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Compétition : Le Sénégal en finale du concours Huawei ICT prévu en Chine

[DIGITAL Business Africa] – Finir deuxième du « Huawei ICT Competition 2023-2024 – Northern Africa Regional » n’a pas été chose facile pour les candidats sénégalais. Réunis à Tabarka, Tunisie, dès le 04 Mars 2024, les trois étudiants sénégalais ont pu se frayer un chemin dans la catégorie « Network Track ». L’équipe du Sénégal est composée de Ass Niang de l’Ecole Polytechnique de Thiès, Floris Junior Adjaba et Aboubakar dit Bah Kamena de l’ESMT. Ils ont pour Instructeur Huawei certifié HCAI , Souaré Samba. Le formateur cumule une expérience de plus de 20 ans. Ils vont dlnc se mesurer aux meilleurs étudiants des pays du monde entier en Chine.

La cérémonie de remise des prix du concours régional, « Huawei ICT Competition 2023-2024 – Northern Africa Regional Final » s’est tenue ce vendredi 08 mars 2024 2024 à Gammarth, un quartier de la banlieue nord de Tunis. Ont pris part à cette événement, un aréopage de personnalités, dont le ministre tunisien des Technologies de la communication, Nizar Ben Néji, un représentant de l’ambassade de Chine en Tunisie, du directeur général de l’ICT Organisation, Mohamed Ben Amor, et le directeur général de Huawei-Tunisie, Liang Feihu, entre autres.

« Cet événement, bien organisé et géré par Huawei-Tunisie, prouve encore une fois le fort potentiel de ce partenaire stratégique et son dévouement dans le développement technologique de tout le continent africain, particulièrement en Tunisie », a déclaré le ministre tunisien des Technologies de la Communication, Nizar Ben Néji.

Pour Mohamed Ben Amor, Directeur Général de l’Organisation Arabe des Technologies de l’Information et de la Communication (AICTO), ce succès est le résultat d’un triptyque gagnant.

« Nous sommes fiers au sein de l’Organisation arabe des TIC de soutenir la Huawei ICT Compétition 2023-2024 Northern Africa Regional Final, qui a été brillamment conçue autour de trois mots très puissants « Connexion – Gloire – Avenir », a-t-il dit.

La coup d’envoi du concours a été donné le 05 mars 2024. Au cours de la même journée, les étudiants ont pendant plusieurs heures passé leur examen composé d’une partie théorique et d’une partie pratique. 30 équipes issues de 9 pays (Ethiopie, Cameroon, Mali, Sénégal, Egypte, Tunisie, Maroc, Lybie et Algérie) étaient en lice, et chaque équipe était composée de 03 étudiants et d’un instructeur accompagnant.

Huawei ICT Compétition s’étend et opère dans 28 pays de la région avec pour principal objectif d’introduire des nouvelles technologies dont l’intelligence artificielle, le 5G, le Cloud. Le concours vise aussi à fournir aux étudiants une plateforme pour rivaliser sainement et échanger des idées, améliorant ainsi leurs connaissances en matière de TIC et leurs compétences pratiques, ainsi que leur capacité à innover en utilisant de nouvelles technologies et plateformes.

Cette sixième édition du concours Huawei aurait attiré 150 000 étudiants venus des  universités et établissements d’enseignement supérieur dans 85 pays et régions.

Par Jean Materne Zambo

Internet : Le service « Direct to Cell » de Starlink prometteur, le Mali dit niet au wifi du fournisseur 

[DIGITAL Business Africa] – Le fournisseur d’ accès à internet de la société Space X vient d’effectuer les premiers test de connexion internet par satellite du programme Direct to Cell. Pour les responsables de Starlink, ce service est prometteur. Ces essais ont été effectués sur des smartphones Samsung, Apple et Google sont concluants. Selon Space X, un smartphone Android connecté au réseau Starlink a obtenu un débit en téléchargement de 17 Mbit/s, ce qui se rapproche de la 4G actuelle. Le service Direct to Cell permettra dans un premier temps d’envoyer des SMS, puis de passer des appels et d’utiliser internet mobile dans les zones sans couverture réseau cellulaire.

« Les appareils testés ont correctement communiqué pendant la durée du passage du satellite et n’ont pas subi d’interférences nuisibles de la part des appareils sur les bandes [de fréquence] adjacentes SpaceX », indique SpaceX.

La solidité dit avoir utilisé cette connexion pour poster un tweet, relayer un SMS, mais aussi transmettre des messages dans WhatsApp. Grâce à Starlink lancé depuis 2019, SpaceX déploie une constellation de satellites pour mettre fin aux zones blanches, même dans les zones difficiles d’accès pour les câbles internet et autres infrastructures télécom. Starlink compte plusieurs opérateurs prêts à se lancer, comme T-Mobile aux États-Unis et Salt en Suisse.

Elon Musk envisage de mettre en orbite basse environ 12 000 satellites d’ici 2025. Au total, en comptant les 1015 satellites déjà déployés par Starlink il n’y a aujourd’hui que 2 000 satellites en activité autour de la Terre.

L’ AMRTP dit niet à l’utilisation illégale du Wi-Fi Starlink

L’ Autorité de régulation des télécommunications, de l’informatique, des télécommunications et des postmet a mis en garde contre la commercialisation et l’achat des services Starlink. Dans un communiqué signé ce 06 mars 2024, l’ AMRTP a annoncé l’interdiction de l’utilisation du Wi-Fi Starlink, très répandu dans les zones désertiques.

« Le président de l’Autorité malienne de régulation des télécommunications, des technologies de l’information et de la communication et des postes (AMRTP) informe que, depuis un moment, certains individus s’adonnent à l’importation et/ou à la vente illégale des équipements STARLINK au Mali… L’utilisation non autorisée des terminaux et du réseau satellite Starlink est illégale et punie par la loi car elle contribue à l’insécurité et aux troubles économiques », a déclaré l’ AMRTP.

Le régulateur qui a appelle toutes les personnes impliquées dans la commercialisation et l’achat des services Starlink à cesser immédiatement toutes leurs activités.

Par Jean Materne Zambo

 

Niger : La 1ere édition de la Semaine du numérique se tiendra du 18 au 20 avril 2024, un Centre national de cybersécurité bientôt mis en place

[DIGITAL Business Africa] – La Niger va abriter pour la première fois, la Semaine du Numérique. Ce sera du 18 au 20 avril 2024. Institué par l’ Union africaine en 2009, l’ événement, comme dans bien de pays en Afrique, se donne pour objectif de promouvoir la transformation numérique. Le ministre de la Communication, des Postes et de l’Economie numérique Sidi Mohamed Raliou était face à la presse ce 08 mars 2024 pour expliquer les tenants et les aboutissants de cette première édition SENUM 24, placée sous le thème « Le Numérique et la Souveraineté ».

A travers la Semaine du Numérique, SENUM 24, le gouvernement nigérien entend digitaliser l’administration publique, moderniser les infrastructures et faciliter l’accès à Internet, mettre en place un Centre national de cybersécurité, ainsi qu’assurer l’accès universel à une connectivité de qualité à des coûts abordables.

Rappelons au passage que l’Union européenne et la Commission de la CEDEAO ont mis sur pied le  projet « Organised Crime : West African response to Cybersecurity and fight against Cybercrime » (OCWAR-C). Ce projet fait partie, avec OCWAR-T (lutte contre les trafics) et OCWAR-M (lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme), des projets financés par l’Union européenne de lutte contre le crime organisé en Afrique de l’Ouest. Le projet est mis en œuvre dans les États membres de la CEDEAO (Bénin, Burkina Faso, Cabo Verde, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Libéria, Mali, Niger, Nigéria, Sénégal, Sierra Leone et Togo) ainsi comme en République islamique de Mauritanie

La Semaine du Numérique est placée sous le Haut Patronage du Président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP) et Chef de l’État, le Général de Brigade Abdourahamane Tiani. Plusieurs pays amis sont attendus à cet événement notamment ceux de l’Alliance des Etats du Sahel (AES).  Un prix du Président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie, Chef de l’État, le Général de Brigade Abdourahamane Tiani.récompensera la meilleure innovation numérique .

