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Grande distribution au Cameroun : Duval Arno Distribution, fruit de la vision commune du groupe Duval et du groupe Arno

[Digital Business Africa] – Arno et Duval, ces grands groupes qui partagent une histoire presque similaire ont décidé de se mettre ensemble pour accélérer la distribution des biens de consommation en Afrique subsaharienne ainsi que sa croissance économique dans sa globalité.

Bientôt les consommateurs Africains et Camerounais en particulier découvriront le nouveau projet du Groupe Arno et du Groupe Duval. Il s’agit de Duval Arno Distribution (DAD). Cette joint-venture naît de la volonté de ces deux grandes entreprises à contribuer au rayonnement des produits mis à la disposition des consommateurs.

Les responsables de cette plateforme ont identifié et mis l’accent sur deux volets porteurs dans la commercialisation des biens de consommation en Afrique et ceux-ci s’exprimeront à travers les franchises de grandes enseignes dont l’ameublement et l’aménagement d’intérieur (BUT) qui sera désormais BUT et l’alimentaire avec l’enseigne Intermarché qui sera au Cameroun: Arno, Partenaire Intermarché.

L’ambition d’ici 2027 est l’ouverture d’une trentaine de nouveaux supermarchés alimentaires de proximité et une quinzaine de magasins d’ameublement et de décoration, avec une surface de vente de plus de 40 000 m², sur le territoire Camerounais. L’objectif est d’offrir au plus grand nombre, des produits de qualité accessibles à tous, tout en proposant une expérience d’achat aux meilleurs standards internationaux.

Dans un premier temps, il est annoncé l’ouverture d’un premier magasin BUT By Arno  le 5 juillet à Yaoundé. Le deuxième est prévu en décembre de cette année à Douala. Ainsi, DAD deviendra le représentant officiel de l’enseigne BUT, chaîne de magasins français spécialiste de l’équipement et de la décoration de maisons et appartements en Afrique. DAD représentera également le groupement des mousquetaires de la distribution en Afrique avec son enseigne Intermarché, partisan pour une vie moins chère.

D’après Yanis Arnopoulos, Directeur général adjoint du Groupe Arno par ailleurs, Directeur général  DAD Afrique,  Duval Arno Distribution entend mettre donc au service des consommateurs, l’expertise européenne internationale du groupe Duval, l’expertise des enseignes qui seront utilisées (But et Intermarché), et l’expertise locale du groupe Arno. « C’est ce qui fera la différence avec ce qui se fait déjà  actuellement. Nous sommes présents au Cameroun depuis 60 ans. Nous connaissons parfaitement le consommateur camerounais, ses habitudes de consommation, ses besoins, ses envies. Et nous allons donc apporter cette connaissance locale à cette association », relève Yanis Arnopoulos. Il s’exprimait ainsi au cours d’une conférence de presse organisée le mercredi 15 juin 2022 à Douala, annonçant  cette nouvelle vision que partagent le Groupe Arno et le groupe Duval.

Duval Arno distribution qui entend construire neuf magasins d’ici la fin d’année se voit dépenser dans les cinq prochaines années, pas moins de 65 millions d’Euros (environ 42,250 milliards Fcfa). Avec DAD, ce groupe a pour missions d’offrir au plus grand nombre, des produits de qualité accessible à tous, tout en proposant une expérience d’achat aux meilleurs standards internationaux ; également de structurer les filières  de production et créer de la valeur ajoutée locale.

Notons que, le groupe Duval c’est 25 ans d’histoire entrepreneuriale et familiale. Le groupe emploie plus de 5000 collaborateurs pour un chiffre d’affaires d’un milliard d’Euros. En ce qui concerne le groupe Arno, c’est bientôt 60 ans de présence et de valorisation du Cameroun. Il fait partie du premier groupe à avoir construit son réseau de distribution sur le territoire camerounais. Le groupe emploie plus de 500 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de plus de 15 milliards  de FCFA.

Par G.D.

Grande distribution au Cameroun : Duval Arno Distribution, fruit de la vision commune du groupe Duval et du groupe Arno

L’ARCEP Togo met en demeure de Moov Africa Togo pour non-respect de l’obligation de disponibilité permanente, continue et régulière des communications électroniques

[DIGITAL Business Africa] – Par décision n°2022-005/ARCEP/CD/22 datée du 02 juin 2022, le Comité de direction de l’Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes (ARCEP Togo), soucieux de veiller au respect du cahier des charges des opérateurs, a mis en demeure la société Moov Africa Togo pour des « manquements graves » à son obligation de disponibilité permanente, continue et régulière des services de communications électroniques mobiles.

En effet, aux termes de l’article 27.1 de son cahier de charges, l’opérateur Moov Africa Togo a l’obligation d’assurer « la disponibilité permanente, continue et régulière des services autorisés et l’adaptation permanente des moyens  qu’il met en œuvre et des services aux exigences nouvelles. Le service doit être disponible de façon continue, vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept, sauf cas de force majeure. Pour cela, le Titulaire met en œuvre, les procédures, équipements, protections et redondances nécessaires pour garantir une qualité et une disponibilité de services conformes aux objectifs fixés par l’Autorité de régulation ».

Pour rappel, l’opérateur Moov Africa Togo a déjà fait l’objet de sanction le 18 mai 2021 pour les mêmes manquements. Il avait alors été enjoint à l’opérateur de mettre en œuvre dans un délai de trois (3) mois les procédures, équipements, protections et redondances nécessaires pour garantir une qualité et une disponibilité de ses services dans les conditions requises.

« Plus de douze (12) mois après, force est malheureusement de constater que l’opérateur Moov Africa Togo n’a toujours pas mis en conformité son réseau continuant ainsi à causer de multiples désagréments et préjudices aux consommateurs », constate le régulateur togolais.

En conséquence, l’ARCEP Togo, conformément aux dispositions réglementaires, a mis en demeure Moov Africa Togo afin qu’il se conforme au respect de son obligation de disponibilité de services dans un délai ferme de trois (03) mois sous peine de sanction au titre de la récidive. Cette décision lui a été notifiée le 02 juin 2022 et rendue publique le 14 juin 2022.

Par DBA. Source ARCEP Togo

Cameroun : Le Sigipes II et les services numériques du MINFOPRA seront désormais hébergés dans le datacenter de Camtel à Zamengoué

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[DIGITAL Business Africa] – L’opérateur historique des télécommunications du Cameroun CAMTEL hébergera désormais dans son datacenter les serveurs du Ministère de la Fonction Publique et de la Réforme Administrative (MINFOPRA), ainsi que les services numériques de ce département ministériel, y compris le Sigipes II, le nouveau Système informatique de gestion intégrée des personnels de l’Etat et de la solde en préparation.

C’est l’objet de la convention de partenariat signée entre le ministère de la Fonction Publique et de la Réforme administrative (MINFOPRA) du Cameroun et l’opérateur historique des télécommunications, la Cameroon Telecommunications (CAMTEL), ce 13 juin 2022 à Yaoundé.

Le Minfopra, en sa qualité de gestionnaire des ressources humaines de l’Etat, soit 304.922 fonctionnes et agents de l’Etat relevant du Code du travail selon le ministre Joseph LE, s’emploie à garantir aux agents publics un service de qualité. Pour ce faire, deux applications gèrent au quotidien les ressources humaines de l’Etat camerounais à savoir SIGIPES pour le volet personnel et ANTILOPE pour la solde.

Mais, ce bicéphalisme présente des « signes d’essoufflement ». D’où le projet d’acquisition d’une application unique « SIGIPES II », qui combine la gestion des effectifs et de la solde, avec comme extrant attendu, une maîtrise optimale du nombre des agents publics et de la masse salariale.

Ce nouveau SIGIPES qui sera donc hébergé chez Camtel devra aussi avoir de nouvelles fonctionnalités comme la biométrie ou encore la gestion électronique des documents, explique le MINFOPRA.

Lire aussi : Cameroun : Après l’échec du consortium Cameroun Audit Conseil / CBL Consulting, le Tunisien SIMAC choisi pour mettre en œuvre le Sigipes II pour un montant de 4,2 milliards de F.CFA

D’après Judith Yah Sunday épse ACHIDI, la Dg de Camtel, « CAMTEL hébergera ainsi en colocation dans son Datacenter, les serveurs du MINFOPRA et assurera la haute disponibilité de ses services digitalisés et la sécurisation de ceux-ci ».

Data Center ultramoderne certifié Tier3

Plus encore, précise la DG, CAMTEL s’engage fermement à mettre à la disposition du MINFOPRA tout son savoir-faire en matière de fourniture des connexions Internet et Interconnexion haut débit par liaison spécialisée en fibre optique, de sécurisation des données et de facilitation d’accès aux segments Réseaux des différentes entités du Ministère.

« Je nourris fortement le vœu que la collaboration qui nous unit désormais soit grandissante et mutuellement bénéfique à nos deux structures », a déclaré Judith Yah Sunday épse ACHIDI. Elle promet d’ailleurs au MINFOPRA des offres commerciales taillées sur mesure, qui permettront de réaliser des économies substantielles dans leur budget.

En rappel, c’est le 04 mai 2021 que Joseph LE, avait effectué, sur invitation de Camtel, une visite guidée du Data Center ultramoderne certifié Tier3 basé à Zamengoé dans la périphérie de la cité capitale Yaoundé. Ceci  dans la perspective d’étudier l’opportunité d’y héberger les systèmes et applications informatiques du nouveau Système Informatique de Gestion Intégrée des Personnels de l’Etat et de la Solde (SIGIPES II).

Satisfait des infrastructures ultramodernes dudit centre à lui présentées et dans l’optique de faire avancer les nombreux chantiers de numérisation lancés par son département ministériel, le MINFOPRA s’est donc engagé à signer avec CAMTEL cette convention cadre.

