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Patrick Benon : « Orange Money Cameroun S.A. devient le premier Etablissement de paiement du Cameroun. C’est un jalon majeur pour l’inclusion financière du pays »

[Digital Business Africa] – L’opérateur Orange Cameroun a reçu le O5 juillet 2022 du ministère des Finances son agrément d’établissement de paiement au Cameroun à travers sa filiale dédiée aux transactions financières Orange Money Cameroun S.A. La décision qui lui confère ce statut est l’arrêté N°00000373/MINFI du 05 mai 2022. Selon l’opérateur, à travers cet agrément, premier du genre au Cameroun, « Orange Money Cameroun SA devient (ainsi) le tout premier établissement de paiement au Cameroun ».

Orange Cameroun précise dans son communiqué que « Orange Money Cameroun SA est désormais habilitée à fournir, de façon autonome, des services de paiement tels que les dépôts, transferts et retraits d’argent, les achats de crédits et forfaits téléphoniques, les paiements de factures, salaires, impôts et taxes, les collectes et remontées de fonds et la réception de transferts d’argent internationaux… ».

Pour sa part, Patrick Benon, le DG d’Orange Cameroun, a déclaré sur Twitter qu’ Orange Money Cameroun SA devient ainsi le tout premier établissement de paiement au Cameroun  et que cela représente « un jalon majeur pour l’inclusion financière du pays. Un nouveau statut et le même engagement : les services Orange Money demeurent disponibles dans les canaux habituels« .

Dans son communiqué officiel, Orange Cameroun précise que Orange Money aujourd’hui c’est près de 10 millions de comptes ouverts, plus de 100 000 partenaires commerciaux et environ 200 000 emplois directs et indirects créés.

Orange Money Cameroun S.A. devient le premier Etablissement de Paiement du Cameroun. https://t.co/9uTeL38MBr pic.twitter.com/2iHTikt9up

— Orange Cameroun (@Orange_Cameroun) July 7, 2022

En rappel, dotée d’un capital social de 1,2 milliard de F.Cfa, Orange Money Cameroun SA a été créée en 2019 pour s’arrimer au règlement n° 04/18/Cemac/Umac/Cobac relatif au services de paiements en zone Cémac. Son DG est la Camerounaise Anne Catherine Tchokonté Tholagheu. Elle est assistée de Serge Hervé Eyiké, DGA.

Le service Orange Money est aujourd’hui disponible dans 17 pays en Afrique et au Moyen-Orient et compte plus de 40 millions de clients. Au Cameroun, OM avait été lancé en septembre 2011 en partenariat avec la BICEC.

Par Digital Business Africa

Pr Nadine MACHIKOU NGAMENI : « On ne peut pas digitaliser les capitales alors que les territoires ne le sont pas!» [Live streaming By ICT Media]

[ICT Media STRATEGIES] – C’était en LIVE. La vice-Recteur de l’Université de Yaoundé II – SOA, le Pr Nadine MACHIKOU NGAMENI, pense que le gouvernement doit énormément travailler à réenchanter les Camerounais. La digitalisation peut être une piste. « Mais, jusqu’où peut aller la digitalisation ? », s’interroge-t-elle.

D’où son invitation à une réelle réduction de la fracture numérique géographique en dotant les zones rurales des mêmes capacités et infrastructures numériques que dans les villes. Pour elle, la digitalisation doit permettre de « reconnecter les territoires ».

Le Pr Nadine MACHIKOU NGAMENI était en effet panéliste à la première conférence du MINFOPRA au SAGO le 23 juin 2022 sur le thème : « Le rôle de la quatrième révolution industrielle dans la réorganisation de la prestation de service et de la relance pendant et après une pandémie ».

Voir les précisions du Pr Nadine MACHIKOU NGAMENI dans cette vidéo

Pr Nadine MACHIKOU NGAMENI : « On ne peut pas digitaliser les capitales alors que les territoires ne le sont pas!» [Live streaming By ICT Media]La 11e édition du Salon de l’action gouvernementale (Sago) s’est tenue du 22 juin 2022 au 01 juillet 2022 au Palais polyvalent des sports de Yaoundé sur le thème général : « Modernisation de l’administration publique camerounaise comme levier majeur d’atteinte des objectifs de la SND 30 ».

Voir l’intégralité du Live et des explications du Pr Nadine MACHIKOU NGAMENI sur la page Facebook du Minfopra.

Live streaming réalisé par ICT Media STRATEGIES.

Pour vos événements au Cameroun diffusés en live streaming professionnel sur vos propres pages Facebook, Twitter et YouTube, contactez ICT Media STRATEGIES.
Mail : [email protected]. Tél : +237 674 61 01 68

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Par ICT Media STRATEGIES

Joseph LE : « Avec la digitalisation, la crise ouverte par les enseignants va bientôt relever du passé » [Live streaming By ICT Media]

[ICT Media STRATEGIES] – Pour Joseph LE, le ministre de la Fonction publique et de la Réforme publique, grâce à la digitalisation et la dématérialisation, la crise ouverte par les enseignants va bientôt relever du passé

C’était en LIVE. Lors de la première conférence du MINFOPRA au SAGO le 23 juin 2022 sur le thème : « Rôle de la quatrième révolution industrielle dans la réorganisation de la prestation de service…», le ministre de la Fonction publique et de la Réforme publique, Joseph LE, a fait le point sur les actions menées par son département ministériel pour résoudre les revendications des enseignants.

Pour lui, la digitalisation et la dématérialisation des process en cours vont considérablement réduire les délais et satisfaire les enseignants. Le ministre Joseph LE ne manque pas également de faire le point sur les actions en cours dans les autres départements ministériels impliqués.

En rappel, la 11e édition du Salon de l’action gouvernementale (Sago) s’est tenue du 22 juin 2022 au 01 juillet 2022 au Palais polyvalent des sports de Yaoundé sur le thème : « Modernisation de l’administration publique camerounaise comme levier majeur d’atteinte des objectifs de la SND 30 ».

Voir les précisions du ministre Joseph LE dans cette vidéo

Voir l’intégralité du Live et des explications du ministre sur la page Facebook du #Minfopra.

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Par ICT Media STRATEGIES

How enterprise blockchain is reshaping finance for the better [By Ericsson]

[Digital Business Africa – Experts] – By raising standards for efficiency, trust, and integrity of data, blockchain looks set to upend traditional enterprise finance in coming years. Below, we explore the potential of blockchain for finance and look at some of the enterprise market’s early movers, including a fully end-to-end digital letter of credit.

Financial transactions across the world today are becoming more efficient thanks to decentralization and peer-to-peer interchanges, made possible by blockchain and distributed ledger technologies. By design, these technologies have proved very effective in simplifying traditional transaction processes and enabling instant payment solutions globally.

What is cryptocurrency?

A cryptocurrency, such as Bitcoin, is a decentralized digital currency that is based on blockchain technology. Unlike fiat money which is a currency declared legal by a central government and is backed by said issuer, cryptocurrency is not backed by any central authority. Through distributed ledger technology that can record and synchronize electronic ledgers across multiple computers (known as nodes) globally, rather than a central database, cryptocurrencies also eliminate the need for intermediaries and their related costs.

Although blockchain evolved with smart contracts several years ago, opening the door for blockchain to be deployed across a wider variety of industries, banks and financial sectors still represent by far the highest share of blockchain deployments today, mainly for clearing settlements, cross-border payments, and digital identity management. According to a report by Jupiter Research, blockchain deployments will enable banks to realize savings on cross-border settlement transactions of up to USD 27 billion by the end of 2030 – reducing costs by more than 11 percent.

What is decentralized finance?

Decentralized finance, also known as DeFi, is the umbrella term used for peer-to-peer financial services by using blockchain technology. This makes it an alternative financial system that can compete with centralized services in terms of accessibility, resilience, and transparency in a peer-to-peer fashion.