Par Jean Materne Zambo

Cameroun : Le CNTS requiert 400.000 poches de sang, une application pour éduquer au don sanguin en gestation

[DIGITAL Business Africa] – 400.000 poches de sang requises. Le chiffre qui représente en fait le besoin annuel du Cameroun, est relativement énorme. Mais, rien n’est impossible pour le Centre national de Transfusion sanguine qui organise sa première conférence des services centraux et déconcentrés au titre de l’année 2024, du 12 au 15 mars à Yaoundé. Pour relever le pari des 400.000 poches de sang, le Centre national de Transfusion sanguine compte beaucoup sur la sensibilisation des médias. Et l’un des canaux sur lequel il va s’appuyer est sans doute le numérique. Selon Tiock Epolle, responsable de la Promotion et Marketing social du don éthique de Sang, « le numérique est très important entendu que c’est un outil de communication. Et grâce au numérique nous pouvons atteindre des cibles très élevés. C’est un atout très important pour le Centre national de transfusion sanguine que d’utiliser le numérique ».

Le CNTS encadre certaines initiatives innovantes depuis des années. Notamment l’ application « Hémo » qui mettait en relation les donneurs et les receveurs de sang. « Hémo » qu’on ne retrouve plus en ligne fut développée en 2019 par deux élèves de 13 et 14 ans. L’application permettait à un patient, qui avait besoin de sang, d’ entrer directement en contact avec le potentiel donneur, grâce à son contact téléphonique. Mais pour toucher plus de personnes, les éduquer sur le don de sang, madame le DG du CNTS et son équipe ont besoin d’un peu plus, l’a reconnu Tiock Epolle, responsable de la Promotion et Marketing social du don éthique de Sang.

« A l’époque, lorsque nous étions encore le Programme national de Transfusion sanguine, nous avons travaillé avec ces jeunes talents. Mais, nous n’avons pas utilisé cette application. Plusieurs nous ont d’ailleurs été proposées. Pour le moment nous ne nous sommes pas encore approprié ces applications que nous pensons utiles pour le CNTS, qui n’est peut-être pas encore exploité à son optimum. L’une des choses dont nous voulons le maximum de développement c’est la sensibilisation qui se fait autour du don de sang parce que l’application ne faisait pas une sensibilisation en tant que telle. Elle mettait en relation le demandeur, le donneur. Donc, l’une des chose que nous voulons actuellement est d’éduquer, informer la population sur le don de sang. Cela ne signifie pas qu’on ne puisse pas utiliser ces applications qui mettent en relation le donneur et le demandeur de sang. Donc, nous sommes preneur. Ce sont des applications qui seront même développées au sein du CNTS, et les responsables seront saisis en temps opportun. Là, cela ne dépend pas de moi », a-t-il dit.

La cérémonie d’ouverture de la conférence a été présidée par madame de directeur général, le Pr. Dora Mbanya. Le thème de la conférence est : « Accélérer le déploiement du CNTS au niveau déconcentré en vue d’Intensifier la mobilisation en faveur du Don éthique de Sang ». L’objectif général des travaux est de faire le point de l’ensemble des activités du CNTS au titre de l’année 2023 en vue d’élaborer plus efficacement le plan de travail opérationnel en 2024. Un but qui ne sera pas atteint si le personnel ne fait pas preuve de discipline, comme l’a martelé le DG du CNTS. Pour le Pr. Dora Mbanya, chacun doit sensibiliser son entourage sur le don de sang et promouvoir le don de « l’or rouge » sur toute l’ étendue du territoire national.

Par Jean Materne Zambo

Cybersécurité: La Guinée signe un protocole d’accords avec Cisco et Cybastion, 02 entreprises américaines

[DIGITAL Business Africa] – La Guinée veut renforcer sa sécurité informatique. Le ministère des Postes, Télécommunications et de l’Economie numérique  et deux entreprises américaines, Cisco et Cybastion, ont procédé ce vendredi 08 mars à la signature d’un protocole d’accords, en présence de l’Ambassadrice Extraordinaire et Plénipotentiaire des Etats-Unis en Guinée, Hadja Fatoumata Sidibé Kaba.

Ces accords renforceront l’efficacité et la sécurité du réseau numérique guinéen, améliorant ainsi la vie des Guinéens, comme le prévoit la représentante diplomatique américaine en Guinée.

« Ce protocole, qui prévoit la création d’académies Cisco pour fournir aux Guinéens des compétences techniques, améliorera la capacité du gouvernement à progresser dans l’ère numérique et renforcera les liens entre la Guinée et la communauté d’affaires américaine » , a dit S.E Hadja Fatoumata Sidibé Kaba. Ambassadrice Extraordinaire et Plénipotentiaire des Etats-Unis en Guinée .

C’est en décembre 2022 à Washington, D.C que Cybastion avait ouvert la voie en Afrique avec la signature de contrats importants lors des événements en marge du « U.S.- Africa Leaders Summit », Sommet des Leaders Etats-Unis – Afrique. Plus de 15 milliards de dollars devraient être injectés dans le commerce et l’investissement bilatéraux, pour faire progresser des secteurs prioritaires, notamment l’énergie durable, les systèmes de santé, l’agro-industrie, la connectivité numérique.

Lors de ce sommet US-Africa Business Forum, Joe Biden va également annoncer le projet de la Transformation numérique en Afrique (DTA).

« Nous travaillons avec le Congrès pour investir 350 millions de dollars afin de faciliter plus de près d’un demi-milliard de dollars de financement pour s’assurer que davantage de personnes à travers l’Afrique puissent participer à l’économie numérique », avait-il laissé entendre.

A propos de Cybastion

Cybastion propose des solutions, des infrastructures et des technologies numériques. L’entreprise, dont le siège est à Durham, en Caroline du Nord, est très présente en Afrique, où elle travaille dans huit pays. Cybastion cherche à combler le fossé entre la cybersécurité de l’Afrique et celle des pays plus développés en fournissant des solutions de cybersécurité, des infrastructures et des technologies numériques.

Par Jean Materne Zambo

La Tunisie adhère à la Convention du Conseil de l’Europe sur la cybercriminalité et devient le 70e membre 

[DIGITAL Business Africa] – La Tunisie se dote d’un nouvel instrument juridique sur la cybercriminalité. Le Consul général de Tunisie à Strasbourg, Badreddine Jalidi, a déposé le document d’adhésion de la Tunisie à la Convention du Conseil de l’Europe sur la cybercriminalité, ce 08 mars 2024. Le pays devient ainsi le 70e Etat-membre de ladite Convention.

Cela permettra a la Tunisie de contribuer efficacement à soutenir et coordonner les efforts internationaux dans la lutte contre la cybercriminalité et à réaliser une efficacité suffisante dans la protection des droits des personnes et des victimes de la cybercriminalité.

Aux structures nationales, la Convention du Conseil de l’Europe sur la cybercriminalité permettra de lutter contre les crimes liés aux systèmes d’information et de communication de bénéficier de l’expertise, de la formation et des procédures juridiques approuvées par le Traité, en particulier au niveau de l’échange d’informations entre les pays membres afin de prévenir, de détecter et de dissuader ces crimes, fondés sur la même source.