Alliage qualité, sécurité et disponibilité

D’où les précisions du ministère de la Fonction publique et de la Réforme administrative. Pour Joseph LE,  cette convention avec Camtel « porte sur la mise en place d’une Haute Disponibilité avec notamment le « backup » de nos services, à savoir le portail web, la messagerie et le backup de l’application de Gestion des Ressources Humaines de l’Etat, SIGIPES ». « Il s’agira pour le MINFOPRA d’avoir des copies de ces applications dans le Datacenter de CAMTEL. Cette approche a le mérite de donner plus de crédibilité à nos services qui seront plus que par le passé disponibles, plus accessibles et mieux sécurisés », explique Joseph LE qui soutient que par cette convention, CAMTEL devient « le gardien de notre système d’information ».

Joseph LE qui, au MINFOPRA considère l’usager comme un Roi, indique par ailleurs que cet alliage qualité, sécurité et disponibilité des services contribuera à la satisfaction des usagers de l’administration camerounaises dont les préoccupations demeurent au cœur de ses actions.

« Au regard du volume et du flux des données que génère le travail au sein du département ministériel dont j’ai la charge, et fort de certains précédents, il nous a paru impératif de faire de la sécurité et de la sauvegarde des informations générées, dont le caractère sensible et névralgique pour notre administration n’est plus à démontrer, une priorité. Car, ces informations constituent la mémoire de notre administration, le socle de son développement, et la clé de voûte de sa pérennisation », déclare le ministre.

Joseph Le estime que ce saut qualitatif rentre en droite ligne des hautes directives du Président de la République visant à doter les services publics d’outils nécessaires à la dématérialisation et à la simplification progressive des méthodes et procédures administratives. Notamment par la digitalisation des services rendus aux usagers.

Par Digital Business Africa

Les services offerts par Camtel au MINFOPRA avant l’accord

« CAMTEL fournit plusieurs services au MINFOPRA, à savoir :

      – Une liaison spécialisée en Fibre optique pour l’interconnexion des différentes administrations ;

     – Une connexion à haut débit de 50 Méga bits par seconde pour le bâtiment principal du MINFOPRA et 4 Méga bits par seconde pour les délégations régionales du MINFOPRA ;

    – Un ensemble de lignes pour la téléphonie fixe ;

    – Un numéro vert, le 1522, pour un contact téléphonique permanent avec les Usagers, etc. »

Source : Joseph LE, MINFOPRA

CMDT au Rwanda : La coalition digitale Partner2Connect de l’UIT mobilise 18,5 milliards de dollars US pour connecter les non-connectés

[DIGITAL Business Africa] – La table ronde sur le développement numérique Partner2Connect (P2C), qui se tient dans la capitale rwandaise à l’occasion de la Conférence mondiale de développement des télécommunications (CMDT) de l’UIT, s’est achevée ce 09 juin 2022 avec l’annonce de plus de 360 promesses de dons représentant une valeur financière combinée estimée à 18,55 milliards USD.

Ces 360 engagements révolutionnaires en faveur de la connectivité universelle ont été pris afin d’améliorer la vie de milliards de personnes dans le monde.

Pour l’Union internationale des télécommunications (UIT), ces engagements permettent de rallier un soutien sans précédent de la part des gouvernements et des entreprises en vue d’étendre l’accès à l’Internet partout dans le monde, ce qui constitue un aspect essentiel du développement durable.

La Conférence mondiale de développement des télécommunications (CMDT) de l’UIT qui s’est déroulée du 07 au 09 juin aligne, avec ces engagements, les stratégies de connectivité mondiale sur les objectifs de développement durable des Nations Unies.

L’effort en faveur d’une connectivité universelle et significative représenté par les promesses de P2C profitera directement à des milliards de personnes dans le monde, en particulier dans les pays en développement où la connectivité est en retard.

Le financement, les services, l’assistance technique et d’autres formes d’assistance détaillés dans les engagements amélioreront l’accès des personnes aux technologies numériques et leur préparation à ces technologies, tout en favorisant les écosystèmes numériques et en encourageant les investissements dans la transformation numérique.

« La table ronde Partner2Connect sur le développement numérique s’avère être un point de basculement« , a déclaré le Secrétaire général de l’UIT, Houlin Zhao, à la fin des sessions d’annonces de contributions. « Les promesses et les engagements pris à Kigali et au cours des mois qui ont précédé cette table ronde envoient un message puissant : ensemble, nous pouvons accélérer les investissements dans le développement des TIC pour ne laisser personne hors ligne. »

Quelque 2,9 milliards de personnes – soit plus d’un tiers de la population mondiale – ne se sont toujours pas connectées à l’internet.

La ministre rwandaise des TIC et de l’innovation, Paula Ingabire, présidente de la CMDT, a déclaré : « Nous avons besoin que tout le monde tire dans la même direction si nous voulons réussir à relever le défi d’assurer une connectivité universelle significative au niveau mondial. Partner2Connect est l’une des meilleures voies par lesquelles nous pouvons catalyser et engager des partenariats productifs vers une connectivité durable pour tous. »

CMDT au Rwanda : La coalition Partner2Connect de l'UIT mobilise 18,5 milliards de dollars US pour connecter les non-connectés

Des engagements révolutionnaires

Les engagements de Partner2Connect arrivent à un point d’inflexion critique, la pandémie prolongée du COVID-19 soulignant l’importance d’une connectivité à large bande rapide et fiable en tant que service essentiel.

Les promesses annoncées lors de la table ronde n’étaient pas seulement financières. Elles comprenaient également des engagements, des politiques et des plans de sensibilisation novateurs visant à réduire la fracture numérique, créant ainsi un terrain fertile où de nouveaux partenariats et alliances pour la connectivité mondiale peuvent s’épanouir.

« Après des mois de travail collectif pour élaborer le cadre d’action Partner2Connect et la plate-forme d’annonces de contributions, en collaboration avec les Etats Membres de l’UIT, des groupes de la société civile, des organisations philanthropiques, des organisations privées et des organisations de jeunes, nous franchissons aujourd’hui une étape importante en rassemblant sous un même toit un nombre sans précédent d’engagements pour faire progresser la connectivité universelle et utile« , a déclaré Doreen Bogdan-Martin, Directrice du Bureau de développement des télécommunications de l’UIT.

Dans une annonce importante faite au cours du programme de la table ronde de trois jours, la Suisse, pays hôte de l’UIT, a promis que Genève accueillerait le siège de Giga, une initiative conjointe de l’UIT et de l’UNICEF visant à connecter toutes les écoles du monde à l’Internet d’ici 2030. Annonçant ce projet, la Confédération suisse a déclaré que le nouveau bureau Giga à Genève serait un point de collaboration unique, faisant le lien entre le monde de la finance et celui des relations internationales et du développement.

Un engagement diversifié

La table ronde numérique Partner2Connect a rassemblé plus de mille participants sur place à Kigali, rejoints par plus de 350 personnes se connectant à distance. Outre l’annonce de promesses et d’engagements, l’événement a donné lieu à dix tables rondes de haut niveau auxquelles ont participé de hauts représentants du gouvernement, du secteur privé, d’organisations internationales, de la société civile et de groupes de jeunes.

S’exprimant lors de la cérémonie de clôture d’aujourd’hui, S.E. Ursula Owusu-Ekuful, ministre des communications et de la numérisation du Ghana et chef de file de la coalition P2C, a déclaré : « Notre coalition Partner2Connect nous engage à accélérer nos efforts pour connecter les non-connectés et parvenir à un développement mondial durable. Mettons en œuvre tous nos engagements pour notre bénéfice collectif.« 

Les cinq séances d’information organisées pendant les trois jours de l’événement ont mis l’accent sur des thèmes essentiels du développement numérique : Des partenariats pour transformer l’éducation ; Faire avancer le Programme d’action de Doha pour les PMA5 par le biais du P2C ; Découvrir les ingrédients secrets de l’investissement dans la connectivité du dernier kilomètre ; Accélérer la connectivité significative universelle par le biais du Pacte numérique des Nations Unies ; et une session spéciale sur l’assistance et le soutien à l’Ukraine pour reconstruire son secteur des télécommunications.

« Les discussions de la CMDT et le Plan d’action de Kigali seront essentiels pour nous aider à élaborer le Pacte lors du Sommet de l’avenir de l’ONU l’année prochaine« , a déclaré Maria-Francesca Spatolisano, sous-secrétaire générale chargée de la coordination des politiques au Département des affaires économiques et sociales de l’ONU (DAES) et envoyée par intérim du Secrétaire général de l’ONU pour la technologie. « En particulier, le travail de la coalition Partner2Connect nous rapprochera de notre objectif collectif de connectivité universelle et significative pour tous« , a-t-elle ajouté.

Heidi Schroderus-Fox, Haut représentant par intérim pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement (UN-OHRLLS), a déclaré : « Le Programme d’action de Doha demande que tous les habitants des pays les moins avancés (PMA) disposent d’une connectivité numérique sûre, abordable et utile d’ici 2030. Nous n’y parviendrons qu’avec un travail commun et les partenariats à long terme que représente Partner2Connect. C’est un exemple vraiment inspirant de la façon dont les relations entre différents secteurs peuvent être bénéfiques aux PMA. »

Le tableau de bord interactif de Partner2Connect, nouvellement lancé lors de la table ronde P2C de cette semaine, permettra aux utilisateurs de rechercher des promesses de dons et des contributeurs spécifiques, ainsi que de visualiser les analyses de suivi globales.

Partner2Connect : une coalition numérique multi-acteurs

La coalition numérique Partner2Connect est une alliance multipartite lancée par l’UIT en étroite collaboration avec le Bureau de l’Envoyé du Secrétaire général pour la technologie, et conformément à la feuille de route du Secrétaire général des Nations Unies pour la coopération numérique, afin de favoriser une connectivité significative et la transformation numérique dans le monde, en mettant l’accent sur les communautés les plus difficiles à connecter dans les pays les moins avancés (PMA), dans les pays en développement sans littoral (LLDC) et dans les petits États insulaires en développement (SIDS).

