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Fondation Orange Cameroun : Élizabeth Tchoungui visite l’école numérique de Nkolbewa, dans le cadre du programme Village Orange

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Fondation Orange Cameroun : Élizabeth Tchoungui visite l’école numérique de Nkolbewa, dans le cadre du programme Village Orange

[DIGITAL Business Africa] – La présidente de la fondation Orange Cameroun s’est dégourdi les jambes, ce lundi sept janvier 2022. Pendant quasiment une journée, Élizabeth Tchoungui a passé en revue les différentes installations financées par la fondation Orange Cameroun, dont l’école numérique de Nkolbewa, dans l’arrondissement de Ngomedzap, département du Nyong-et-So’o. La tournée s’inscrivait dans le cadre du programme village. Il vise à construire dans une même communauté, un centre de santé une école et un point d’eau (forage).

Un premier arrêt de la tournée qui a permis à la directrice de la fondation d’Orange et à d’autres personnalités de la délégation, notamment la déléguée générale d’Orange, Françoise Cosson, de constater la disponibilité d’un centre multimédia. Lequel centre est équipé en tablettes et d’un serveur qui permettent aux élèves de préparer leurs examens du Certificat d’Etudes primaire, grâce au numérique. Comme l’explique Louis Georges Ebongue, Digital School Manager.

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« L’objectif est d’autonomiser ces enfants à l’utilisation de tout matériel digital. Nous avons commencé avec des tablettes. Nous les avons divisés en trois niveaux : le premier, le deuxième et le troisième. Ce sont les élèves du deuxième et du troisième niveau qui les utilisent assez, parce qu’il y a des examens. Chaque année, nous faisons des mises à jour. Nous travaillons avec des développeurs d’Orange digital Center. Tous nos contenus sont optimisés et nous respectons le programme des écoles », a-t-il confié. Louis Georges Ebongue a également précisé les sources des données contenues dans le serveur.

« Nous sommes en partenariat avec le ministère de l’Education de Base. Chaque année, nous sélectionnons des enseignants dans plusieurs écoles qui présentent leurs programmes, puis nous les intégrons dans nos contenus numériques. Et enfin, nous les mettons à la disposition des écoles. Ces contenus sont utilisés par tous les établissements. Seulement, dans les écoles numériques, les élèves utilisent les tablettes », a-t-il précisé.

La délégation conduite par Élizabeth Tchoungui va, par la suite, rallier un autre lieu : la maison digitale du centre professionnel de la Femme et de la famille d’Akono. Cette maison bénéficie d’un kit Maison digitale rurale (05 tablettes, 05 laptops, un vidéo projecteur, une imprimante, 05 fiches multiples ) d’une valeur de 2107 euros, soit environ 1,3 millions de francs CFA. La maison s’en tire également avec une subvention de 2,2 millions de francs CFA pour sa réhabilitation.

Ici, les apprenantes prennent part aux enseignements comme dans d’autres établissements, uniformes à l’appui. Marie Laurentine Mengue, 34 ans, est au début de sa formation en informatique et aux TIC. Ses premières impressions sont plutôt bonnes. « Quand je suis arrivée ici, j’étais incapable d’utiliser un ordinateur. Mais aujourd’hui, je peux déjà allumer, l’éteindre et créer et modifier un texte sur Word », s’est-elle réjouie.

D’autres points ont marqué la tournée. D’abord un repas donné par le ministre du Travail, Grégoire Owona, à sa résidence. Ensuite un échange avec l’association « tontine améliorée ». Pour la circonstance, les femmes-membres d’exprimer leur gratitude à la fondation orange. Mais avant de repartir Élizabeth Tchoungui a gratifié à trois nouvelles associations des caisses forgées et des registres pour leur activité.

La Fondation Orange procède généralement à un appel à projets pour le programme Village Orange et des critères sont examinés pour retenir un village.

Par Jean Materne Zambo

Appels et forfaits data: le Togo a les tarifs les plus élevés de l’Afrique de l’Ouest [Benchmark]

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Congo Brazza : le marché de la téléphonie mobile enregistre un taux de pénétration de 109% au 2e trimestre 2021 [ARPCE]

[DIGITAL Business Africa] – L’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP) du Togo a publié le 03 février 2022 à Lomé une analyse comparative des tarifs pratiqués par les opérateurs de communications électroniques au sein de l’Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA) pour des offres identiques ou similaires. Le benchmark a porté sur les offres mobiles (voix et data) et FTTH (fibre à domicile). Il en ressort les enseignements suivants :

Pour les offres mobiles : tarifs hors forfaits, forfaits mixtes (voix et data), forfaits data et forfaits voix

  1. Pour les offres hors forfaits, le Togo se classe enfin parmi les tarifs les moins élevés à la suite de la procédure de sanction de l’ARCEP pour le non-respect de la non-différenciation tarifaire « on-net/off-net » qui a permis de baisser de 30% les tarifs inter-réseaux. Cependant, le volume d’appels n’est plus que de 8% en moyenne chez les deux opérateurs et diminue chaque mois du fait de la montée en puissance des forfaits.
  2. Pour les offres forfaits : a. Concernant les forfaits 100% data, le Togo se positionne parmi les tarifs les plus élevés de la zone avec des tarifs jusqu’à 25 fois plus chers que le meilleur tarif de la zone. b. Concernant les forfaits 100% voix, les tarifs au Togo font partie des tarifs les plus élevés de la zone, jusqu’à 4 fois plus chers que le meilleur tarif de la zone. c. Concernant les forfaits mixtes, l’analyse a porté sur la partie voix qu’offrent les opérateurs dans ces forfaits. Les comparaisons montrent que les tarifs au Togo se situent dans la moyenne régionale.

Pour les offres data FTTH :

  1. En entrée de gamme correspondant aux offres inférieures à 25 Mbps, le Togo se situe parmi les tarifs les plus bas, grâce à l’offre de 10 Mbps de GVA Togo à 15 000 F CFA par mois ;
  2. En milieu de gamme correspondant aux offres à partir de 25 Mbps à 50 Mbps, les tarifs de Togo Telecom et GVA Togo s’inscrivent dans la moyenne régionale ;
  3. En haut de gamme correspondant aux offres de 100 Mbps, les tarifs au Togo s’inscrivent dans la moyenne régionale, tout en étant 15 000 Fcfa plus élevés que le meilleur tarif de la zone.

En conclusion, pour les forfaits 100% data et 100% voix, le Togo fait partie des tarifs les plus élevés de la zone. En revanche, pour les offres au tarif de base, les forfaits mixtes (voix + data) et les offres fibre à domicile (FTTH), les tarifs au Togo s’inscrivent dans la moyenne régionale.

Pour rappel, l’ARCEP, dans sa détermination à faire baisser les tarifs, a déjà adopté, par décision n°011/ARCEP/DG/21 du 19 janvier 2021, des principes de tarification juste et raisonnable ayant conduit à :

(i) une meilleure transparence et comparabilité des offres en vue de mieux orienter le choix des consommateurs ; (ii) une durée de validité illimitée des recharges de crédit de communication au tarif de base tant que la carte SIM est active ; (iii) une durée de validité raisonnable pour les offres forfaits et promotionnelles ; (iv) un plafonnement à 3% des frais de transfert du crédit de communication de compte à compte ; (v) un plafonnement à 20 F CFA par appel, aux services d’assistance clientèle des opérateurs, quelle que soit sa durée.

Toutefois, ces mesures ont certes entrainé de nouvelles offres sur le marché mais n’ont pas permis de baisser les tarifs de manière substantielle. En effet, ceux-ci demeurent toujours élevés par rapport à la majorité des pays de l’UEMOA.

L’ARCEP exhorte une fois de plus les opérateurs, bien que jouissant d’une liberté de fixation des tarifs de détail, à plus de responsabilité pour un accès des consommateurs aux services mobiles à un prix plus juste et raisonnable en vue d’accélérer le développement de l’économie numérique au Togo.

Conformément à sa vision, telle que déclinée dans son Plan stratégique 2021-2023, l’ARCEP a inscrit la protection des droits des consommateurs au cœur de ses priorités. A ce titre, elle publie régulièrement des études et enquêtes pour éclairer les choix des consommateurs.

Au-delà, et par devoir d’information et de transparence, l’ARCEP s’engage à informer, chaque fois que de besoin, les consommateurs sur la situation et les améliorations progressives, notamment en matière de qualité de service et de tarifs.

DBA. Source ARPCE Togo

Lire aussi : https://www.digitalbusiness.africa/larcep-inflige-une-amende-dun-milliard-de-francs-cfa-a-togo-cellulaire-pour-pratiques-tarifaires-interdites/

Le marketing digital, un créneau riche d’opportunités pour le positionnement identitaire du label  »Lions Indomptables du Cameroun » [Avis d’expert]

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Le marketing digital, un créneau riche d'opportunités pour le positionnement identitaire du label ''Lions Indomptables du Cameroun'' [Avis d'expert]

[Digital Business Africa – Avis d’expert] – Dans les approches piercienne et Saussurienne, signifiant, signifié,  representamen et interprétant sont des dualités consubstantielles au décryptage des codes et des éléments de langage.
Tout est signe, en fonction du contexte. Aussi bien en politique que dans le sport, plusieurs isotopies sont inhérentes au sème Lion. Le symbole ou le trait sémique additionnel au susbtantif  »indomptable »  renverrait contextuellement  à des qualités précises ou à des valeurs telles le courage, la force, la majesté, la détermination, la royauté, l’engagement, la loyauté, la  vélocité, la robustesse, la pugnacité, le respect, le succès. 

Il est donc important de s’accrocher à ces valeurs caractérielles et caractéristiques de notre identité commune. Cette identité qui fait ou bâtit notre réputation, notre notoriété, notre fierté, notre identité. Tout en suscitant in extenso, respect, admiration, crainte.

Le Puma, carnassier vorace est un référent analogue au Lion, roi de la forêt.
Puma SE est un célèbre fabricant allemand mondial de chaussures de sport et d`autres produits de sportswear fondé en 1924 par Adolf et Rudolf Dassler. Basée à Herzogenaurach, en Bavière.

La marque Puma est l’une des marques les plus reconnues dans le monde. Elle est synonyme de l’élégance, de la vogue et du sport. Elle parraine plus de 30 équipes de football nationales dans cinq différentes confédérations de FIFA. Une des caractéristiques clés du succès phénoménal de Puma est son logo incroyablement efficace.
Le symbole Puma est connu pour son approche minimaliste, sa simplicité, sa puissance et son efficacité sur tous les angles.

Le symbole Puma a été introduit en 1948. Depuis sa création, il n’a pas connu de changement. Le symbole se compose d’une image d’un Puma bondissant qui est un gros félin américain ressemblant à un lion et qui vit dans les montagnes. Inégalé dans la grâce et l’agilité, le Puma est un animal très puissant et un chasseur expert qui peut sauter en hauteur sans effort.

Avec l’ajout de cette créature merveilleuse sur le symbole, la compagnie a résumé toutes les valeurs fondamentales et les aspects fondamentaux de la marque en une identité puissante.

