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Quatre règles pour surfer le Net en sécurité

[Digital Business Africa – Avis d’expert] – La sécurité sur Internet consiste à rester plus en sécurité en ligne. Cela comprend la conscience des risques associés à votre activité en ligne et l’utilisation de quelques stratégies pour prévenir ou éviter ces risques. La sécurité sur Internet est également parfois appelée sécurité en ligne, cybersécurité ou sécurité électronique.

Conseils de sécurité Internet pour les adolescents

Certains adolescents sont souvent plus experts en technologie que leurs parents, mais cela ne signifie pas qu’ils ont un sens aigu du jugement ou qu’ils ont accès à tous les outils qui peuvent aider à les protéger en ligne. Aidez vos préadolescents et adolescents à rester en sécurité en leur présentant les conseils de sécurité Internet suivants.

Conseil n°1 : Utilisez un système de gestion des mots de passe

Renforcez votre protection par mot de passe avec un programme de gestion des mots de passe, qui peut mémoriser des mots de passe uniques pour tous vos comptes. Mieux encore, avec un gestionnaire de mots de passe, vous n’avez besoin que d’un seul mot de passe.

Conseil n°2 : protégez vos comptes de réseaux sociaux

Il y a de fortes chances que quelqu’un dans votre maison utilise un réseau social. Mais les réseaux sociaux peuvent également attirer les cybercriminels et les voleurs d’identité. Gardez un œil sur vos comptes sociaux. Si quelqu’un vous envoie un message, et qu’il ne l’a pas fait depuis un certain temps, méfiez-vous.

Le compte de votre ami a peut-être été piraté. Les parents devraient rappeler aux adolescents de ne jamais rencontrer en personne une personne qu’ils ont rencontrée en ligne et de dire à un adulte si un inconnu leur envoie un message.

Conseil n°3 : faites attention à ce que vous publiez

Il est important que les enfants, les adolescents et les membres de la famille sachent combien d’informations sont trop d’informations. Dans leur enthousiasme à partager des jalons, les adolescents peuvent parfois publier leurs informations personnelles en ligne.

Par exemple, un permis de conduire ou un itinéraire de voyage partagé en ligne pourrait être une information précieuse pour les voleurs d’identité ou les cambrioleurs. Les photos personnelles ou intimes peuvent également attirer les prédateurs en ligne ou affecter les futures opportunités d’éducation ou d’emploi.

Conseil n°4 : Achetez en ligne uniquement à partir de sites sécurisés

La question de savoir si les adolescents sont autorisés à faire des achats en ligne dépend de leurs parents. Que les adolescents écoutent est une autre histoire. Apprenez aux vôtres comment faire des achats en ligne en toute sécurité en leur présentant certains indicateurs d’un site Web sécurisé.

L’un des meilleurs indicateurs est de savoir si un site fonctionne sur HTTPS, ce qui signifie que le site dispose d’un certificat de sécurité qui protège les informations personnelles des visiteurs en cryptant leurs données.

Vous pouvez vérifier si un site s’exécute sur HTTPS en revérifiant le début d’une URL dans la barre d’adresse et en confirmant également s’il y a un cadenas à côté. Par exemple, le site de paris Casino 777 s’exécute sur HTTPS, ce qui veut dire que vos informations lors du paiement sont sécurisées.

Par Bill Samba (Correspondance)

Apple approuve le retour du réseau social Parler sur son store suite aux améliorations en termes de modération des discours haineux

[Digital Business Africa] – Apple a approuvé le retour du réseau social Parler sur l’app store IOS suite aux améliorations apportées par la société de médias sociaux pour mieux détecter et modérer les discours de haine et l’incitation à la haine, selon une lettre que le fabricant d’iPhone a envoyée au Congrès ce lundi 20 avril 2021. La décision ouvre la voie à Parler, une application populaire auprès des conservateurs, y compris certains membres de l’extrême droite, qui sera à nouveau téléchargée sur les appareils Apple.

La lettre – adressée au sénateur Mike Lee et au représentant Ken Buck et obtenue par CNN – expliquait que depuis que l’application a été retirée de la plate-forme d’Apple en janvier pour violation de ses politiques, Parler “a proposé des mises à jour de son application et de la modération du contenu de l’application.” Le 14 avril, l’équipe d’examen des applications d’Apple a déclaré à Parler que les modifications proposées étaient suffisantes, a poursuivi la lettre. Maintenant, tout ce que Parler doit faire est de basculer l’interrupteur.

 «Apple prévoit que la mise à jour de l’application Parler sera disponible dès que Parler la publiera», indique la lettre d’Apple. Parler avait été retirée des principales plateformes technologiques début janvier à la suite des émeutes du Capitole américain du 6 janvier. Parler a été expulsé des magasins d’applications d’Apple et de Google, ainsi que d’Amazon Web Services, qui hébergeait le produit de la société. Les trois géants de la technologie ont cité la présence d’un discours violent sur Parler comme motif de retrait.

