pas toujours la solution à l’amélioration de cette qualité de
service. Sanctionner ou pas les régulateurs se demandent de plus en plus si c’est
la meilleure solution. Comment faire face aux opérateurs qui ont souvent plus d’argent
et sont parfois plus puissants que le régulateur ? La sanction des opérateurs
télécoms est-elle toujours la bonne solution?
Dans cette version N°004 de Digital Business Africa, Sébastien Soriano, le président de l’ARCEP France, dévoile à Digital Business Africa, le Mag des décideurs consacré aux informations stratégiques sur les TIC, les Télécoms et le Numérique en Afrique, quelques bons points de ses stratégies. Aussi, le patron de la régulation télécoms en France, invité du mois de votre magazine, s’exprime sur les grands enjeux de la régulation à l’ère du tout numérique.
Tous des sujets qui seront également évoqués dans la ville roumaine de Bucarest les 23 et 24 octobre 2019 lors de la 17 e réunion du Réseau francophone de la régulation des télécommunications (Fratel). Cette organisation que préside actuellement Sébastien Soriano se réunira donc à Bucarest pour discuter du thème : « Enjeux de couverture et de qualité de service mobile : quel rôle pour le régulateur ? ». Digital Business Africa vous donne un avant-goût des discussions.
Egalement à retrouver dans le
numéro 004 de la version Mag de Digital Business Africa disponible dans vos
kiosques numériques, James G. Claude, le CEO de Global Voice Group. Dans le
dossier Régulation que vous trouverez dans le magazine, il présente dans une
interview réalisée par Beaugas Orain DJOYUM, comment le groupe qu’il dirige
accompagne les régulateurs dans le monitoring des transferts d’argent mobile
qui ont du vent en poupe en Afrique depuis quelques années.
« Nous avons un système robuste de monitoring des transferts d’argent mobile », peut-on lire à la Une du magazine.
Orange Bank For Africa et SGS Renovo
Stratégies : Comment Orange Bank For africa va construire le leadership d’Orange Money en Afrique en matière de paiement mobile. L’éditorial et l’analyse de la rédaction.
Il y a quelques semaines s’est tenu à Kinshasa un atelier de
validation de la stratégie nationale du numérique de la RD Congo. Digital
Business Africa vous propose les promesses du plan numérique 2025 de Félix A.
Tshisékedi.
La gestion des déchets électroniques en Afrique reste une préoccupation majeure pour de nombreux Etats africains. Le groupe Suisse SGS a développé un programme innovant (SGS Renovo) pour gérer cette problématique. Retrouvez dans ce numéro les explications de Moïse YAKAN, Directeur Régional Afrique Centrale et de l’Ouest du Programme SGS Renovo, et d’Alexandre Lusenti, Product Manager du programme SGS renovo. Ils expliquent à Digital Business Africa le bien-fondé de ce programme et font le point sur l’évolution du projet au Ghana.
En matière de digitalisation de l’administration en Afrique,
prenez rendez-vous avec Nicolas Yenoussi, le DG des Impôts du Bénin, qui
explique comment et promet d’ailleurs pour très bientôt un système de Business
Intelligence pour la DGI. « Nous allons doter
notre administration fiscale d’un système de business intelligence » est le
titre de son interview à lire en page 30.
En Guinée équatoriale, le régulateur télécoms n’a jamais infligé des amendes lourdes aux opérateurs. José Eko Owono Mangue, le DG de l’ORTEL, nous explique pourquoi et surtout comment la régulation se passe dans le pays d’Obiang Nguema. D’ailleurs, Tontama Charles Millogo, le président de l’Autorité de régulation des communications électroniques du Burkina Faso dans ce même numéro de dit-il pas que : « La sanction qui fait le plus mal aux opérateurs est la sanction du client » ?
Comme toujours, retrouvez également nos rubriques Mouvements
et Nominations, le Graphique, le baromètre des décideurs du numérique et bien d’autre
sujets dans votre magazine Digital Business Africa. La plateforme web et le Mag
des décideurs consacré aux infos stratégiques sur les TIC, les Télécoms et le Numérique
en Afrique. Bonne lecture !
Par Digital Business
Africa
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Vous recevrez un code d’accès pour la lecture ou alors le PDF dans votre boite mail.