Le symbole Puma exprime la direction de la marque qui se développe toujours vers un avenir innovant et son dévouement exceptionnel. Le symbole Puma apparaît plus souvent dans un schéma de base de couleurs noire et blanche qui procure une sensation naturelle de chaleur et porte une impression très attrayante. Les Lions Indomptables ont remporté des titres et des succès avec l’équipementier  »PUMA ». Une véritable histoire.

Le Coq sportif, originellement retrouve le soleil levant qui l’accompagnait sur ses représentations initiales.  En 1882, Romilly-sur-Seine dans l’Aube en France, dans son atelier de textile, un passionné de sport, Émile Camuset, décide de confectionner des maillots jersey pour ses amis cyclistes, footballeurs et rugbymen.

Sans le savoir, il pose les fondations d’une marque qui deviendra mythique au fil des épopées sportives qu’elle accompagnera. 140 années plus tard, le monde du sport à travers la marque « Le Coq Sportif » a toujours inspiré la création de ses produits.

Créer des produits pour les sportifs de haut niveau, un véritable challenge.Des produits assimilés à la marque, simple et intemporelle, devenus le symbole de leur héritage. Pour cette marque, son leitmotiv est de  »donner aux consommateurs ce dont ils ont besoin et rien d’autre ».

Le bleu-blanc-rouge est un clin d’œil à son surnom historique de « marque des tricolores ». Le Coq Sportif gagne aussi une devise : « Un nouveau jour se lève ». Les nouveaux codes de la marque expriment ainsi un état d’esprit résolument positif : chaque jour, une victoire est possible !Une identité française, en somme.

C’est l’équipementier actuel de l’équipe fanion des Lions Indomptables engagée à la CAN TOTAL ENERGIES 2021.

Les choix, les motivations des symboles devraient s’inscrire à la fois dans un encrage logique identitaire, référencé et pertinent. Et non pas de manière stochastique, fortuite, inopérante ou à des fins essentiellement  pécuniaires ou vénales. 

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La présente réflexion pourrait poser les jalons de la création à l’avenir d’un équipementier  »THE LION’S », en adéquation avec notre histoire, nos valeurs, notre culture, véritables référents identitaires.Un representamen qui sonnerait le glas d’un positionnement de choix  concurrentiel,  préférentiel sur le plan cognitivo-affectif mais aussi mémorable pour tout interprétant (à la fois le Camerounais lambda, tout sportif camerounais, les adversaires des Lions en compétition), ad infinitum, au sens Peircien.

L’un des objectifs de notre démarche sur les plans analytique et de la prospective vise à établir un continuum dialectal tissé autour d’une adéquation réelle, en lien étroit avec l’histoire et le label  »Lions indomptables du Cameroun ».

Le marketing digital, un créneau riche d’opportunités pour le positionnement identitaire du label  »Lions Indomptables du Cameroun » et des produits dérivés issus du tissu local.
Le marketing digital est de notre point de vue un créneau à explorer dans la perspective d’un positionnement optimal, référencé et dans la conquête des parts de marché, notamment dans les domaines du sports, de la mode, de la culture. 

La création d’un tissu local autour des produits dérivés issus du label  »Lions Indomptables » et de sa marque identitaire rendus  disponibles aussi bien dans les boutiques en ligne spécialisées que dans toutes les segmentations issues du e-commerce à l’échelle planétaire.

Le  »top of mine » que sont devenus pour plusieurs passionnés de football, les maillots des joueurs de l’équipe fanion des Lions indomptables du Cameroun, à partir d’une véritable stratégie de merchandising enverraient un signal probant au reste du monde, pour hisser haut et fort le label  »Lions Indomptables », dans les mémoires individuelles et collectives. Une véritable fierté nationale. C’est une lecture.

Par Claver ETOUNDI,
Chercheur, Sémio-stratège de la Communication.

Fréquences radioélectriques au Congo : L’ARPCE et le CSLC s’accordent pour une meilleure gestion et pour combattre la fraude dans l’audiovisuel

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Gestion des bandes de fréquences radioélectriques au Congo : L'ARPCE et le CSLC s'accordent pour combattre la fraude dans l'audiovisuel

[Digital Business Africa] – Afin de mieux combattre la fraude dans le secteur l’audiovisuel congolais en matière de gestion des bandes de fréquences radioélectriques attribuées à la radiodiffusion, l’Agence de Régulation des Postes et Communications Électroniques (ARPCE) et le Conseil Supérieur de la Liberté de Communications (CSLC) ont signé une convention.

Cette convention, apprend-on, détermine de manière précise le rôle que les deux structures doivent jouer chacune dans les processus d’homologation des équipements et d’agrément des installations de radiodiffusion et de gestion des bandes de fréquences radioélectriques attribuées à la radiodiffusion.

L’accord vise également à organiser la gestion des fréquences radioélectriques utilisées pour la télédistribution et les liaisons de transport audiovisuel (faisceaux hertziens) et à assurer un contrôle efficient des équipements et des installations radioélectriques.

La convention a été signée par le directeur général de l’ARPCE, Louis-Marc SAKALA, et par le président CSLC, Philippe MVO.

Les grandes lignes de la convention :

  • l’ARPCE mettra à disposition du CSLC des plans de canalisation de bandes de fréquence de radiodiffusion sonore et télédiffusion ;
  •  l’ARPCE s’occupera également de l’homologation des équipements radioélectriques;  qu’elle procédera également à une vérification de conformité des plans de canalisation avant assignation des fréquences (il s’agit là de prévenir les questions de brouillage, d’interférence avant qu’une fréquence ne soit assignée à un opérateur de télévision ou de radiodiffusion) ;
  •  l’ARPCE se chargera également d’évaluer ces potentielles interférences avant assignation (on aura à envoyer au CSLC un avis motivé qui va prévoir s’il y a interférence par rapport à la prévision que ce dernier aurait fait avant assignation de fréquence à un opérateur de radio ou de télévision) ;
  •  elle traitera également les demandes de fréquences pour les liaisons le transport (liaisons qui vont permettre le transport transfert des informations de la production vers la diffusion) ;
  •  elle se chargera également du contrôle du spectre de fréquence allouée à la radiodiffusion et la télévision . Les missions de contrôle seront également effectués (contrôle technique des équipements et des installations radioélectriques).

Selon, le DG de l’ARPCE, Louis-Marc SAKALA, désormais, l’ARPCE s’engagera, dans le cadre de cette collaboration, à tout mettre en œuvre pour le strict respect et l’application de cette convention qui lie désormais les deux institutions.

Philippe MVO, président du CSLC, à son tour, a fustigé l’usage illégal de fréquences par certains opérateurs, avant de déclarer : « Je crois que cette convention vient à propos ériger les barrières qu’il ne faudrait plus jamais franchir et nous sommes rigoureux sur la question » , parce que, a-t-il laissé entendre que les cultures humaines sont entrain de se perdre par l’usage désabusé de ces fameuses technologies. Propos rapportés par Panoramik Actu.

Par ailleurs, apprend-on, cet accord prévoit la mise en place d’un comité de suivi en tant qu’organe technique d’exécution, composé d’experts des deux autorités de régulation. Cet accord relève des dispositions du décret N°2019-172 du 1er juillet 2019 fixant les modalités de gestion et d’utilisation du spectre de fréquences radioélectriques.

Par Digital Business Africa

CAN Total Energies 2021 : En visite à Orange Cameroun, Samuel Eto’o prône  l’amour et la paix

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CAN Total Energies 2021 : En visite à Orange Cameroun, Samuel Eto’o prône  l’amour et de la paix

[Digital Business Africa] –  En visite de travail à Douala, précisément dans les locaux d’Orange Cameroun au quartier Makepe, jeudi 27 janvier 2022, le Président de la Fédération Camerounaise de Football (Fecafoot), Samuel Eto’o Fils a tenu à s’assurer de l’accompagnement du sponsor officiel de la 33è édition de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN), Orange Cameroun.

Le partenariat entre la Fecafoot et Orange Cameroun date depuis  plusieurs années.  La rencontre entre le Directeur général d’Orange Cameroun et le nouveau président de la Fecafoot, n’est donc pas fortuite.

De plus, l’organisation autour de cette CAN qui se déroule pour la première fois au Cameroun a soulevé beaucoup d’émulations au sein de la population africaine en générale. Les différentes rencontres entre les équipes de football  ont tout aussi été très tumultueuses, ce qui a provoqué une avalanche de propos désobligeants sur les réseaux sociaux.

CAN Total Energies 2021 : En visite à Orange Cameroun, Samuel Eto’o prône  l’amour et de la paix

Face à cette situation, le président de la Fecafoot a voulu apaiser la situation.  « Vous êtes tous les ambassadeurs de ces Lions, passez le mot autour de vous, dans le respect des adversaires bien évidement et des supporters, supportons nos Lions dans le respect… le football a quelque chose de particulier c’est qu’il  nous ressemble. Ne soyons pas cette génération qui viendrait diviser à travers le football, alors nous aurons échoué… », relève Samuel Eto’o Fils.

Des propos soutenus par le Directeur général d’Orange Cameroun. « Nous avons engagé plusieurs initiatives, et comme vous le savez, nous sommes au milieu de la CAN et comme le président  l’a dit cette CAN se joue chez nous. Donc,  il faut absolument qu’on le gagne et il faut que nous joueurs, les Lions indomptables, puissent jouer  leur partition, mais il faut aussi que nous autres qui sommes hors du terrain puissions  jouer notre partition  et donc Orange en tant que sponsor a engagé un certain nombre d’actions  publicitaires, pour mobiliser les fans autour des Lions indomptables, et pour aussi diffuser des messages de Paix et d’Unité », a indiqué Patrick Benon, le Directeur général d’Orange Cameroun.

Avant de conclure cette rencontre, le Directeur général d’Orange Cameroun a tenu à rassurer sur l’entière disponibilité du sponsor officiel ainsi que sur des promesses autour des primes à verser aux Lions en cas de victoire de la CAN ou de qualification pour la Coupe du monde, ceci sans mentionner le montant de ces primes.

Par Ghislaine DEUDJUI

CAN Total Energies 2021 : En visite à Orange Cameroun, Samuel Eto’o prône  l’amour et de la paix

Le Minpostel enregistre les candidatures du Challenge numérique et du Concours national du meilleur projet d’innovation numérique jusqu’au 09 mars 2022

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Le Minpostel reçoit les candidatures du Challenge numérique et du Concours national du meilleur projet d’innovation numérique jusqu'au 09 mars 2022

[Digital Business Africa] – La 3e édition de la Semaine de l’Innovation Numérique se tiendra à Yaoundé du 14 au 18 mars 2022 sous le thème : « Cybersécurité et Innovation numérique : quels défis pour la jeunesse camerounaise». Cette semaine sera articulée autour de deux activités phares :

  • Le concours national du meilleur projet d’innovation numérique de l’année, avec l’attribution d’un PRIX SPECIAL DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE au meilleur projet ;
    • Le challenge numérique, en vue de la sélection des startups  à admettre EN INCUBATION INTERNE AU CENTRE DE DEVELOPPEMENT DE L’ECONOMIE NUMERIQUE (CDIC).

Selon la ministre des Postes et Télécommunications, Minette Libom Li Likeng, ce sera une opportunité précieuse, pour stimuler l’ingéniosité de la jeunesse camerounaise dans le domaine de la cybersécurité.