Par Gaëlle Massang

MTN Rwanda envisage de faire ses débuts à la Bourse du Rwanda en début mai 2021

[Digital Business Africa] – Dans un communiqué, la société MTN Rwanda annonce avoir reçu l’approbation de la Capital Market Authority (CMA) et de la Bourse du Rwanda (RSE) pour pouvoir faire son entrée en bourse dès ce 4 mai 2021. Les actionnaires de Crystal Telecom (CTL) ont également accepté de distribuer 20% de la participation de MTN Rwanda qu’ils détiennent à compter de la date de cotation.  

La cotation de MTN Rwanda verra 1 350 886 600 actions ordinaires d’une valeur nominale de 1 Frw chacune inscrites à la RSE à un prix de cotation initial de 269 Frw par action ordinaire. Les actionnaires de CTL deviendront des actionnaires directs de MTN Rwanda et pourront échanger leurs actions MTN Rwanda sur le RSE.

 Commentant l’annonce, Mitwa Ng’ambi, PDG de MTN Rwanda, a déclaré: «La cotation officielle des actions de MTN Rwanda à la RSE aura lieu le 4 mai 2021. Nous sommes impatients de participer aux marchés de capitaux du Rwanda et de voir cela comme une opportunité passionnante pour la communauté des investisseurs dans son ensemble de participer directement à la propriété de MTN Rwanda. Nous sommes également ravis d’accueillir d’anciens actionnaires de CTL en tant qu’actionnaires de MTN Rwanda. »

Iza Irame, PDG de CTL, déclare: «Nous sommes heureux de voir cette transaction importante se concrétiser. Cela permettra à nos actionnaires de conserver leur intérêt économique dans MTN Rwanda tout en bénéficiant de l’efficacité et de la visibilité qui accompagnent la propriété directe. »

Par Gaëlle Massang

Chine : La valeur du Bitcoin a chuté de plus de 10 % en raison de pannes d’électricité dans le Xinjiang

[Digital Business Africa] – Les nombreuses fermes de minage du Bitcoin situés dans la région du Xinjiang à l’ouest de la Chine se sont retrouvées sans électricité pour alimenter leur activité, le taux de hachage de la cryptomonnaie s’est effondré, rapporte Bitcoin Magazine​. La cause ? L’inondation qui a piégé le 10 avril 21 employés dans une mine de charbon de ce secteur.

Le taux de hachage est un indice qui mesure la capacité de traitement de l’ensemble du réseau Bitcoin. Plus les mineurs sont disponibles pour le traitement des données, plus le taux de hachage est élevé, plus le réseau peut résoudre les opérations. Le 15 avril, le taux de hachage d’Antpool avait chuté de 24,5 % en 24 heures, celui de Binance Pool de 20 %, celui de BTC. com de 18,9 % et enfin celui de Poolin de 33 %.

Un tel incident aurait pu être insignifiant pour le Bitcoin dans un autre territoire, mais avec celle du Sichuan, la région du Xinjiang accueille la plupart des fermes de minages chinoises. Cet épisode a aussi eu une incidence sur la valeur du Bitcoin, qui est passée de 52 832 euros ce mercredi à 47 005.

Par Gaëlle Massang

Burkina Faso : le service bancaire Orange Money désormais disponible pour les clients de UBA

[Digital Business Africa] – Orange Money, le service bancaire de l’opérateur télécom français désormais disponible pour les clients d’UBA. Il permet aux clients de la banque d’effectuer plus facilement des transactions. Cette simplification résulte du fait que les comptes bancaires et mobile money des utilisateurs ont été liés. Quatre avantages sont mis en avant par les deux partenaires.

Ils promettent à leur cible les possibilités suivantes : transférer de l’argent de son compte bancaire UBA vers son compte Orange Money, transférer de l’argent de son compte Orange Money vers son compte bancaire UBA, consulter le solde de son compte bancaire UBA et obtenir le mini relevé de son compte bancaire UBA (les 5 dernières transactions). 

Pour en profiter, les clients sont invités à s’auto-enrôler. Leurs numéros de téléphone correspondant à leur compte Orange Money doivent être les mêmes que ceux sur lesquels UBA envoie les notifications des transactions de compte bancaire. Une assistance en agence est disponible pour les clients qui ne sont pas en règle.

Par Gaëlle Massang

Cameroun : 24 enseignants suivent une formation à la certification Huawei ICT Academy

[DIGITAL Business Africa] – 24 enseignants suivent, depuis le 14avril 2021, une formation à la certification Huawei ICT Academy. Une formation qui a vocation à développer les talents locaux en Technologies de l’Information et de la Communication.  Sauf qu’il ne s’agit pas de talents cette fois, mais d’enseignants de l’Institut Eponyme et de l’institut supérieur de formation aux métiers de Télécommunication, de l’innovation technologique, de commerce et de Gestion(IFTC-Sup).  Au  terme de la formation, les apprenants seront à même de  transmettre  des connaissances connexes à la certification  à leurs étudiants.