Pour rappel, la Loi fondamentale sur l’approbation de l’adhésion de la République tunisienne à la Convention du Conseil de l’Europe sur la cybercriminalité  été adoptée par l’Assemblée des représentants du peuple lors d’une séance plénière le 06 février 2024. Mais, la Convention du Conseil de l’Europe sur la cybercriminalité, elle-même fut adoptée à Budapest le 23 novembre 2001. Consultez la Convention du Conseil de l’Europe sur la cybercriminalité en cliquant sur le lien ci-après.

https://www.digitalbusiness.africa/wp-content/uploads/2024/03/7_conv_budapest_fr.pdf

Par Jean Materne Zambo

Le salon international Osiane s’expose à Douala ce 11 mars 2024 avec son Roadshow

[DIGITAL Business AFRICA] – Après les rencontres des États-Unis et de la France, l’équipe du Salon Osiane prévoit un “roadshow” au Cameroun. Ce 11 mars 2024 à Douala dans les locaux d’ActivSpaces à Akwa (Immeuble Socar) à partir de 18h, l’équipe de l’ONG Pratic qui organise cet événement sera face aux acteurs camerounais du numérique et face aux startuppeurs. Et c’est Rose-Marie Odette Ovaga, commissaire générale du salon Osiane, qui va représenter ce salon international à Douala.Le salon international Osiane s'expose à Douala ce 11 mars 2024 avec son RoadshowIl s’agira pour l’équipe d’Osiane de présenter aux acteurs de l’écosystème camerounais du numérique les avantages d’une présence et d’une participation au salon Osiane.

Aux Startuppeurs, il sera présenté les conditions de participation au Challenge du Bassin du Congo organisé lors du salon Osiane.

Les vainqueurs de ce challenge sont habituellement invités au CES de Las Vegas l’année suivante. Ceci afin qu’ils découvrent d’autres facettes de l’innovation et de la nouveauté. “Je pense qu’ils ont les fondements, les bases d’un esprit entrepreneurial. Ces bases-là qui font partie des critères de ce qu’on recherche pour développer le mindset des jeunes et les élargir à des environnements plus modernes des technologies, des grandes industries. Cela va peut-être les aider à mieux répondre aux besoins d’une autre société et d’une autre population”, expliquait Luc Missidimbazi, président de l’ONG Pratic, à Digital Business Africa il y a quelques mois.Le salon international Osiane s'expose à Douala ce 11 mars 2024 avec son Roadshow

Le roadshow de Douala permettra donc également de présenter et de présélectionner  au besoin les startuppeurs camerounais qui participeront au Challenge du Bassin du Congo.

A noter, en janvier 2024, les États-Unis ont été le théâtre de la première étape de cette tournée internationale Osiane, baptisée le « Roadshow ».

Tout récemment, les 04 et le 05 mars 2024, l’équipe d’Osiane donnait rendez-vous aux jeunes startups et entreprises Tech de la diaspora de Paris et de Berlin pour présenter Osiane et les opportunités du secteur du numérique dans la sous région.Le salon international Osiane s'expose à Douala ce 11 mars 2024 avec son Roadshow

Il faut indiquer que la huitième édition du Salon international de la technologie et de l’innovation (Osiane) baptisée « Kolonga » se tiendra du 23 au 26 avril 2024 à Brazzaville sur le thème « Le numérique, accélérateur de performance ». Les conditions de participation sont disponibles sur le site web de l’événement www.osiane.cg.

Selon les explications de Luc Missidimbazi, président de Pratic (qui organise ce salon en collaboration avec l’ARPCE), et de Rose-Marie Odette Ovaga, commissaire générale de cette édition 2024, lors de cette édition, l’accent sera mis sur l’intelligence artificielle, la cybersécurité, les technologies immersives et les solutions hard et software.

Par Digital Business Africa

Internet : Le Mali gagne en expérience au Forum communautaire ICANN79

[DIGITAL Business Africa] – L’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN) vient de mettre un terme à son 79e forum communautaire. Tenu du 02 au 07 mars 2024 à San Juan, Porto Rico et présidé par la PDG par intérim de l’ICANN, Sally Costerton, le forum a rassemblé des participants du monde entier qui œuvrent à la préservation de la sécurité, de la stabilité et de l’interopérabilité de l’Internet. Et justement, des Maliens en font partie.

Un délégation forte  revient de Porto Rico après cinq jours de réflexion sur la question de l’internet. Elle était composée de Aminata Coulibaly M’Batogoma Sogoba, conseillère technique au ministère de la Communication, de l’Economie numérique et de la Modernisation de l’Administration, des représentants de l’Autorité malienne de Régulation des Télécommunications des Technologies de l’Information et de la Communication et des Postes (AMRTP) et de l’Autorité de Protection des Données à Caractères Personnel (APDP).

Les membres de la délégation ont pris part à plusieurs travaux qui ont porté sur la prochaine série de nouveaux domaines génériques de premier niveau ; les services de données d’enregistrement (RDS/WHOIS) et les politiques de protection des données et les mesures d’atténuation de l’utilisation malveillantes des noms de domaines (DNS).

D’autres activités vont également meubler le forum. Notamment, des séances d’information et de renforcement des connaissances, des sessions de renforcement des capacités axées sur la gestion des ccTLD, l’attribution des adresses IP et un examen du rôle et des fonctions de l’Internet Assigned Numbers Authority (IANA). Variation opportunité pour le Mali de partager les expériences en vue de relancer les activités de promotion du point ml sur les plans national et international.

Par Jean Materne Zambo, source : CCOM/MCENMA

Cameroun/e-education : Une autre école bénéficie du service « e-container » pour un apprentissage dynamique

[DIGITAL Business Africa] – L’ Unicef Cameroun connecte les élèves de l’école primaire de Mokolo, Bertoua, région de l’ Est aux nouvelles technologies de l’information et de la Communication. La cérémonie d’inauguration du service « e-container » s’est tenue ce 05 mars 2024 en présence du gouverneur de la région de l’ Est, Grégoire Mvongo.

Le service e-container offre aux élèves et enseignants la possibilité d’interagir en ligne et hors ligne via les terminaux. Ce qui favorise un apprentissage dynamique. Le projet « e-container/hub » a pour but de réduire la fracture numérique. L’espace de travail est construit à base des matériaux de recyclage et accueille 1116 élèves de 06 à 12 ans, placés sous l’encadrement de 36 enseignants ayant reçu au préalable une formation à l’usage basique des TIC.

L’ Unicef bénéficie du soutien de la société IHS Towers Cameroun dans le cadre du programme « Connect my school ». Lequel porte cette initiative « e-container/hub », qui touche 17 écoles à l’ Est du pays, un groupe scolaire dans les régions du Centre et du Littoral.

Lancée officiellement en 2021, par le ministère de l’éducation de base à l’école primaire de Melen à Yaoundé, l’initiative Connect My School s’inscrit en droite ligne avec la vision du gouvernement qui vise d’ici 2035. Celle-ci vise à fournir une connectivité durable dans toutes les écoles, équiper les enfants, filles et garçons, pour contribuer à un développement socio-économique national pacifique et inclusif.

Par Jean Materne Zambo

Cameroun: PROMOTE 2024 dit MERCI

La neuvième édition du Salon International de l’Entreprise, de la PME et du Partenariat de Yaoundé, PROMOTE 2024, s’est achevée le,25 février 2024 au Palais des Congrès sur une appréciation renforcée de relance économique, malgré une conjoncture encore marquée
par les ravages structurels de la crise sanitaire à Coronavirus 19.