La « SEMAINE DE L’INNOVATION NUMERIQUE », à travers ses deux activités phares, le concours du meilleur projet TIC et le Challenge numérique pour le Centre de Développement de l’Économie Numérique, offrira l’opportunité de :

  • Détecter les meilleurs projets d’innovation numérique de l’année et les faire accompagner;
  • Stimuler la créativité et la saine émulation parmi les acteurs de l’écosystème numérique, dans un contexte de lutte contre la cybercriminalité et en même temps, favoriser l’esprit de compétition parmi les jeunes ainsi que leurs projections à l’échelle internationale ;
  • Capaciter les jeunes porteurs d’idées ou de projets TIC à travers des sessions de formation, coaching, counselling ;
  • Détecter les startups d’un niveau de développement avancé sur les plans technique, organisationnel et commercial, en vue d’un accompagnement dans le cyberparc, vers le « go to the market » ;
  • Favoriser l’émergence d’un véritable entrepreneuriat local TIC ;
  • Faire connaitre le génie camerounais dans le domaine du numérique.

« Le véritable enjeu est donc de créer un environnement propice à la création et au développement d’entreprises viables dans le secteur du numérique« , indique Minette Libom Li Likeng.

Le concours national du meilleur projet numérique de l’année, est ouvert à tous les porteurs de projets ou d’idées, tandis que le  Challenge numérique est destiné aux startups en maturation avancée.

Qui peut y participer ?

Tout jeune camerounais, résidant sur le territoire camerounais, porteur  d’un projet entrepreneurial innovant    utilisant les technologies numériques. 

Comment se déroulent les compétitions ?

  • Les inscriptions en ligne, pour les deux compétitions sont ouvertes depuis le 18 décembre 2021, à partir de 00 heure à l’adresse www.ictinnovationweek.cm
  1. Concours du meilleur projet TIC
  2. Enregistrement des inscriptions du 18 décembre 2021 à 00 heure jusqu’au 09 mars 2022 à 15 h 00.
  3. Sélection par une commission interne au MINPOSTEL des 15 meilleurs projets.
  4. Publication dès le 11 mars 2022, de la liste des 15 projets présélectionnés. 
  5. Arrivée des participants présélectionnés à Yaoundé les 12 et 13 mars 2022.
  6. Coaching et formation spécialisée du 14 au 16 mars 2022.
  7. Pitch final le 17 mars 2022.
  8. Cérémonie officielle de remise des récompenses ainsi que du prix spécial du Président de la République le 18 mars 2022, avec exposition des innovations des startuppers camerounais.
  9. Challenge numérique
  10. Enregistrement des inscriptions du 18 décembre 2021 à 00 heure jusqu’au 26 janvier 2022 à 15 h 00.
  11. Sélection par une commission interne au MINPOSTEL des 40 meilleurs projets.
  12. Publication dès le 28 janvier 2022, de la liste des 40 projets présélectionnés. 
  13. Arrivée des participants présélectionnés à Yaoundé les 29 et 30 janvier 2022.
  14. Coaching et formation spécialisée du 31 janvier au 02 février 2022.
  15. Pitch final le 03 février 2022.
  16. Cérémonie officielle de publication des résultats du Challenge numérique le 04 février 2022.

Les différents avis des concours, le règlement des compétitions et tous les documents afférents à l’inscription sont téléchargeables sur le site web www.ictinnovationweek.cm

Ces informations sont également disponibles dans la page Facebook du Ministère des Postes et Télécommunications, ainsi que dans sa page Twitter. 

D’après Minette Libom Li Likeng, le Président de la République, SE Paul Biya, est sans conteste celui qui a le mieux adressé ces problématiques, et en articulé les enjeux, lorsqu’il déclarait déjà le 15 septembre 2011 lors du 3e Congrès ordinaire du RDPC que : « les technologies de l’information et de la Communication ouvrent de nouvelles voies d’expression et d’épanouissement aux jeunes. Vous le constatez, pour les jeunes les gisements d’emploi sont nombreux, à condition qu’ils envisagent la vie avec  détermination, humilité et probité, endurance et abnégation, intelligence et observation, pour savoir tirer profit des mutations qui s’opèrent dans le monde. Ce n’est pas en restant en situation d’attente, ni en espérant tout de l’Etat qu’ils trouveront une solution, alors je leur dis : INNOVEZ, CREEZ, et surtout OSEZ ! »

Dans le même ordre d’idées, il déclarait le 10 février 2017, dans son message à la jeunesse : « Chacun  d’entre  vous  est  une  étoile  dans  notre  ciel.  C’est  vous  qui  illuminez  le  Cameroun.  Vous  êtes  les  valeurs   positives   d’un   Cameroun   rayonnant   et   conquérant. C’est pourquoi le Gouvernement ne cesse de consentir les  efforts  nécessaires,  pour  que  vous  puissiez  jouer  le  rôle  qui  est  le  vôtre,  dans  la  construction  de  l’avenir de notre pays. Je vous encourage de nouveau à oser, à faire preuve d’audace et d’initiatives, dans votre  vie  de  tous  les  jours.  Le  Gouvernement  mettra  tout en œuvre pour vous assister. »

Citations rappelées par la ministre pour inciter les jeunes camerounais à participer massivement à ces concours et challenges.

Par Digital Business Africa

Dr Basile KEITA : « En Afrique centrale, nous avons identifié 100 projets répondant aux besoins des bailleurs de fonds »

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Dr Basile KEITA : « En Afrique centrale, nous avons identifié 100 projets répondant aux besoins des bailleurs de fonds »

[Digital Business Africa] –  L’atelier régional de restitution et de validation des résultats de la mission d’Assistance technique pour l’identification des projets d’infrastructures régionales et nationales en Afrique centrale en vue de leur financement en mode Blending s’est tenu du 20 au 21 janvier 2022 à l’Hôtel La Falaise AKWA à Douala.

Cet atelier entrait  dans le cadre du Programme d’Appui à la Gouvernance des infrastructures régionales et nationales en Afrique centrale (PAGIRN). Parmi les participants à cet atelier les représentants de tous les États bénéficiaires des activités du PAGIRN (trois par pays parmi lesquels un représentant de chaque secteur d’infrastructures concerné) ; les représentants de l’Union européenne ; les représentants des Commissions de la CEMAC et de la CEEAC ; les représentants des institutions régionales spécialisées dans les secteurs d’infrastructures concernés ; les représentants du Programme des Réformes Économiques et Financières de la CEMAC (PREF-CEMAC), les représentants des institutions techniques et financières notamment (BEI, BAD, BM, AFD, KFW) ; les représentants des Cellules nationales d’Appui à l’Ordonnateur National FED en Afrique centrale intéressés ; un représentant du réseau régional des ONG d’Afrique centrale (REPONGAG) ; un représentant de l’union des patronats d’Afrique centrale (UNIPACE) et l’équipe d’assistance technique du consortium COWI/ECORYS.

L’objectif général de l’atelier est de partager les résultats de la mission d’assistance technique avec l’ensemble des bénéficiaires du PAGIRN en vue de leur complétude en matière d’informations fournies et de leur appropriation au niveau national.

Plus spécifiquement, lors des travaux de l’atelier les participants ont procédé au partage, à l’appropriation des résultats de la mission d’assistance technique sur l’identification des projets régionaux dans les secteurs des transports terrestres (routier et ferroviaire), du transport fluvial, d’énergie et des Technologies d’Information et de Communication (TIC). Ils ont bien évidement formulé des suggestions et améliorations.

Digital Business Africa a profité de cette occasion pour interroger le Dr Basile KEITA, expert principal et chef de mission de l’Assistance technique auprès de la Commission de la Cémac pour la coordination et la gouvernance des projets régionaux d’infrastructures en mode blending. Il revient sur le travail effectué et surtout sur la place qu’occupe les projets de TIC et télécoms dans la sous-région CEEAC.

Pour lui, les États, appuyés par les organisations d’intégration de la sous-région, doivent tout faire pour réduire le gap infrastructurel et accroître l’offre en infrastructures dans tous les domaines.

Digital Business Africa : Quels sont les projets sous régionaux en matière de TIC et télécoms que vous avez identifiés en zone CEEAC et qui ont besoin de financements ?

Dr Basile KEITA : Beaucoup de projets régionaux ont besoin de financements. En sports, en énergie, en TIC, en Transports, nous avons identifiés à peu près 180 projets régionaux. Parmi ces projets régionaux, nous avons étudié les projets éligibles aux financements. Nous avons interrogé les bailleurs de fonds pour savoir leurs intérêts. Nous avons 100 projets éligibles répondant aux besoins des bailleurs de fonds. Dans la hiérarchie, les projets de transports routiers et ferroviaires viennent en tête. En deuxième lieu, les projets en énergie et en troisième lieu, les projets dans le domaine des TIC.

Il faut savoir que ce sont des projets régionaux. Dans le cadre du développement des États, il y a également beaucoup de projets nationaux qui n’étaient pas dans notre mandat.

Digital Business Africa : Comment comparez-vous un projet régional par rapport à un projet national ?

Dr Basile KEITA : Par définition, un projet régional s’étend au moins sur deux pays. Évidement, c’est variable d’un secteur à l’autre. Pour les infrastructures de transports, ce sont des corridors. Cela va par exemple de Douala à Ndjamena. C’est un corridor qui intéresse trois pays. Il y a également des corridors qui vont de Bangui à Kampala. Dans le secteur de l’énergie, ce sont plus des interconnexions électriques entre les projets au niveau des frontières. Au niveau des projets de TIC aussi, c’est un peu la même configuration.

Digital Business Africa : Quels sont les exemples de projets en matière de TIC sur le plan régional que vous avez identifiés ?

Dr Basile KEITA : Nous avons par exemple un projet de fibre optique quittant du Tchad allant au Niger jusqu’en Algérie.  Le financement de ce projet est déjà acquis et cela permettra un désenclavement numérique des pays impliqués dans le projet. Nous avons également des projets de fibre optique entre le Burundi et la RDC.

Digital Business Africa : Que faites-vous précisément après avoir identifié ces projets ? Vous trouvez des bailleurs de fonds et des financements ?

Dr Basile KEITA : Après avoir identifié ces projets, nous demandons aux bailleurs de fonds s’ils sont intéressés par ces projets. Mais, c’est aux États de négocier et de contractualiser avec les bailleurs de fonds. Nous avons identifié les sources de financement. C’est aux États de contractualiser. Nous mettons à la disposition des États la listes des projets dans les trois secteurs. C’est à eux de prendre le bâton de pèlerin pour concrétiser ces projets.

Digital Business Africa : Il y a en Afrique centrale une question sans fin de cherté des tarifs de roaming entre les États de l’Afrique centrale. Dans les projets régionaux que vous avez identifiés, n’y a-t-il pas des projets allant dans le sens de la réduction des tarifs de roaming entre les États de la CEEAC ?

Dr Basile KEITA : La question de la réduction des tarifs est une question économique. Il faut trouver une masse critique de demandes ou d’offres afin de baisser les coûts. Actuellement, dans tous les secteurs des infrastructures, il y a une rareté en Afrique centrale. Les infrastructures de transports sont très faibles, tout comme les infrastructures numériques.