La cérémonie de lancement  a eu lieu sur le campus  de  l’Institut africain de l’Informatique(IAI) en présence de son directeur, Armand Claude Abanda et d’ Edmonde Djiokeng Teboh, directrice des relations publiques Huawei pour la zone Cemac, qui a ressassé les œuvres de Huawei sur le plan éducatif au Cameroun:  « Grace aux efforts conjointement du MINESUP, de Huawei et de ces écoles partenaires, 83 étudiants en TIC exceptionnels des dix régions du Cameroun ont obtenu avec succès la certification de Huawei ICT Academy, près de 1 000 étudiants et enseignants ont participé aux formations de ce programme. Lors du concours Huawei ICT Competition de l’année dernière, trois étudiants de Huawei ICT Academy de l’Université de Douala ont remporté la troisième place à la grande finale mondiale, ce qui reflète le succès de Huawei ICT Academy au Cameroun ».

Ajoutez à cela  cinq « Huawei  ICT Acadamy » qui ont été ouvert depuis le partenariat. Il s’agit de  l’École nationale supérieure des Postes, des Télécommunications et des Technologies de l’Information et de la Communication (SUP’PTIC), l’École nationale supérieure polytechnique (ENSP) de Yaoundé I, l’Institut Universitaire de la Côte (I.U.C), l’Université de Douala, et  l’Institut Africain d’Informatique (IAI).

Ecrit par Jean Materne Zambo (Stg)

Sénégal : Sonatel, meilleure entreprise cotée à la Bourse régionale des Valeurs mobilières

[DIGITAL Business Africa] – Pour la deuxième fois de suite, Sonatel a été auréolée. La société nationale des Télécommunications demeure la meilleure entreprise cotée à la Bourse régionale  des Valeurs mobilières. Notamment lors de ses awards 2021, dans la catégorie des acteurs du marché financier de l’Union économique et monétaire Ouest-africaine (Uemoa).  L’évènement s’est tenu samedi 17 avril 2021 à Abidjan. Un argument a certainement prévalu en faveur de la société sénégalaise : c’est  sa capitalisation boursière, qui  est la valeur totale des actions d’une société. Elle s’élève à 1695 milliards. Donc environ 35% de la capitalisation des 46 entreprises cotées en  Bourse régionale  des Valeurs mobilières dont le siège se trouve à Abidjan, Cote d’Ivoire. Sonatel a été cotée pour la première fois, le 2 octobre 1998 à la BRVM.

Le Groupe Sonatel offre des services inhérents aux télécommunications, domaines du fixe, mobile, Internet, télévision, mobile money et données. Cela au profit des particuliers et des entreprises. Sonatel a été créée en 1985, et est présente au Mali depuis  2002, en Guinée et Guinée Bissau depuis  2007, en Sierra Léone en 2016 et tout dernièrement au Bénin.

Grâce à son partenariat avec le français Orange, l’on doit à Sonatel  la  construction d’un réseau moderne, entièrement numérisé par des boucles de transmission et des liaisons internationales par câbles sous-marins à fibres optiques haut débit. L’entreprise dispose de l’une des bandes passantes internet les plus importantes d’Afrique (6.5 Gbits/s). Sa maison mère est orange, qui détient 42, 3% de ses actions.

Ecrit par Jean Materne Zambo (Stg)

Une association irlandaise veut faire condamner Facebook concernant la fuite de données des 533 millions d’abonnés

[Digital Business Africa] – L’association de défense des droits citoyens Digital Rights Ireland (DRI) a porté plainte contre Facebook auprès de la Cnil irlandaise. Elle veut également porter l’affaire devant les tribunaux et représenter toutes les victimes européennes qui souhaitent se faire indemniser concernant la fuite de données personnelles de 533 millions d’utilisateurs Facebook sur Internet dans le monde, dont 95 millions dans l’Union européenne, nous informe 01net.

Pour rejoindre cette « action de masse », il suffit de remplir un formulaire en ligne, après avoir vérifié que l’on figure bien parmi les victimes. Interrogée par The Irish Times, l’association DRI estime que cette indemnisation pourrait se situer entre 300 et 12 000 euros par victime, soit plus de 28 milliards d’indemnités à payer. La base légale sur laquelle ce procès pourrait se tenir est celle du RGPD, qui oblige les entreprises de mettre en place des mesures de protection et d’alerter les autorités et les victimes en cas de violation.

 Selon DRI, Facebook n’aurait respecté ni l’un ni l’autre. L’autorité irlandaise de protection des données personnelles a officiellement démarré une enquête sur le sujet.  A ce stade, il est évidemment difficile de prévoir l’issue de cette enquête.

Dans un communiqué, Facebook a confirmé qu’il allait « totalement coopérer » avec l’autorité irlandaise. Toute l’attention se portera évidemment sur cette fonctionnalité d’import de contacts qui a permis à des hackers de collecter en masse des données personnelles sur les utilisateurs du réseau social, toujours selon 01net.