PROMOTE 2024, c’est : 1042 stands installés, 21 pays étrangers, 15 pavillons thématiques, 300 entreprises étrangères, 350 entreprises camerounaises, 250 PME, 50 TPE du label Made in Cameroon, 100 institutions actrices dans la régulation économique, 400 rendez
vous d’affaires (B2B et B2C), 5 Apéros thématiques, 3 missions économiques et quelques 100.000 visiteurs…

PROMOTE progresse comme une action collective, utile en faveurde l’économie, de l’entreprise, du Cameroun, de l’Afrique et au delà. C’est désormais la plus grande manifestation économique d’Afrique centrale.

Ce qui illustre la trajectoire de ce Salon d’affaires depuis 2002, suite à la décision du Président de la République qui a créé PROMOTE et qui en assure le Haut Patronage depuis lors, avec la Fondation Internationale Inter-Progress en organisateur mandaté.

La Fondation internationale Inter-Progress remercie profondément toutes les parties prenantes à l’organisation de PROMOTE, en tête les Exposants ; les Pouvoirs Publics ; le Ministre du Commerce, Mandant du Gouvernement ; le Secrétaire Général de la Présidence
de République du Cameroun, Superviseur de PROMOTE ; les Partenaires de divers horizons.

Remerciement spécial : PARTENAIRE MAJEUR: AFRILAND FIRST BANK
PARTENAIRES DE L’ORGANISATION : MINISTERE DU COMMERCE ; PALAIS DES CONGRES ; API ; AFREXIMBANK ; SCOOPE CONSULTING ; MINISTERE DE LA DEFENSE ; DELEGATION GENERALE A LA SURETE NATIONALE ; MINEPAT ; MINPMEESA ;
MINAT …

PARTENAIRE SPONSORS: CAMTEL; AFREXIMBANK; ECOBANK ; NOVIA INDUSTRIES ; SOTICAM; MTN CAMEROON PARTENAIRES DE LA REHABILITATION DE LA PARTIE BASSE DU PALAIS DES CONGRES : MINCOMMERCE ; CAMTEL ; AFRILAND

Le Directeur de PROMOTE FIRST BANK ; PORT AUTONOME DE DOUALA ; RAZEL CAMEROUN ; LES ACIERIES DU CAMEROUN /SOFAVINC ; M. Camille MOUTHE ABIDIAS ; TUAL et Cie ; ZIN INDUSTRY ; FOPECAM ACTION CITOYENNE D’APPUI AUX PME CAMEROUNAISES : SGS;
MINEPAT; MINPMEESA ; FNE; TRANSFAGRI :; AFRILAND FIRSTBANK; AMBASSADE DE SUISSE; GIZ PROCOM TOGO PARTENAIRES TRANSPORTS: SOFAVINC ; SOTRABUS ; SOFITOUL ;FIRST DRIVE ;

PARTENAIRES ETRANGERS: ITALIAN TRADE AGENCY; BUSINESS France; CANADIAN HIGH COMMISSION ; BRITISH HIGH COMMISSION ; SAFEX; IRAN – CAMEROON; TRADE CENTER
PARTENAIRES ORGANISATEUR DE PAVILLON : ACER : pavillon énergies renouvelables ; BRAINBOOSTER : pavillon numérique ; AP EVENTS : pavillon AGRITECH ; FNE : Bourse de l’emploi ; UNION EUROPEENNE : EURO VILLAGE ; SAMMEC Sarl : pavillons du
mariage et de la santé ;

PARTENAIRES DE SERVICES : AJC GRAPHIC ; Consulting Business INT ; MIC ; AXA ASURANCES ; CHANY EVENT’S ; MAX ELEC SARL ; ETC TSAGUE ; SPACE KOLA ; BLACKHOLE MEDIA
PATERNAIRES SANTE ET SALUBRITE : MINISTERE DE LA DEFENSE; BEN’S CAMEROUN ; SECA ; LE VOLONTAIRES DE MVOG-ADA ;HAIROU

PARTENAIRES MEDIA : CRTV ; CANAL2 INTERNATIONAL; AFRIQUE MEDIA ; RADIO BALAFON ; SOPECAM ; MUTATIONS ; L’ECONOMIE ; INTEGRATION ; LE MESSAGER ; LE FINANCIER D’AFRIQUE ; LA PLUME DE L’AIGLE ; DIAPASON ; LIGNES D’HORIZON ; REPERES ; EXPRESSION ECONOMIQUE ; ECONEWS ; LA VOIX DU CENTRE ; MADE IN CAMEROON BY RM ; INVEST TIME ; DT/LTM ; SEV TV ; INVESTIR AU CAMEROUN

DIPLOME SPECIAL : M. PIERRE ZUMBACH, ANCIEN PRESIDENT, DES LORS HAUT CONSEILLER DU PRESIDENT, EST REMERCIE POUR SES 30 ANNEES A LA TETE DE LA FONDATION INTERNATIONALE INTERPROGRESS

Rendez-vous est pris pour la 10ème édition de PROMOTE en février 2026, pour une action collective toujours plus forte qui booste les affaires.

Le Directeur de PROMOTE

WILLIAM TALEHC

Le Président de la Fondation

ANDREAS SCHWEIZE

Vincent Roux, au sommet  de  l’UAR/Unesco  : « L’ IA ne remplacera jamais les journalistes »

[DIGITAL Business Africa] – S’il y a une expression pour qualifier le Sommet international Union africaine de Radiodiffusion/unesco tenu au Cameroun, ce serait bien «  vous m’en direz des nouvelles ». il sera difficile de faire mieux que ces experts de l’ IA et professionnels des médias qui ont édifié ces quelque 800 participants venus de cinquante pays sur la question de la technologie de l’intelligence artificielle en lien avec le travail des journalistes.  Parmi ces personnalités rompues à la tâche ce 06 mars 2024 au Palais des Congrès de Yaoundé, un visage connu du groupe France média monde. Le rédacteur en chef de France 24, Vincent Roux.  Il a eu la délicate charge d’animer une masterclass axée sur le thème  : « Journalistes et IA. Quelles opportunités et risques ? »

25 minutes.  C’est le temps à lui imparti pour faire savoir à l’assistance que l’intelligence artificielle n’est pas l’ennemi des journalistes. Mais que ceux-ci doivent avoir conscience que cette nouvelle technologie est un appoint pour l’exercice de la fonction de journaliste. Vincent Roux trouve trois opportunités à la technologie. Notamment, l’ IA pour rechercher et vérifier l’IA, l’ IA pour mettre en forme l’Info et l’IA pour diffuser l’info.  Le Rédacteur en chef  de France 24 a tenu à préciser que l’ Intelligence artificielle n’est pas un moteur de recherche. Cependant, elle  sert à la compréhension du sujet, surtout si vous lui fournissez un corpus sur lequel elle va travailler. De manière simplifiée, l’IA et dans le Data journalisme peut ressortir les informations intéressantes dans une masse de données.

«  On parle vraiment d’aide à la rédaction.  Pour moi l’ IA ne remplacera jamais les journalistes dans la rédaction. C’est mon souhait.  Elle aide à collecter les informations, à la mettre en forme quoiqu’il en soit, c’est vous les journalistes maîtres de cet outil et qui en êtes responsables. En aucun cas, ce ne sera jamais l’IA qui sera responsable  s’il y a des conneries dans votre article. Et si vous êtes convoqué devant les tribunaux, c’est bien vous qui allez répondre de vos actes et votre directeur de la publication.  La responsabilité reste au cœur du travail du journaliste… », a-t-il dit.