C’est la même chose pour l’électricité. Le taux d’accès est très faible et à cela il faut ajouter le prix de l’électricité. C’est pourquoi, les États, appuyés par les organisations d’intégration sous-région le, doivent tout faire pour réduire ce gap et accroître l’offre en infrastructures dans tous les domaines.

Propos recueillis par B-O.D.

Can 2021 : Orange Cameroun exprime sa solidarité aux morts et blessés du drame d’Olembe

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Can 2021 : Orange Cameroun exprime sa solidarité aux morts et blessés du drame d'Olembe

[DIGITAL Business Africa] – Dans la soirée du 24 Janvier 2022, à l’occasion de la rencontre de football ayant opposé les Lions Indomptables du Cameroun à l’équipe nationale des Comores, match comptant pour les huitièmes de finale de la 33ième édition de la CAN Total Energies Cameroun 2021, un incident est survenu suite à des bousculades aux entrées du stade Olembe de Yaoundé.

Face à ce drame qui a causé huit morts ainsi que de nombreux blessés graves et a profondément affecté le mouvement sportif national et international, Orange Cameroun, sponsor inconditionnel des Lions Indomptable et de la Coupe d’Afrique des Nations CAN TOTAL Energies Cameroun-2021, exprime sa solidarité et sa compassion à toutes les personnes blessées lors de cet incident, et adresse ses sincères condoléances aux familles éprouvées par le décès des leurs.

Nos prières ferventes accompagnent l’âme des personnes disparues.

Le communiqué intégral (é) Orange Cameroun, Alain Blaise Batongue

Christel Heydemann, nommée DG du groupe français Orange, en remplacement de Stéphane Richard, prend service le 4 avril 2022

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Christel Heydemann, nommée DG du groupe français Orange, en remplacement de Stéphane Richard, prend service le 4 avril 2022

[DIGITAL Business Africa] – Le Conseil d’administration d’Orange qui s’est réuni le 28 janvier a nommé Christel Heydemann en qualité de Directrice générale d’Orange à compter du 4 avril 2022.

En désignant Christel Heydemann, actuellement Directrice générale Europe Opérations de Schneider Electric, le Conseil a fait le choix d’une personnalité aux compétences reconnues dans l’univers des télécoms et de la transformation des entreprises.

Afin de préserver la continuité des activités de l’entreprise et d’assurer une transition la plus efficace possible, le Conseil a demandé à Stéphane Richard de poursuivre son mandat de Président-Directeur général jusqu’à la prise de poste de Christel Heydemann.

Le Conseil ayant acté une dissociation des fonctions de Président et de Directeur général, Stéphane Richard continuera à l’arrivée de la nouvelle Directrice générale d’assurer les fonctions de Président non-exécutif jusqu’à l’arrivée d’un nouveau Président et au plus tard jusqu’au 19 mai 2022, date de l’Assemblée générale d’Orange.

Le Conseil tient à souligner la volonté de Stéphane Richard de préserver la bonne gouvernance du Groupe et ainsi d’assurer la transition la plus efficace possible avec ses successeurs. Le Conseil souhaite également le remercier pour son engagement à la tête d’Orange depuis douze ans où il a restauré la confiance des salariés après la crise sociale et engagé une transformation profonde du Groupe pour le positionner en opérateur multi-services de premier rang en Europe et en Afrique.

Le Conseil d’administration remercie enfin le Comité de gouvernance et de responsabilité sociale et environnementale, en charge des nominations, ainsi que l’Administrateur référent, pour avoir piloté un processus rigoureux de sélection, entamé dès l’été dernier, avec l’aide d’un cabinet spécialisé Spencer Stuart, et en collaboration étroite avec l’actionnaire de référence. Ils ont été les garants de débats sereins et de qualité dans un contexte parfois complexe.

Stéphane Richard a déclaré : « Je suis heureux d’accueillir Christel Heydemann et lui souhaite plein succès en tant que Directrice générale d’Orange. Je suis convaincu que ses qualités personnelles et professionnelles permettront, avec les femmes et les hommes du Groupe, de relever les défis qui attendent l’entreprise. Son implication au sein du Conseil, sa longue expérience chez Alcatel puis chez Schneider Electric confèrent à Christel une très bonne compréhension des enjeux liées au numérique et le rôle essentiel qu’il va jouer dans les décennies à venir. Sa vision, son pragmatisme et sa capacité à tirer le meilleur de chaque situation apporteront, j’en suis sûr, beaucoup à Orange. Je tiens également à remercier Anne-Gabrielle Heilbronner et Bernard Ramanantsoa pour leur travail rigoureux et exemplaire pendant tout ce processus de désignation au service des intérêts du Groupe ».

Commentant sa nomination, Christel Heydemann a déclaré : « Je remercie les membres du Conseil d’administration pour leur confiance. En qualité d’Administratrice du Groupe depuis près de cinq ans, j’ai pu appréhender les enjeux technologiques auxquels notre société fait face. Je sais que les défis sont majeurs, mais c’est aussi un immense honneur de contribuer au développement d’un des acteurs majeurs de l’industrie des télécoms. Je m’investirai pleinement à la tête d’Orange. Et je sais pouvoir compter, comme mon prédécesseur, sur la force et l’engagement des équipes pour accompagner l’entreprise vers la réussite.
Je tenais aussi à remercier mes collègues de Schneider Electric. Ces sept années passées à construire un monde plus durable grâce à l’innovation technologique auront été passionnantes, ancrant encore davantage ma conviction que le numérique sera au cœur de toutes les transformations de notre société
».

Christel Heydemann est actuellement Directrice générale Europe Opérations et Membre du Comité exécutif de Schneider Electric. Diplômée de l’Ecole Polytechnique et de l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées, elle a débuté sa carrière en 1997 au sein du Boston Consulting Group.

En 1999, elle intègre Alcatel où elle a occupé différents postes à responsabilités, notamment dans le cadre de la fusion entre Alcatel et Lucent. En 2011, elle a rejoint le Comité exécutif d’Alcatel-Lucent en tant que Directrice générale des Ressources humaines et de la Transformation.

En 2014, elle rejoint Schneider Electric en tant que Directrice des Alliances stratégiques. En avril 2017, elle est nommée Présidente-Directrice générale de Schneider Electric France puis Directrice générale Europe Opérations en mai 2021.

Source : Orange

Cryptomonnaies : Francis Ngannou accepte de recevoir la moitié de la rémunération de son combat face à Cyril Gane en bitcoin

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Cryptomonnaies : Francis Ngannou accepte de recevoir la moitié de la rémunération de son combat face à Cyril Gane en bitcoin

[DIGITAL Business Africa] – Le champion du monde de l’UFC, catégorie poids lourds, en phase avec la technologie économique de l’heure. Francis Ngannou porte au plus haut son intérêt pour la cryptomonnaie. Dans un tweet, le 18 janvier 2022, le prédateur, comme il se fait appeler, indique qu’il a accepté de recevoir la moitié de sa rémunération après son combat face au Français Cyril Gane en bitcoin.

Ci-dessous son tweet :

Traduction : « Je crois que le bitcoin peut donner du pouvoir aux gens partout dans le monde. Je suis donc ravi de m’associer à @CashApp pour prendre la moitié de mon indemnité pour mon combat #UFC270 en bitcoins. Je veux rendre les bitcoins plus accessibles à mes fans. Alors, je distribue 300 000 dollars en bitcoins ! Suivez @CashApp + déposez votre $cashtag avec #PaidInBitcoin », a-t-il écrit sur Twitter.

C’est donc près de 176,5 millions de francs Cfa que le champion camerounais recevra en bitcoins. Cerise sur le gâteau, il promet de distribuer officiellement ces 300 000 dollars en BTC à ses abonnés qui installent l’application CashApp. Comment les distribuera-t-il comme annoncé? Les internautes sont aux aguets sur ses comptes.

Selon Coin Tribune, il ne s’agit pas de la première tentative du champion dans le domaine des cryptos. En 2021, il a vendu des tokens non fongibles (NFT) générant 580 000 dollars. Après avoir fait beaucoup de recherches sur le Bitcoin, le Prédateur pense que le Bitcoin est « l’argent du futur ».

Lire aussi : Francis Ngannou : « Non, je ne me battrai plus pour 287 millions de F.CFA ou pour 344 millions de F.CFA. C’est fini ! »

Cash App (anciennement Square Cash) est un service de paiement mobile développé par Square, Inc. Qui permet aux utilisateurs de transférer de l’argent entre eux à l’aide d’une application pour smartphone. Le service est disponible aux États-Unis et au Royaume-Uni. Le 21 mars 2021, le service a enregistré 36 millions d’utilisateurs actifs. Sa première version date de 2013.

Le Camerounais emboîte ainsi le pas à l’Argentin Lionel Messi, qui lors de son arrivée au Paris Saint-Germain, à l’été 2021, a touché une partie de son salaire en « $PSG », la cryptomonnaie du club, spécifiquement dédiée aux fans du club.

Les cryptomonnaies s’insinuent donc progressivement dans le domaine sportif

Une autre star du football américain Aaron Rodgers, a également fait une annonce similaire en 2021. Aussi, l’application avait déjà fait appel aux célèbres basketteurs des Warriors Klay Thompson et Andre Iguodala. 

« Le monde sportif représente un réel potentiel pour les sociétés crypto et les faits parlent d’eux-mêmes. Ce domaine rallie un public d’ovation large qui aurait difficilement eu vent de ces services. Et si certains investisseurs pensent à d’autres secteurs florissants, celui-ci reste une des meilleures options. Il faut l’admettre, les partenariats avec les célébrités sportives essaiment aisément l’opinion publique. Une grande partie de la population est amoureuse du sport, quel que soit le type », écrit Coin Tribune.

En NBA, les dirigeants de Sacramento nourrissent encore une réflexion quant à ceux mode de paiement pour leurs joueurs. Vivek Ranadive, propriétaire de la franchise (équipe), est passionné des nouvelles technologies.

 « Je vais annoncer dans les prochains jours que je vais proposer à tous les membres de l’organisation des Kings de se faire payer en Bitcoin pour la part de salaire qu’ils souhaitent, y compris les joueurs », a-t-il déclaré en avril 2021.

Par Jean Materne Zambo, CamerExcellence

Baisse de 30% des tarifs de la data au Tchad : « Internet n’est plus un luxe… il doit demeurer à la bourse de tout consommateur tchadien » [Mahamat Idriss Deby Itno]

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Baisse de 30% des tarifs de la data au Tchad : « Internet n'est plus un luxe... il doit demeurer à la bourse de tout consommateur tchadien » [Mahamat Idriss Deby Itno]

[DIGITAl Business Africa] – Le ministre tchadien de l’Economie numérique et des Postes a annoncé que le coût de l’Internet sera réduit de 30 à 60% cette année 2022. Le Dr Idriss Saleh Bachar a apporté ces clarifications ce samedi 22 janvier 2022 à l’issue d’une audience que le président du Conseil militaire de Transition, Mahamat Idriss Deby Itno, a accordée à la Commission sectorielle chargée de travailler sur le sujet. Évidemment, c’est le ministre de l’Economie numérique et des Postes, Dr Idriss Saleh Bachar, qui chapeautait la commission.  