Par Gaelle Massang

La startup camerounaise Agropad et celle malgache GreenNKool remportent le concours Med’Innovant Africa 2020-2021

[Digital Business Africa] –  Med’Innovant Africa 2020-2021 est une compétition organisée par l’Établissement public d’aménagement Euroméditerranée (EPAEM). Elle est dédiée aux projets urbains inspirants pour une « ville africaine durable et résiliente » Parmi les 183 startups provenant de 27 pays africains qui ont participé à la deuxième édition du concours Med’Innovant Africa, ce sont les jeunes entreprises camerounaise et malgache Agropad et GreenNKool qui ont été récompensées, nous informe Afrique IT.

 Euroméditerranée, la structure organisatrice de ce concours ambitionne poursuivre sa politique d’ouverture en direction du continent africain par l’accompagnement des projets de start-ups africaines investies dans la production de solutions urbaines novatrices. Cette année, le concours s’est axé sur la résilience territoriale. « Dans un contexte de crise sanitaire, économique et environnementale mondiale, il semble primordial de construire ensemble une réponse collective aux problématiques de développement et d’aménagement des territoires pour qu’ils soient capables de surmonter les chocs de demain », a déclaré  Hugues Parant, Directeur Général d’Euroméditerranée.

L’entreprise AgroPad est spécialisée dans l’agronomie. Elle offre aux agriculteurs, la possibilité de maîtriser l’irrigation de leur exploitation agricole à distance, depuis un téléphone portable, grâce à une application qui fonctionne avec ou sans connexion Internet. Elle permet d’actionner à distance un automate par l’envoi de SMS. Le concept ayant séduit le jury, elle a ainsi remporté le prix Coup de Cœur qui lui donne droit à une dotation en numéraire de 2 500 euros.

Le prix du Jury est revenu à GreenNKool. Elle est une startup active dans la sensibilisation au tri sélectif et à la valorisation des déchets dans les communautés défavorisées de son île. Elle propose différentes activités culturelles et artistiques, ainsi que des ateliers et des cours gratuits, tous sur le thème du développement durable. Elle a reçu un financement de 7 000 euros. Les deux lauréats ont battu à la finale les entreprises SenVitale du Sénégal, MessiBat International du Cameroun et MAMIAM du Maroc, toujours selon Afrique IT.

Par Gaelle Massang

Covid 19 : Google annonce une série de dons financiers pour encourager les vaccins

[Digital Business Africa] – Google affirme vouloir faciliter la vaccination des communautés défavorisées en termes d’accès à la santé. La firme californienne a promis de fournir 250.000 doses de vaccins aux pays dans le besoin, d’aider à financer des sites temporaires de vaccination aux Etats-Unis et d’accorder 250 millions de dollars en subventions publicitaires pour aider des gouvernements et organisations de santé, y compris l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) à communiquer sur les campagnes en cours, nous informe 20 minutes.

« Aux Etats-Unis, le Covid-19 a affecté de façon disproportionnée les populations afro-américaines et hispaniques, et pourtant ces groupes ont des taux de vaccination moins élevés », note le groupe. Google s’inquiète aussi qu’ailleurs dans le monde, « il va sûrement falloir des années pour que certains pays aient suffisamment de vaccins ».

Entre autre mesure, Google va mettre en place un « agent virtuel » pour orienter les personnes qui n’ont pas ou peu accès à Internet. Accessible par texto, chat en ligne ou téléphone, il doit permettre de prendre rendez-vous pour se faire vacciner ou de poser des questions basiques sur son éligibilité, dans 28 langues différentes. La branche de cloud (informatique à distance) du géant des technologies a mis au point cet outil avant tout pour « les personnes ayant un accès limité à Internet », explique un communiqué.

Plusieurs grandes entreprises technologiques ont annoncé des efforts similaires. Amazon, Uber et Facebook ont mis à disposition des ressources ou déployé des outils numériques pour aider les campagnes de vaccination. « Comme nous l’avons vu pendant la pandémie, personne n’est protégé du Covid-19 tant que tout le monde ne l’est pas », souligne Google.

Aux Etats-Unis, au Canada, au Chili, en France, en Inde et à Singapour, Google Maps permet désormais de trouver des établissements qui vaccinent, toujours selon 20 minutes.

Par Gaelle Massang

Accord entre MTN et Camtel : Pour Minette Libom Li Likeng, c’est « une étape essentielle dans la mise en place d’un marché national sain et concurrentiel »

[Digital Business Africa] – La réglementation Camerounaise dans le domaine des Télécommunications constitue l’un des axes essentiels dans la mise en œuvre de la Très Haute Vision du Président de la République sur la gouvernance de la fibre optique au Cameroun. Et  le Ministre des Postes et Télécommunications, dans le cadre de l’assainissement du secteur, veille à l’application de ces Très hautes prescriptions contenues dans la loi.

Ainsi, chaque opérateur concessionnaire de téléphonie mobile exercice ses activités dans le périmètre concédé, sans  être autorisé à entreprendre des activités de transport, qui ne peuvent être effectuées que par les titulaires de licences appropriées.  Depuis quelques années cependant, CAMTEL et MTN Cameroon s’étaient accordés, en marge de la réglementation, il convient tout de même de le relever, autour de  l’activité de vente des capacités aux entreprises et aux grands comptes.