Here are some of the key characteristics of decentralized finance:

  • Asset management: This is considered one of the most useful DeFi applications for users. A key aspect of DeFi is to give users control in areas such as purchasing, selling, and transferring digital assets. As a direct result, consumers are the sole custodian of their data and can earn interest handling their digital assets.
  • Data privacy: In contrast to traditional centralized banking systems, DeFi enables users to keep their sensitive data private.
  • Know-your-customer and compliance: Traditionally, know-your-customer (KYC) rules are a company’s most important compliance instrument for securing counter-terrorist financing (CFT) measures and anti-money laundering (AML), where privacy plays a key and sensitive role between the players. DeFi uses the know-your-transaction (KYT) method where the decentralized infrastructure provides knowledge on transactional behaviors and digital addresses, rather than the users’ identities.
  • Data and analytics: DeFi applications show unprecedented transparency for transactional data, which enables data analysis, discovery, and untapped decision-making opportunities. The growing popularity of these applications is leading to the development of dashboards and tools to assess risks, track asset value, and compare them for the liquidity process.

 

Benefit of Enterprise Blockchain for finance

Dedicated blockchain enterprise platforms have the potential to change how businesses operate globally, with the ability to create bridges based on transparency, security and trust with other companies, industries and economies across the globe.

Here are some of the benefits that blockchain can bring to today’s businesses and their value chains:

  • Trust and transparency with respect to privacy: The shared and immutable source of truth enables all parties in a business network to collaborate, reach agreements and manage selective data, while maintaining integrity and confidentiality.
  • Security: There is no single point of failure due to its distributed architecture, reducing the need for data intermediaries. It is tamper-proof against fraud and malicious third parties, making it practically impossible to manipulate or hack.
  • Business logic programmability through smart contracts: Blockchain technology supports business logic implementation and automation through programming code, validating each step of the business process with accuracy, security, and step-by-step control.
  • High performance: The modern private blockchain platforms are engineered to sustain hundreds of transactions per second as well as periodic surges in network activity.

Enterprise Blockchain use cases for finance

Many businesses have explored the advantages of blockchain for years. However, even though the technological underpinnings have untapped transformational potential, most businesses are still in the testing phase and have not yet rolled out any production-ready solutions. 

Ericsson is among the first enterprises to forge blockchain capabilities in its core business and has already adopted the technology in select processes. Just like how Enterprise Resource Planning (ERP) burst efficiency through integrating internal business processes within a company context back in the ‘90s, we are now revolutionizing ways of working by adopting blockchain technology to integrate business processes between enterprises, suppliers, third parties and customers. 

Here are two blockchain use cases which are transforming transactional processes across our value chain today:

1. Trade finance: Blockchain technology and Letters of Credit 

Block chain video

Global trade can be a complicated process when importers and exporters from various part of the world need transaction verifications before they can complete the trade finance transaction. Blockchain speeds up the process by giving all parties access to documents and records as soon as they process them. 

Expanding the footprint of blockchain in finance, Ericsson is in the frontier to adopt a digitized, trustworthy, and fully traceable Letter of Credit (LoC) process streamlined to the trade finance activities. The solution enables real-time visibility and reduction of manual paperwork while improving traceability, efficiency in handovers of assets or goods, as well as reducing working capital levels. 

operational excellence

Above: Blockchain technology in letter of credit transactions is based on an application using blockchain to link banks and corporates for an end-to-end digital letter of credit, without relying on other systems.

International transactions are part of the daily operations at Ericsson. However, the nature of these transactions can be highly complex due to the multiple parties involved and the varying geographical locations. To safeguard the execution of commercial agreements, securing payments and correctly transferring ownership of underlying goods, an LoC is used in such transactions.  

Blackchain

Traditionally, the issuance of an LoC often relies heavily on manual paperwork and requires negotiations and iterations by all parties, resulting in time-consuming and tedious processes with low visibility and traceability. By implementing blockchain technology, Ericsson is part of the early development of a digitized LoC, which is streamlined to the trade activities and allows immutable and transparent records of critical transactions and real-time visibility.  

The aim is to build a future digital Trade Finance connecting the entire eco system between all parties – Ericsson, the customer, the issuing bank, and the nominated bank. Building on blockchain and an existing global trade finance together with smart contracts and digital signatures, the LoC can virtually be approved and traced across all parties, securing the processing with speed and simplicity.  

2. Venus – Intercompany invoicing 

In 2020, Ericsson embedded blockchain in its enterprise landscape as the first blockchain use case went into full production for intercompany invoicing. Venus – the internal name of the solution, inspired by the Greek goddess of beauty – is the first blockchain platform within the Ericsson enterprise landscape.  

Venus is part of an intercompany digital transformation project, adopting blockchain technology in the non-sales order related (N-SOR) invoicing process.

The solution supports financial processes worldwide, covering more than 180 countries in which Ericsson operates. Massive post-reconciliation efforts are prevented since blockchain allows for mitigation of potential issues upfront, rather than addressing them reactively. As a result, this has yielded process quality improvements and a factor ten improvement in lead time.  

Stories of sucess group function

Above: Blockchain platform and the Venus solution enables real-time validation of invoices against purchase orders, as well as increasing tractability by eliminating manual steps in non-sales order processes.

What next?

Blockchain has the potential to reshape financial processes – reducing cost and increasing control benefits. It is a new catalyst to improve from order to cash to procure-to-pay, accounts receivable, accounts payable, general ledger, reconciliation, and even payroll.

Through blockchain technology, Ericsson is working intensively to improve financial processes by increasing efficiency, reducing reconciliation and generating new revenue streams both across our own value chain and for our customers.

Written By :

Giovanni Franzese

Head of Blockchain Business Development

Annette

Annette Ericsson

Head of Trade Finance

Roger Lindquist

Roger Lindquist

Senior Trade Finance Advisor

Anna Evsin-Sjögren

Anna Evsin-Sjögren

Senior Trade Finance Advisor

Minette Libom Li Likeng : « Le corrigé est dans le NPSI…Le DG du Gimac est sorti de la barque !»

[Digital Business Africa] – Répondant à une question de Beaugas Orain DJOYUM, DG du cabinet ICT Media STRATEGIES, la ministre des Postes et Télécommunications, Minette Libom Li Likeng, a décrié l’attitude du GIMAC qui n’aurait pas été fair play dans le processus de mise en place de la National Payment Switch Infrastructure (NPSI).
Cette plateforme d’agrégation des services numériques et financiers disponible pour tous les opérateurs et usagers camerounais grâce au code Ussd #237#.

La plateforme a été développée sous l’impulsion du Minpostel par Campost et son partenaire technique eTranzact. Elle fonctionne depuis plusieurs mois.

Lors de la cérémonie de lancement officiel de cette plateforme ce 05 juillet 2022 à Yaoundé, Beaugas Orain DJOYUM demandait en effet de savoir s’il n’y avait pas possibilité d’obliger tous les opérateurs télécoms du pays à utiliser le code Ussd #237# en lieu et place de leur propre code Ussd.

En effet, MTN Cameroon et Orange Cameroun utilisent respectivement les codes Ussd #126# et #150# pour l’accès à leur service de paiement mobile. Ils font moins ou pas de publicité de leur code Ussd #237#.

Plus encore, le DG de ICT Media STRATEGIES demandait s’il est moins onéreux d’utiliser la NPSI ou le Gimac Pay, la solution développée par le Groupement interbancaire monétique de l’Afrique centrale (GIMAC) qui offre également les services d’interopérabilité.

Répondant à ces questions, la ministre a affirmé que la National Payment Switch Infrastructure (NPSI) et son code Ussd #237# sont une réponse appropriée aux multiples demandes et besoins des petits acteurs des télécoms et du numérique, des PME et même des opérateurs qui avaient du mal à obtenir les API des services mobiles financiers des opérateurs télécoms.

Plus encore, Minette Libom Li Likeng laisse entendre qu’au cours des multiples réunions en vue de la mise sur pied de ce switch national, le DG du GIMAC, Valentin MBOZO’O, ne s’est pas comporté en gentlemen. « Nous avons tenu des réunions à l’ART et le Gimac participait à ces réunions… Pour réussir l’inclusion financière et l’inclusion numérique, il faut impliquer tout le monde. Il ne faut laisser personne. Il faut impliquer tout type d’acteurs et de services. Les gros comme les petits. Pour que tout le monde puisse bénéficier des performances technologiques des outils modernes. Pendant qu’on cheminait, le Gimac est sorti de la barque. Je l’ai souvent dit directement et je l’assume comme membre du gouvernement. Je dis directement au DG du Gimac que ce n’est pas « fair ». (Fair play, ndlr). Il a débarqué et il a vite couru. Il y a de la place pour tout le monde. Nous sommes restés et petits pas par petits pas. Parce que nous voulons qu’il y ait des grands, mais aussi qu’il y ait des startups, des petits. Que ceux de l’informel viennent dans le formel », raconte la ministre qui explique qu’il n’y a pas lieu de faire des compétitions inutiles.