« La coalition numérique Partner2Connect est une occasion unique d’adopter une approche holistique, de catalyser de nouveaux partenariats et de mobiliser les ressources nécessaires pour connecter ceux qui ne sont toujours pas connectés. La P2C ouvrira de nouvelles voies aux parties prenantes qui comprennent que la collaboration est le seul moyen de relever un défi de cette envergure et de cette magnitude. J’appelle tous les acteurs et partenaires à rejoindre le P2C et à travailler ensemble afin que nous puissions atteindre notre objectif de connecter de manière significative les 2,9 milliards de personnes qui ne sont toujours pas connectées« , indique Doreen Bogdan-Martin, la directrice du Bureau de développement des télécommunications de UIT

L’UIT

En rappel, l’Union internationale des télécommunications (UIT) est l’institution spécialisée des Nations Unies pour les technologies de l’information et de la communication (TIC). Elle encourage l’innovation dans le domaine des TIC avec 193 États Membres et plus de 900 entreprises, universités et organisations internationales et régionales.

Créée il y a plus de 150 ans, l’UIT est l’organe intergouvernemental chargé de coordonner l’utilisation mondiale partagée du spectre radioélectrique, de promouvoir la coopération internationale pour l’attribution des orbites des satellites, d’améliorer l’infrastructure de communication dans le monde en développement et d’établir les normes mondiales qui favorisent l’interconnexion transparente d’une vaste gamme de systèmes de communication.

Des réseaux à large bande aux technologies sans fil de pointe, en passant par la navigation aéronautique et maritime, la radioastronomie, la surveillance de la Terre par satellite et l’océanographie, ainsi que la convergence des technologies de téléphonie fixe et mobile, d’Internet et de radiodiffusion, l’UIT s’engage à connecter le monde.

Par Digital Business Africa

Minette Libom Li Likeng au sujet de l’antivirus Meye Protect : « Nous avons pêché une licorne »

[DIGITAL Business Africa] – Serges Stéphane Meye MBA Ntyam a conquis les cœurs. En particulier celui de madame le ministre des Postes et Télécommunications, grâce à son œuvre : la création de Meye Protect, tout premier antivirus en Afrique. Et Minette Libom Likeng n’a pas tari d’éloges à son endroit, lors de l’ audience à lui accordé avec deux autres membres de son équipe, ce vendredi 03 juin 2022.  

Le promoteur de l’antivirus Meye Protect est  venu témoigner sa gratitude à l’endroit du chef de l’Etat, Paul Biya,  initiateur du Prix spécial qui récompense le meilleur  projet TIC de l’année.

Minette Libom Li Likeng au sujet de l'antivirus Meye Protect : « Nous avons pêché une licorne »

« Je n’ai pas de mots assez percutants pour exprimer ma gratitude envers notre illustre Premier startupper qu’est son Excellence monsieur le Président de la République… pour cette main tendue qui nous donne le pouvoir de renforcer non seulement les capacités du gouvernement dans la lutte contre la cybercriminalité, de faire évoluer les mentalités des citoyens en matière de Cybersécurité, mais aussi de mettre le Cameroun en avant dans le domaine des antivirus et de systèmes de protections contre les virus informatiques, les menaces cybernétiques, et les cyberattaques », a-t-il dit.

Message d’avance reçu, puisque le messager du jour en la personne de Minette Libom Li Likeng  a donné l’assurance que sa mission sera accomplie. Une action suscitant une réaction, Minette Libom Li Likeng à tout de suite salué le geste de ces hôtes

« Je ne terminerais pas mon propos sans féliciter une fois de plus Monsieur MEYE MBA NTIAM Serge Stéphane et toute son équipe pour la gratitude et la reconnaissance exprimées à l’endroit des institutions de la république, en particulier, celui qui les incarne. Son projet, que dis-je ? Son innovatio, place notre pays parmi les pays les plus innovants en Afrique. Je voudrais en même temps exprimer notre reconnaissance pour sa contribution à la promotion de la cyber sécurité dans notre pays et certainement en Afrique », a-t-elle répondu.

La valeur totale de la récompense octroyée à la Startup MeyeProtect Innovation s’élève à 15 millions de FCFA. Avec cet appui, Serge Stéphane Meye compte bien s’en servir à bon escient. Ainsi envisage-t-il créer des emplois dans le domaine de la Cyberdéfense. Ce qui contribuera, précise-t-il, à sécuriser toutes les administrations publiques et privées du Cameroun.

Minette Libom Li Likeng au sujet de l'antivirus Meye Protect : « Nous avons pêché une licorne »

D’autres objectifs sont également recherchés : Accentuer la présence de l’antivirus sur les réseaux pour qu’il soit le premier produit de sécurité informatique. Et que chaque citoyen possédant un ordinateur ou un smartphone au Cameroun l’installe pour sa propre protection et celle de ses données personnelles et confidentielles.

La nouvelle version de l’Antivirus Meye Protect sera disponible d’ici peu. Toutes les procédures de certifications nationales et internationales de l’Antivirus MeyeProtect Innovation sont déjà engagées avec l’Agence nationale des Technologies de l’Information et de la Communication, Antic. Cela depuis la réception du prix spécial du président de la République, a confirmé Serge Stéphane Meye.

L’antivirus MeyeProtect Innovation dispose d’une capacité de prévention des attaques informatiques et de protection les smartphones.  Cette innovation a permis à son promoteur de remporter le prix spécial du Président de la République.

C’était à la faveur du Concours du meilleur projet TIC, organisé à l’occasion de la 3ème édition de la Semaine de l’Innovation de Numérique, tenue au Cameroon Digital Center, CDIC, du 14 au 18 mars 2022.

Par Jean Materne Zambo

Cameroun : StarNews Mobile lance la deuxième édition de la StarNews Urban Hit Show (SNUHS) by Orange : 45 millions de F.CFA à gagner !

[DIGITAL Business Africa] – La seconde édition de la StarNews Urban Hit Show (SNUHS) by Orange a été officiellement lancée ce 06 juin 2022 à Douala par Diane Mouaha, la Country Manager de StarNews Mobile au Cameroun (photo). C’était en présence de nombreux artistes et promoteurs culturels comme René Ayina ou encore Ambroise Messi. Également présents, les responsables d’Orange qui soutiennent la musique camerounaise.

StarNews est une  plateforme digitale de monétisation de contenus vidéos des artistes et des stars. Elle permet aux abonnés de la téléphonie mobile au Cameroun (Orange et MTN) de s’abonner à la chaîne de leurs artistes préférés sur StarNews afin de voir des vidéos et actualités exclusives de leurs artistes préférés.

Au Cameroun, la StarNews Urban Hit Show (SNUHS) by Orange est une compétition entre artistes qui permet de déterminer lesquels influencent le plus leur communauté avec leurs contenus exclusifs postés sur leur chaine sur la plateforme numérique de StarNews.

Ainsi, ceux des artistes qui réussissent à cumuler un maximum de votes du public à travers leurs contenus vidéos sont récompensés.

L’on se rappelle que l’an dernier, les artistes vainqueurs de la première édition Maalhox, Happy et Mink’s avaient respectivement reçu chacun de StarNews Mobile un chèque de 20 millions de F.Cfa, de 10 millions de F.Cfa et de 05 millions de F.Cfa. C’était le 06 novembre 2021 à Douala.

Starnews Urban Hit Show : Les artistes Maalhox, Happy et Mink’s reçoivent leur chèque certifié

Lire aussi : Starnews Urban Hit Show : Les artistes Maalhox, Happy et Mink’s reçoivent leur chèque certifié

« Lors de la première édition, au cours de trois mois de compétition avec 20 artistes en liste, nous avons recruté 300 000 abonnés qui ont accepté d’apporter leur soutien aux artistes. Nous avons eu une production de contenus et un accompagnement médiatique d’Orange à 360 degrés pour faire la promotion de ces artistes qui se sont mobilisés. Enfin, et c’est le plus important, nous avons réussi à donner une crédibilité et un signal qu’avec StarNews les artistes peuvent gagner de l’argent. La preuve, nous avons apporté une réponse ponctuelle à ces artistes qui étaient sinistrés par la Covid-19 et nous leur avons permis de gagner un montant total de 37 millions de francs CFA », rappelle Diane Mouaha.

Les innovations de l’acte 2 de SNUHS by Orange

Si en 2021 StarNews Mobile a octroyé 37 millions de francs Cfa aux artistes, le montant en 2022 est revu à la hausse. Cette année, 45 millions de francs CFA seront accordés aux artistes vainqueurs. Ceci, selon un modèle « inédit » de création de revenus constants et permanents même après la compétition, explique Diane Mouaha.

D’après ses explications, trois leviers de 15 millions de francs CFA chacun sont mis en place pour la seconde édition de la SNUHS : le premier levier de 15 millions de francs Cfa pour récompenser la performance de dix artistes en leur octroyant 500 000 francs Cfa chacun par mois pendant les trois mois de la compétition ; le second levier de 15 millions de francs Cfa pour récompenser la performance des trois meilleurs artistes de la plateforme StarNews en leur octroyant 5 000 000 francs Cfa chacun et enfin le troisième levier de 15 millions de F.CFA pour récompenser la performance des trois meilleures chaînes crées pour les trois gagnants leur permettant de gagner chacun au minimum un million de francs Cfa par mois pendant les cinq mois qui suivront la compétition.

Autre innovation de l’édition 2022 de la SNUHS, la sélection de dix artistes au lieu de 20 comme l’an dernier. La country Manager de StarNews Cameroon explique cela par le fait que désormais plus de temps sera consacré à la formation digitale des artistes et à la prise en main de la plateforme digitale Star News. Aussi, désormais le vote pour les abonnés est illimité avec la possibilité d’inviter ses amis à voter l’artiste préféré.