 Les recommandations du Ministère des Postes et Télécommunications et les évolutions structurelles récentes dans le marché national des communications électroniques, ont amené non seulement CAMTEL, désormais  concessionnaire de téléphonie mobile,   à  reconsidérer son déploiement sur ce segment de marché, mais aussi les deux opérateurs à se conformer à la réglementation en vigueur.

C’est dans cette optique que le cadre de négociation engagé depuis 2018 entre  MTN et CAMTEL pour la revente de la connectivité nationale aux clients wholesale, a été finalisé.   « Ainsi donc à travers le Protocole signé ce jour, MTN Cameroon s’engage à mettre fin au plus tard dans un délai de quatre (04) mois après la signature de l’accord, aux contrats avec les quatre (04) clients wholesale qui sont en ce moment dans son portefeuille et CAMTEL à son tour, s’engage à fournir aux clients concernés (listés dans l’accord), un niveau de qualité de service et d’accord de niveau de service (SLA) au moins similaires à ceux préalablement fournis par MTN, tel qu’annexés au présent protocole » déclare Minette Libom Li Likeng, au cours de la cérémonie officielle de signature du protocole, ajoutant que « C’est donc l’occasion pour moi, de féliciter chaleureusement les deux opérateurs MTN et CAMTEL pour l’aboutissement de ces négociations qui constitue une étape essentielle dans la mise en place d’un marché national des communications électroniques sain et concurrentiel. »

L’activité wholesale ou  marché de gros a pour objectif de valoriser les actifs réseaux, en vendant du trafic en gros, de l’interconnexion, et en louant des infrastructures sur les réseaux fixe (cuivre et fibre) et mobile.  Le marché du wholesale recouvre à cet effet, l’offre de produits et de services pour des clients opérateurs – également concurrents sur les marchés de détail – dans une relation Business to Business to Consumer – B2B2C,ou Business to Business to Business B2B2B, ou Carrier to Carrier – C2C, /pour la construction de réseaux.

Cette évolution structurelle dans le marché des communications électroniques, vecteur de convergence rend de plus en plus nécessaire une co-régulation. En d’autres termes, une régulation « participative », dans laquelle le régulateur sectoriel est associé à tous les acteurs du marché : Etat, opérateurs et consommateurs. C’est dire que pour y parvenir, le rôle de l’Etat désormais est d’encourager la mise en place de cadres de concertation comme ceux ayant abouti à ce protocole d’accord, de manière à trouver collectivement, des solutions mutuellement acceptables.

Par Gaelle Massang

Projet Warcip Togo : Appel d’offres international pour l’acquisition de la bande passante internationale pour le Carrier Hotel et pour l’IXP [Document]

[Digital Business Africa] – Le gouvernement de la République togolaise, représenté par le Ministère de l’Economie numérique et de la Transformation digitale (MENTD), a reçu un crédit auprès de l’Association internationale de développement pour couvrir le coût du Projet WARCIP – Togo et entend affecter une partie du produit de ce crédit aux paiements relatifs au marché pour le Service d’acquisition de la Bande Passante Internationale.

Le MENTD, à travers la Coordination du Projet WARCIP, et pour le compte de La Société d’Infrastructures Numériques (SIN), invite les soumissionnaires éligibles et qualifiés à présenter leur soumission cachetée en vue de la livraison de la prestation de service suivante : Acquisition de bande passante internationale pour le Carrier Hotel et l’IXP, sous la forme d’un IRU d’une durée de deux (2) ans ou trois (3) ans, pour un « Prix de référence » égal à 1,83 millions (1 830 000) dollars US / équivalent F CFA TTC, incluant les frais de mise en service et excluant le « Coût de maintenance », dont le montant
cumulé sur toute la durée de l’IRU ne pourra pas excéder la valeur de 100 000 dollars US / équivalent F CFA TTC
.

Il est entendu que les coûts de maintenance seront financés par l’Etat togolais. Les soumissions devront être déposées avant le 22/06/2021 à 10H00 (TU). En raison de la situation d’urgence du COVID 19, les soumissionnaires ont la possibilité de faire leur soumission par voie électronique.

Les détails dans l’appel d’offres ci-dessous

Cameroun : la start-up Nashma remporte la compétition “Gamifikathon 2021” organisée par le PAMEC-GIZ et ActivSpaces

[Digital Business Africa] – L’entreprise digitale Nashma, spécialisée dans le développement de solutions virtuelles innovantes, est la grande gagnante de la compétition “Gamifikathon 2021” organisée par l’organisme de coopération allemande PAMEC-GIZ  (Programme d’ Appui à la Modernisation de l’ Etat Civil – par la GIZ) et ActivSpaces, le hub technologique situé à Douala au Cameroun.

Ce « hackathon état-civil gamification » organisé du 8 au 10 avril 2021 avait pour objectif global est d’accompagner le BUNEC (Bureau national de l’Etat civil) dans la diversification de ses outils de sensibilisation et de formation grâce à la Gamification (apprentissage ludique ou game based learning) en le dotant d’un jeu vidéo qui renforce les connaissances du joueur sur les notions de l’Etat Civil en général et au Cameroun en particulier.

