« Le Nigéria perd environ 127 milliards de nairas par cybercriminalité. Cela est dû en partie à notre incapacité à sécuriser de manière adéquate nos systèmes d’information, SI. Par conséquent, la sécurité de notre système d’information est indispensable si nous voulons garantir la sécurité de nos services. Notre marché de logiciels indigène n’a pas été négligé par les défis de la tendance à la croissance face à la concurrence féroce des logiciels étrangers. Cette tendance a affecté la croissance du secteur local des logiciels, qui dépasse maintenant les 10 milliards de dollars, bien exploité. L’importance des tests de logiciels ne peut pas être surestimée dans l’environnement technologique en pleine croissance d’aujourd’hui, car le secteur mondial des technologies de l’information pourrait atteindre 5 milliards de dollars cette année », explique le Dr. Isa Ibrahim Pantami.
Dans la foulée de cette annonce, le patron de la NITDA explique que la menace cybercriminelle est encore beaucoup plus importante du fait de la digitalisation des services publics engagée par les autorités. Une digitalisation également engagée par les banques, qui représentent tout de même la principale cible des cybercriminels.
Jephté TCHEMEDIE