« C’est un modèle de création inédit ! C’est un signal qu’envoie StarNews à tous les artistes et à tous les internautes que nous avons une solution de monétisation de votre image et de vos vidéos. Faites confiance à StarNews, contactez-nous et vous aurez des revenus garantis sur la durée », lance Diane Mouaha.

Cameroun : StarNews Mobile lance la deuxième édition de la StarNews Urban Hit Show (SNUHS) by Orange : 45 millions de F.CFA à gagner !

La phase d’inscription des artistes à la saison 2 de Star News Urban Hit Show by Orange a donc commencé le 07 juin 2022 avec One to One Direct Prod. Elle s’étend jusqu’au 14 juin 2022. Les 10 artistes sélectionnés seront annoncés le 15 juin. La compétition en elle-même et la production des contenus s’étendront du 27 juin 2022 au 04 septembre 2022 après une brève formation des artistes à Orange Digital Center.

Le calendrier de la Star News Urban Hit Show by Orange

Plus d’infos sur la compétition en écrivant à
[email protected]

Par Digital Business Africa

Togo : Moov Africa désormais moins cher sur tous les forfaits mixtes, data et voix, toutes gammes confondues, selon l’Arcep

[DIGITAL Business Africa] – Déjà leader sur les forfaits mixtes et voix en termes de prix, Moov Africa Togo propose désormais les meilleurs forfaits data faisant de lui l’opérateur mobile le moins cher au Togo tous forfaits et toutes gammes confondues. C’est ce qu’indique l’ARCEP Togo, ce 07 juin 2022 à Lomé.

En effet, indique le régulateur, suite à sa refonte du 27 mai 2022 sur les forfaits data,

  • les tarifs des forfaits data de Moov Africa Togo ont globalement baissé de près de 57%, soit 40% en entrée de gamme (moins de 500F), 62,2% en moyen de gamme (entre 501F et 5000F) et 71,7% en haut de gamme (plus de 5000F) ;
  • sur le plan national, Moov Africa Togo devient le moins cher sur la data dans toutes les gammes et ce jusqu’à 6 fois plus que la concurrence ;
  • sur le plan sous régional, le Togo demeure néanmoins toujours parmi les pays où les offres data mobiles sont les plus chères en entrée de gamme.

L’ARCEP prend note de cette dynamique positive de baisse des tarifs observée ces derniers mois et encourage vivement tous les opérateurs à davantage d’efforts afin de hisser le Togo au rang des pays où les communications électroniques sont plus abordables pour les consommateurs surtout à faible pouvoir d’achat, et ce, pour mieux accompagner la vision du gouvernement relative à l’inclusion numérique.

L’analyse comparative des nouveaux tarifs mobile peut être consulté via le lien https://arcep.tg/analyse-offres-juin-2022 .

Par DBA. Source ARCEP Togo

Rwanda : Les ministres africains en charge des TIC envisagent la mise en place d’un marché unique à l’horizon 2030

[DIGITAL Business Africa] – Trois conditions doivent être réunies par les Etats membres de l’Alliance, pour enclencher l’inclusion numérique du continent, mieux la transformation digitale du continent africain en un seul marché unique d’ici à 2030. Pour ne pas être surpris par le temps, faire le point des avancées réalisées à ce jour et se projeter dans l’avenir, un conseil extraordinaire des ministres de l’Alliance Smart Africa, s’est tenu, ce mardi 7 juin 2022, à Kigala, au Rwanda.

Le Congo, qui assure la présidence du conseil des ministres en charge des TIC de l’Alliance Smart Africa a participé à cette réunion par visioconférence. Si pour les dirigeants africains réunis au sein de l’Alliance Smart Africa, le déploiement des infrastructures demeure la priorité, ce segment de haut niveau ne pouvait que s’inscrire dans cette dynamique.

Le Constat est tel que les efforts réalisés ces dernières années pour connecter les villes africaines, ainsi que l’accès aux infrastructures numériques demeurent encore limités.

C’est pourquoi, à la suite de la dernière réunion ordinaire du comité de pilotage de l’Alliance Smart Africa, tenue à Brazzaville, en février 2022, prescrivait au Secrétariat Général la mission de la revue à mi parcours des actions menées par l’organisation,  cette nouvelle rencontre, dite extraordinaire, du Conseil des ministres, devait plancher sur ce qu’il faut traduire en actions concrètes pour la transformation de l’Afrique en un seul marché unique d’ici 2030.

Pour Léon Juste Ibombo, ministre congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, qui a ouvert les travaux, en sa qualité de président du Conseil des ministres de l’Alliance Smart Africa, il faut poursuivre « la construction des infrastructures numériques résiliente et durable, la mise en place des politiques agiles et un environnement harmonisé pour attirer les investisseurs. » A soutenu Léon Juste Ibombo, avant d’ajouter la troisième condition. Il s’agit de « tirer parti de la technologie pour accélérer l’adoption inclusive des services et des biens publics. »

Cette réunion extraordinaire, qui coïncide avec la tenue de la Conférence Mondiale du Développement des Télécommunications, organisée par l’Union Internationale des Télécommunications, l’institution onusienne en charge des TIC,  est une invite à la concrétisation de la vision de l’Alliance Smart Africa. « Les défis majeurs de Smart Africa à relever pour le développement de notre continent obligent à innover, inventer, réajuster si possible et à continuer à jouer un rôle numérique sur la scène continentale. » A fait observer le président du conseil des ministres en charge des TIC de l’Alliance Smart Africa, le congolais Léon Juste Ibombo.

Aussi, dans ce contexte de crise économique, financière, sanitaire et de la guerre en Ukraine, dans lequel se tient notre Conseil des ministres, le ministre Léon Juste Ibombo a-t-il exhorté les participants à cette réunion de saisir cette opportunité, à travailler et à interagir en vue d’accélérer l’avancement de l’adoption de la technologie à travers l’Afrique.

La concrétisation de la vision en un marché numérique unique africain est entrain de se dessiner, à travers l’adoption de l’accord établissant l’Alliance Smart Africa, une organisation continentale qui compte actuellement en son sein 32 pays membres.

La transformation numérique de l’Afrique prend forme progressivement. La transformation numérique, une exigence de l’accélération du développement socioéconomique, répond bien à cette construction de destin de l’Afrique. « Construire un destin commun reste profondément lié, d’une part à la volonté politique et à l’engagement fortement exprimés de nos Chefs d’État et de gouvernement et d’autre part aux dépendances mutuelles des pays. » A martelé Léon Juste Ibombo, qui croit en cette Afrique digitalisée de demain.

Le passage, pour y parvenir, Léon Juste Ibombo le résume en l’autonomisation numérique et le renforcement des capacités (INNOVATE) à travers entre autres, l’académie numérique Smart Africa (SADA), instrument qu’il faut vulgariser. Il faut, poursuit-il, accélérer le commerce et les services numériques (TRANSFORM) aux fins de favoriser l’Entrepreneuriat axé sur la technologie. Le dernier acte exige de porter un regard particulier sur les infrastructures, la gouvernance et la confidentialité des données.

 Il sied de noter que le Conseil des ministres de l’Alliance Smart Africa, émanation des Chefs d’État et de gouvernement d’Afrique, intervient dans la gestion des questions de souveraineté, dans la préparation de la réunion du Comité de pilotage, afin d’impulser par des actions concrètes la transformation numérique du Continent.

Source: MINISTERE DES POSTES, TELECOMMUNICATIONS ET DE L’ECONOMIE NUMERIQUE.

Cameroun : A Kribi, Édouard Tamba (MTN Cameroon) expose aux communicateurs et médias l’importance des critères ESG pour les marques

[DIGITAL Business Africa] – MTN Cameroon était aux côtés de Com’PMA, l’association des Communicateurs et Personnels du Mincom et Assimilés pour explorer les possibilités d’amélioration de l’attractivité des collectivités territoriales décentralisées. C’était à la faveur de la rencontre annuelle des membres de ce réseau professionnel des métiers de la communication à Kribi, du 26 au 28 mai 2022.

L’opérateur de télécommunications est intervenu sur deux axes substantiels. D’abord, la fourniture de la logistique nécessaire et du matériel à l’association Com PMA pour assurer à son événement une visibilité sur le site de l’événement (polos et maillots de bain).

Et ensuite, une présentation sujette à enrichir le débat autour du rôle que peuvent jouer les communicants pour rendre attractives les collectivités territoriales décentralisées. C’est le coordonnateur des relations avec les médias de MTN Cameroon, Édouard Tamba, qui en a eu la charge.  Cette rencontre annuelle avait comme thème : « Attractivité des collectivités territoriales décentralisées : enjeux de la communication locale ».

Édouard Tamba de MTN, lors de son propos, s’est appesanti sur les critères ESG, un ensemble de critères permettant d’améliorer la réputation et la rentabilité des entreprises. Il s’agit de l’environnement, le social et la gouvernance. Édouard Tamba a particulièrement insisté sur le critère environnement, car c’est lui qui révèle les atouts d’une marque, dit-il.

« Il y a des investisseurs qui requièrent des données claires concernant les activités d’une entreprise. Par exemple, la quantité d’énergie qui alimente telle quantité de ménages. Si vous regardez la relation du gouvernement camerounais avec la Banque mondiale, vous verrez qu’il publie tous ses chiffres, y compris toutes les institutions avec lesquelles il travaille », a-t-il affirmé.

Le choix de Kribi comme ville hôte du séminaire se justifie par les multiples opportunités d’affaires que la cité balnéaire regorge. A l’instar de son Port en eau profonde, qui n’est encore qu’à sa première phase de développement.