« Nous remportons ainsi le prix de 1500€ et, cerise sur le gâteau, on aura accès aux premières loges et pendant un mois à la légendaire expérience et sagesse de Madiba Olivier et sa Team de Kiro’o Games », annonce Nashma sur Facebook.

La deuxième place revient à une équipe venue de Buea, la team Wakanda237, qui repart avec un prix spécial coup de cœur de 100.000F offert par KIROO Games. La 3e place revient à la team KmerGame qui bénéficiera de l’accompagnement d’ActivSpaces pour explorer la suite du projet.

Par Gaelle Massang

Cameroun : la start-up Nashma remporte la compétition “Gamifikathon 2021” organisée par le PAMEC-GIZ et ActivSpaces

[Digital Business Africa] – L’entreprise digitale Nashma, spécialisée dans le développement de solutions virtuelles innovantes, est la grande gagnante de la compétition “Gamifikathon 2021” organisée par l’organisme de coopération allemande PAMEC-GIZ  (Programme d’ Appui à la Modernisation de l’ Etat Civil – par la GIZ) et ActivSpaces, le hub technologique situé à Douala au Cameroun.

Ce « hackathon état-civil gamification » organisé du 8 au 10 avril 2021 avait pour objectif global est d’accompagner le BUNEC (Bureau national de l’Etat civil) dans la diversification de ses outils de sensibilisation et de formation grâce à la Gamification (apprentissage ludique ou game based learning) en le dotant d’un jeu vidéo qui renforce les connaissances du joueur sur les notions de l’Etat Civil en général et au Cameroun en particulier.

« Nous remportons ainsi le prix de 1500€ et, cerise sur le gâteau, on aura accès aux premières loges et pendant un mois à la légendaire expérience et sagesse de Madiba Olivier et sa Team de Kiro’o Games », annonce Nashma sur Facebook.

La deuxième place revient à une équipe venue de Buea, la team Wakanda237, qui repart avec un prix spécial coup de cœur de 100.000F offert par KIROO Games. La 3e place revient à la team KmerGame qui bénéficiera de l’accompagnement d’ActivSpaces pour explorer la suite du projet.

Par Gaelle Massang

Kenya : Avec le soutien du gouvernement, Telkom va lancer Fursa, un portefeuille numérique destiné aux jeunes

[Digital Business Africa] – Le gouvernement Kenyan entend assurer à sa jeunesse une inclusion financière totale (Offre de services financiers et bancaires de base à faible coût spécifique pour des consommateurs en situation de difficultés et de ce fait exclus des services traditionnels). Cela grâce à un accord qui le lie depuis le mercredi 14 avril 2021 avec l’opérateur téléphonique Telkom. Et c’est le ministère des TIC, de l’Innovation et de la Jeunesse, via le national Youth Council of Kenya, NYCK, qui en est le signataire, coté gouvernement.

L’accord porte sur le développement d’un portefeuille numérique nommé « Fursa », qui signifie « opportunité » en Swahili, une langue parlée en Afrique de l’Est. Un portefeuille numérique ou encore électronique est un système basé sur un logiciel qui stocke en toute sécurité les informations de paiement et les mots de passe des utilisateurs pour de nombreux modes de paiement et de sites web.  « Fursa est une énorme opportunité pour  soutenir les efforts du gouvernement à fournir aux jeunes un filet financier et sécurisé à l’échelle nationale alors que la pandémie est en train de se dissiper », a déclaré Roy Sasaka Telewa, directeur général du national Youth Council of Kenya, NYCK.

Il reviendra donc à Telkom d’installer ledit portefeuille après l’avoir développé. En d’autres termes, il va faciliter son opérationnalisation, sa maintenance et ses mises à jour. Outre ces prestations, il fournira également des services professionnels et de support aux produits. Le contrôle, les performances et la disponibilité ne seront pas en reste.

Pendant que la vague du coronavirus déferlait sur le pays en 2020, le gouvernement kényan avait exhorté les populations au paiement numérique à l’effet d’endiguer la pandémie. A l’époque, Il s’était fixé un objectif : atteindre un taux d’inclusion financière de 100%.

Ecrit par Jean Materne Zambo (Stg)

Ralph Mupita, CEO du groupe africain MTN, annonce que des parts de la branche Mobile Money seront mis sur le marché

[Digital Business Africa] – L’opérateur sud-africain MTN se prépare à mettre une part minoritaire de sa branche mobile money sur le marché. L’objectif est de porter la valorisation de cette branche  à au moins, 5 milliards de dollars, a annoncé Ralph Mupita, CEO de MTN au Financial Times.

Cette part sera proposée à des à des investisseurs mondiaux, enthousiasmés par la croissance rapide des actifs fintech. Ils devraient être très intéressés par celui de MTN car son activité a enregistré d’impressionnantes valeurs. Elle a gagné 12 millions d’utilisateurs supplémentaires en 2020, ce qui porte sa base totale à 46 millions, nous informe AITN.