« Je voudrais féliciter le Ministère en charge de l’Économie numérique, les fournisseurs et les opérateurs pour cette remarquable baisse de plus de 30% du prix d’accès à l’Internet… Cette réduction substantielle doit marquer le commencement d’une tendance baissière, car l’Internet n’est plus un luxe réservé aux nantis, il doit demeurer à la bourse de tout consommateur tchadien », a indiqué à l’issue de cette audience le président du Conseil militaire de Transition, Mahamat Idriss Deby Itno

Pour sa part, Le Dr Idriss Saleh Bachar, salue la vision du président du Conseil militaire de Transition. « Nous saluons ici la sagacité du président du Conseil militaire de Transition Mahamat Idriss Deby Itno qui a conduit à cette prise de décision salutaire. La baisse du prix de l’Internet ainsi que la suppression de droits de douanes sur les smartphones et les ordinateurs. C’est pour moi aussi le lieu de féliciter pour leur dépassement et la célérité les équipes qui ont travaillé d’arrache-pied pour obtenir ce résultat. Il s’agit du cabinet du Chef de l’État, de l’Arcep Tchad, des techniciens du ministère, des opérateurs Airtel Tchad, Moov Africa et Sotel Tchad », a indiqué le ministre de l’Économie numérique et des Postes du Tchad.

Fruit de la coopération Tchad-Cameroun

Le Tchad et le Cameroun sont liés par un mémorandum d’entente sur l’interconnexion des réseaux de communication électronique, depuis novembre 2021. La signature du mémorandum avait eu lieu dans la Salle des Actes du ministère des Relations extérieures.

Les deux pays-frères sont connectés, depuis lors, à la fibre optique déjà installée au Cameroun. Le ministre de l’Economie numérique et des Postes, Dr Idriss Saleh Bachar, avait tenu ces mots, pour mettre à jour cette coopération : « Dans un monde en perpétuelle évolution, il faut s’adapter au temps et c’est notre raison aujourd’hui de réactualiser nos liens dans le domaine des infrastructures numériques ».

Le coût d’internet ailleurs

Il est des pays africains dont l’accès à internet n’est point la chose la plus facile. D’autres cependant présentent une facture « abordable ». Le site jeuneafrique.com, dans un article édité le 11 juillet 2021, en citait quelques-uns.

Le Soudan pointe en première place, « avec 0,9 dollar le giga de données haut débit, suivi de l’Égypte (1,3 dollar) puis du Maroc (2 dollars), du Rwanda (2,1 dollars) et du Cameroun (2,2 dollars). En Algérie, il faut compter 2,3 dollars, au Sénégal 3,28 dollars et en Côte d’Ivoire 4,8 dollars ». Et de préciser :

« Au Maroc, le prix est passé de 2 dollars en 2019 à 5 dollars en 2020, soit une baisse de -61 %, selon les chiffres de l’A4AI, alliance pour un Internet abordable, résultat notamment de la stratégie Maroc Digital 2020 centrée sur la transformation numérique et la réduction de la fracture digitale ».

Par Jean Materne Zambo

Afrique centrale : les projets régionaux en matière de TIC, de transport et d’énergie en quête de financements sur la table des experts à Douala

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Afrique centrale : les projets régionaux en matière de TIC, de transport et d’énergie propices aux financements sur la table des experts à Douala

[Digital Business Africa] – L’atelier régional de restitution et de validation des résultats de la mission d’Assistance technique pour l’identification des projets d’infrastructures régionales et nationales en Afrique centrale en vue de leur financement en mode Blending s’ouvre demain 20 janvier 2022 à l’Hôtel La Falaise AKWA.

Cet atelier qui s’achève le 21 janvier rentre dans le cadre du Programme d’Appui à la Gouvernance des infrastructures régionales et nationales en Afrique centrale (PAGIRN).

Les participants attendus à cet atelier sont les représentants de tous les États bénéficiaires des activités du PAGIRN (trois par pays parmi lesquels un représentant de chaque secteur d’infrastructures concerné) ; les représentants de l’Union européenne ; les représentants des Commissions de la CEMAC et de la CEEAC ; les représentants des institutions régionales spécialisées dans les secteurs d’infrastructures concernés ; les représentants du Programme des Réformes Économiques et Financières de la CEMAC (PREF-CEMAC), les représentants des institutions techniques et financières notamment (BEI, BAD, BM, AFD, KFW) ; les représentants des Cellules nationales d’Appui à l’Ordonnateur National FED en Afrique centrale intéressés ; un représentant du réseau régional des ONG d’Afrique centrale (REPONGAG) ; un représentant de l’union des patronats d’Afrique centrale (UNIPACE) et l’équipe d’assistance technique du consortium COWI/ECORYS.

L’objectif général de l’atelier est de partager les résultats de la mission d’assistance technique avec l’ensemble des bénéficiaires du PAGIRN en vue de leur complétude en matière d’informations fournies et de leur appropriation au niveau national.

Plus spécifiquement, les travaux de l’atelier visent le partage, la validation et l’appropriation nationale des résultats de la mission d’assistance technique sur (i) l’identification des projets régionaux dans les secteurs des transports terrestres (routier et ferroviaire), du transport fluvial, d’énergie et des Technologies d’Information et de Communication (TIC),

(ii) l’analyse des projets régionaux identifiés : état d’avancement ; obstacles/contraintes des projets n’ayant pas atteint l’état de maturité ; les actions à entreprendre en vue de maitriser les contraintes identifiées,

(iii) les options proposées sur la base de la recherche des financements en mode blending des projets régionaux auprès des bailleurs de fonds impliqués dans le financement dedits projet,

(iv) le répertoire des projets régionaux considérés comme éligibles au mode de financement blending sur la base des informations collectées auprès des Etats et des institutions spécialisées rencontrés

En rappel, c’est en juin 2015 à Bruxelles que l’Union Européenne et l’Afrique Centrale, représentée par ses deux Organisations d’Intégration régionale (OIR), la CEEAC et la CEMAC, avaient signé la convention de financement du PIR 11ème FED, pour un montant total de 350 millions d’Euros dont 135 millions d’euros pour le volet « infrastructures régionales incluant 20 millions d’euros pour l’Appui à la gouvernance des infrastructures ».

Cette convention couvre l’ensemble des Etats membres de la CEEAC y compris ceux de la CEMAC ayant ratifié l’Accord de Cotonou révisé (ACR). Elle préconise une approche coopérative novatrice pour le financement des infrastructures dans la région, intitulée « Blending » : un mixage de dons et de prêts visant à obtenir un meilleur impact des fonds alloués dans le cadre du 11ème FED.

Dans ce cadre, une mission d’assistance technique du consortium COWI/ECORYS avait été commise auprès des Commissions de la CEMAC et CEEAC à travers le Programme d’Appui à la Gouvernance des Infrastructures Régionales et Nationales en Afrique centrale (PAGIRN).

L’objectif principal de cette mission visait l’identification des projets d’infrastructures régionales dans les secteurs d’Énergie, des TIC et des Transports, ainsi que l’analyse des opportunités de financement en mode blending desdits projets, la restitution et la validation des résultats en atelier régional au terme de la mission de l’assistance technique.

De manière générale, la mission de l’assistance technique visait un appui à la Commission de la CEMAC (C-CEMAC) dans la maitrise d’ouvrage en matière de gouvernance des infrastructures régionales et nationales.

Par Digital Business Africa

France : la CNIL sanctionne GOOGLE à hauteur de 150 millions d’euros et FACEBOOK à hauteur de 60 millions d’euros pour non-respect de la loi sur les cookies

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Cookies : la CNIL sanctionne GOOGLE à hauteur de 150 millions d’euros et FACEBOOK à hauteur de 60 millions d’euros pour non-respect de la loi

[Digital Business Africa] – La CNIL a constaté que les sites facebook.com, google.fr et youtube.com ne permettent pas de refuser les cookies aussi simplement que de les accepter. Ce début du mois de janvier 2022, elle sanctionne GOOGLE à hauteur de 150 millions d’euros et FACEBOOK à 60 millions d’euros et leur enjoint de se mettre en conformité dans un délai de trois mois.

La formation restreinte, organe de la CNIL chargé de prononcer les sanctions, a constaté, à la suite de contrôles, que les sites web facebook.com, google.fr et youtube.com proposent un bouton permettant d’accepter immédiatement les cookies.

En revanche, ils ne mettent pas en place de solution équivalente (bouton ou autre) pour permettre à l’internaute de refuser facilement le dépôt de ces cookies. Plusieurs clics sont nécessaires pour refuser tous les cookies, contre un seul pour les accepter.

La formation restreinte a considéré que ce procédé porte atteinte à la liberté du consentement : dès lors que, sur internet, l’utilisateur s’attend à pouvoir rapidement consulter un site, le fait de ne pas pouvoir refuser les cookies aussi simplement qu’on peut les accepter biaise son choix en faveur du consentement. Cela constitue une violation de l’article 82 de la loi Informatique et Libertés. 

Du fait de ce manquement, la formation restreinte de la CNIL a prononcé :

En complément des amendes, la formation restreinte a enjoint aux sociétés de mettre à disposition des internautes situés en France, dans un délai de 3 mois, un moyen permettant de refuser les cookies aussi simplement que celui existant pour les accepter, afin de garantir la liberté de leur consentement. À défaut, les sociétés devront chacune payer une astreinte de 100 000 euros par jour de retard.

Ces deux décisions s’inscrivent dans le cadre de la stratégie globale de mise en conformité initiée par la CNIL depuis plus de 2 ans auprès d’acteurs français et étrangers éditant des sites à forte fréquentation et ayant des pratiques contraires à la législation sur les cookies.

Depuis le 31 mars 2021, date de la fin du délai accordé aux sites et applications mobiles pour se mettre en conformité avec les nouvelles règles en matière de traceurs, la CNIL a adopté près de 100 mesures correctrices (mises en demeure et sanctions) en lien avec le non-respect de la législation sur les cookies.

Refuser les cookies doit être aussi simple que de les accepter - La CNIL sanctionne Google et Facebook | Les investigations : La CNIL a reçu plusieurs plaintes dénonçant les modalités de refus des cookies sur les sites web facebook.coim, google.fr et youtube.fr ; des contrôles en ligne ont été effectués sur ces sites. Les manquements : un bouton permet d'accepter immédiatement les cookies mais il n'existe pas de solution équivalente pour les refuser aussi facilement. Ce procédé porte atteinte à la liberté du consentement des internautes et constitue une violation de l'article 82 de la loi Informatique et Libertés. La décision : la formation restreinte de la CNIL a prononcé : une amende de 60 millions d'euros à l'encontre de Facebook ; deux amendes pour un montant total de 150 millions d'euros à l'encontre de Google.

Source: Cnil

Alphonse Nafack [JFN-IT] : « Après la Business Competition, nous aurons d’autres séminaires avec CentraleSupélec sur l’industrie 4.0 et sur la Supply Chain »

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Alphonse Nafack [JFN-IT] : « Après la Business Competition, nous aurons d’autres séminaires avec CentraleSupélec sur l’industrie 4.0 et sur la Supply Chain »

[Digital Business Africa] – La JFN-IT E4IMPACT Center a organisé le 16 janvier 2022 au campus JFN-IT de Bonamoussadi (Santa Barbara) la 1ère édition de la Business Competition du programme Global International MBA In Impact Entrepreneurship. Occasion pour Digital Business Africa d’interroger Alphonse Nafack, le fondateur de la Jacky Felly Nafack Institute of Technology (JFN-IT), par ailleurs DG d’Afriland First Bank, sur les objectifs de ce programme et sur les perspectives.