La communication digitale était également au menu des exposés inscrits à l’ordre du jour. La présentation de Beaugas Orain Djoyum, DG d’un cabinet d’e-Réputation, de Personal branding et de veille stratégique ICT Media STRATEGIES, portait sur le sous-thème : « la communication digitale : un créneau porteur pour les CTD ».

Comme, Édouard Tamba qui prône la mise en valeur de la marque et des territoires à travers les ESG, Beaugas Orain a insisté sur la mise en exergue sur le web et sur les réseaux sociaux des atouts et richesses des collectivités territoriales afin d’attirer les investisseurs.

Par Jean Materne Zambo

La présentation d’Edouard Tamba à Kribi

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Les dix conseils de Beaugas Orain DJOYUM aux collectivités territoriales décentralisées pour mieux communiquer sur le web et sur les réseaux sociaux

Les dix conseils de Beaugas Orain DJOYUM aux collectivités territoriales décentralisées pour mieux communiquer sur le web et sur les réseaux sociaux

[DIGITAL Business Africa] – Comment la communication peut permettre aux communes et régions du Cameroun de mieux se vendre et attirer les investisseurs. C’était la thématique principale de la rencontre annuelle de l’association des Communicateurs et Personnels du Mincom et Assimilés (Com’PMA) qui s’est tenue à Kribi du 26 au 28 mai 2022 sous le thème : « Attractivité des collectivités territoriales décentralisées : enjeux de la communication locale ».  

L’apport de la communication digitale était bien évidemment au menu. Et c’est Beaugas Orain Djoyum, le DG d’un cabinet d’e-Réputation, de Personal branding et de veille stratégique ICT Media STRATEGIES, qui a entretenu les participants sur le sous-thème : « la communication digitale : un créneau porteur pour les CTD ». Pour CTD, entendez collectivités territoriales décentralisées.

Les dix conseils de Beaugas Orain DJOYUM aux collectivités territoriales décentralisées pour mieux communiquer sur le web et sur les réseaux sociaux

Beaugas Orain Djoyum a insisté sur la mise en relief sur le web et sur les réseaux sociaux des atouts et richesses des collectivités territoriales afin d’attirer les investisseurs.

En effet, explique Beaugas Orain, les communes et les CTD n’ont pas toujours de ressources suffisantes pour financer et concretiser leurs projets. La coopération décentralisée leur permet de concrétiser certains projets d’où la quête par les CTD des partenaires extérieurs et même locaux.

Beaugas Orain rappelle que l’article 94 de la loi n°2019/024 du 24 décembre 2019 portant code général des collectivités territoriales décentralisées au Cameroun leur donne d’ailleurs le droit de nouer des partenariat et des jumelages. Cet article stipule que « la coopération décentralisée s’entend comme toute relation de partenariat entre deux ou plusieurs collectivités territoriales ou leurs regroupements, en vue de réaliser des objectifs communs. Elle peut s’opérer entre des collectivités territoriales camerounaises ou entre celles-ci et des collectivités territoriales étrangères, dans les conditions fixées par Ia législation et la réglementation en vigueur et dans le respect des engagements internationaux de l’État ».

Les dix conseils de Beaugas Orain DJOYUM aux collectivités territoriales décentralisées pour mieux communiquer sur le web et sur les réseaux sociaux

Mais, insiste le DG de ICT Media STRATEGIES, pour pouvoir attirer et nouer ces partenariats avec les villes, communes et investisseurs étrangers ou nationaux, il faut bien communiquer sur le web et les réseaux sociaux en mettant davantage en lumière les atouts, les richesses et potentialités ainsi que les Plans communaux de développement des CTD.

« Il y a nécessité pour les communes et CTD de changer de stratégie en mettant davantage en exergue sur leurs plateformes numériques et sur leurs réseaux sociaux les atouts et richesses de leur commune. Ce sont ces atouts, richesses et potentialités, mieux présentés sur leur site web et sur leurs réseaux sociaux, qui constituent l’appât pour les investisseurs locaux et étrangers », a expliqué Beaugas Orain DJOYUM qui déplore le fait que les CTD, lorsqu’elles disposent d’un site web et des pages sur les réseaux sociaux, présentent davantage sur ceux-ci essentiellement l’actualité du maire et des cadres des CTD au détriment de leurs réelles forces, richesses et potentialités.

Plus encore, le DG de ICT Media STRATEGIES, avec des exemples précis, a présenté dix conseils aux CTD pour mieux produire des contenus et mieux mettre en exergue leurs atouts et richesses sur le web et les réseaux sociaux.   

Voir la présentation de Beaugas Orain DJOYUM à Kribi

Par Digital Business Africa

Suivre la présentation de Beaugas.

L’exposé de Beaugas à partir de 1:00:00 (via smartphone). Sur ordinateur, cliquez simplement sur la vidéo.

Cameroun :  l’Agence de l’électrification rurale et MTN présentent le projet d’énergie et de connexion de 1000 localités

[DIGITAL Business Africa] – 1000 localités rurales camerounaises seront connectées à l’énergie électrique et aux réseaux de communications électroniques. L’AER (Agence de l’électrification rurale) fournira l’électricité et MTN Cameroon, le réseau mobile en plus de la connexion Internet.  Huawei quant à lui en est le partenaire technique. C’est un peu la teneur du cahier des charges du projet présenté le 31 mai 2022 par l’AER et MTN à Marienberg, département de la Sanaga-Maritime, région du Littoral.

Ce village de la commune de Mouanko est le site pilote de ce projet. Le choix du lieu se justifie par le fait que c’est la première église construite au Cameroun en 1890. En termes de budget, cela donne globalement 80 milliards de F.CFA. Et la localité de Marienberg entre dans la première phase du projet baptisée « projet 166 localités ». 350 villages ont déjà été électrifiés.  Le projet va s’étendre par la suite à 300 autres supplémentaires.

La station implantée à Marienberg est une centrale photovoltaïque d’une capacité de 15 kilowatts. Elle est équipée d’une salle d’accumulation, d’une salle de machines et d’un réseau de distribution au bout duquel l’on trouvera quelques abonnés.

Explications de Ngoula Ewouki, chef de l’Unité de gestion et d’exploitation des centrales solaires de l’AER, sur les enjeux du projet et le rôle de cette centrale nucléaire :

« Notre partenariat avec MTN nous permet de résoudre le problème de paiement des factures par mobile money. C’est une difficulté que nous rencontrons dans ces localités. C’est d’ailleurs la cause des nombreuses fraudes observées çà et là. La présence de ce site permet sa sécurisation à distance. Et suivre à distance les paramètres du site. Cela permet que nos interventions soient plus rapides. »

 Relation « bailleur – locataire »

L’AER est le dépositaire de cette initiative et MTN s’y est greffée, ajoute-t-il, pour réduire la fracture numérique entre les localités reculées du pays à des prix très abordables, parfois aux mépris des bénéfices que pourraient engranger l’opérateur des Télécommunications. Comme en a témoigné Arnaud Evina, Manager- Regulation Technical chez MTN :

« MTN à une licence qui lui octroie des obligations de couverture et de qualité de service où cette couverture existe déjà. A ce titre, nous avons le devoir de couvrir les localités à travers le territoire national qui ont un certain volume de pollution et à une certaine échéance. Et cette couverture nous amène à faire des investissements importants. Ceux-ci consistent à ramener le signal des zones qui sont déjà couvertes vers de nouvelles zones qu’on va couvrir : c’est la transmission »

Et d’ajouter : « pour ramener ce signal, on doit installer de grosses antennes puis installer les équipements radio pour arriver la nouvelle localité. Ces investissements ne sont pas rentables. C’est pourquoi nous pensons apporter le réseau à moindre coût et réduire la fracture numérique de ces localités éloignées ».

Le projet signale déjà quelques signaux positifs, parmi les populations. A l’instar de Blaise Mouhombo, 65ans et père de huit enfants.

« Je remercie cette initiative qui nous donne la possibilité de communiquer avec d’autres personnes hors de la localité. Aujourd’hui, je communique avec mes enfants tout en étant couché sur mon lit. Plus besoin de grimper sur les arbres pour avoir le réseau. Néanmoins, je souhaite que le problème de connexion et de délestage soit résolu dans les brefs délais », a-t-il suggéré.

MTN et l’AER, chacun en ce qui le concerne, ont donné les assurances quant à la résolution imminente de ces problèmes. Déjà, un diagnostic a été effectué par les autorités de l’AER et de MTN. D’après elles, les coupures d’électricité sont de deux ordres : d’une part les arbres qui tombent sur des câbles et, d’autre part, des populations qui font souvent se mauvais branchements. Du côté de MTN, la zone est située d’as un bas fond. La cérémonie de signature du partenariat en question est prévue à l’hôtel Hilton de Yaoundé ce 02 juin 2022.

Par Jean Materne Zambo

Intégration en zone Cémac : le Congo, le Cameroun et la Centrafrique écrivent les pages de leur interconnexion par fibre optique avec le projet CAB

[DIGITAL Business Africa] – Ouesso, la capitale de la Sangha, au Nord de la République du Congo, a accueilli, ce 26 mai 2022, un double événément, à savoir la réception provisoire du réseau à fibre optique réliant le Congo au Camerou, ainsi que la pose de la première pierre pour la construction par voie fluvial du réseau d’interconnexion Congo-RCA. La cérémonie a été patronnée par le ministre congolais Léon Juste Ibombo, des Postes, Télécommunications et de l’Economie numérique, assisté de son collègue centrafricain, Justin Gourna Zacko, en charge des télécommunications, en présence de l’ambassadeur du Cameroun en poste à Brazza.

La symbolique des deux gestes posés par les gouvernements du Congo, du Cameroun et de la RCA, participe de la dynamique visant l’accélération du processus d’intégration sous régionale en Afrique centrale : le 1er geste était celui de réceptionner provisoirement, après la coupure du ruban, le réseau en fibre optique, dont les travaux sont achevés, qui relie le Congo au Cameroun, par Ntam et le second la pose de la pierre, pour le lancement officiel des travaux de construction de la liaison en fibre optique Congo-RCA.