MTN compte aussi rendre son activité Mobile Money indépendante. Ce projet de séparation avait été annoncé le mois dernier. L’objectif affiché à ce moment-là était de réduire de 3 milliards de dollars la dette nette de l’entreprise. Mupita est convaincu que l’opération pourrait débloquer de la valeur cachée, toujours selon AITN.

Par Gaelle Massang

Togo : le gouvernement va lancer une procédure d’accréditation des Prestataires de Services de Certification Electronique (PSCE)

[Digital Business Africa] – Le gouvernement togolais, à travers l’Autorité de Régulations des Communications électroniques et des Postes, ARCEP, va lancer une procédure permettant aux acteurs des secteurs du commerce et de l’administration électronique d’être accrédités en tant que Prestataires de Services de Certification Electronique (PSCE).

Pour ce faire, le régulateur togolais du secteur des télécommunications a lancé un appel à manifestation dans le but de répertorier les acteurs ou structures exerçant dans le domaine du commerce et de l’administration électronique. Ces derniers pourraient devenir s’ils le souhaitent ou si toutes les conditions sont réunies, des Prestataires de Services de Certification Electronique (PSCE), nous informe Afrique IT.

L’ARCEP se prononcera comme l’autorité déléguée de certification. Elle se chargera d’accréditer les acteurs qui remplissent toutes les conditions exigées.  Par ailleurs, l’autorité régulatrice devra doter les organismes qui désirent assurer des services de confiance électronique aux entreprises, administrations ou au public d’une qualification.

Les différentes prestations portent sur la délivrance et la gestion de certificats électroniques servant à signer des échanges électroniques de manière fiable et sécurisée et la fourniture de services d’archivage électronique, entre autres.

Le gouvernement n’est pas à sa première initiative pour renforcer le milieu numérique du pays et à en faire un Hub digitale d’ici 2025. En février 2021, il a procédé au lancement du Computer Emergency Response Team, pour renforcer la sécurité du cyberespace togolais, toujours selon Afrique IT.

Par Gaelle Massang

Le cours du Bitcoin pourrait atteindre 400 000 dollars cette année 2021, selon les analystes de Bloomberg

[Digital Business Africa] – Les analystes de Bloomberg prédisent que le cours du Bitcoin pourrait atteindre 400 000 dollars cette année 2021, contre environ 60 000 dollars actuellement. Cette prédiction optimiste s’appuie sur les performances du BTC lors des différents cycles haussiers de 2017 et 2013, nous informe Clubic.

Dans un rapport mensuel publié fin mars nous pouvons lire : « D’après notre analyse, le Bitcoin serait sur un terrain comparable au gain de 55x en 2013 et 15x en 2017. Pour atteindre des multiples semblables à ceux de ces années, la crypto-monnaie pourrait approcher les 400 000 dollars  en 2021 ».

Bien que les performances passées ne soient pas une garantie des résultats futurs, l’histoire pourrait donc se répéter. Le BTC est toujours critiqué pour sa trop grande volatilité, mais les analystes de Bloomberg estiment qu’à l’inverse, il devient un choix « sans risque » pour les investisseurs.

Mike McGlone, stratège senior en matières premières chez Bloomberg Intelligence, a expliqué que cette année marquerait un tournant décisif pour la plus connue des cryptomonnaies. Chaque année, le nombre de blocs découverts sur la blockchain Bitcoin est constant : 52 500. Cependant, le nombre de BTC générés par bloc est divisé par deux tous les 210 000 blocs soit environ quatre ans.

Le taux d’inflation décroissant est censé reproduire le taux d’extraction des matières premières telles que l’or. La récompense pour les mineurs est donc réduite de moitié tous les quatre ans et le nombre maximal de BTC émis sera de 21 millions.

C’est ce mécanisme qui explique principalement le phénomène
cyclique du Bitcoin. Ainsi, ce dernier a enregistré des gains stupéfiants au
cours des 12 à 18 mois qui ont suivi les réductions de moitié des
récompenses des mineurs, en novembre 2012 et juillet 2016, toujours selon Clubic.

Par Gaelle Massang

Cameroun : la start-up Nashma remporte la compétition “Gamifikathon 2021” organisée par le PAMEC-GIZ et ActivSpaces

[Digital Business Africa] – L’entreprise digitale Nashma, spécialisée dans le développement de solutions virtuelles innovantes, est la grande gagnante de la compétition “Gamifikathon 2021” organisée par l’organisme de coopération allemande PAMEC-GIZ (Programme d’ Appui à la Modernisation de l’ Etat Civil – PAMEC – Par la GIZ) et ActivSpaces, le hub technologique situé à Douala au Cameroun.

Ce « hackathon état-civil gamification » organisé du 8 au 10 avril 2021 avait pour objectif global est d’accompagner le BUNEC (Bureau national de l’Etat civil) dans la diversification de ses outils de sensibilisation et de formation grâce à la Gamification (apprentissage ludique ou game based learning) en le dotant d’un jeu vidéo qui renforce les connaissances du joueur sur les notions de l’Etat Civil en général et au Cameroun en particulier.