En fonction des objectifs, chacun peut choisir soit le GimacPay, soit le NPSI. « Mais, vante la ministre, pour les startups, les microfinances et les autres acteurs de paiement, le corrigé est dans le Switch NPSI ! Les services qu’offre le Switch sont énormes… »

Digital Business Africa vous propose d’écouter en vidéo les explications de la ministre Minette Libom Li Likeng sur les avantages de ce code Ussd national et sur l’expérience avec le Gimac.

Les explications de la ministre interviennent après la réponse du Dr Mfuh Winfried, conseiller technique N°2 au Minpostel, indiquant que la ministre des Postes et des Télécommunications a déjà pris une décision pour obliger les opérateurs télécoms à se connecter au switch national du code Ussd #237#. « La décision des opérateurs télécoms de faire la publicité sur ce code Ussd #237# est une décision commerciale des opérateurs qui interviendra au moment opportun », a-t-il précisé.

Beaugas Orain DJOYUM pense qu’il est nécessaire de faire une large promotion de ce code Ussd #237# et d’obliger tous les opérateurs à l’utiliser. Le DG du cabinet de veille stratégique, d’e-Réputation et de Personal branding ICT Media STRATEGIES croit en effet que Cameroun, premier pays africain à expérimenter ce code Ussd unique national, peut gagner beaucoup d’argent si l’on interdit les opérateurs télécoms concessionnaires d’utiliser leurs propres codes Ussd au profit du code unique Ussd #237# du NPSI.

Cela permettra d’ailleurs, dit-il, une meilleure traçabilité des transactions. Tout comme il invite Campost et son partenaire technique à travailler en permanence pour améliorer la qualité de service de ce Switch national de paiement.

Par Digital Business Africa

La vidéo ici présentée est également disponible sur la chaîne YouTube de la plateforme d’informations stratégiques sur les TIC, les Télécoms et le Numérique en Afrique Digital Business Africa

Faustin-Archange Touadéra : « Sango Coin sera la monnaie de la nouvelle génération pour la RCA » [Vidéo]

[Digital Business Africa] – Les explications du président de la RCA, Faustin-Archange Touadéra, lors du lancement officiel du « Sango Coin, la monnaie de la nouvelle génération pour la RCA ».

La République centrafricaine a officiellement procédé au lancement de son grand projet de cryptomonnaie baptisé Sango. C’était ce dimanche 03 juillet 2022 dans un live de plus d’une heure et demie où ont tour à tour défilé le président de la République Faustin-Archange Touadéra, de nombreux acteurs publics et experts de la technologie blockchain.

Premier intervenant, le président de la République Faustin-Archange #Touadéra qui laisse entendre que le lancement de Sango Coin est une nouvelle page qui représente un pas ferme sur la voie qui ouvre d’incroyables opportunités pour la République centrafricaine.

« Pour nous, la vision est parfaite, explique Faustin-Archange Touadéra. Nous n’avons plus de temps à attendre. Pour nous, l’économie formelle n’est plus une option. Une bureaucratie impénétrable nous maintient dans un système qui ne nous donne pas la possibilité d’être performant. Notre solution c’est de repenser notre philosophie économique. C’est ce que nous avons fait et la route qui s’ouvre devant nous fait entrevoir un grand succès pour le peuple centrafricain. »

Le président explique que la blockchain va dépasser les normes conventionnelles et offrir la possibilité de prospérer économiquement. Il s’agit d’une vision orientée vers l’avenir et le progrès.

La monnaie numérique de la RCA ne veut pas seulement être une simple cryptomonnaie. La réflexion sur la tokenisation des matières premières comme l’or, le diamant, le fer, le lithium de la RCA est cours. Le président a promis une législation claire sur ce sujet. « Le Sango Coin sera l’accès direct à nos ressources naturelles pour le monde entier», indique le président de ce pays de l’Afrique centrale riche en or et en diamant.

« Nous pensons avant tout à la manière dont il changera la vie de nos citoyens et la façon dont nous réussirons à créer une économie stable, forte et prospère. Il convient de faire ce qui est nécessaire pour le bien de tous, en gardant à l’esprit les générations futures à qui nous devons laisser un héritage significatif. Sango Coin sera la monnaie de la nouvelle génération pour la République centrafricaine. Sango signifie que nous parlons enfin le langage de l’argent ! », affirme Faustin-Archange Touadéra.

Digital Business Africa vous propose l’extrait de l’exposé de Faustin-Archange Toudéra sur le Sango Coin

Plusieurs autres intervenants seront programmés dans ce live. Ceux-ci ont exposé sur de nombreuses thématiques relatives au projet Sango Coin, à savoir :
• programme e-residency ;
• programme de citoyenneté ;
• tokenisation des ressources naturelles nationales ;
• le seul metaverse soutenu par la réalité.

Premier pays africain à adopter le Bitcoin

Pour le président de la RCA, « l’alternative à l’argent liquide est la cryptomonnaie ». Son pays est d’ailleurs devenu le premier État africain à donner cours légal au bitcoin en avril 2022.

Le #SangoCoin sera soutenu par le #bitcoin. Pour l’instant, peu d’informations circulent sur la tokenomics du Sango Coin, mais, indique les experts, il est évident que le lien avec le bitcoin doit être important. Le président avait d’ailleurs déclaré sur Twitter : « Les mathématiques sont le langage de l’univers. Le #bitcoin est la monnaie universelle. »

Par Digital Business Africa

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🔴 LIVE. Tout savoir sur le Sango Coin de la RCA : les explications du président Touadéra et Cie

[Digital Business Africa] – La République centrafricaine a officiellement procédé au lancement de son grand projet de cryptomonnaie baptisé Sango. C’était ce dimanche 03 juillet 2022 dans un live de plus d’une heure et demie où ont tour à tour défilé le président de la République Faustin-Archange Touadéra, de nombreux acteurs publics et experts de la technologie blockchain.

Premier intervenant, le président de la République Faustin-Archange Touadéra qui laisse entendre que le lancement de Sango Coin est une nouvelle page qui représente un pas ferme sur la voie qui ouvre d’incroyables opportunités pour la République centrafricaine.

« Pour nous, la vision est parfaite, explique Faustin-Archange Touadéra. Nous n’avons plus de temps à attendre. Pour nous, l’économie formelle n’est plus une option. Une bureaucratie impénétrable nous maintient dans un système qui ne nous donne pas la possibilité d’être performant. Notre solution c’est de repenser notre philosophie économique. C’est ce que nous avons fait et la route qui s’ouvre devant nous fait entrevoir un grand succès pour le peuple centrafricain. »

Le président explique que la blockchain va dépasser les normes conventionnelles et offrir la possibilité de prospérer économiquement. Il s’agit d’une vision orientée vers l’avenir et le progrès.

La monnaie numérique de la RCA ne veut pas seulement être une simple cryptomonnaie. La réflexion sur la tokenisation des matières premières comme l’or, le diamant, le fer, le lithium de la RCA est cours. Le président a promis une législation claire sur ce sujet. « Le Sango Coin sera l’accès direct à nos ressources naturelles pour le monde entier», indique le président de ce pays de l’Afrique centrale riche en or et en diamant.

« Nous pensons avant tout à la manière dont il changera la vie de nos citoyens et la façon dont nous réussirons à créer une économie stable, forte et prospère. Il convient de faire ce qui est nécessaire pour le bien de tous, en gardant à l’esprit les générations futures à qui nous devons laisser un héritage significatif. Sango Coin sera la monnaie de la nouvelle génération pour la République centrafricaine. Sango signifie que nous parlons enfin le langage de l’argent ! », affirme Faustin-Archange Touadéra.