Au sujet du fact-cheking, l’intelligence artificielle joue un rôle prépondérant. A preuve que certains supports médiatiques tels que France 24 et RFI  ont mis en place un outil pour vérifier les chiffres donnés dans le discours politique. On a aussi des outils gratuits de vérification d’images ou vidéos comme  InVID. Un logiciel  visant à aider les journalistes à vérifier la véracité des images et vidéos circulant sur les réseaux sociaux. On peut en citer d’autres- dont, TinEye, Google Reverse Image Search, Photo Sherlock et Fake Image Detector. Par ailleurs, l’ IA permet aussi  d’analyser des  sentiments sur les commentaires Facebook. Ceci en donnant  une note à chacun des commentaires,  des plus positifs aux négatifs.

Derrière ces points positifs de l’ IA se cachent des risques et menaces qui se traduisent par la désinformation et la mésinformation.

Risques de l’ IA dans la collecte de l’information 

Vincent Roux révèle que 13 sites d’actualité non fiables ont été générés par l’ IA. Les sites en question copient intégralement le contenu des articles sur les sites de rfi.fr et france 24.fr à d’autres fins. France média monde, d’après Vincent Roux, s’en serait remis à son conseil juridique pour stopper les auteurs de cette pratique.

France 24 a fait les frais de la mauvaise exploitation de l’IA. La chaîne de télévision française a été victime d’un piratage « Deepfake » au sujet d’une pseudo annulation de la visite du président français,  S.E Emmanuel Macron en Russie, début février 2024.  Selon le site spécialisé  wipo.int, le terme « deepfake » fait référence à une technique de synthèse multimédia reposant sur l’intelligence artificielle. Elle consiste notamment à superposer des traits humains sur le corps d’une autre personne, ou à manipuler les sons, pour générer une expérience humaine réaliste ».

Face à ces risques qui donnent des frissons, les organisations membres de l’Union africain de Radiodiffusion (UAR), professionnels des médias ont proposé des solutions consignées dans cette Déclaration du sommet de Yaoundé sur l’intelligence artificielle. Son point 06  stipule que «  L’intelligence artificielle être un outil de développement intégral de l’être humain et à ce titre,  les médias africains réclament une pleine participation de leurs ressources humaines,  la prise en compte des données de leurs terroirs et des préoccupations de leurs publics en terme de qualités morales ».

Le Sommet international Union africaine de Radiodiffusion/unesco s’est tenu du 04 au 06 mars 2024 au Palais des Congrès de Yaoundé. L’Organisation mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI) et l’Union Internationale des Télécommunications (IUT),ont suivi de très prés les travaux coordonnés par le Camerounais  Grégoire Ndjaka, directeur général de l’UAR.

Par Jean Materne Zambo 

Intelligence artificielle : Digital Business Africa et ICT Media STRATEGIES exposent leur savoir-faire et solutions au Sommet de l’UAR et de l’Unesco à Yaoundé [Vidéo]

[ICT Media STRATEGIES] –  Digital Business Africa et ICT Media STRATEGIES étaient présents au sommet de l‘Union Africaine de Radiodiffusion (UAR) et de l’UNesco sur l’intelligence artificielle baptisé AI Summit UAR AUB Unesco. Sommet qui s’est achevé hier. C’est du 04 au 06 mars 2024 au Palais des Congrès de Yaoundé que les médias africains dans leur globalité y ont exploré l’un des plus grands défis de l’heure : la gestion quotidienne des avancées technologiques et particulièrement de l’IA.

« C’était une occasion pour la plateforme Digital Business Africa de montrer comment elle utilise l’IA pour faciliter son travail au quotidien et aussi une occasion de rencontrer nos lecteurs et de partager de notre expérience” , a expliqué Beaugas ORAIN DJOYUM, directeur de publication.

Intelligence artificielle : Digital Business Africa et ICT Media STRATEGIES exposent leur savoir-faire et solutions au Sommet de l'UAR et de l'Unesco à Yaoundé [Vidéo]

Plus encore, ICT Media STRATEGIES a profité de l’occasion pour présenter sa solution mobile de veille stratégique qui utilise l’IA pour envoyer des alertes en temps réel via WhatsApp aux décideurs qui souhaitent suivre tout ce qui se dit sur eux ou sur leurs concurrents sur le web et sur les réseaux sociaux. « C’est une solution qui vient révolutionner la veille stratégique et donne en temps réel aux décideurs tout ce qui se dit sur le sur leurs sujets de prédilection. En plus de cela  en cas de besoin, nos équipes formulent des recommandations et notes de veille pour aider les décideurs à prendre des décisions éclairées », affirme Beaugas ORAIN DJOYUM, par ailleurs DG d’ICT Media STRATEGIES.

Le Sommet de l’UAR sur l’intelligence artificielle et les médias c’est aussi la rencontre des plus grands hommes de science dans le domaine de l’intelligence artificielle, c’est la présentation et la confrontation des résultats de la recherche et leur application au sein des médias.

L’Union Africaine de Radiodiffusion (UAR) se dit honorée de faciliter ce dialogue crucial. Les débats porteront sur les questions d’éthique, d’automatisation des processus éditoriaux, et d’impact de l’IA sur la diversité et l’intégrité de l’information.

L’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI) et l’Union Internationale des Télécommunications (IUT) concernées au premier chef par ces questions seront également du rendez-vous.

Selon Grégoire NDJAKA, directeur général de l’UAR, c‘est un événement incontournable qui marquera une étape cruciale vers un avenir médiatique plus intelligent et plus durable en Afrique.

En plus de la possibilité d’établir des partenariats stratégiques, les participants, pourront en effet réfléchir sur comment façonner l’avenir des médias africains, qui embrassent l’IA comme un outil puissant pour innover, informer et inspirer.

Par Digital Business Africa

 

 

 

Cette vidéo est un contenu de la chaîne YouTube du cabinet de veille stratégique, d’e-Réputation et de Personal branding ICT Media STRATEGIES

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Francklin TCHAME: “Les services d’ICT Media STRATEGIES peuvent aider beaucoup d’entreprises”

[Digital Business Africa] – Francklin TCHAME, CEO de WABA Solution, était au stand de Digital Business Africa et d’ICT Media STRATEGIES au Salon Promote 2024 qui s’est tenu du 15 au 25 février 2024 au Palais des Congrès de Yaoundé sur le thème : « Secteur privé, évolution et transformation structurelle des économies africaines ».

Dans cette vidéo, il parle des solutions marketing que propose son entreprise et donne son appréciation sur les services d’ICT Media STRATEGIES.

Cette vidéo est également disponible sur la chaîne YouTube de la plateforme d’informations stratégiques sur les TIC, les Télécoms et le Numérique en Afrique Digital Business Africa

Intelligence artificielle en Afrique : les 18 grandes recommandations du sommet de l’UAR et de l’Unesco à Yaoundé

[Digital Business Africa] –  Création d’un centre d’observation sur l’utilisation de l’IA dans les médias nationaux ; promotion des principes de transparence, de responsabilité et de discernement dans l’utilisation de l’IA ; intégration de l’IA dans les programmes de formation professionnelle ; ce sont là quelques unes des recommandations du sommet de l’Union Africaine de Radiodiffusion (UAR) et de l’Unesco sur l’intelligence artificielle.

La cérémonie de clôture de ce sommet international sur l’Intelligence artificielle a été un événement significatif. Elle s’est tenue ce 06 mars 2024 au Palais des Congrès en présence du ministre de la Communication, René Emmanuel Sadi, représentant du Chef de l’État.

Elle s’est tenue ce 06 mars 2024 au Palais des Congrès de Yaoundé en présence du ministre de la Communication, René Emmanuel Sadi, représentant du Chef de l’État.

Réunissant des experts, des chercheurs et des professionnels de l’IA (Intelligence artificielle) du monde entier, ce sommet a offert une plateforme unique pour discuter des avancées récentes, des défis à relever et des opportunités futures de l’IA dans le domaine des médias.