Digital Business Africa : Quel est l’objectif de cette Business Competition organisée par la JFN-IT E4IMPACT Center ?

Alphonse Nafack : Cela a commencé avec la Business Idea Competition où l’on a sélectionné des projets qui sont passé par un cycle de formations. Aujourd’hui c’est en quelque sorte une évaluation du travail qu’ils ont fait.

Au terme du processus, les projets sélectionnés participeront à la croissance du Cameroun. Car ils entreront dans la SND 30 et participeront avec efficacité et avec assurance à l’émergence du Cameroun à l’horizon 2035. Voilà l’objectif et c’est notre apport à la réalisation de cette vision du gouvernement camerounais.

Digital Business Africa : Peut-on dire que c’est le prolongement de votre vision pour la formation des Camerounais ?

Alphonse Nafack : Cette Business Competition s’inscrit effectivement en droite ligne avec ce que nous avons commencé à faire il y a 22 ans. C’est le prolongement d’une vision, d’une démarche qui vise à offrir une vraie formation aux Camerounais. Pas seulement une formation académique, mais également une formation entrepreneuriale. A la fois au primaire, au secondaire et aujourd’hui à l’université avec en bonus ce volet entrepreneurial.

Et ce n’est qu’une partie. Car après ce volet entrepreneurial, il y aura un autre séminaire qui va porter sur la formation aux certifications Google Cloud avec notre partenaire Google Cloud. Nous aurons également d’autres séminaires avec CentraleSupélec sur l’industrie 4.0 et sur la Supply Chain. Ce sont là quelques contenus de notre formation et cela ne fait que commencer.  

Digital Business Africa : Pour vous, le financement des projets n’est plus un problème. Vous dites qu’il y a de l’argent et que ce qui est important, ce que vous attendez des jeunes Camerounais, ce sont des projets bien montés qui répondent aux besoins des populations. Quelles sont les garanties pour les jeunes qui ont des projets, qui postulent, qui présentent leurs projets que ceux-ci seront effectivement financés ?

Alphonse Nafack : Dans la loi des finances de 2021 promulguée par le Chef de l’État, le Cameroun a prévu un dispositif de soutien aux entreprises avec la mise sur pied d’une ligne de garantie et de crédit de 200 milliards de francs Cfa destinée aux entreprises. C’est une première. Dans cette enveloppe, 170 milliards de francs Cfa sont réservés aux entreprises privées.

De quoi d’autres avons-nous donc besoin si ce n’est que cette garantie de l’État à accompagner ces PME ? L’État camerounais prend donc désormais 50% des risques et la banque 50%. Si nous mettons en œuvrer ce dispositif, les problèmes de financement ne se poseront plus.

Je ne m’appuie que sur ce dispositif-là en attendant l’appui confirmé des partenaires de JFN-IT comme la fondation italienne E4Impact et les autres. De quoi d’autres avons-nous besoin quand tout cet écosystème est déjà en place ?

Propos recueillis par Beaugas 0rain DJOYUM

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Cameroun : Les premiers lauréats de la Business Competition de la JFN-IT E4IMPACT Center qui bénéficieront d’un accompagnement financier sont connus

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Cameroun : Les premiers lauréats de la Business Compétition de la JFN-IT E4IMPACT Center qui bénéficieront d'un accompagnement financier sont connus
Fany Miglange Kengne (BioGaz) et Yannick NVOMDO (PayMe Quick) sont les deux premiers lauréats de la Business Competition en compagnie du Jury

[Digital Business Africa] – Fany Miglange Kengne (BioGaz) et Yannick Nvomdo (PayMe Quick) sont les deux premiers lauréats de la Business Compétition du programme Global International MBA In Impact Entrepreneurship organisé par la JFN-IT E4IMPACT CENTER le 16 janvier 2022, au campus JFN-IT de Bonamoussadi (Santa Barbara).

Parmi les 10 projets en compétition, ils ont respectivement obtenu les notes de 18/20 et de 17/20 attribuées par un jury composé d’une dizaine d’experts et présidé par Alphonse Nafack, ADG d’Afriland First Bank et promoteur de la JFN-IT.

La première, avec son projet BIOGAS, propose de fabriquer des panneaux solaires et des pavés grâce aux déchets plastiques plus précisément les bouteilles plastiques, tout en produisant du fuel et du gaz domestique avec à la clé la protection de l’environnement. Le second quant à lui veut faire de PAYMEQUICK une plateforme de paiement électronique permettant à toute personne ayant un numéro de téléphone de recevoir ou d’effectuer des paiements.

Les deux projets intègrent donc officiellement la JFN-IT E4IMPACT CENTER et vont bénéficier d’une formation supplémentaire pour peaufiner leurs projets, mais surtout pour obtenir les financements en vue du développement de leur projet respectif.

Financements mis à disposition par les partenaires de la fondation italienne E4Impact partenaire de la JFN-IT E4IMPACT CENTER.

La fondation, en plus ses ressources, s’emploiera à trouver des investisseurs pour ces projets. Assurance en a en tout cas été donnée par  Flavien Tchamdjeu, le Manager d’E4Impact pour l’Afrique francophone. Assurance confirmée par Alphonse Nafack pour qui le financement ne représente plus un frein pour les entrepreneurs qui choisissent la JFN-IT E4IMPACT CENTER.

Cette Business Compétition du programme Global International MBA In Impact Entrepreneurship s’est déroulée en deux phases : Le Business Plan Competition (BPC) pour les entrepreneurs sortants (2021-2022) et le Business Idea Competition (BIC) pour les entrepreneurs entrants (2022-2023).

A travers ces deux concepts, JFN-IT E4IMPACT Center apporte une innovation dans l’offre d’accompagnement à forte valeur ajoutée aux entrepreneurs. Une offre structurée autour des programmes de formation-incubation des projets d’accélération des entreprises.

« La Business Compétition est un moment de rencontre, d’échange, de conseil, de partage d’expériences et de networking entre entrepreneurs, investisseurs et autres membres de l’écosystème entrepreneurial. Il a pour but d’évaluer les projets des entrepreneurs d’impact en formation-incubation au sein de JFN-IT E4IMPACT Center », souligne Antoine NKOLO, le directeur général de la JFN-IT E4IMPACT Center.

L’originalité de ce programme consiste à la soumission de chaque entrepreneur à un grand oral devant un jury qui apprécie la plus-value du projet et son adéquation au marché. Un jury composé d’éminentes personnalités et présidé par Alphonse Nafack, ADG d’Afriland First Bank et promoteur de la JFN-IT.

Cette Business Compétition était parrainé par l’Ambassade d’Italie au Cameroun. Mauro Battistella, Consul d’Italie à Douala, a représenté l’ambassade d’Italie à cette rencontre : « Créer une entreprise est très difficile. La faire rester viable est encore plus difficile. L’ambassade d’Italie a favorablement répondu à la demande de Monsieur Alphonse Nafack et a accepté de parrainer cet événement. J’avais déjà constaté qu’en plus de la fondation E4IMPACT le ministère des Affaires étrangères et l’Agence pour la coopération internationale était déjà présents. Nous sommes les bienvenus pour accompagner toutes les initiatives destinées à accompagner ou à aider la création des entreprises viables et des emplois », a confié Mauro Battistella à Digital Business Africa.

Le jury constitué

La Business Compétition

En rappel, la Business Competition est un ensemble constitué de trois ensembles, à savoir la :

1 – Business Plan Competition : étape qui couronne douze mois d’accompagnement de haut niveau qui a permis aux entrepreneurs de passer d’une idée de création ou de développement d’entreprise à une entreprise testée et validé sur le marché (bancable).

Le classement du Jury au terme de la Business Plan Competition

RANGNomsPRENOMSMOYENNE
 1erKENGNEFANY MIGLANGE18,00
 2eNVOMDOYANNICK17.00
 3eMEKA ABESSOLOGEORGES15 .00
 4eDJIEDZOLE YMELIEKANT ARLAND15.00
 5eKOUAM MANGUAINGPATRICIA SYLVIE15.00
 6eNONOALAIN CLAUDE15.00
 7eNJEUKEMOUSMANE LAZAR12.00
 8eELOGO MESSANGA IISYLVAIN12.00
 9eNOUMBOUWOFABRICE JUNIOR10.00
 10eNOUMBOUWOIVANS LOIC7.05

2 – Business Idea Competition : phase de sélection de projets à fort impact économique, social et environnemental qui intégrerons le Global International in Impact Entrepreneurship, fruit de la collaboration entre E4IMPACT FOUNDATION spin off de l’Université Catholique Sacré de Milan et JFN-IT.

Le classement au terme de la Business Idea Competition 

Session : Business Idea Competition 2022
EntrepreneurProjetSecteur d’activité
1- AHMADOU WADIRI LOGONE RIZ Production et commercialisation du Riz local Agri-Business
2- MONGOUE IDRISSSunLand Energy Production et distribution d’énergie Agri-Business
3- WOKHUI JEAN AIMEBiocarrylife Production, commercialisation  du Café et Produits cosmétiques Agri-Business
4- ANZAN VALERI FERME Agropastorale Elévage
5- PINDJOU NELSON DIGIT AD Plateforme de diffusion de publicité sur affichage numérique partout dans le mondeConseil, Communication digitale
6-  BAKAMI SIMON  Gestion des Parc Matériel (Fleet Mangement)Maintenance industrielle.
7- KAMDEM TCHUENTE JOELKAM SARL Production d’huile végétale Bio à base du TournesolAgri-Business
8- KOYOUO ZUFE STEPHANE Production et commercialisation d’huiles de cuisine assaisonnée, de poissons Agri-Business
9- MAFO TCHINDA GHISLAINE MISS JEANNET COSMETIQUEIndustrie Cosmétique
10- ZEKENG DONGMO AFRICA FINANCIAL MARKET Création d’une cripto monnaie appeler CauricoinMonnaie-Digitale Blockchain
11- FADIMATOU BOBBO SASAFAI Culture et transformation d’arachide et en huile de cuisine Agri-Business
12- ABOUBAKAR KADIRIAkresImmobilier
13- DJUNE JASMINE DANA TENABO Transformation et commercialisation des fruits et légumes en jus naturelsAgri-Business
14- TOTTO CHARLESAquaculture (crevettes)Agri-Business
15- DONFACK VictorBeyourself Sarl   Conseil, Orientation, Education  Education
16- YOUSSOUFATransformation et commercialisation du Bois  Industrie du bois
17- TEFUENA YOLENE GAELLETEMA SARL   Soin Cutanés  Esthétique

3 – Global MBA in Impact Entrepreneurship and Management

C’est un MBA délivré par l’Université Catholique Sacré Cœur de Milan.  L’objectif est de former les futurs entrepreneurs capables de combiner impact social, environnemental et économique en Afrique francophone. Un modèle de formation qui s’appuie sur une formule en présentiel et en distanticiel avec coaching et mentoring sur mesure.