Digital Business Africa vous propose l’intégralité de la conférence Live de lancement de Sango Coin

https://www.youtube.com/embed/U3mTkXHnKsw

Plusieurs autres intervenants seront programmés dans ce live. Ceux-ci ont exposé sur de nombreuses thématiques relatives au projet Sango Coin, à savoir :
• programme e-residency ;
• programme de citoyenneté ;
• tokenisation des ressources naturelles nationales ;
• le seul metaverse soutenu par la réalité.

Premier pays africain à adopter le Bitcoin

Pour le président de la RCA, « l’alternative à l’argent liquide est la cryptomonnaie ». Son pays est d’ailleurs devenu le premier État africain à donner cours légal au bitcoin en avril 2022.

Le #SangoCoin sera soutenu par le #bitcoin. Pour l’instant, peu d’informations circulent sur la tokenomics du Sango Coin, mais, indique les experts, il est évident que le lien avec le bitcoin doit être important. Le président avait d’ailleurs déclaré sur Twitter : « Les mathématiques sont le langage de l’univers. Le #bitcoin est la monnaie universelle. »

Par Digital Business Africa

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Et pourquoi pas une dorsale transafricaine de données ?

[DIGITAL Business Africa – Avis d’expert] – Le développement des réseaux à large bande à travers le monde représente un facteur significatif du développement de notre siècle et le continent Africain offre encore, dans plusieurs de ses géographies, d’immenses opportunités de développement en termes de connectivité. Le cabinet d’études #Telegeography a récemment publié avec son partenaire #Telecom Egypt l’édition 2022 de la cartographie des télécommunications africaines avec un focus sur les câbles sous-marins reliant le continent. C’est l’occasion de se retourner sur l’état des autoroutes numériques internationales reliant le continent et le développement des routes terrestres panafricaines !

Si il est vrai que de nombreux projets de câbles sous-marins ceinturant tout ou partie du continent sont déjà actifs, l’on compte également une demi-douzaine de projets de câbles sous-marins en phase active de développement sur la période 2022-2025 et cela devrait porter à plusieurs centaines de Téraoctets par seconde la capacité totale de transport de données du continent Africain avec des points d’atterrissage dans plusieurs villes le long des cotes de l’Océan Atlantique, l’Océan Indien, la Mer Rouge et la Mer Méditerranée.

Et pourquoi pas une dorsale transafricaine de données ?

Cet essor des infrastructures sous-marines à fibre optique aura permis de considérablement réduire la fracture numérique sur le continent et par ricochet le coût moyen de l’accès aux réseaux large bande même si au final les coûts pratiqués au détail par les opérateurs de communications électroniques de plusieurs pays africains restent encore globalement plus élevés que la moyenne des continents Américain, Européen et Asiatique (voir l’étude complète du cout moyen de 1Go mobile réalisée sur 230 pays à travers le monde).

Et pourquoi pas une dorsale transafricaine de données ?

Si le modèle de connectivité internationale par câble sous-marin a largement pris le pas sur la connectivité par le segment spatial en termes de volume global transporté sur le continent, cela reste un challenge pour de nombreux pays enclavés (Botswana, Burkina Faso, Burundi, Centrafrique, Ethiopie, Malawi, Mali, Niger, Ouganda, Rwanda, Soudan du Sud, Tchad, Zambie, Zimbabwe) qui, ne bénéficiant pas d’un accès à un littoral, devraient s’appuyer dans une proportion non négligeable sur la connectivité par réseaux satellitaires. Il est vrai que l’offre globale sur les transpondeurs a connu une évolution qualitative et quantitative sur les dernières années avec l’explosion de la bande Ka en sus des bandes Ku et C, mais il ne reste pas moins vrai que la connectivité internationale par fibre optique demeure incomparable avec une bande passante internationale totale en croissance de 7.5Tbps a 38Tbps entre 2017 et 2021.

Et pourquoi pas une dorsale transafricaine de données ?

Cette situation ouvre de manière immédiate de vastes opportunités de développement de réseaux terrestres d’interconnexion transfrontalières à fibre optique permettant de relier entre elles des stations d’atterrissements de câbles sous-marins situées de part et d’autre du continent ce qui présente de facto plusieurs avantages directs :

  • Routes de restoration pour divers câbles sous-marins
  • Optimisation du temps de traversée (RTT) entre les principaux hubs continentaux (Egypte, Nigeria, Kenya & Afrique du Sud)
  • Opportunités d’accès aux câbles sous-marins pour les points de présence des pays enclavés y compris par l’acquisition de larges capacités sur le modèle de droits d’usage inaliénables sur de longues périodes (IRU – Indefeasible Right of Use)
  • Interconnexion des points d’échange internet (IXPs) continentaux
  • etc…

Les acteurs majeurs du transport de données sur le continent ne s’y sont d’ailleurs pas trompés avec de nombreuses initiatives dans plusieurs régions africaines pour interconnecter des réseaux terrestres nationaux dans le but de bâtir cette dorsale transafricaine a fibre optique. On pourrait citer sans ordre spécifique :

  • Le projet Djoliba porté par le groupe Orange en Afrique de l’Ouest et traversant le Sénégal, le Mali, le Burkina Faso, la Cote d’Ivoire et le Ghana avec une interconnexion aux câbles sous-marins ACE (Africa Coast to Europe), MainOne et SAT-3 (South Atlantic 3)
  • Le projet One Africa Broadband Network de Liquid Intelligent Technologies tout particulièrement en Afrique Australe avec le « Southern Corridor » ainsi que l’expansion vers l’Océan Atlantique via la République Démocratique du Congo
  • Le projet de câble à fibres optiques Trans Africain du groupe Maroc Télécom qui relie le Maroc, la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso et le Niger sur 5.698 km
  • Le projet WE-AFRICA-NA reliant Port-Soudan sur la Mer Rouge à Kribi et Limbe au Cameroun sur l’Océan Atlantique (annoncé en marge de Capacity Middle East 2022) initiative des opérateurs nationaux SudaChad, Sudatel et CAMTEL respectivement au Tchad, au Soudan et au Cameroun

Cette mouvance vers une accélération de la connectivité terrestre par fibre optique transfrontalière qui s’inscrit dans la dynamique globale de fluidification et d’accroissement des échanges économiques entre pays africains devrait en principe participer à la tendance baissière des coûts de communication sur le continent si elle est judicieusement exploitée par les opérateurs de communications électroniques mobiles et à condition que la qualité de service assurée sur ces dorsales transfrontalières soient arrimée aux standards internationaux particulièrement en termes de taux de disponibilité et de temps de latence.

N’hésitez pas à partager vos opinions, questions ou suggestions en commentaires !

Par Georges Mpoudi Ngole, Building the digital hub of Central Africa via CAMTEL Carrier | Transformation Leader | Business & Technology Senior Executive | French/English Speaker

Georges Mpoudi Ngolè, également promoteur de Cowork Africa

Texte initialiement publié sur LinkedIn

Empreinte énergétique : ST DIGITAL publie le PUE de son datacenter

[DIGITAL Business Africa – Avis d’expert] – ST DIGITAL publie le PUE de son datacenter. LE PUE C’EST QUOI ?

Le Power Usage Effectiveness (PUE) est un indicateur mis au point par le Green Grid pour mesurer l’efficacité énergétique d’un datacenter. Il est calculé en divisant le total de l’énergie consommée par le datacenter par le total de l’énergie utilisée par les équipements informatiques (serveur, stockage, réseau). Par exemple, en moyenne les datacenters français ont un PUE de 2,5 ce qui signifie que pour 1 Watt consommé par l’informatique, il en faut 2,5 Watt à l’entrée du datacenter.

Le PUE (Power Usage Effectiveness) s’est aujourd’hui imposé comme un indicateur technique universellement reconnu pour traduire l’efficacité énergétique des datacenters.

Il est devenu un témoin de l’informatique « éco-responsable.

DES PRATIQUES RESPONSABLES

Avec l’adoption du cloud, l’informatique mondiale se déplace massivement dans les datacenters et ces derniers concentrent désormais une part très significative de l’empreinte énergétique de l’économie du numérique. Ils sont devenus plus que jamais des infrastructures critiques et vitales, dont la moindre défaillance entraîne des conséquences désastreuses et un impact concret sur l’économie.