La cérémonie de clôture a été marquée par des discours inspirants des leaders de l’industrie, des gouvernements et d’organisations internationales, mettant en lumière l’importance croissante de l’IA dans notre société moderne.

Tout d’abord, Mactar Silla, DG de Label Group, a présenté les grandes recommandations du sommet de Yaoundé.

Intelligence artificielle en Afrique : les 18 grandes recommandations du sommet de l’UAR et de l’Unesco à Yaoundé
Mactar Silla, PDG Label Group

Parmi ces recommandations, la création d’un centre d’observation sur l’utilisation de l’IA dans les médias nationaux ; la promotion des principes de transparence, de responsabilité et de discernement dans l’utilisation de l’IA ; l’intégration de l’IA dans les programmes de formation professionnelle ; l’intégration d’un mécanisme de concertation et d’échange entre les médias ; la mise sur d’une plateforme de mutualisation des efforts des médias africains ; la création d’une radiodiffusion télévision africaine susceptible de prendre un leadership dans le domaine de l’IA médiatique ou encore la mise sur pied d’une task force UAR sur l’IA et d’un centre de veille qui assurera le suivi de la mise en œuvre des recommandations du sommet de Yaoundé. (Voir l’ensemble des recommandations en encadré)

Intelligence artificielle en Afrique : les 18 grandes recommandations du sommet de l’UAR et de l’Unesco à Yaoundé
Grégoire Ndjaka, DG de l’UAR

Le directeur général de L’UAR (Union africaine de radiodiffusion), Grégoire Ndjaka, pour sa part, a par cette occasion, remercié tous ceux qui ont contribué au bon déroulement de ce sommet international.

De son côté, le président du comité scientifique des travaux de l’UAR, Pr Gervais Mbarga, a souligné que : « l’IA constitue le levier décisif pour la transformation des médias africains et celle-ci doit se faire en tenant compte des réalités du continent notamment ses valeurs, son histoire et ses ambitions ».

Intelligence artificielle en Afrique : les 18 grandes recommandations du sommet de l’UAR et de l’Unesco à Yaoundé
Pr Gervais Mbarga, Président du comité scientifique

Il poursuit en disant que : « l’intégration de l’IA dans nos médias, engage une réflexion approfondie et audacieuse sur l’éthique, les confidences, la créativité et la transparence ».

Les participants ont eu l’occasion d’assister à des démonstrations et masteclass sur l’utilisation de l’IA dans les médias. Toujours avant la cérémonie de clôture, ils ont participé à des ateliers interactifs et “réseauté” avec des experts de renom.

Cette cérémonie de clôture a été l’occasion de célébrer les réalisations remarquables de la conférence tout en soulignant l’importance de poursuivre les efforts de collaboration et d’innovation dans le domaine de l’IA en Afrique et au-delà.

Intelligence artificielle en Afrique : les 18 grandes recommandations du sommet de l’UAR et de l’Unesco à Yaoundé
Les ministres Minette Libom Li Likeng (Postes et Télécommunications) et René Emmanuel Sadi (Communication) à la cérémonie de clôture du Sommet de l’UAR et de l’Unesco sur l’IA.

Présidée par le ministre de la Communication munition, porte parole du gouvernement et représentant du Chef de l’État, René Emmanuel Sadi, la conférence internationale sur l’IA organisée par l’Union Africaine de Radiodiffusion et l’Unesco a été un tremplin pour l’avancement de l’IA sur le continent africain et principalement dans la sphère médiatique. Elle permettra aux médias africains de se hisser à la pointe de la technologie dans l’usage de l’IA.

Par Manuella Manga

Les recommandations adoptées lors du sommet international de l’UAR et de l’Unesco sur l’intelligence artificielle :

1- Sur la veille de l’IA médiatique : Créer un centre d’observation sur l’utilisation de l’IA dans les médias nationaux.

2- Sur l’éthique de production de contenus médiatiques : veiller à ce que les productions qu’il y a puissent utiliser facilement l’objet d’une supervision humaine et que le consommateur final soit informé de tout usage de l’IA dans les contenus qui lui sont proposés.

3- Sur le plan de la gouvernance, promouvoir les principes de transparence, de responsabilité et de discernement dans l’utilisation de l’IA.

4- Sur le plan de l’information, plaider auprès des institutions académiques pour l’intégration de l’IA dans les programmes de formation professionnelle, instaurer un mécanisme de concertation et d’échange entre les médias.

5- Au niveau de la recherche, plaider pour la conception d’algorithmes IA adaptée à la culture et nos environnements africains.

6- En ce qui concerne le factcheking et la vérification de la conformité : mettre sur pied une plateforme de mutualisation des efforts des médias africains.

7- Encourager les états membres de l’UAR à définir les cadres juridiques et dispositifs normatifs qui prennent en compte les aspects liés à la gouvernance responsable et l’éthique de l’IA.

8- Sur le plan du marketing, créer un cadre de développement performant dont les objectifs seraient d’encourager les initiatives originales, de favoriser l’éclosion des talents africains et de soutenir le développement des startups.

9- Au niveau des politiques publiques, faire un plaidoyer auprès des Etats membres de l’Union Africaine pour appuyer l’Union Africaine sur l’adoption d’une politique et d’une stratégie africaine sur l’IA en se basant sur les recommandations de l’UNESCO sur la question.

10- Sur les partenariats et les financements : encourager la collaboration avec les universités, les experts, les entreprises spécialisées, les institutions nationales, gouvernementales et non gouvernementales, les acteurs du paysage médiatique, et de la société civile ;

11- Soutenir toutes Initiatives ou actions des développeurs, des banques, des médias, des investisseurs, des annonceurs et de tout autre partie prenante visant au développement ou à la promotion de l’IA en Afrique.

12- Au niveau de la coopération internationale : exhorter l’UIT à développer davantage des efforts pour garantir à l’Afrique une meilleure couverture en bande passante appropriée pour le développement de l’IA ;

13- Exhorter l’OMPI à réviser les normes actuelles en matière de droit de propriété intellectuelle applicable aux contenus médiatiques face aux défis exposés par l’intelligence artificielle ;

14- Exhorter l’intelligence artificielle à activer ses mécanismes de coopération avec l’Union Européenne afin de bénéficier pleinement des politiques de régulation mises sur place sur le numérique et l’IA ;

15- Appeler les Etats africains à coordonner leurs efforts pour adopter des positions communes sur l’IA en vue du sommet pour le futur qu’organise les nations unies en septembre prochain à New-York en s’appuyant sur les deux pays africains qui coordonne actuellement la rédaction sur la proposition des sujets ;

16- Encourager la recherche et la collecte de données statistiques spécifique à l’Afrique notamment en ce qui concerne l’impact de l’IA sur les métiers des médias.

17- Sur le plan méthodologique : mettre une task force UAR sur l’IA et un centre de veille qui assurera le suivi de la mise en œuvre des recommandations du sommet de Yaoundé.

18- Mettre en œuvre des moyens nécessaires pour créer une radiodiffusion télévision africaine susceptible de prendre un leadership dans le domaine de l’IA médiatique.

Par M.M.

La déclaration de Yaoundé

Cette cérémonie de clôture était diffusée en live streaming sur la page Facebook de Digital Business Africa . Revoir la cérémonie ici. Et revoir aussi la déclaration de Yaoundé lue par le Professeur Gervais Mbarga.