La première infrastructure qui relie déjà le Congo au Congo et celle en cours de construction bénéficient de l’expertise du Projet Central African Backone Congo (CAB-Congo) dans leur implémentation. Aussi, prenant la parole pour la circonstance, Michel Ngakala, son coordonnateur national, n’a-t-il pas manqué de le souligner : « Ces travaux, réalisés sous la coordination du projet CAB et sous la supervision du ministère des postes, des Télécommunications et de l’Economie numériques représentent une nouvelle étape franchie, vers la digitalisation de l’économie et la réduction de la fracture numérique ».

Rappelant la volonté affirmée, à Ndjamena en 2007, des chefs d’Etat de l’Afrique Centrale de réduire la fracture numérique et d’interconnecter la sous région, le Coordonnateur national du projet CAB s’est félicité de ce que le Congo et le Cameroun soient interconnectés grâce au financement de la Banque Africaine de développement (BAD) « Monsieur le Ministre, le réseau que nous vous restituons aujourd’hui, incarne, au-delà de la politique du gouvernement que vous menez, un symbole fort de collaboration entre les états de l’Afrique centrale », a dit Michel Ngakala avant d’ajouter « la construction de l’ouvrage, que vous allez réceptionner ce jour, d’un coût total de 6.676.791.141 FCFA, a été rendu possible grâce au concours de la Banque Africaine de Développement ».

Les travaux de construction de ce réseau en fibre optique entre le Congo et le Cameroun ont été réalisés par la société China Communication Services International, en sigle CCSI. Il s’est agi de la pose de plus de 347km de réseau en fibre optique. IL ya eu aussi l’intervention de la société Huawei, en charge de la fourniture et de l’installation des équipements de transmission et d’énergie, et du groupement Globotech – MG Telecom, pour le suivi et le contrôle des travaux.

Succédant au lutrin, avant la coupure du ruban pour la réception provisoire de ce réseau d’interconnexion, Léon Juste Ibombo, ministre congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique a rappelé l’engagement des chefs d’Etat pris à Ndjamena, avant de conclure sur sa concrétisation à travers l’inauguration du réseau d’interconnexion Congo-Cameroun : « Réduire la grande fracture numérique, améliorer la qualité des services des télécommunications afin d’accélérer l’intégration socio-économique de la région Afrique Centrale, tel aura été l’engagement ferme des Chefs d’Etats et de Gouvernements, exprimé lors du sommet de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale, tenu en 2007 à N’Djamena au Tchad ».

Il sied de retenir que la ville de Ouesso devient un HUB pour les deux réseaux, à savoir celui déjà achevés entre le Congo et le Cameroun et celui en construction entre le Congo et la RCA. Ainsi, Ouesso fait office de point de rencontre entre les réseaux Congo –Cameroun et le futur réseau Congo – RCA.

Lancement des travaux d’interconnexion Congo-RCA

Le deuxième acte de cette double cérémonie aura été la pose de la pierre par les deux ministres, congolais et centrafricain, en charge des télécommunications pour le lancement officiellement des travaux de construction de la liaison en fibre optique Congo-RCA.

Au moment de l’accomplissement de ce geste, les intervenants du jour ont épilogué sur la signification et l’importance d’assurer l’interconnexion du Congo à la RCA après celles du Congo avec le Gabon, à partir de Lekoko, à Mbinda, réalisée en 2017 et celle du Congo avec le Cameroun qui a précédée ce lancement des travaux.

Le réseau en fibre optique en construction entre le Congo-RCA, met en musique, notamment la construction de six sites techniques dans les localités de Pokola, Kabo et Bomassa pour la partie congolaise, ainsi que de Lidjombo, Bayanga et Salo en RCA ; la pose de 285 km de fibre optique de 36 brins ; la fourniture et l’installation d’un système de télésurveillance avec camera IP.

L’organe technique du gouvernement congolais qui supervise la construction de cette liaison est à pied d’œuvre pour implémenter cette infrastructure. « Nous allons poser plus de 140km de fibre optique sous-fluviale et procéder à la construction de trois sites techniques en République centrafricaine », a soutenu au micro de la presse, le coordonnateur national du Projet CAB-Congo, Michel Ngakala, avant de signifier que la fibre qui sera posée est fluviale : « La barge chargée d’effectuer cette tâche est accostée à Ouesso sur le fleuve Sangha après avoir enfoui, en treize jours, sous une profondeur de 1,5 m, 45km de fibre optique entre Pokola et Ouesso ».

Cette ferme volonté qui s’est matérialisée, le 06 août 2019 à Bangui avec la signature d’un Accord de Coopération entre la République du Congo et celle de la République centrafricaine relatif à l’interconnexion des réseaux des communications électroniques des deux pays.

Pour le ministre centrafricain en charge des télécommunications, Justin Gourna Zacko, qui a posé, ensemble avec son collègue congolais, l’acte de lancement officiel des travaux, à travers les villes de Ouesso – Bomassa – Bayanga et Salo, sera assurée l’interconnexion effective du Congo à la RCA. La mise en œuvre de ce projet intégrateur, pouvait-il poursuivre, traduit dans les faits « l’engagement de développer des infrastructures des communications électroniques en Afrique Centrale ».

Le ministre Justin Gourna Zacko a saisi cette opportunité pour vanter l’excellence des relations existant entre les deux pays. « Le lancement des travaux de pose sous fluviale de la fibre optique est l’une condition sine qua none de mise en œuvre de notre Accord qui renforce davantage ce lien fraternel ancestral qui lie nos deux Etats », a martelé le ministre centrafricain, sans manquer de notifier que « ce lancement constitue la première étape d’un long processus de collaboration impulsée par la volonté de nos deux peuples, pour répondre aux exigences communautaires ».
Le ministre Justin Gourna Zacko a déduit que « Grâce aux efforts considérables réalisés dans ce domaine, le Congo reste le meilleur exemple de développement du secteur des communications électroniques pour la sous-région ».
Selon les informations recueillies auprès du Projet CAB-Congo la fin des travaux de construction de cette infrastructure est estimée à la fin du mois d’octobre de cette année, tout en tenant compte des périodes d’étiage que le fleuve Sangha pourrait connaître.

Source : Ministère des Postes, Télécommunications et du Numérique.

Bénin : Visitez l’Atlas de couverture de l’Arcep pour avoir l’info sur la qualité de service et la couverture des réseaux mobiles dans votre commune

[DIGITAL Business Africa] – L’Arcep Bénin, à travers sa mission de régulation, a mis à la disposition des utilisateurs de services de communications électroniques la plateforme d’accès aux informations de couverture et de qualité des réseaux mobiles dénommée « Atlas de couverture et de la qualité de service, accessible via le lien https://atlas.arcep.bj/ ou téléchargeable sur Play Store ou App Store. C’était en décembre 2021.

De nos jours, les services de communications électroniques sont essentiels pour les consommateurs qui souhaitent accéder à la multitude d’offres de services en tous lieux et avec une qualité satisfaisante. Avec cette innovation, désormais, les abonnés et les populations peuvent facilement accéder aux informations liées à la couverture et à la qualité de services des réseaux mobiles.

Cette innovation renforce la régulation et permet de stimuler la concurrence et l’investissement dans le secteur des communications électroniques.

« Partout où se trouve le consommateur sur le territoire national, il pourra obtenir toutes les informations relatives à la couverture et à la qualité de service de n’importe quel réseau de téléphonie mobile, qui opère au Bénin en temps réel. C’est un véritable progrès qui permettra aux consommateurs de suivre en un clic, la qualité de service et l’espace de couverture des réseaux mobiles« , indique l’ARCEP.

A travers cette plateforme, l’Arcep entend offrir toutes les informations de couverture et de la qualité de service de communications, qu’il s’agisse du pays, du département, de la commune ainsi que de l’arrondissement.

Un autre avantage lié à l’Atlas de couverture est qu’il présente les cartes de couverture des réseaux mobiles, les cartes de couverture par technologie, les cartes de couverture par unité administrative (Pays, départements, communes et arrondissements) et l’agrégation des données de couverture pour tout opérateur confondu.

L’intérêt qui s’ajoute ici à tous ces avantages réside dans la disponibilité des informations liées à la qualité de service tel que le taux de réussite d’appel pour la technologie 2G et 3G, le taux de réussite des SMS pour la technologie 2G et le Débit de téléchargement de données en ce qui concerne les technologies 3G et 4G.

Avec l’atlas de couverture, le consommateur choisit librement le réseau mobile et les services auxquels il veut souscrire en fonction des performances des réseaux

Par DBA. Source ARCEP Bénin

Cybersécurité et sécurité des réseaux: Les régulateurs francophones ont partagé leurs expériences à Brazzaville

[DIGITAL Business Africa] – Malgré les précautions prises pour parer aux cybermenaces et cyberattaques, les régulateurs des communications électroniques réunis au sein du Réseau francophone de la régulation des télécommunications (FRATEL), estiment que le risque zéro n’existe nullement en matière de cybersécurité. C’est ainsi que du 23 au 24, ils font de Brazzaville, la « le carrefour des réflexions technologiques » et partagent leurs expériences en la matière sous le thème, « Quels défis pour la sécurité des réseaux de nouvelle génération ».

Les préalables à la réunion annuelle du Réseau francophone de la régulation des télécommunications (FRATEL) consacrée aux « enjeux et moyens d’améliorer la résilience des réseaux de télécommunications », s’enchainent.

A Brazzaville, il est question du 19ème séminaire du Fratel dont les travaux organisés en partenariat avec l’Agence de régulation des postes et communications électroniques (ARPCE) ont été ouverts par Léon Juste Ibombo, le ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique.