Chez ST DIGITAL nous travaillons au quotidien pour améliorer l’efficacité de notre datacenter, par exemple les serveurs modernes peuvent supporter une température constante de 30°C (conformément aux normes ASHRAE) et avons donc fait le choix d’ajuster nos températures de fonctionnement en conséquence au lieu de la consigne classique de température de 20°C.

La performance énergétique est un véritable enjeu pour nous operateur de datacenter dans un contexte de crise énergétique qui se traduit par de nombreuse interruption de fourniture suites aux problèmes en cours sur les organes de production comme sur le réseau de transport et distribution.

La responsabilité environnementale de notre industrie doit reposer sur 2 piliers indissociables : efficience du datacenter et l’approvisionnement énergétique.

Mesure réalisée suivant la norme ISO/IEC 30134-2:2016

ST DIGITAL L’ACTEUR MAJEUR DE LA COLLOCATION EN AFRIQUE CENTRALE ET DE L’OUEST

ST DIGITAL se positionne comme leader du cloud en Afrique de l’Ouest et du Centre en étant à la fois partenaire MICROSOFT CLOUD SOLUTION PROVIDER et seul acteur indépendant à posséder un DATACENTER aux normes et standards internationaux avec des sites d’hébergement en Côte d’Ivoire et Togo pour proposer une offre 100% Africaine.

Par correspondance particulière

La Zambienne Mitwa Ng’ambi nommée DG de MTN Cameroon en remplacement de Stephen Blewett qui quitte le groupe MTN

[DIGITAL Business Africa] – L’opérateur de télécommunications MTN Cameroon a annoncé ce 30 juin 2022 la nomination de Mitwa Ng’ambi comme nouveau directeur général à compter du 1er septembre 2022. Elle succède à Stephen Blewett qui quitte le groupe sud-africain MTN pour d’autres opportunités de carrière.

Mitwa Ng’ambi, actuellement directeur général de MTN Rwanda, compte près de dix ans dans la famille MTN où elle a également occupé des postes de responsabilité au sein des filiales du Groupe au Bénin et en Zambie.

Mitwa Ng’ambi, 39 ans (née le 03 août 1983), est une spécialiste des télécommunications dont la carrière s’étend sur plus de 10 ans dans ce secteur des télécoms. Elle a rejoint MTN Rwandacell PLC en octobre 2019 en provenance d’Airtel Tigo Ghana où elle occupait le poste de PDG. Avant cela, elle était directrice générale de Tigo Sénégal.

Ng’ambi est décrite comme une personne ayant de l’expérience dans le commerce, la technologie et le développement de stratégies de croissance. Elle a précédemment travaillé pour MTN Bénin en tant que directrice du marketing.

Au fil des ans, elle a également acquis de l’expérience dans la direction de fusions et d’acquisitions dans le secteur des télécommunications. Elle est titulaire d’une maîtrise en informatique de l’Université de Joensuu, en Finlande, et d’une licence en informatique de l’Université de Namibie.

La Zambienne Mitwa Ng'ambi nommée DG de MTN Cameroon en remplacement de Stephen Blewett qui quitte le groupe MTN

Au cours de son mandat à la tête de MTN Rwanda, Mitwa a contribué à renforcer l’engagement des parties prenantes de l’entreprise. Elle a mené avec succès des initiatives de transformation de l’industrie pour le développement du numérique et l’inclusion financière. Mitwa a par ailleurs supervisé l’entrée en bourse de MTN Rwanda et la création de sa filiale Fintech.

« Nous tenons à remercier Stephen pour sa précieuse contribution au fil des ans, et nous souhaitons la bienvenue à Mitwa dans la famille MTN Cameroon. Nous sommes convaincus que son expérience, son leadership exceptionnel et son expertise profiteront à MTN Cameroon et aux parties prenantes. Nous lui souhaitons la réussite dans son nouveau rôle où elle va poursuivre la mise en œuvre de nos priorités stratégiques définies dans le Plan  Ambition 2025 », a déclaré Colin Mukete, président du conseil d’administration de MTN Cameroon.

Par Digital Business Africa. Source : MTN Cameroon

Empreinte énergétique : ST DIGITAL publie le PUE de son datacenter

LE PUE C’EST QUOI ? Le Power Usage Effectiveness (PUE) est un indicateur mis au point par le Green Grid pour mesurer l’efficacité énergétique d’un datacenter. Il est calculé en divisant le total de l’énergie consommée par le datacenter par le total de l’énergie utilisée par les équipements informatiques (serveur, stockage, réseau). Par exemple, en moyenne les datacenters français ont un PUE de 2,5 ce qui signifie que pour 1 Watt consommé par l’informatique, il en faut 2,5 Watt à l’entrée du datacenter.

Le PUE (Power Usage Effectiveness) s’est aujourd’hui imposé comme un indicateur technique universellement reconnu pour traduire l’efficacité énergétique des datacenters.

Il est devenu un témoin de l’informatique « éco-responsable.

DES PRATIQUES RESPONSABLE

Avec l’adoption du cloud, l’informatique mondiale se déplace massivement dans les datacenters et ces derniers concentrent désormais une part très significative de l’empreinte énergétique de l’économie du numérique. Ils sont devenus plus que jamais des infrastructures critiques et vitales, dont la moindre défaillance entraîne des conséquences désastreuses et un impact concret sur l’économie.

Chez ST DIGITAL nous travaillons au quotidien pour améliorer l’efficacité de notre datacenter, par exemple les serveurs modernes peuvent supporter une température constante de 30°C (conformément aux normes ASHRAE) et avons donc fait le choix d’ajuster nos températures de fonctionnement en conséquence au lieu de la consigne classique de température de 20°C.

La performance énergétique est un véritable enjeu pour nous operateur de datacenter dans un contexte de crise énergétique qui se traduit par de nombreuse interruption de fourniture suites aux problèmes en cours sur les organes de production comme sur le réseau de transport et distribution.

La responsabilité environnementale de notre industrie doit reposer sur 2 piliers indissociables : efficience du datacenter et l’approvisionnement énergétique.

Mesure réalisé suivant la norme ISO/IEC 30134-2:2016

ST DIGITAL L’ACTEUR MAJEUR DE LA COLLOCATION EN AFRIQUE CENTRALE ET DE L’OUEST

ST DIGITAL se positionne comme leader du cloud en Afrique de l’Ouest et du Centre en étant à la fois partenaire MICROSOFT CLOUD SOLUTION PROVIDER et seul acteur indépendant à posséder un DATACENTER aux normes et standards internationaux avec des sites d’hébergement en Côte d’Ivoire et Togo pour proposer une offre 100% Africaine.

Par correspondance particulière

Cameroun : Des officiers stagiaires de l’EIFORCES à Camtel pour comprendre les dispositifs de sécurisation des communications électroniques

Digital Business AfricaLa 8ème promotion des hauts cadres de la police et de la gendarmerie en formation à l’Ecole Internationale des Forces de sécurité (EIFORCES) a effectué une visite d’étude à la société nationale de télécommunications du Cameroun Camtel ce mercredi 29 juin 2022. Après dix mois de formation théorique, il s’agissait pour les 28 auditeurs du Cameroun, Mali, Congo, Cote d’Ivoire et du Togo de passer à la phase pratique pour concrètement cerner les réalités sur le terrain.

Selon le colonel Atangana qui conduisait la délégation, un des aspects de la formation à l’EIFORCES consiste en effet à se déplacer pour venir toucher du doigt l’environnement dans lequel évoluent les acteurs impliqués dans les processus sécuritaires du pays.

Cameroun : Des officiers stagiaires de l’EIFORCES à Camtel pour comprendre les dispositifs de sécurisation des communications électroniques

Et la Camtel compte assurément parmi ceux-ci. « Il s’agit de leur permettre de mieux appréhender leur rôle dans les missions qu’ils seront appelés à mener. Le choix de la société Camtel est d’un pur intérêt stratégique. Aujourd’hui, les TIC sont à la pointe de toutes les activités de sécurité. Il était question pour nous d’ouvrir cet horizon pour nos auditeurs afin qu’ils sachent situer cet acteur dans le corpus sécuritaire camerounais, et les étrangers feront de même avec les sociétés similaires qui existent chez eux » a-t-il précisé, avant d’ajouter : « les échanges que nous avons eu ont permis de déblayer certains domaines qui restaient encore obscurs, ils ont ainsi permis à nos apprenants de savoir ce qu’ils peuvent attendre d’une société comme la Camtel ».