Live Streaming réalisé par ICT Media STRATEGIES. Pour tous vos événements en Live streaming professionnel, contactez ICT Media STRATEGIES via mail [email protected] ou via téléphone : +237 674 61 01 68Live streaming professionnel au Cameroun avec ICT Media STRATEGIES Lire aussi :

Intelligence artificielle : Digital Business Africa et ICT Media STRATEGIES exposent leur savoir-faire et solutions au Sommet de l’UAR et de l’Unesco à Yaoundé [Vidéo]

 

Cybercriminalité : Group-IB signale un nombre d’escroqueries par usurpation d’identité croissant dans la région MEA en 2023

[DIGITAL Business Africa] – Le Group-IB, société singapouriene de cybersécurité, vient de rendre public son rapport 2023. Il porte évidemment sur le aspects des opérations de l’industrie cybercriminelle, à la détection et à la prévention des cyberattaques, de la fraude en ligne, à la protection de la propriété intellectuelle et aux enquêtes criminelles de haute technologie dans les différentes régions du monde. Mais c’est la région MEA (Moyen-Orient et Afrique) qui a retenu notre attention.

La rapport renseigne que les experts du Groupe-IB ont observé une augmentation significative du nombre d’escroqueries par usurpation d’identité de dirigeants dans la région. De plus les cadres supérieurs en Afrique auraient également tendance à souffrir d’une campagne d’espionnage massive contre le secteur public. Et donc au deuxième semestre 2023, les activités des hacktivistes se sont multipliées dans la région MEA.

La région du Moyen-Orient aurait été, selon le rapport, victime d’attaques de ransomwares et le nombre de cas où leurs données ont été publiées dans des DLS a augmenté de 65 % par rapport à l’année dernière. Par ailleurs, au deuxième semestre 2023, les activités des hacktivistes se sont multipliées dans la région.

Les experts du Groupe-IB ont aussi observé une augmentation significative du nombre d’escroqueries par usurpation d’identité de dirigeants dans la région MEA.  Par ailleurs, les cadres supérieurs en Afrique ont également tendance à souffrir d’une campagne d’espionnage massive contre le secteur public. Pire, au deuxième semestre 2023, les activités des hacktivistes se sont multipliées dans la région.

Le rapport indique que les utilisateurs visitent chaque mois au moins un site Web frauduleux 25 000(Faux sites Web créés quotidiennement par des escrocs du monde entier). Par exemple en 2022, les ressources frauduleuses se faisant passer pour des marques légitimes ont augmenté de 304 %. Les sites de phishing ont augmenté de 62 % en 2022 par rapport à l’année précédente. Le rapport de Group-IB précise que les fraudeurs sont particulièrement attirés par les institutions financières et les marques des régions APAC et MEA. Les cadres supérieurs en Afrique ont également tendance à souffrir d’une campagne d’espionnage massive contre le secteur public. Ajoutez à cela le fait que les cadres supérieurs en Afrique ont également tendance à souffrir d’une campagne d’espionnage massive contre le secteur public.

Mesures de prévention des cyberattaques

Pour détectez les menaces avancées, Group-IB propose aux entreprises la solution Business Email Protection. Cela en vue de déjouer les attaques de phishing, bloquer les pièces jointes et les liens malveillants, prévenir la compromission des e-mails professionnels.

Déjouer les attaques de phishing , selon Group IB, consiste à « arrêtez les attaques de phishing qui tentent d’inciter les utilisateurs à télécharger des logiciels malveillants ou à fournir des informations d’identification ».

Pour bloquer les pièces jointes et les liens malveillants, il faut s’assurée que toutes les pièces jointes des e-mails soient sécurisées, et vérifiez aussi que tous les liens envoyés par e-mail pour bloquer tout site malveillant ou frauduleux .

Enfin, prévenir la compromission des e-mails professionnels revient à protégez votre organisation contre le BEC et les dommages causés par la fraude grâce à une technologie basée sur l’intelligence.

Andreï Busarguine, Responsable de la Business Unit Protection des Risques numériques trouve la nécessité d’avoir recours à l’ intelligence artificielle.

« La protection préventive de votre marque contre les risques numériques existant en dehors du périmètre de votre entreprise nécessite l’utilisation d’une solution complexe basée sur l’IA et d’une stratégie de protection de marque exploitable. Les systèmes de surveillance traditionnels ou le blocage de liens uniques ne sont plus efficaces : les arnaques deviennent de plus en plus fréquentes et les techniques encore plus délicates. De nos jours, votre stratégie de protection de marque devrait changer la donne encore plus que vous ne pourriez jamais l’imaginer », pense-il.

Pour rappel, les Tendances de la criminalité de haute technologie entre 2021 et 2022 montre un secteur financier en déliquescence. Les experts du Group-IB ont étudié les 11 kits de phishing les plus dangereux. Nombre d’entre eux sont basés sur le code source d’un cadre appelé u-admin. « Durant la période de rapport, le nombre de familles JS snifer détectées s’élève à 98, dont 42 sont actives pendant cette période. Les sniffers JS représentent le plus grand risque pour les riposteurs en ligne. L’année dernière, ils ont été utilisés pour compromettre plus de 80 000 cartes bancaires appartenant à des clients de magasins en ligne », rapporte l’étude du Group-IB. L’intégralité du rapport Hi-Tech Crime Trends 2021/2022 à consulter via ce lien.

https://www.digitalbusiness.africa/wp-content/uploads/2024/03/group-ib-hi-tech-crime-trends-threats-to-financial-sector-2021-2022-trend-report-2021-en.pdf

Par Jean Materne Zambo

Réseaux sociaux : Facebook paralysé, bug ou piratage du système ?

[DIGITAL Business Africa] – Se connecter à son compte Facebook n’est plus possible. Enfin, le temps que le réseau social de Facebook trouve une solution à un bug (Dysfonctionnement d’un logiciel ou d’un composant informatique) qui a paralysé sa plateforme ce 05 mars 2024. Pour les utilisateurs qui craignent un possible piratage de leurs comptes ou pages, qu’ils n’aient crainte. Il peut s’agir d’une simple panne du réseau social. Bien que sur X (anciennement Twitter) aucune communication de l’entreprise Meta n’ait encore été faite, l’on peut déjà lire plusieurs messages d’indignation.

Selon le site spécialisé iphon.fr, les pannes rencontrées par Facebook et les autres réseaux sociaux sont dues à des erreurs dans le code source. Il suffit alors que les développeurs le relisent pour trouver ce qui cloche.

La source précise qu’il peut aussi arriver que des pirates soient à l’origine d’interruptions. Subtilisant ainsi des données personnelles que stockées sur les profils privés. iCloud, Twitter ou Pinterest ont aussi rencontré ce genre de désagrément que connait Facebook ce jour. Et le retour à la normale a été observé.

Souvenez-vous qu’une panne presque similaire avait déjà plombé Facebook le 04 octobre 2021 durant sept heures. Sauf que celle-là était relativement grave. Elle concernait le réseau social et ses filiales, Messenger, Instagram, WhatsApp, Mapillary et Oculus.

Selon Meta, le bug provenait des routeurs backbone qui coordonnent le trafic entre leur centre de données (data-center). Aucune donnée personnelle n’avait été compromise. Selon des sources, il s’agisait plutôt d’une erreur de configuration. Les utilisateurs doivent donc savoir que le site web et l’application Facebook sont en panne, qu’il n’y a pas de correctif disponible pour le moment et qu’on peut rester au courant sur Downdetector.

Par Jean Materne Zambo

Mali: Collaborer pour transformer son économie grâce à l’IA

[DIGITAL Business Africa] – La 56e Session de la Conférence des ministres africains des Finances de la Planification et du développement économique de la Commission économique pour l’Afrique s’achève ce 05 mars 2024 à Victoria Falls, Zimbabwe. Débutés le 28 février 2024, les travaux visaient à financer la transition vers des économies vertes inclusives en Afrique. La Conférence des ministres africains des Finances  est une plateforme de dialogue pour les membres des gouvernements concernés et les gouverneurs des Banques centrales sur des questions relatives au programme de développement de l’Afrique.