« Nous remportons ainsi le prix de 1500€ et, cerise sur le gâteau, on aura accès aux premières loges et pendant un mois à la légendaire expérience et sagesse de Madiba Olivier et sa Team de Kiro’o Games », annonce Nashma sur Facebook.

La deuxième place revient à une équipe venue de Buea, la team Wakanda237, qui repart avec un prix spécial coup de cœur de 100.000F offert par KIROO Games. La 3e place revient à la team KmerGame qui bénéficiera de l’accompagnement d’ActivSpaces pour explorer la suite du projet.

Par Gaelle Massang

La société américaine UBTS INTERNATIONAL Corp. débarque au Cameroun avec l’ambition d’offrir des services Internet dans les villes et zones rurales

[Digital Business Africa] – L’information est rendue publique sur la page LinkedIn de la société américaine UBTS INTERNATIONAL Corp. « La société UBTS CAMEROON PLC affiliée à UBTS INTERNATIONAL Corp. vient d’acquérir de la République du Cameroun la licence de télécommunications pour l’établissement et l’exploitation des réseaux radio terrestres pour la fourniture d’un backbone pour l’Internet des objets à l’échelle de la ville, de l’Open Roaming, des piliers pour les villes intelligentes, des plateformes de services numériques  et de communications électroniques à destination du public. Cette licence permet également à l’entreprise d’exploiter toutes les possibilités de business model qu’offrent les services à valeur ajoutée attachés à son infrastructure de télécommunications », écrit le groupe américain.

D’après les informations de Digital Business Africa, UBTS CAMEROON PLC,  dont de PDG est Armand Gaétan Ngueti, est titulaire d’une licence de première catégorie délivrée par le ministère des Postes et Télécommunications et à lui notifiée par par l’Agence de régulation des télécommunications à travers sa délégation régionale du Littoral.

Au Cameroun, la licence télécoms est délivrée à toute personne  physique ou morale  pour établir et exploiter un réseau ou fournir des services de communications électroniques. II existe deux catégories de licence: la licence de première catégorie et la licence de deuxième catégorie.

L’article 40 du décret d’application No 2017/2580/PM du 06 avril 2017 fixant les modalités d’établissement ou d’exploitation des réseaux et de fourniture des services de communications électroniques au Cameroun indique que relèvent de la  licence de première catégorie: tout service support, les  réseaux  radioélectriques  ouverts  au  public dans une ou plusieurs localités; les réseaux de collecte et de distribution, en vue de la fourniture au public de services de communications électroniques; les  réseaux  de  communications  électroniques ouverts au public dans les zones rurales ; les réseaux virtuels ouverts au public et les infrastructures passives en  support aux réseaux de communications électroniques. Tous des services que peut offrir UBTS CAMEROON PLC dans les localités autorisées dans son cahier de charges.

L’article 10 de la loi N°2010/013 du 21 décembre 2010 régissant les communications électroniques au Cameroun stipule également que la licence est délivrée à toute personne physique ou morale pour établir et exploiter notamment : tout service support ; certains réseaux radioélectriques dans une ou plusieurs localités ; des réseaux privés indépendants ; les réseaux temporaires ; les réseaux expérimentaux ; les réseaux de collecte et/ou de distribution, en vue de la fourniture au public de services de communications électroniques ; les réseaux de communications électroniques ouverts au public dans les zones rurales ; les réseaux virtuels ouverts au public et la portabilité des numéros téléphoniques.

L’entreprise UBTS CAMEROON PLC promet qu’elle entend s’appuyer sur la confiance du gouvernement camerounais dans sa vision de la transformation numérique pour planifier, développer et mettre en œuvre une infrastructure de télécommunications futuriste et robuste afin de rendre l’accès à la connectivité et aux services numériques universel pour tous les individus et toutes les organisations en commençant dans les zones métropolitaines en priorité et dans les zones rurales par la suite.

A propos d’UBTS

Basée aux États-Unis, Universal Broadband & Technology Services (UBTS) International se présente comme une société de réflexion sur les infrastructures de télécommunications et les plateformes numériques.  « Nous avons été créés dans le seul but de collaborer avec les “locaux” afin de promouvoir et de fournir des programmes de développement économique consistant en des projets de transformation numérique pour permettre un accès à l’internet haut débit rentable et abordable avec des solutions numériques et Wi-Fi de nouvelle génération dans les communautés non desservies et mal desservies qui, jusqu’à récemment, dépendaient d’un réseau fédérateur sous-marin en fibre optique et d’une liaison VSAT coûteuse comme seule solution de transport, ont souffert de l’absence d’une solution d’accès haut débit appropriée qui permettrait un déploiement évolutif de réseaux de nouvelle génération pour répondre aux besoins des communautés locales », indique la société qui ambitionne de connecter les populations des marchés émergents aux contenus et aux expériences numériques qui leur tiennent à cœur.

Par Digital Business Africa