[Digital Business
Africa] – “J’aimerais rentrer aux Etats-Unis, c’est mon but ultime, mais je ne
vais pas passer le reste de ma vie en prison. Donc, j’ai une revendication de
base sur laquelle il faut qu’on se mette tous d’accord: c’est que je puisse
avoir un procès juste.” Ces propos sont d’Edward Snowden, lors d’une
interview qu’il a accordée à la chaîne CBS à la veille de la publication de ses
mémoires. Le lanceur d’alerte américain se dit donc prêt à rentrer aux
Etats-Unis, mais à condition d’y avoir droit à un procès ‘‘juste’’.
Dans la foulée, Edward Snowden, qui est réfugié en Russie depuis 2013, lorsqu’il a dénoncé la surveillance massive des communications et d’Internet aux Etats-Unis explique n’éprouver aucun regret : ‘‘Je ne demande pas de pardon, ni de passe-droit”, ajoute-t-il. Selon lui, le gouvernement américain entend lui faire subir “un procès d’un autre type avec des procédures spéciales”.
Alors qu’il est déjà inculpé aux Etats-Unis pour espionnage et vols de secrets d’Etat, il croit savoir que les autorités américaines “ne veulent pas que le jury considère les motivations qui l’ont poussé à agir : ‘‘Elles veulent seulement qu’il examine si mes actions étaient légales ou illégales, pas si elles étaient justes ou mauvaises. Il n’est pas difficile de bâtir un argumentaire pour dire que j’ai violé la loi. Mais c’est la question la moins intéressante. Les jurés doivent plutôt s’interroger sur les conséquences de mes actions. Ont-elles bénéficié aux Etats-Unis ou causé du mal ?“.
Pour l’instant donc, cet ancien employé de l’agence américaine de renseignement NSA reste en Russie et ne peut rentrer aux Etats-Unis, sous peine de se faire arrêter. Ses mémoires intitulées “Permanent record” ou en français “Mémoire vive” seront publiés dès le 17 septembre 2019 simultanément dans une vingtaine de pays, dont les Etats-Unis, la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni, le Brésil ou encore Taïwan. Petite précision : il les a entièrement écrite lui-même.
[Digital Business Africa] – Le numéro 004 de la version Mag de Digital Business Africa est disponible dans vos kiosques numériques. A la Une de la version Afrique du Mag des décideurs consacré aux informations sur les TIC, les Télécoms et le Numérique en Afrique, James G. Claude, le CEO de Global Voice Group. Dans le dossier Régulation que vous trouverez dans le magazine, il présente dans une interview réalisée par Beaugas Orain DJOYUM comment le groupe qu’il dirige accompagne les régulateurs dans le monitoring des transferts d’argent mobile qui ont du vent en poupe en Afrique depuis quelques années.
« Nous avons un système robuste de monitoring des transferts
d’argent mobile », peut-on lire en grande Une du magazine.
Aussi dans cette version N°004 de Digital Business Africa, Sébastien Soriano, le président de l’ARCEP France. Le patron de la régulation télécoms nous dévoile sa stratégie et ses astuces face aux grands opérateurs télécoms français.
Stratégies : Comment Orange Bank For africa va construire
le leadership d’Orange Money en Afrique en matière de paiement mobile. L’éditorial
et l’analyse de la rédaction.
Il y a quelques semaines s’est tenu à Kinshasa un atelier de
validation de la stratégie nationale du numérique de la RD Congo. Digital
Business Africa vous propose les promesses du plan numérique 2025 de Félix A.
Tshisékedi.
La gestion des déchets électroniques en Afrique reste une préoccupation majeure pour de nombreux Etats africains. Le groupe Suisse SGS a développé un programme innovant (SGS Renovo) pour gérer cette problématique. Retrouvez dans ce numéro les explications de Moïse YAKAN, Directeur Régional Afrique Centrale et de l’Ouest du Programme SGS Renovo, et d’Alexandre Lusenti, Product Manager du programme SGS renovo. Ils expliquent à Digital Business Africa le bien-fondé de ce programme et font le point sur l’évolution du projet au Ghana.
En matière de digitalisation de l’administration en Afrique, prenez rendez-vous avec Nicolas Yenoussi, le DG des Impôts du Bénin, qui explique comment et promet d’ailleurs pour très bientôt un système de Business Intelligence pour la DGI. « Nous allons doter notre administration fiscale d’un système de business intelligence » est le titre de son interview à lire en page 30.