La Division de la technologie, des changements climatiques et de la gestion des ressources naturelles, organe de la CEA, a organisé un panel le dimanche 03 février 2024, axé sur le thème « Promouvoir la prospérité par des politiques axées sur l’intelligence artificielle (IA) en Afrique ». Des experts maliens y prenaient part, dont le secrétaire général du ministère de la Communication de l’Economie numérique et de la Modernisation de l’Administration  Alkaïdi Amar.

« L’intelligence artificielle est perçue comme un levier majeur pour la croissance socioéconomique de l’Afrique, avec un potentiel de contribution significatif à l’économie mondiale. Le Mali, aux côtés d’autres nations africaines, reconnaît l’importance de cette technologie et cherche à en exploiter les avantages pour stimuler sa propre croissance économique », a-t-il dit.

Le Mali s’engage ainsi à travailler en collaboration avec d’autres acteurs pour transformer son économie grâce à l’IA. Des questions cruciales telles que l’inclusion financière, la gouvernance et la confiance des citoyens ont été discutées, soulignant l’importance d’une approche collaborative pour relever ces défis.

Le Secrétaire Exécutif  Alkaïdi Amar n’a pas manqué de préciser certaines priorités pour le Mali en particulier et pour les pays de l’AES en général. Il s’agit entre autres : la transformation digitale par l’accompagnement dans la numérisation des services publics et l’accompagnement dans la sécurisation de pays du Sahel.

Par Jean Materne Zambo

JMPC 2024 : L’apport des TIC dans l’évaluation des risques de catastrophes naturelles en Côte d’Ivoire 

[DIGITAL Business Africa] – Le Service de la Protection civile ivoirien doit s’arrimer à la modernité. A l’occasion de la journée mondiale de la protection civile, célébrée ce premier mars 2024, il a été demandé à l’autorité en charge de l’évaluation des risques de catastrophes naturelles en Côte d’Ivoire d’inclure les technologies de l’information et de la Communication dans l’évaluation des risques de catastrophes naturelles. Ceci en vue de moderniser le système national de protection civile. Interpellation du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, le général Vagondo Diomandé, qui a présidé La cérémonie de la 34e édition de la Journée mondiale de la Protection civile (JMPC). Le thème de cette 34e édition était : « les technologies innovantes au service de la Protection Civile ».

 « Cette cérémonie était l’occasion pour moi de rappeler d’une part, que le Gouvernement, sous la Haute impulsion de Son Excellence monsieur Alassane Ouatara président de la République de Côte d’Ivoire, s’est engagé, dès 2011, à moderniser le système national de protection civile. Et d’autre part, de relever la nécessité pour les services de protection civile, d’inclure et de maîtriser les technologies de l’information dans l’évaluation des risques en la matière. En attendant l’ouverture prochaine de plusieurs nouveaux centres de Protection civile, j’ai tenu à féliciter, outre le Corps préfectoral, l’ensemble des Pompiers Civils et Militaires de Côte d’Ivoire », a dit ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, le général Vagondo Diomandé.

L’ Etat ivoirien, dès 2011, a engagé la refonte du cadre juridique à travers l’adoption du décret n°2023-1004 du 20 décembre 2023 portant attributions, organisation et fonctionnement de l’Office national de la Protection civile (ONPC) ; l’élaboration d’un document de politique en matière de protection civile ; la construction d’un siège dédié à l’ONPC et l’ouverture de services de protection civile à l’intérieur du pays et leur dotation en moyens matériel et de mobilité conséquents.

L’Organisation Internationale de Protection Civile (pour les anglophones, il s’agit de l’ICDO, International Civil Defence Organisation) organise tous les ans célèbre la Journée mondiale de la Protection civile. Un événement qui vise à  contribuer à la mise en place par les Etats de mesures et d’organisations propres à assurer la protection et l’assistance aux populations face aux catastrophes naturelles et celles dues à l’homme.

Par Jean Materne Zambo

A Promote 2024, GTS-Infotel vante Pro-Line et Pro-Money, ses solutions de communication et de paiement

[Digital Business Africa] – À l’occasion de la 9ème édition du salon international de l’entreprise de la PME et de l’entrepreneuriat : Promote 2024, GTS-Infotel a proposé aux visiteurs et participants ses services PRO-Line et PRO-Money.

La solution PRO-Line est une gestion centralisée de toutes les Communications professionnelles multicanales (de type promotionnel, conversationnel et transactionnel) à travers des plateformes d’application déployées dans le cloud, en vue d’améliorer la productivité des employés, l’expérience-client, la gestion du service-client et l’image de marque de l’entreprise afin d’accroître les revenus.

La solution PRO-Line consiste en la fourniture d’un numéro PRO sur un Standard téléphonique virtuel (CloudPBX) avec accueil vocal personnalisé automatique et des comptes-utilisateur sur plusieurs terminaux comme le Smartphone, le PC et le Téléphone IP.

De plus, PRO-Line intègre d’autres solutions telles que :  Bulk SMS, la collaboration unifiée, le centre d’appel et le centre de gestion de la relation-client omnicanal.

Le service PRO-Line de GTS-Infotel Cameroon dirigé par le Dr Ing. Pierre François Kamanou, regroupe plusieurs avantages mis au profil des entreprises et organisations qui sollicitent ce service. Ils sont entre autres, l’accès unifié et simplifié des employés, la gratuité des appels et SMS entre numéros PRO, l’option d’appel illimité vers tout numéro fixe ou mobile Camtel, la séparation entre les données personnelles et professionnelles de communication, la Protection de la Marque de l’entreprise et bien d’autres.

Le service PRO-Money quant à lui est une solution alternative à moindre coût permettant d’assurer l’interopérabilité entre les comptes mobile-money et les comptes bancaires/de paiement , en vue de faciliter l’inclusion financière de la grande majorité des micro et  petites Entreprises du secteur informel y compris les Startups du e-Commerce.

GTS-Infotel Cameroon est le nouvel opérateur télécom alternatif de numéros PRO « Voix/SMS/USSD/WA », des services A2P de communication d’entreprise et d’accès au paiement Marchand PRO-Money, en support à la transformation numérique de l’économie. GTS-Infotel est également le pionnier des numéros fixes virtuels. Il est le tout 1er Opérateur télécom alternatif des fournisseurs COMTECH & FINTECH.

Par Manuella Manga

Le Sommet mondial  du numérique  se tient en ligne ce 5 mars 2024 [ participez ]

[DIGITAL Business Africa] –  Plus que quelques heures avant le début du Sommet mondial du numérique. L’événement qui se tiendra en ligne ce cinq mars permettra aux dirigeants d’entreprises et personnalités de renommée mondiale de partager leurs expériences et leurs perceptions des nouvelles stratégies d’entreprises, dans un contexte socioéconomique migrant vers le numérique. La rencontre virtuelle est organisée par  la Banque mondiale live, qui est une plateforme numérique dédiée à la diffusion sur Internet des  événements de l’organisation et à la promotion d’un dialogue ouvert et transparent sur le développement international avec les internautes du monde entier.

Au nombre des intervenants de marque, le Sénégalais  Makhtar Diop, directeur général et vice-président exécutif de la Société financière internationale (IFC), membre du Groupe de la Banque mondialeIFC. Le thème des échanges  est : “Accélérer le numérique au service du développement”. Les discussions vont porter sur  des perspectives novatrices, des technologies de pointe et des idées pionnières autour de trois axes d’action : connecter, innover et transformer.

Pour y participer, cliquez sur ce lien https://live.banquemondiale.org/fr/evenement/2024/2024-global-digital-summit?intcid=ecr_al_wblreminder_fr_ext-pre

Par Jean Materne Zambo