Il s’agit de définir les meilleures approches de solutions, pour conférer aux réseaux et leurs infrastructures plus de résilience. Parce que « beaucoup reste encore à faire sur le chantier de sécurité face aux cybermenaces, cyberattaques et risques qui ciblent tous les secteurs d’activité… Il est vrai que tous nos États et institutions de régulation se seraient engagés à renforcer le cadre qui nous permet de lutter contre la cybercriminalité dans notre réseau. C’est pourquoi, nous partageons l’approche de création et de l’opérationnalisation des autorités, des agences et équipes dédiées à la cybersécurité, à l’instar de l’Agence Nationale de Sécurité des Systèmes d’Information, (ANSSI) et le cas échéant, le renforcement de leurs moyens humains, financiers, techniques et organisationnels », a dit le ministre Ibombo aux experts.

En un mot, ce séminaire évoque les grands enjeux liés à la sécurité, les diverses obligations des opérateurs en la matière, les mesures pour mitiger les risques, le rôle que peuvent y jouer les autorités de régulation des télécommunications, et leurs relations avec les diverses autorités compétentes, dont celles en charge de la cybersécurité.

Le risque zéro n’existe pas dans le domaine des communications électroniques, tributaire de tant d’aléas. Mais le directeur général de l’ARPCE, Louis Marc Sakala estime que « de manière collégiale, au travers des partenariats stratégiques et profitables aux différentes parties, nous pouvons mettre en œuvre des initiatives qui peuvent considérablement réduire les risques et maintenir nos services à un bon niveau de rendement sur nos territoires nationaux et sous-régionaux… ».

Au cours de ateliers et table-rondes technique, les participants regardent, ensemble, tous les aspects soulevés par la thématique de résilience et de sécurité des réseaux. C’est un moment de partager de connaissances, de savoir-faire et d’expériences sur les problèmes même spécifiques que rencontre chacune les institutions spécialisées du réseau dans l’exercice de leurs missions régaliennes.

L’atelier pratique, présente les différentes approches en matière de contrôle et de prévention liées à la sécurité des réseaux. Il se focalise sur des outils d’analyse de risques pour détecter les failles dans le fonctionnement des réseaux et sur des outils de recensement des notifications d’incidents et contrôle des mesures de sécurité.

Source : MINISTERE DES POSTES, TELECOMMUNICATIONS ET DE L’ECONOMIE NUMERIQUE.

Congo Brazza : Les habitants de Ngonaka désormais connectés à la téléphonie mobile grâce au Fonds pour le service universel des communications électroniques

[DIGITAL Business Africa] – Les habitants de Ngonaka dans le département de la Lékoumou ont désormais accès à la téléphonie mobile grâce au Fonds pour l’accès et le service universel des communications électroniques (Fasuce). Le Ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique, Président du Fasuce, M. Léon Juste Ibombo, accompagné de Louis Marc SAKALA, Directeur Général de de l’ARPCE, secrétaire du fonds, ont procédé ce vendredi 20 Mai 2022 à l’inauguration d’une antenne dans cette localité.

Cette inauguration fait suite à celles effectuées dans plus de 74 localités du pays, des localités dont les habitants communiquent désormais avec le monde entier, depuis leurs lieux d’habitations, de travail ou leurs plantations grâce au réseau téléphonique rendu disponible par les équipes Fasuce et leurs partenaires.

« Des progrès sensibles ont été enregistrés en termes d’amélioration du cadre de vie dans les localités où le FASUCE a posé ses bases», a déclaré le directeur général de l’ARPCE avant de souligner que  « Ngonaka et ses populations vont s’ouvrir au reste du monde en jouissant de ce droit fondamental qu’est l’accès aux communications électroniques, comme le souhaitent les Nations unies, qui considèrent l’accès aux moyens de communication comme un indispensable moteur de développement et d’intégration. »

Satisfaits d’avoir désormais accès à la téléphonie mobile et aux services connexes grâce au Fonds pour l’accès et le service universel des communications électroniques (Fasuce), les populations de Ngonaka ont remercié l’Etat pour ce droit d’accéder aux services numériques.

Lancé en mars 2020, le Fasuce est un outil d’aide à l’inclusion numérique de l’ensemble de la population. Son but est de permettre aux différentes populations, sur l’ensemble du territoire national, de bénéficier pleinement, sans discrimination aucune, des services qu’offrent les Communications Électroniques.

DBA. Source : ARPCE Congo

Homologation des équipements terminaux et agrément des équipements de communications électroniques au Bénin : Ce qu’il faut savoir [Document]

[DIGITAL Business Africa] – Dans le but d’assurer la sécurité des usagers, le bon fonctionnement des équipements et la sécurité des réseaux, l’Autorité de Régulation vérifie la conformité des équipements terminaux et radioélectriques par rapport aux normes autorisées.

C’est une exigence règlementaire au Bénin. Selon le code du numérique, les équipements terminaux destinés à être connectés à un réseau de communications électroniques doivent faire l’objet d’agrément de l’Autorité de Régulation. Il s’agit des équipements terminaux tels que les téléphones portables, tablettes, smart TV, ordinateurs portables, imprimantes dotées d’interface de connexion au réseau, modems/Pocket wifi, et les équipements radioélectriques : les antennes radioélectriques, les équipements réseaux (switch rooter, modem…), les autoradios connectés, les dispositifs de faible puissance et de faible portée (clé de déverrouillage de voiture, les sondes pneumatiques…) etc.

L’homologation est obtenue à l’ARCEP BENIN après introduction d’un dossier de demande d’homologation par tout fabricant, tout importateur ou tout vendeur d’équipements via la plateforme [email protected]

A cet effet, l’Autorité de régulation a adopté la décision fixant la procédure et les conditions d’agrément des équipements et des laboratoires nationaux et internationaux en République du Bénin.

La décision de l’ARCEP BENIN

Au Bénin, il est également facile pour toute personne de vérifier si son terminal est homologué ou non à travers le site web de l’ARCEP BENIN à l’adresse www.arcep.bj  ou via le lien https://arcep.bj/tableau-de-bord-des-equipements-agrees/

Par DBA. Source ARCEP Bénin

Pour la première fois, le Togo en tête des offres Internet par fibre optique (FTTH) les moins chères et les plus rapides de la zone UEMOA

[DIGITAL Business Africa] – L’ARCEP Togo a indiqué ce 23 mai 2022 à Lomé que la récente refonte tarifaire opérée par GVA Togo (Canal Box) sur les offres Internet par fibre à domicile (FTIH) a propulsé pour la première fois le Togo en tête des offres les moins chères et les plus rapides de la zone UEMOA. D’après le régulateur, cette refonte conforte le leadership de GVA Togo tant sur les parts de marché (63% à fin 2021) que sur les prix les plus compétitifs.

En effet, avec sa refonte de mai 2022, GVA Togo (Groupe Vivendi Africa) a remplacé son offre existante de 10 Mbps par une nouvelle offre de 50 Mbps pour le même tarif de 15 000 FCFA/mois et remplacé toujours pour le même tarif de 30 000 FCFA/mois, l’offre de 50 Mbps par une offre de 200 Mbps.

Pour la première fois, le Togo en tête des offres Internet par fibre optique (FTTH) les moins chères et les plus rapides de la zone UEMOA

A titre de rappel, Togo Telecom (Groupe Axian) avait, trois semaines plus tôt, également procédé à une refonte tarifaire sur les offres FTTH (i) en introduisant 5 nouvelles offres : 10 Mbps à 15 000 FCFA/mois, 60 Mbps à 30.000 FCFA/mois, 80 Mbps à 55 000 FCFA/mois, 200 Mbps à 125 000 FCFA/mois, 300 Mbps à 200.000 F CFA/mois et (ii) en modifiant l’offre de 100 Mbps qui passe de 49 000 FCFA à 75 000 FCFA/mois. Il en ressort que pour l’offre de 200 Mbps, GVA Togo est plus de 4 fois moins cher que Togo Telecom et pour l’offre de 50 Mbps, GVA Togo est 2 fois moins cher que l’offre de 60 Mbps de Togo Telecom.

Pour la première fois, le Togo en tête des offres Internet par fibre optique (FTTH) les moins chères et les plus rapides de la zone UEMOA

« En proposant dorénavant des débits jusqu’à cinq fois plus rapides pour ses deux offres tout en conservant ses tarifs initiaux, GVA Togo vient de franchir un tournant décisif sur le marché du FTTH au Togo« , indique l’ARCEP Togo qui rappelle par ailleurs que ces deux offres, les moins chères de la zone UEMOA, sont aussi proposées dans deux autres filiales (Côte d’Ivoire et Burkina Faso) du groupe GVA.

Toutes ces refontes tarifaires observées dernièrement sur le marché des communications électroniques au Togo interviennent dans un contexte où l’ARCEP, tout en dénonçant les tarifs trop élevés, n’a de cesse d’exhorter les opérateurs à pratiquer des prix plus justes et raisonnables.

Prenant acte de cette avancée majeure sur le marché de l’Internet fixe haut débit, l’ARCEP a félicité GVA Togo et vivement encouragé les autres opérateurs Togo Telecom, Café Informatique et Teolis, à lui emboiter le pas « afin de s’inscrire véritablement dans la dynamique baissière des tarifs des communications électroniques pour le développement de l’économie numérique au Togo ».

Par Digital Business Africa. Source ARCEP Togo

Au Bénin, l’Arcep met à la disposition des abonnés un simulateur tarifaire comparant les offres de communications électroniques des opérateurs mobiles

[DIGITAL Business Africa] – Pour contribuer à l’information des consommateurs et protéger leurs intérêts, l’Arcep Bénin a annoncé en décembre 2021 avoir mis en ligne une plateforme de comparaison des services mobile et Internet, dénommée « simulateur tarifaire » accessible via le lien https//simulateur.arcep.bj ou téléchargeable sur Playstore ou AppStore.