En Guinée équatoriale, le régulateur télécoms n’a jamais infligé
des amendes lourdes aux opérateurs. José
Eko Owono Mangue, le DG de l’ORTEL, nous explique pourquoi. D’ailleurs, Tontama
Charles Millogo, le président de l’Autorité de régulation des communications
électroniques du Burkina Faso dans ce même numéro de dit-il pas que : « La
sanction qui fait le plus mal aux opérateurs est la sanction du client » ?
Comme toujours, retrouvez également nos rubriques Mouvements
et Nominations, le Graphique, le baromètre des décideurs du numérique et bien d’autre
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des décideurs consacré aux infos stratégiques sur les TIC, les Télécoms et le Numérique
en Afrique. Bonne lecture !
Par Digital Business Africa
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[Digital Business Africa] – La marque chinoise de téléphones portables, TECNO Mobile a annoncé le lancement de la campagne mondiale de la meilleure photographie #CAMON12#CtheWorld Best Photography, qui vise à créer une occasion pour tous les amateurs de la photographie. Le meilleur travail photographique vaudra à son auteur de figurer dans le magazine National Geographic, la référence en termes d’influence et d’autorité dans le monde de la photographie. Cette campagne s’inscrit dans le cadre du lancement de la nouvelle série de smartphones CAMON 12.
« La campagne de la meilleure photographie #CAMON12#CtheWorld est un
concours international de haut niveau qui dépasse les frontières et les ethnies
nationales, et vise à encourager les photographes et les particuliers à
explorer les possibilités offertes par la photographie à partir d’un téléphone
mobile et à profiter pleinement des joies que procure ce type de photographie »,
explique Tecno dans un communiqué.
Les participants peuvent soumettre leurs meilleures photos sur le site Web de TECNO Mobile – bbs.TECNO-Mobile.com/index_new – du 10 septembre au 29 octobre (Minuit heure de Chine) 2019. Tous les passionnés de photographie, qu’ils utilisent ou non des smartphones TECNO Mobiles, sont invités à soumettre leurs photos réalisées à l’aide d’un téléphone portable, sans restriction de date de prise ou de modèle de téléphone utilisé. Chaque participant se limitera à un maximum de 30 œuvres – une photo, un storyboard 3×3 ou un fichier vidéo étant considéré comme une œuvre unique.
A partir de toutes les photos téléchargées sur le mur Facebook de TECNO Mobile, la liste des lauréats sera publiée le 1er novembre sur le site Web de TECNO Mobile et les 3 photos qui auront obtenu le plus grand nombre de likes seront présélectionnées. Les 3 photographes correspondants bénéficieront d’une formation auprès d’un photographe professionnel et auront l’occasion de prendre une nouvelle série de photos avec le CAMON 12 Series. Le photographe professionnel sélectionnera le meilleur instantané qu’il recommandera en vue de sa publication dans National Geographic.
[Digital Business Africa] – Désormais, c’est Ian Ferrao qui supervisera en Afrique de l’Est, les activités d’Airtel Africa, la filiale africaine du groupe indien de télécommunications Bharti Airtel. Il a été nommé par le groupe directeur régional pour l’Afrique de l’Est. Un poste nouvellement créé et basé à Nairobi au Kenya qui lui permettra de superviser les opérations de l’opérateur dans quatre pays : le Kenya, l’Ouganda, la Tanzanie et le Rwanda.
Pour parvenir à cette fin, Ian Ferrao devra puiser dans sa riche expérience dans ce secteur. Expérience acquise notamment chez Vodacom, où il a été directeur général de l’opérateur en Tanzanie et au Lesotho. Aussi, il a été directeur commercial à Vodacom Business Africa. Au total, il revendique 12 années d’expérience à des postes de direction dans le secteur des télécommunications en Afrique.
Sa nomination intervient au lendemain de l’entrée en bourse de Airtel à la bourse de Londres et à celle de Lagos au Nigéria [qui est par ailleurs son premier marché en Afrique, où il est présent dans 14 pays]. Le dirigeant occupe désormais une position très stratégique pour le groupe, quand on sait que l’Afrique de l’Est représente environ 36% des revenus du groupe. Ceci, avec 1 102 milliards de dollars générés au titre de l’année financière close le 31 mars 2019.