Le programme de visite a ainsi été jugé satisfaisant par la délégation. Après les mots de bienvenue et la présentation de la 8ème promotion de l’EIFORCES, l’assistance a eu droit à un exposé dispensé par l’inspecteur N 3 à la Camtel, M Georges Mpoudi Ngollè.

Après avoir rappelé l’historique et les missions de la Camtel, ce dernier a présenté les différents réseaux qui sont gérés par la Camtel ainsi que les enjeux de l’émergence d’une économie numérique sécurisée. Le Cameroun possède en effet 4 câbles qui constituent l’architecture des télécommunications et déploie plusieurs initiatives afin de devenir le hub sous-régional en matière d’interconnexion.  

Les apprenants ont également découvert le Network Operations Center qui coordonne la télécommunication, ainsi que Security Operation Center qui est une unité essentielle chargée de veiller à la sécurité de tout le système.

Beaucoup de satisfaction a également été exprimé par Mme Fadimatou Aboubacar, représente de la DG, qui s’est énormément réjouie de la visite des installations et équipements de la Network Operation Center par les étudiants de l’EIFORCES.

« Je nourris fortement le vœu que des rencontres de cette nature deviennent une tradition pour nos deux institutions, tradition mutuellement bénéfique dans le cadre de la formation des personnels de Cqmtel et des étudiants de l’EIFORCES, à travers des échanges, des partages d’expérience notamment », a-t-elle déclaré.

Pour rappel, l’EIFORCES est une école internationale de droit camerounais fondée en 2008 par Son Excellence M Paul Biya avec pour vocation de former des civils, policiers et gendarmes aux niveaux tactiques, opératifs et stratégiques dans tous les domaines de la sécurité et du maintien de la paix. Elle compte déjà à son actif près de 3000 diplômés issus de 24 pays africains.

Par Gaelle Massang

Avec 142,4 millions d’abonnés, le Sénégalais Khaby Lame devient l’homme le plus suivi sur TikTok à 22 ans

[DIGITAL Business Africa] – Il est décidément la bonne adresse pour rire. Khaby Lame, âgé de 22 ans et établi en Italie s’est assuré la sympathie de 142,4 millions d’abonnés sur le réseau social chinois TikTok,

L’information est fournie par CNN, le 23 juin 2022. Puis relayée par les sites lefigaro, RFI, TV5, entre autres. Il dépasse ainsi la jeune Américaine Charli D’Amelio qui l’à été à 19 ans.

La visibilité acquise, Khaby Lame pense déjà au cinéma. Et il le fait savoir. En mai 2022, le Festival de Cannes l’accueille, où il foule alors le fameux tapis rouge en tenue de circonstances des lieux. Une grande première pour le Sénégalais.

En même temps un préalable à la réalisation de son rêve d’enfance : devenir acteur comme son idole Will Smith pour sa prestation dans « Le Prince de Bel Air ».

En décembre 2020, il pose pour un magazine italien. En février 2022, Hugo Boss, marque de prêt-à-porter l’engage comme son égérie. Pepsi aussi le recrute pour sa dernière campagne publicitaire.

Si la langue est le code pour d’autres comédiens, eh bien le jeune Sénégalais se sert plutôt de la mimique. Cela pour faire passer un message en quelque secondes. Généralement, c’est pour tourner en dérision les méthodes édictées par des fabricants de produits en guise de promotion de ceux-ci.

Et ça marche, puisque la barrière linguistique a été brisée sur les réseaux sociaux, depuis que Khaby Lame a fait de la comédie sa principale activité, après qu’il ait perdu son emploi pendant la Covid-19  en 2020. Il s’affairait alors pendant deux ans, à de petits boulots : maçon, plongeur, mécanicien, serveur.

Par Jean Materne Zambo

Tunisie : Fin du projet de connexion des zones blanches, les populations rurales ont droit à l’Internet grâce à Tunisie Télécom

[DIGITAL Business Africa] – Le ministère des Technologies de la Communication et l’opérateur des Télécommunications Tunisie Télécom ont mis en oeuvre le projet portant couverture des zones blanches. Il consistait à couvrir en haut débit les zones blanches, c’est-à-dire ces endroits du territoire national non couverts par Internet. 

Nizar Ben Neji,  ministre des Technologies de la communication, a annoncé le 24 juin 2022, la fin de ce projet financé par le Fonds de Développement des Communications. Dont l’enveloppe globale s’élevait à 38 millions de dinars. Le projet « les zones blanches »  entre dans le cadre du Plan National Stratégique « Tunisie Digitale 2020 ».

Tunisie : Fin du projet de connexion des zones blanches, les populations rurales ont droit à l'Internet grâce à Tunisie Télécom

L’appel d’offres avait été lancé en 2017. Et c’est  à Tunisie Telecom que la charge a été confiée pour la réalisation dudit projet. A cet effet, Tunisie Télécom a réussi à couvrir des zones blanches représentant 94 secteurs répartis sur 47 délégations dans 15 gouvernorats et assurer ainsi l’accès, à plus de 164 écoles, 59 centres de santé de base et 180 000 habitants.

Nizar Ben Neji, le ministre des Technologies de la communication, s’est réjoui de la réalisation  « dans les delais « de  la finalisation du programme de couverture des zones blanches. Ce qui participera en même temps de à contribuer  à digitaliser et à démocratiser  l’accès à l’information et à la création d’une dynamique économique dans les différentes régions.

Lassâad Ben Dhiab, DG de Tunis Télécom, n’a pas manqué d’ exprimer a son tour son contentement:

 « Nous sommes heureux aujourd’hui du travail accompli par Tunisie Télécom pour la couverture des zones blanches en dépit de toutes les difficultés. Je tiens à remercier toutes les équipes intervenantes à ce projet grandiose et complexe. Cela ne fait que renforcer l’engagement responsable de Tunisie Telecom, l’opérateur toujours présent, impliqué et investi pour la noble cause « 

Lassâad Ben Dhiab est reparti avec un prix à lui remis par Nizar Ben Neji, ministre des Technologies de la communication, pour les efforts déployés par Tunisie Télécom  quant à  l’achèvement de ce projet.

Par Jean Materne Zambo

L’ARCEP Togo inflige à Togo Cellulaire une amende de 2,3 milliards de F.CFA pour l’instabilité de son réseau mobile

[DIGITAL Business Africa] – Au lendemain d’une audience publique et contradictoire au cours de laquelle l’opérateur Togo Cellulaire a été mis en situation de présenter ses moyens de défenses, le Comité de direction de l’ARCEP a infligé à Togo Cellulaire, par décision n°2022-006/ARCEP/CD/22 en date du 24 juin 2022, une amende de deux milliards trois cent soixante et un millions cent cinquante-huit mille trois cent onze (2 361 158 311) francs.

Ce montant correspond à 2% de son chiffre d’affaires certifié de l’exercice 2021, « pour manquements graves à son obligation de disponibilité permanente, continue et régulière des services de communications électroniques mobiles, conformément à l’article 31 de la loi sur les communications électroniques« , explique l’ARCEP TOGO.

Par DBA. Source ARCEP Togo

Cameroun : Le MINFOPRA annonce la mise en place prochaine d’une plateforme web centralisant l’ensemble des services publics [Vidéo]

[DIGITAL Business Africa] – Le Cameroun sera bientôt doté d’une plateforme web rassemblant l’ensemble des services publics offerts par l’administration camerounaise aux usagers. L’annonce a été faite par le ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative, Joseph LE, ce 23 juin 2022 lors d’une conférence organisée au Palais polyvalent des sports de Yaoundé sur le thème : « Rôle de la 4e révolution industrielle dans la réorganisation de la prestation des services et de la relance pendant et après la pandémie ».

Le Minfopra célébrait à cette occasion la 27e Journée africaine de la Fonction publique qui coïncide cette année avec l’organisation du Salon de l’Action gouvernementale (Sago) où le Minfopra a effectué un déploiement particulier pour présenter aux visiteurs ses différents chantiers de dématérialisation des services publics et de modernisation de l’action publique.