JFN-IT E4IMPACT Center

La JFN-IT E4IMPACT Center est le tout premier centre d’incubation et d’accélération privé agréé (Agrément N 21400001/D/MINPMEESA/SG/DAJ du 29 OCT 2021) au Cameroun par le Ministère des petites et moyennes entreprises, de l’Economie sociale et de l’Artisanat. Fruit de la Collaboration entre JFN-IT et E4IMPACT FOUNDATION d’Italie, il s’agit d’un centre d’innovation et d’entrepreneuriat qui encourage et soutient les entrepreneurs camerounais à concevoir, développer, accélérer et accroître la performance des entreprises à fort impact social et environnemental.

JFN-IT

La JFN-IT pour sa part, née d’une démarche volontariste conduite par Alphonse Nafack, banquier chevronné et passionné d’éducation et de formation, s’inscrit dans une trajectoire de différenciation au sein d’un paysage universitaire camerounais en pleine mutation.

Cette vision se caractérise par une proposition originale, autour d’une identité forte et de projets audacieux, en se fixant pour objectif de donner l’opportunité à de milliers d’étudiants de poursuivre des études universitaires sanctionnées par un diplôme de scientifique ou de manager, dans un établissement universitaire à taille humaine, situé dans un lieu d’exception.

Par Beaugas Orain DJOYUM

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Thibault Baras : « Nous espérons développer au Cameroun un centre de formation dédié aux technologies virtuelles et à la réalité augmentée »

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Thibault Baras : « Nous espérons développer au Cameroun un centre de formation dédié aux technologies virtuelles et à la réalité augmentée »

[DIGITAL Business Africa] – Lors du match d’ouverture de la CAN Total Energies 2021 ce 09 janvier 2022, l’hologramme virtuel d’un lion est apparu sur le toit du stade et sur l’esplanade. Thibault Baras, le directeur général de Dreamwall (studio d’animation 2/D 3/D et de création graphique) et de Keywall (solution TV dans la création de décors virtuels et réalités augmentée aux habillages d’émissions), créateur de cet hologramme, a tenu une conférence sur les technologies virtuelles et la réalité augmentée à l’Institut de Formation et de Conservation du Matériel audiovisuel, IFCPA, ce lundi 10 janvier 2021.

Digital Business Africa l’a rencontré au terme de cet échange avec les jeunes pour une interview. Précisions, il n’a pas souhaité parler du montant de son travail. L’interview porte donc simplement sur son travail.

Thibault Baras : « Nous espérons développer au Cameroun un centre de formation dédié aux technologies virtuelles et à la réalité augmentée »

DIGITAL Business Africa :  L’hologramme du lion apparu au stade Olembé lors de la cérémonie d’ouverture de la CAN 2021 a suscité des messages d’admiration parmi plusieurs internautes. De quoi est fait cet avatar ? Et quels étaient les jeux de cette technologie ?

Thibault Baras : C’est un lion virtuel en réalité augmentée, animé qui fonctionne comme un moteur de jeux. Il mesure 16 mètres de haut, six mètres de long et pèse plus d’une tonne. Ce ne pouvait pas être possible de mettre une statue comme celle-là sur la tribune. Heureusement c’était virtuel ; le toit ne s’est pas effondré (rire). Tout le monde a pu bénéficier de ce spectacle…  

Thibault Baras : « Nous espérons développer au Cameroun un centre de formation dédié aux technologies virtuelles et à la réalité augmentée »

Il était important d’empêcher que le lion entre en collision avec les danseurs sur la scène. Tout comme il est important de respecter l’environnement. Et donc la réalité augmentée ne fait sens que si elle est crédible à un certain niveau. Puisqu’ici, on sait bien qu’un lion géant n’existe pas. Par contre, son intégration dans un environnement réel est utile.

Par exemple s’il avait plu, il aurait été logique qu’il y ait de la pluie qui passe devant le lion, de la fumée ou des choses comme ça. En réalité augmentée, l’on doit prendre en compte tous ces éléments.

DIGITAL Business Africa : Comment un tel projet a été pensé et mis en œuvre ?

Thibault Baras : Au niveau de la réalité augmentée, nous avons un partenaire technologique qui est une société turque. Cette entreprise a été l’une des premières à intégrer l’utilisation des moteurs de jeux dans les technologies de télévision et de l’audiovisuel. Nous utilisons donc ces technologies qui permettent l’insertion d’éléments virtuels de réalité augmentée au sein du monde réel.

DIGITAL Business Africa : Le peuple camerounais peut-il s’attendre à une autre apparition de ce lion à la cérémonie de clôture de la CanTotalEnergie 2021 ?

Thibault Baras: Peut-être peuvent-il s’y attendre. En tout cas, je ne serai plus là.

DIGITAL Business Africa : Vous avez travaillé chez Canal+, où vous avez innové avec un système statistique qui a transformé le reportage sportif. Quel regard portez-vous sur le niveau d’infographie des chaînes de télévisions africaines ? 

Thibault Baras : J’ai regardé quelques programmes dans ma chambre d’hôtel, le soir très tard en revenant du stade. Je pense qu’il y a une marge de progression en matière d’infographie dans les chaines africaines. Mais, je n’ai pas suffisamment d’expérience pour juger ce que proposent les chaines africaines dans le domaine de la réalité virtuelle.

DIGITAL Business Africa : Que fait Dreamwall pour accompagner les jeunes talents camerounais dans la réalité augmentée ?

Thibault Baras : Avant la Covid-19, le studio de Dreamwall était ouvert à Yaoundé. L’on pouvait recevoir toutes les personnes désireuses de se faire former dans la réalité virtuelle. Maintenant, cela n’est plus possible. Nous sommes obligés de limiter les effectifs et surtout en ayant recours au télétravail. Cela n’a pas beaucoup de sens. Dans le futur, on espère développer un centre de formation dédié aux technologies virtuelles et de réalité augmentée au Cameroun. Là, il y aura un premier projet, puis devra s’ouvrir un centre de formation, dans tous les cas. Mais, ce n’est pas à l’ordre du jour.

Thibault Baras : « Nous espérons développer au Cameroun un centre de formation dédié aux technologies virtuelles et à la réalité augmentée »

DIGITAL Business Africa : Un mot à l’endroit à ces étudiants qui voudraient faire leurs preuves dans la technologie de la réalité augmentée

Thibault Baras : Pour pouvoir embrasser l’utilisation de ces nouvelles technologies, il faut s’intéresser à tout ce qui se passe dans le monde, en matière de technologie. Mais, il y a un élément essentiel : ce sont les moteurs de jeux. Il faut se concentrer sur eux, sur leur utilisation à travers des formations en ligne. C’est l’avenir dans la télévision, que ce soit dans l’automobile, l’aviation, la médecine. Ces sont ces moteurs de jeux qui vont vous permettre, dans quelques années, de porter des lunettes de réalité augmentée. Quand vous irez chez le médecin, vos lunettes pourront vous montrer l’intérieur de votre corps.

Propos recueillis par Jean Materne Zambo

Smart Click Africa lance le concept CamerExcellence pour célébrer les talents camerounais qui excellent à l’international

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CamerExcellence

[Digital Business Africa] – A l’occasion de la CAN TOTAL ENERGIES 2021, l’association Smart Click Africa, en collaboration avec le cabinet ICT Media STRATEGIES, spécialisé dans l’e-Réputation et le Personal branding, a lancé ce 09 janvier 2022 à Yaoundé la plateforme web CamerExcellence (www.camerexcellence.cm) afin de célébrer les talents camerounais dans tous les domaines.

L’association profite ainsi de cette compétition pour proposer sur le site web CamerExcellence.com, ainsi que sur ses réseaux sociaux Facebook, Twitter, LinkedIn, TikTok et Instagram (@CamerExcellence) des portraits, visuels et quelques vidéos des talents camerounais dans le sport, la culture, l’économie, l’innovation et bien d’autres domaines où les Camerounais excellent. L’accent est mis sur les ceux qui brillent sur la scène internationale.

« CamerExcellence est l’occasion d’inspirer davantage les jeunes camerounais et ceux du monde, en racontant et/ou en présentant sur le web et sur les réseaux sociaux  l’histoire des figures et icônes camerounaises qui, par la force de leur travail, de leur abnégation et de leur détermination, ont réussi et font la fierté du Cameroun.  Durant cette CAN Total Énergies 2021, nous allons, en plus du foot, célébrer ces talents qui font l’excellence camerounaise. Nous présentons au monde cet autre visage du Cameroun : un vivier et un réservoir de compétences diverses où chaque État de la planète peut puiser pour réaliser des exploits, réussir et atteindre l’excellence », explique Beaugas Orain DJOYUM, président de l’association Smart Click Africa et par ailleurs DG de ICT Media STRATEGIES.

Il précise que le déploiement se fera davantage sur le web et invite les Camerounais à produire davantage de contenus médiatiques sur les icônes camerounaises et à les partager sur le web et les réseaux sociaux en utilisant le hashtag #CamerExcellence.

A propos de Smart Click Africa

Créée en 2018, l’Association Smart Click Africa a pour objectif de promouvoir un Internet sain et sûr. Elle s’engage dans la promotion d’un meilleur usage du web, des réseaux sociaux et des solutions numériques en Afrique. L’association a déjà lancé plusieurs projets comme le programme 10 Millions Smart Citizens ou encore récemment la plateforme Covid19.CM.

Plus d’infos sur smartclickafrica.org

A propos de ICT Media STRATEGIES

Créé en 2015 à Yaoundé, le cabinet ICT Media STRATEGIES est spécialisé dans la veille stratégique, l’e-Réputation et le Personal branding. Il accompagne les États, les entreprises et les particuliers dans l’amélioration de leur réputation en ligne à travers diverses actions.

Plus d’infos sur ictmedia.africa 

Plus d’infos sur ictmedia.africa

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Soutenu par l’ARPCE, YEKOLAB a formé gratuitement à la pointe de la technologie 2500 jeunes Congolais désormais certifiés

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Soutenu par l'ARPCE, YEKOLAB a formé gratuitement à la pointe de la technologie 2500 jeunes Congolais désormais certifiés

YEKOLAB est un organisme de formation et d’incubation d’entreprises à but non lucratif, régie par la loi du 1er juillet 1901 (récépissé de déclaration N°271/014/MID/DGAT/DER/SAG/). Il est le plus grand centre de formation en développement logiciel et d’incubation d’entreprises en Afrique Centrale, créé en janvier 2014, sous l’impulsion de l’Agence de Régulation des Postes et Communication Electroniques (ARPCE), par un jeune Congolais, Monsieur Max Bonbhel, professionnel de l’informatique accompli et initiateur de JCERTIF International.De 2014 à 2019, les activités de YEKOLAB, dont l’ambition est d’apporter des réponses concrètes à l’épineux problème de déficit en compétences spécialisées en TIC, ont porté sur :

☑️Une cinquantaine de formations certifiantes et gratuites de haut vol aux nouvelles technologies et métiers émergents;

☑️Un incubateur de startup pour des jeunes porteurs de projets afin d’encourager l’entrepreneuriat et accélérer la création d’entreprises;

☑️Un Laboratoire dédié à la recherche et le développement à travers la réalisation de projets innovants et open source.