De façon spécifique, le simulateur tarifaire permet de visualiser les offres disponibles sur le marché des communications électroniques en vue de choisir l’offre la mieux adaptée à ses besoins selon l’opérateur mobile, de rationaliser son budget de communication et d’avoir une meilleure connaissance des différentes offres disponibles.

Désormais, le consommateur a la possibilité de simuler les offres de services des opérateurs mobiles, de simuler les offres de services des Fournisseurs d’Accès à Internet, de visualiser la liste des Services à Valeur Ajoutée disponibles et de se renseigner sur les numéros d’urgence et les numéros des services publics.

Ce simulateur offre davantage de visibilité sur les offres fournies par les opérateurs de téléphonie mobile et assure une certaine transparence aux consommateurs.

« Il convient de préciser que le simulateur tarifaire n’est pas une plateforme de commercialisation des offres et services de communications électroniques. Il est constitué des offres des opérateurs de téléphonie mobile, des fournisseurs d’accès à Internet et des fournisseurs de services à valeur ajoutée (SVA) en activité au Bénin », précise l’Arcep Bénin.

Par Digital Business Africa. Source ARCEP Bénin

Selon l’ARCEP Togo, les consommateurs à faibles revenus continuent de payer jusqu’à 500 fois plus cher leurs forfaits data que les autres

[DIGITAL Business Africa] – Après ses études qui avaient confirmé que les tarifs des forfaits voix et data sont très élevés au Togo par rapport aux pays de la zone UEMOA, l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP) avait vivement exhorté les opérateurs à pratiquer des tarifs plus justes et raisonnables.

Cinq (05) mois après la refonte tarifaire de Moov Africa Togo, Togo Cellulaire a opérer des ajustements tarifaires, constate l’ARCEP Togo ce 04 mai 2022. Le régulateur indique que les ajustements font apparaître les constats ci-après:

  • En entrée de gamme, les tarifs des offres data qui sont parmi les plus élevés de la zone UEMOA sont restés inchangés. En conséquence, en se référant au prix unitaire par unité de temps (PUUT), les consommateurs à faibles revenus continuent de payer jusqu’à 500 fois plus cher leurs communications data que les autres ;
  • En moyen de gamme, les tarifs ont connu une baisse moyenne de 10,3% pour les forfaits voix, 4, 1 % pour les forfaits mixtes et 28,8% pour les forfaits data (notamment avec l’augmentation du volume du forfait data de 5 000 F CFA qui passe de 2 Go à 4 Go);
  • En haut de gamme, les modifications se résument à l’introduction de deux (2) nouvelles offres de 1 O 000 F CFA et 25 000 F CFA pour les forfaits data. L’ARCEP relève que le prix unitaire de l’offre de 25 000 F CFA est curieusement plus élevé de 33% que celui de l’offre pré existante de 15 000 F CFA.

A titre de rappel, la refonte tarifaire opérée par Moov Africa Togo en novembre 2021, a aussi maintenu ses tarifs en entrée de gamme très élevés et quasi identiques à ceux de Togo Cellulaire. Seuls ses tarifs en moyen et haut de gamme ont connu une baisse, respectivement de 32% pour les forfaits mixtes et de 45% pour les forfaits voix.

Tout en saluant la dynamique baissière amorcée par les deux opérateurs sur les tarifs des offres en moyen et haut de gamme, l’ARCEP constate avec regret que ceux en entrée de gamme qui concentrent les offres les plus utilisées par les consommateurs à faibles revenus, restent toujours élevés.

Plus globalement, ces refontes tarifaires ne sont pas encore à la hauteur des attentes exprimées par l’ARCEP suite à ses précédentes analyses.
Il ressort que les refontes tarifaires des deux opérateurs de téléphonie mobile ne modifient pas fondamentalement les tendances révélées par les études réalisées par l’ARCEP.

En effet, au plan régional, le Togo a toujours les tarifs parmi les plus élevés pour les forfaits data et voix, mais se retrouve dans les moyennes régionales pour les forfaits mixtes. Au plan national, en dehors du forfait data en moyen et haut de gamme, les tarifs de Togo Cellulaire restent plus élevés que ceux de Moov Africa Togo sur les forfaits mixtes et voix.

Retrouvez l’analyse détaillée des offres tarifaires révisées de Togo Cellulaire effectuée par l’ARCEP Togo

DBA. Source ARPCE Togo

Lire aussi :

L’ARCEP Togo à la recherche d’un cabinet en vue de l’acquisition d’un comparateur tarifaire pour la simulation et la comparaison des tarifs

[DIGITAL Business Africa] – L’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (ARCEP) du Togo a lancé le 26 avril 2022 un avis d’appel d’offres international (AAOI) pour recruter des cabinets éligibles et répondant aux qualifications requises pour l’acquisition d’un comparateur tarifaire pour la simulation et la comparaison des tarifs de services de communications mobile et fixe. Digital Business Africa vous propose l’intégralité de cet AAOI de l’ARCEP Togo.

AOO N° 001/ARCEP/PRMP/2022 du 26 Avril 2022

  1. L’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes dispose des fonds budgétaires, afin de financer l’acquisition d’un comparateur tarifaire pour la simulation et la comparaison des tarifs de services de communications mobile et fixe.
  2. L’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes, sollicite des offres fermes de la part de candidats éligibles et répondant aux qualifications requises pour l’acquisition d’un comparateur tarifaire pour la simulation et la comparaison des tarifs de services de communications mobile et fixe. Le marché est en lot unique et les variantes sont autorisées, conformément à la clause IC 13.1 des données particulières de l’appel d’offres DPAO.
  3. Les livraisons sont effectuées, dans un délai de 90 jours à compter de la date de notification du marché, à l’adresse suivante :

Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (ARCEP)
4638, Boulevard Général Gnassingbé Eyadema – Cité OUA – Immeuble ARCEP,
BP : 358 Lomé, Togo

  1. La passation du Marché sera conduite par Appel d’offres ouvert tel que défini par le Code des marchés publics en vigueur et ses textes d’application, et ouvert à tous les candidats éligibles.
  2. Les candidats intéressés peuvent obtenir des informations auprès de :

Monsieur CAPO Amah Vinyo
ARCEP, 4638, Boulevard Général Gnassingbé Eyadema – Cité OUA,
BP : 358 Lomé, Togo Tél. +228 22 23 63 80 ; Fax : +228 22 23 63 94
E-mail : [email protected] Site web : www.arcep.tg

et prendre connaissance des documents d’Appel d’offres à l’adresse mentionnée ci-après :
Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (ARCEP)
4638, Boulevard Général Gnassingbé Eyadema – Cité OUA,
BP : 358 Lomé, Togo Tél. +228 22 23 63 80 ; Fax : +228 22 23 63 94
de 8H30 à 11h30 et de 15H00 à 17H00.

  1. Les exigences en matière de qualifications sont :
  • les conditions légales de l’entreprise ;
  • la situation financière de l’entreprise ;
  • l’expérience de l’entreprise ;
  • l’existence d’un service après-vente assuré directement par le soumissionnaire.
    Voir le DPAO pour les informations détaillées.
  1. Les soumissionnaires sont informés que leurs offres financières doivent être élaborées dans le respect des prix contenus dans la dernière version du répertoire des prix de référence (mercuriale des prix) disponible sur le site du Ministère de l’économie et des finances au www.finances.gouv.tg. Dans le cas contraire, leurs offres seront redressées.
  2. Les candidats intéressés peuvent consulter gratuitement le dossier d’Appel d’offres complet ou le retirer à titre onéreux contre paiement d’une somme non remboursable de cinquante mille (50 000) FCFA à l’adresse mentionnée ci-après :

Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (ARCEP)
4638, Boulevard Général Gnassingbé Eyadema – Cité OUA,
BP : 358 Lomé, Togo Tél. +228 22 23 63 80 ; Fax : +228 22 23 63 94
E-mail : [email protected]

La méthode de paiement sera :

  • en espèces à la direction générale de l’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (ARCEP), sise au 4638, Boulevard Général Gnassingbé Eyadema– Cité OUA, BP : 358 Lomé, Togo Tél. +228 22 23 63 80 ; Fax : +228 22 23 63 94, E-mail : [email protected];
  • par virement bancaire sur le compte :
    N° de Compte : 01030 006417500 142
    Intitulé du compte : ARCEP
    Banque : BTCI
    Code Swift : BTCITGTG
    Code banque : TG024

En cas de virement bancaire, les frais sont à la charge du candidat qui doit s’assurer que l’autorité contractante a reçu sur son compte le montant de cinquante mille (50 000) F CFA exigé. Le Dossier d’Appel d’offres sera remis main à main.

  1. Les offres devront être soumises à l’adresse ci-après :

Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (ARCEP)
4638, Boulevard Général Gnassingbé Eyadema – Cité OUA,
Tél. +228 22 23 63 80 ; Fax : +228 22 23 63 94

au plus tard le 31 mai 2022 à 10H00 TU.

Les offres remises en retard ne seront pas acceptées.

  1. Les offres doivent comprendre une garantie de soumission, d’un montant de trois millions (3000 000) FCFA. Cette garantie de soumission est une garantie bancaire délivrée par une banque installée ou représentée au Togo.
  2. Les candidats resteront engagés par leur offre pendant une période de quatre-vingt-dix (90) jours à compter de la date limite du dépôt des offres.
  3. Les offres seront ouvertes en présence des représentants des soumissionnaires qui souhaitent assister à l’ouverture des plis le 31 mai 2022 à 10H30 TU à l’adresse suivante :

Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (ARCEP)
4638, Boulevard Général Gnassingbé Eyadema – Cité OUA, dans l’une des salles de conférence
BP : 358 Lomé, Togo Tél. +228 22 23 63 80 ; Fax : +228 22 23 63 94
E-mail : [email protected]

Le Directeur Général, PRMP

Michel Yaovi GALLEY