Cameroun : Le MINFOPRA annonce la mise en place prochaine d’une plateforme web centralisant l’ensemble des services publics

Après avoir présenté ces chantiers et réalisations, le ministre Joseph LE a annoncé qu’à court et à moyen termes, le MINFOPRA envisage d’améliorer les services offerts aux usagers à travers : la mise en place d’un portail des services numériques qui va centraliser tous les services de l’Administration Publique Camerounaise ; la dématérialisation de la nouvelle procédure d’évaluation des agents publics ; l’application de contrôle de présence inopiné à travers des terminaux mobiles biométriques sécurisés ; la certification en ligne des actes de carrières ; la mise sur pied d’une plateforme d’authentification des diplômes afin de raccourcir le délai de traitement ; le passage en ligne des épreuves écrites aux concours administratifs et enfin la conception des dispositifs de télétravail.

Pour ce qui est de la mise en place d’un portail des services numériques centralisant tous les services de l’administration publique camerounaise, Joseph LE indique que cela sera fait « à très très brève échéance », car les discussions ont déjà commencé avec une soixantaine d’administrations publiques.

« En effet, à travers son projet « Système de Renseignement des agents publics et des usagers », le MINFOPRA entend utiliser de manière efficiente les services des TIC, en vue de transmettre des informations à destination des usagers.  Ainsi, à travers les mails, les SMS, une application mobile (Android/iOS), le portail USSD, les usagers pourraient recevoir toutes les informations essentielles, concernant l’évolution des dossiers et même certaines informations relatives aux concours administratifs, lancés par le MINFOPRA. Nous pourrons également interagir avec ces derniers, au moyen d’un Chat ou d’un forum. À terme, on pourra par exemple, à chaque mouvement significatif du dossier, transmettre un message instantanément à l’intéressé », a expliqué Joseph LE.

Regarder le Live

Voir la conférence organisée par le Minfopra avec plusieurs intervenants comme le Pr MACHIKOU née Nadine NGAMENI, Agrégée des Sciences Politique et Professeur titulaire des Universités, Vice-Recteur de l’Université de Yaoundé II-Soa en charge des Relations avec le monde économique, qui a exposé sur le sous-thème des « enjeux de la refondation du service public » dans le contexte de la quatrième révolution industrielle.

Pour elle, il faut que les ressources humaines du gouvernement devant conduire la transformation digitale soient mieux formées et que les infrastructures numériques soient déconcentrées dans les territoires et non plus seulement dans les services centraux situés dans les grandes villes. Live réalisé par le cabinet ICT Media STRATEGIES. Regarder le direct à partir de 1:20 (la première minute et la vingtième seconde) :

En rappel, la Journée africaine de la Fonction publique a été instituée par la première conférence panafricaine des ministres en charge de la Fonction publique tenue les 20 et 21 juin 1994 à Tanger (Maroc) et adoptée par l’Organisation des Nations Unies, à travers sa résolution n° 57/277 du 20 décembre 2002.

Par Digital Business Africa

Point sur l’utilisation des TIC et du Numérique au MINFOPRA

Cameroun : Le MINFOPRA annonce la mise en place prochaine d’une plateforme web centralisant l’ensemble des services publics

Dans son propos liminaire, le ministre Joseph LE a dressé un bilan des actions menées dans son département ministériel en vue d’intégrer les progrès du numérique dans l’action gouvernementale. Extraits.

« Plusieurs actions de réorganisation de la prestation des services rendus aux usagers ont été menées depuis le début de la pandémie du Covid-19.

C’est ainsi que, pour éviter l’arrêt des activités, le MINFOPRA a entrepris, d’instaurer le passage des examens oraux, aux concours administratifs, par visioconférence, et la tenue des conseils de discipline en ligne, afin de réduire le nombre de personnes dans le même espace physique. Ce, conformément aux prescriptions du Chef de l’Etat, pour éviter la propagation de cette terrible pandémie.

Pour le faire, nous avons procédé à l’interconnexion des dix Délégations Régionales du MINFOPRA aux services centraux par la fibre optique posée par CAMTEL. Ce qui a permis d’étendre le SIGIPES en région, ainsi que l’accès au fichier central des archives préalablement numérisé, afin de déconcentrer certains services rendus aux usagers.

Nous avons notamment comme service : la certification des actes administratifs, la notification et le retrait des actes aboutis. L’objectif étant de limiter les déplacements des usagers vers Yaoundé, avec tous les risques et les dépenses pouvant en découler.

Dans la même mouvance, la procédure d’inscription des candidats aux différents recrutements dans la fonction publique, a été dématérialisée, pour se faire désormais en ligne, sous réserve d’un dépôt des documents physiques apostériori.

En outre, et dans la perspective de tirer davantage  parti des technologies de l’industrie 4.0, une convention de partenariat a été signée avec CAMTEL, opérateur historique disposant d’une infrastructure adaptée, pour le Cloud Computing.

Cette infrastructure permettra au MINFOPRA de sécuriser les données d’une part, et d’autre part d’héberger certains de ses services métiers.

Nous avons également le nouveau SIGIPES, qui va offrir entre autres, la possibilité de gérer le temps et la présence des agents publics au travail, à travers les bornes biométriques.

Ce qui, à terme, va permettre le calcul de la solde basée sur l’assiduité, afin de payer l’Agent public, en fonction du nombre de jours de travail.

De même, l’horodateur des documents va permettre d’assurer la confidentialité des dossiers publics, à travers une plateforme en ligne, ainsi que le Système public d’archivage, dans le but de réguler le flux des documents physiques.

Ainsi, en ce qui concerne le développement des services mis en ligne, c’est-à-dire des procédures dématérialisées.Nous citerons entre autres :

  1. La présence dans les réseaux sociaux pour l’interaction avec les usagers, à travers WhatsApp, Facebook, Twitter, LinkedIn, la messagerie électronique « [email protected]».

En somme, le MINFOPRA, sans ignorer l’évolution de la société actuelle, utilise tous les canaux possibles, pour rapprocher le service public de l’usager. A ce niveau, il faut relever qu’il a été instauré un canal d’échange vidéo entre les usagers et le Ministre de la Fonction Publique appelé VOUS & NOUS.

  • La mise en œuvre d’une solution d’archivage numérique et la dématérialisation des archives : L’archivage numérique consiste à stocker à long terme des documents numériques sur un support électronique dédié à cet effet.

Depuis des décennies, aucun classement des archives n’a été effectué. Il a été donc question de mettre des documents, dans une archive et d’assurer leur conservation sur le court, le moyen et le long terme, avec des garanties d’authenticité, d’intégrité, de fiabilité et de lisibilité.

  • La dématérialisation de la procédure d’inscription aux concours administratifs. Les candidats aux concours administratifs ouverts au MINFOPRA peuvent désormais déposer tous leurs dossiers, pièces constitutives comprises, en ligne sans plus avoir besoin de se présenter physiquement au MINFOPRA.
  • La notification électronique des actes aboutis. Tous les actes signés sont systématiquement numérisés et mis à la disposition des agents publics.
  • Le babillard électronique : il permet en effet d’afficher, à travers notre site web, la liste de tous les actes aboutis afin que les concernés y prennent connaissance et puissent les solliciter électroniquement avant le retrait physique.
  • La consultation des dossiers en ligne : à travers la plateforme http://dossier.minfopra.gov.cm , l’usager peut suivre le traitement de son dossier en ligne.
  • Le Call Center. Toutes les préoccupations des usagers sont désormais traitées au téléphone et WhatsApp gratuitement à travers le numéro vert : 1522.
  • La Mise en place d’un système de vidéoconférence pour les oraux des concours administratifs, à travers une plateforme autonome déployée au MINFOPRA »

Les précisions du Ministre sur la mise en place d’un portail des services numériques qui va centraliser tous les services de l’administration publique camerounaise en vidéo. A partir de la 14e minute pour les mobinautes :

Le comité technique spécialisé de l’Union africaine préoccupé de la transformation digitale du continent

[DIGITAL Business Africa] –  Le ministre congolais, Léon Juste Ibombo, des postes, des télécommunications et de l’économie numérique a présidé, ce jeudi 23 juin 2022, par visioconférence, la réunion du bureau du comité spécialisé de l’Union Africaine sur les technologies de l’information et de la communication.