Pendant les cinq premières années de son existence, grâce à l’appui technique, financier et matériel de l’ARPCE, YEKOLAB a formé gratuitement à la pointe de la technologie, des milliers de jeunes Congolais, de 7 à 35 ans, dont 2500 certifiés.

Ces programmes tenus sur les campus YEKOLAB de Brazzaville, Pointe-Noire et en ligne, ont permis à ces jeunes de créer une quinzaine d’entreprises tandis que d’autres ont été recrutés dans des entreprises de la place et à l’ARPCE. Ces jeunes font aujourd’hui la fierté du Congo.

Encouragé par le Directeur Général de l’ARPCE, Louis-Marc Sakala, YEKOLAB a lancé en 2021 quatre (4) autres projets, à savoir :

1️⃣YEKOELITE : Ecole Supérieure de Technologie et de Management. L’assurance d’un diplôme qui atteste d’une double compétence, en Technologie et en Management.

2️⃣ YEKOLAB FOR KIDS : Avec pour partenaire, ALGORA, une des meilleures écoles de programmation pour enfant en France, YEKOLAB FOR KIDS est le tout premier programme d’enseignement de la programmation (Robotique) à des enfants et adolescents en République du Congo.

3️⃣ YEKOLAB Business Center : un centre d’affaires dédié aux startups, indépendants et entrepreneurs, conçu pour améliorer la performance en favorisant le bien-être, le travail collaboratif et la créativité.

4️⃣YEKOLAB Talent : une Régie de Développement logiciel à distance et une plateforme qui vise à mettre à la disposition des entreprises aussi bien au niveau national que mondial une main d’œuvre congolaise qualifiée et compétitive : des experts congolais hautement qualifiés, certifiés et multilingues capables d’intégrer ou de prendre en charge des projets d’envergure dans le secteur des nouvelles technologies.

Les actions de Yekolab soutenues par l’ARPCE en vidéo

https://www.facebook.com/watch/?v=1049918735859064

Sources : Yekolab, ARPCE

Fidèle à son ADN, l’ARPCE Congo s’emploie à développer les compétences et soutenir la jeunesse qui innove

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Pour l’équipe dirigeante de l’Agence de Régulation des Postes et des Communications Electroniques (ARPCE), la ressource première d’une entreprise, d’un pays ou d’une nation reste l’Homme. C’est pourquoi, dès sa création, l’ARPCE s’est fortement impliquée dans un secteur qui ne relève pas de ses missions régaliennes : La formation.  En effet, dans le cadre de son engagement sociétal et environnemental, l’Autorité de Régulation a mis en place un plan très volontariste pour soutenir des structures éducatives et accompagner les ONGs qui œuvrent pour le développement des compétences techniques des jeunes, des étudiants et du corps enseignant.

Entre 2010 et 2012, grâce à sa politique RSE, l’ARPCE avait octroyé des centaines de bourses d’études à des étudiants majeurs de leur promotion, dans le cadre d’un programme d’orientation académique et de soutien des étudiants et des enseignants, dénommé le SIPEEC.

A travers l’association SDA, elle a su attirer, par le biais des colloques et forums, des compétences congolaises de la diaspora, formé des jeunes dans le domaine du leadership et de l’entrepreneuriat et soutenu les efforts du gouvernement en matière de renforcement du système sanitaire.

L’ARPCE a également apporté des réponses concrètes à l’épineux problème du déficit en ressources humaines dans le secteur des TIC. La stratégie de l’Autorité de régulation s’articule principalement autour du développement des compétences jugées insuffisantes dans le domaine des TIC, de la promotion des activités numériques et de la culture numérique auprès des différentes couches sociales.

C’est dans cette optique que l’ARPCE a activement contribué à la création des plateformes qui facilitent les échanges entre les étudiants et le monde professionnel. On peut citer, entre autres : 

– Le Programme Universitaire d’Innovation Technologiques et des Services (PUITS), une initiative mise en œuvre en partenariat avec l’Université Marien NGOUABI de Brazzaville, qui permet de développer des compétences numériques et technologiques du personnel enseignant et non enseignant.

– OSIANE, le Salon international des technologies et de l’innovation, une initiative de l’association PRATIC qui réunit chaque année à Brazzaville, des milliers d’acteurs et experts locaux et internationaux, de l’écosystème numérique.

  • YEKOLAB, un centre d’excellence en TIC qui forme gratuitement les jeunes Congolais aux métiers du numérique, grâce à l’appui technique, financier et matériel de l’ARPCE.

Aujourd’hui, ces jeunes filles et garçons sont devenus des acteurs à part entière du secteur et écrivent de belles histoires dans l’écosystème du Numérique au Congo. Les formations de haut niveau dont ils bénéficient sont dispensés par, entre autres, des experts Oracle et Google, et sont reconnues au niveau mondial.

Bien que beaucoup reste encore à faire, les réalisations accomplies par  YEKOLAB et les autres initiatives sont très appréciables et l’ARPCE est fière de soutenir de si belles initiatives qui mettent au centre une jeunesse congolaise qui innove.

En ce qui concerne YEKOLAB, il convient de noter que des milliers de jeunes, de 7à 35 ans, y ont été formés à la pointe de la technologie (50 formations certifiantes autour des TIC ; Yekolab for Kids, Yekolab Elite).  Par ailleurs, YEKOLAB offre aussi des programmes de formations sur les thèmes suivants:

  • Développement personnel
  • Leadership et management
  • Business development

De 2014 à 2019, ces compétences ont permis aux jeunes formés et incubés à YEKOLAB de créer une quinzaine d’entreprises tandis que d’autres ont été recrutés dans des entreprises de la place et à l’ARPCE. Ces jeunes font la fierté du Congo aussi bien en local qu’à l’international.

Enfin, toujours au titre l’engagement citoyen de l’ARPCE, sans être exhaustif, il sied de mentionner les appuis multiples qu’elle apporte à bien d’autres initiatives, parmi lesquelles :

  • Le centre d’encadrement initié par l’honorable Marien Monbonzo en vue de faciliter l’orientation universitaire des cinquante premiers élèves du baccalauréat session de juin 2021, des différents départements du Congo.
  • L’organisation de différentes éditions des « Universités du Numérique », du Docteur Antonin Idriss Bossoto, Enseignant-chercheur à l’Université Marien Ngouabi.
  • La création d’une plateforme pour les « Journalistes 2.0 » qui occupent aujourd’hui leur place sur la toile et savent faire entendre leurs voix en produisant des contenus de qualité, dans le respect de la déontologie de leur métier.
  • La réalisation de différentes éditions de la « Digital Week Academy », de M. Biberic Lokwa, qui vulgarise l’usage des technologies numériques même dans les contrées les plus éloignées du pays.

L’ADN de l’ARPCE est à n’en point douter, de soutenir des initiatives qui accompagnent le développement. Cette volonté du Régulateur a été également affichée au niveau du Fonds pour l’Accès et le service universels des Communications Electroniques (FASUCE), dont il est l’organe de gestion, en dotant, en une année, 13 établissements scolaires et universitaires du Congo, de salles multimédias rénovées, équipées et connectées à Internet haut débit.

Les résultats de cette politique RSE (Responsabilité Socitétale de l’Entreprise) très volontaristes de l’ARPCE sont très fructueux et encourageants. C’est ainsi que dans son plan d’action 2022 l’ARPCE prévoit de renforcer ces acquis et d’aller encore plus loin, à travers l’établissement de nouveaux partenariats avec des structures engagées dans la formation comme, l’Ecole Supérieure de Technologie du Littoral de Pointe-Noire qui forme les élèves de la Terminale aussi bien dans le domaine des technologies que de la gestion maritime et portuaire.

Toutes ces initiatives s’alignent sur la mission de l’ARPCE qui, en plus de promouvoir les secteurs régulés, appelle le Régulateur à accompagner l’inclusion du numérique dans tous les secteurs du pays en réduisant la fracture numérique au sein de la population, tout en étant le garant des services et le promoteur du développement des innovations technologiques du secteur.

Source : ARPCE

Cameroun : Alain Blaise Batongue nouveau directeur des Affaires institutionnelles et réglementaires d’Orange Cameroun

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Cameroun : Alain Blaise Batongue nouveau directeur des Affaires institutionnelles et réglementaires d’Orange Cameroun

[Digital Business Africa] – L’ancien secrétaire exécutif du Gicam, Alain Blaise Batongue, est désormais le Directeur des Affaires institutionnelles et réglementaires d’Orange Cameroun, la filiale de l’opérateur français des télécommunications Orange.

L’annonce a été confirmée ce jour par l’intéressé joint par Digital Business Africa. La nouvelle entité dont il assure la direction va coordonner les activités de plusieurs services.  « Sous ma coordination : le Directeur d’Orange Digital center, le directeur de la Fondation Orange, le chef de département Relations institutionnelles, le chef de département de la Réglementation, le chef de cellule de communication », indique Alain Blaise Batongue dans une publication partagée sur WhatsApp.

L’intéressé affirme avoir signé son contrat le 05 janvier 2022 et indique qu’il commence le service dès ce 10 janvier 2022.

C’est le 1er février 2021 qu’Alain Blaise Batongue avait mis un terme à sa poste de Secrétaire exécutif du Groupement interpatronal du Cameroun (Gicam).

«Au terme de neuf années pleines et en accord avec le Président Célestin Tawamba, je mets fin à mes fonctions de Secrétaire exécutif du Groupement interpatronal du Cameroun (Gicam) à compter du 1er février 2021 », avait-il indiqué dans un communiqué publié le 15 janvier 2021.

« Tout au long de ces années, j’aurai investi de mon temps et de mon énergie au service des défis immenses du Gicam. Et c’est avec fierté et humilité que j’apprécie ce parcours et tous ceux qui ont œuvré à le rendre fructueux… Au moment où je m’apprête à passer le témoin, je veux redire combien je me suis enrichi de cette expérience extraordinaire au service du patronat et au cœur des négociations sur les politiques publiques en matière économique et sociale au Cameroun, au plan sous régional et international», écrivait-il dans son communiqué.

Il avait été remplacé par Aline Valérie Mbono, ex directeur des Affaires juridiques de l’Agence nationale des technologies de l’information et de la communication (Antic). Cette dernière était nommée directrice exécutive du Gicam.

Depuis lors, Alain Blaise Batongue s’était engagé dans des consultations diverses en communication et en lobbying avec son cabinet Scope Consulting and Services.

Avant le Gicam qu’il rejoint en mars 2012, Alain Blaise Batongue a été durant cinq années le directeur de publication du quotidien Mutations.

Agé de 57 ans, il avait été élu pour un mandat de deux ans à la Vice-Présidence du Conseil économique et social de l’Union africaine (Ecosocc) en 2017 au terme de la session ordinaire de mi-mandat de la 2ème Assemblée générale permanente de l’Ecosocc. tenue au Caire en Egypte du 27 au 31 mars 2017.

En 2019, celui qui avait également été Président de la section camerounaise de l’Union de la presse francophone, a été porté à la tête du Comité Consultatif d’orientation du port autonome de Kribi (CCO-PAK).

Dès ce 10 janvier 2022, c’est une nouvelle expérience professionnelle qu’il embrasse.

Par Digital Business Africa