S’appuyant sur le plan d’action, dont l’instance s’est dotée en octobre 2021, comme base permettant de mesurer les objectifs fixés dans l’agenda 2063 de l’Union Africaine, cette réunion virtuelle s’est voulu un cadre d’échanges fructueux et de relèvement des défis du développement durable.

Aussi les ministres africains en charge des TIC ont-ils planché sur le développement de la poste, dans l’optique de favoriser le commerce et la gouvernance électronique. Il s’est agi, également de porter une attention sur l’agriculture et la santé numérique pour un niveau et une qualité de vie élevés des africains.

L’éducation, à travers les stratégies de culture et de promotion à la citoyenneté numérique, ainsi que la structuration de la gestion des données, ont figuré aussi au menu de cette réunion.

L’autre point en débat aura été l’approche continentale sur l’intelligence artificielle, sans oublier le point sur le réseau des femmes africaines dans la cyber sécurité NAWC.

Par Digital Business Africa. Source : MINISTERE DES POSTES, TELECOMMUNICATIONS ET DE L’ECONOMIE NUMERIQUE.

Cameroun : Voici les dix artistes retenus par Star News Mobile pour la seconde édition de la StarNews Urban Hit Show by Orange

[DIGITAL Business Africa] – Ils sont connus, les dix artistes camerounais retenus par Star News Mobile pour participer à la seconde édition de la StarNews Urban Hit Show by Orange.

Il s’agit de :

  1. Boy TAG, artiste, auteur compositeur, spécialisé dans le rap ;
  2. FUL , artiste, auteur compositeur arrangeur, spécialisé dans l’afro pop & le RNB ;
  3. Mr Shyne, artiste, auteur, compositeur, producteur, spécialisé dans l’afro pop ;
  4. Darina victry, Artiste, interprète, compositrice spécialisée dans l’afro love ;
  5. JANÉA, artiste, auteur, rappeur ;
  6. Phillbill, artiste, auteur, compositeur, producteur, spécialisé dans l’afro pop ;
  7. Sabrina Love, artiste, chanteuse, compositrice, spécialisée dans l’afro beat ;
  8. Babaah Master, artiste, auteur, compositeur, arrangeur, producteur, spécialisé dans l’afro Ben ;
  9. Watto De Souza, artiste, chanteur interprète spécialisé dans le « mbolé » ;
  10. Aveiro DJESS, artiste, auteur compositeur, producteur, interprète, spécialisé dans « l’afro dégamé ».

Les noms des artistes sélectionnés pour cette compétition ont été dévoilés ce 21 juin 2022, à l’IFC de Douala par Star News Mobile Cameroun, à l’occasion de la célébration de la fête de la musique.

Avant de commencer avec la production des contenus de qualité sur leur chaîne Star News Mobile, les 10 artistes sélectionnés vont immédiatement entamer une formation digitale à Orange Digital Center, partenaire de l’événement et soutien de la musique camerounaise depuis plus de 10 ans.

Il leur sera présenté le principe de fonctionnement la plateforme numérique Star News mobile. Mais surtout, ils apprendront comment bien se mettre en exergue sur le web et les réseaux sociaux et comment monétiser leurs contenus sur le web et les réseaux sociaux.

C’est le 10 septembre 2022 que le vainqueur sera annoncé après 10 semaines de compétition et de production de contenus originaux pour le bonheur de leurs fans sur Star News Mobile. Les artistes qui réussiront à cumuler un maximum de votes du public à travers leurs contenus vidéos sont récompensés.

Au Cameroun, la Star News Urban Hit Show (SNUHS) by Orange est une compétition entre artistes qui permet de déterminer lesquels influencent le plus leur communauté avec leurs contenus exclusifs postés sur leur chaine sur la plateforme numérique de Star News.

L’on se rappelle que l’an dernier, les artistes vainqueurs de la première édition Maalhox, Happy et Mink’s avaient respectivement reçu chacun de StarNews Mobile un chèque de 20 millions de F.Cfa, de 10 millions de F.Cfa et de 05 millions de F.Cfa. C’était le 06 novembre 2021 à Douala.

« Lors de la première édition, au cours de trois mois de compétition avec 20 artistes en liste, nous avons recruté 300 000 abonnés qui ont accepté d’apporter leur soutien aux artistes. Nous avons eu une production de contenus et un accompagnement médiatique d’Orange à 360 degrés pour faire la promotion de ces artistes qui se sont mobilisés. Enfin, et c’est le plus important, nous avons réussi à donner une crédibilité et un signal qu’avec StarNews les artistes peuvent gagner de l’argent. La preuve, nous avons apporté une réponse ponctuelle à ces artistes qui étaient sinistrés par la Covid-19 et nous leur avons permis de gagner un montant total de 37 millions de francs CFA », rappelait il y a peu Diane Mouaha, la Country Manager de StarNews Mobile au Cameroun.

Les innovations de l’acte 2 de SNUHS by Orange

Si en 2021 StarNews Mobile a octroyé 37 millions de francs Cfa aux artistes, le montant en 2022 est revu à la hausse. Cette année, 45 millions de francs CFA seront accordés aux artistes vainqueurs. Ceci, selon un modèle « inédit » de création de revenus constants et permanents même après la compétition, explique Diane Mouaha.

D’après ses explications, trois leviers de 15 millions de francs CFA chacun sont mis en place pour la seconde édition de la SNUHS : le premier levier de 15 millions de francs Cfa pour récompenser la performance de dix artistes en leur octroyant 500 000 francs Cfa chacun par mois pendant les trois mois de la compétition ; le second levier de 15 millions de francs Cfa pour récompenser la performance des trois meilleurs artistes de la plateforme Star News en leur octroyant 5 000 000 francs Cfa chacun et enfin le troisième levier de 15 millions de F.CFA pour récompenser la performance des trois meilleures chaînes crées pour les trois gagnants leur permettant de gagner chacun au minimum un million de francs Cfa par mois pendant les cinq mois qui suivront la compétition.

Par Digital Business Africa

Congo Brazza: Le président Denis Sassou-N’guesso fixe les modalités de financement et de gestion du Fonds de service postal universel

[DIGITAL Business Africa] – Le président de la République, Denis Sassou-N’guesso, a signé le décret n⁰ 2022-318 du 14 juin 2022 fixant les modalités de financement et de gestion du fonds de service postal universel. Digital Business Africa vous propose l’intégralité de ce décret.

Le président de la République, Denis Sassou Nguesso a signé le Décret n⁰ 2022-318 du 14 juin 2022 fixant les modalités de financement et de gestion du fonds de service postal universel.DigitalBusinessAfricavousproprosel’intégralitédecedécret

Télécharger le 👉Décret fixant les modalités de financement et de gestion du FSPU

Kigali CMDT 2022-UIT: Louis-Marc SAKALA (ARPCE) et Houlin Zhao trouvent accord sur les montants dus par la République du Congo à l’UIT

[Digital Business Africa] – En mission de service à Kigali au Rwanda, dans le cadre de la Conférence Mondiale de Développement des Télécommunications (CMDT 2022), le Directeur Général de l’ARPCE, Louis-Marc SAKALA, a rencontré, le 15 juin 2022, quelques personnalités africaines et du monde du numérique dont Mme Paula Ingabire, Ministre rwandaise de l’Information et des communications, de la technologie et de l’Innovation et les membres de la délégation du ministère japonnais des affaires intérieures et de communication.

Il a également eu une réunion avec M. Houlin Zhao, Secrétaire Général de l’Union Internationale des Télécomunications avec qui ils ont signé un avenant à l’Accord d’amortissement des montants dus à l’UIT par la République du Congo.

Cet avenant est le résultat de la mission de travail effectuée par les équipes de l’ARPCE au siège de l’UIT à Genève en mai dernier. 

Aujourd’hui avec cet accord et grâce aux efforts du gouvernement et de l’ARPCE, le régulateur du secteur des Télécoms au Congo, le pays a retrouvé son droit de vote à l’UIT et peut désormais exprimer son point de vue, en tant que membre à part entière de cette organisation internationale.

Par DBA. Source : Arpce Congo