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Cameroun : Jean Marie Olicard n’est plus DG de Yoomee mobile après 10 mois de service

[DIGITAL Business Africa] – Par un mail, ce 05 juin 2023, Jean-Marie Olicard aurait annoncé sa démission de Yoomee mobile. Il y aura passé juste 10 mois comme Directeur général. Arrivé en août 2022 à la tête de l’entreprise Yoomee mobile, l’ ancien directeur général adjoint d’Orange Cameroun n’aurait pas précisé les motivations de sa décision. Ce qui donne du poids à la rumeur qui considère que l’ex DG de Yoomee mobile S.A « n’en pouvait plus, car toutes les réformes de relance de cette entreprise qu’il a proposées au Président du conseil d’administration, n’ont pas reçu un écho favorable auprès de lui », rapporte le site ecomation.net.

Depuis le début de l’année 2023 Yoomee mobile S.A montrait pourtant un visage reluisant en terme de collaboration. Notamment, la Campost, en février 2023, pour le paiement des impôts en un clic via la plateforme Yoomee mobile, avec les Douanes Camerounaises.

Le même mois c’était  le paiement des transactions et opérations du commerce extérieur via la plateforme « All in One » de Yoomee mobile. Sans oublier la Camwater, qui depuis le 21 décembre 2022, s’ est associée à Yoomee mobile pour le règlement des factures de consommation par le canal de la plateforme Yoomee mobile.

YooMee Mobile à signé avec Camtel, en février 2017, un partenariat pour devenir full Mvmo (Mobile Virtual Network Operator). L’entreprise vit le jour en 2011 et est spécialisée dans les Télécommunication et la fournisseur d’accès internet.

ParJean Materne Zambo

Congo : Le 2e volet du PATN lancé, les Assises nationales de l’Economie Numérique se préparent

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[Digital Business Africa] – L’annonce a certainement ravi plus d’un Congolais. La tenue « sous peu » des Assises nationales de l’Economie numérique en République du Congo. Ce sera une plateforme d’échange, de partage et de mutualisation de tous les acteurs de l’ écosystème du numérique congolais.

Léon-Juste Ibombo, ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique, a profité de la cérémonie de lancement officiel du Projet d’Accélération de la Transformation Numérique du Congo, volet Union Européenne et Banque Européenne d’Investissement de ce 08 juin 2023 pour le réitérer.

Le PATN bénéficie de trois sources de financement pour un montant cumulé de près de cent trente six 136 millions d’euros, soit 90 milliards de francs CFA. Il y a déjà ce financement de 60 milliards de francs CFA de la Banque mondiale. 15 millions de l’appui qu’alloue l’ Union Européenne dans le cadre de ce deuxième volet sont sous forme de don de l’Union Européenne.

Léon-Juste Ibombo, ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique à d’ailleurs exprimé toute la gratitude du gouvernement Congolais envers l’organisation pour cette « franche, vibrante et harmonieuse collaboration ».

« Gravé parmi les six axes stratégiques de la matrice économique du Projet de société « Ensemble poursuivons la Marche », l’arrimage du Congo au développement de l’économie numérique, loin d’être une vue de l’esprit, participe à l’instar de ce Projet, à l’économie forte diversifiée et résiliente pour une croissance inclusive et un développement irréversible, aux fins de créer de la richesse et des emplois pour les jeunes », a-t-il dit.

Les domaines concernés par ce financement sont : les Télécommunications, des Postes, de l’économie numérique, des finances, de l’entrepreneuriat, de la jeunesse, de la santé, de l’éducation, de l’urbanisme, de l’administration publique, de la justice, de l’état civil, des statistiques etc. En fait, le PATN veut impacter la vie de 02 millions de personnes sur le territoire national. Mais aussi interconnecter tous les ministères, toutes les directions et administrations en plus de connecter 45 bureaux de postes et plus de 100 écoles.

Comme les Assises nationales de l’Economie Numérique en République du Congo, il rentre dans le cadre du Plan National de Développement 2022-2026 impulsé par le président de la République du Congo, S.E. Dénis Sassou N’guesso.

Par Jean Materne Zambo, source : discours Léon-Juste Ibombo, 08 juin 2023

Sénégal : Internet rétabli, le Restic salue les efforts du ministre de l’économie numérique, des opérateurs et de l’ARTP

[DIGITAL Business Africa] – Le ministre de l’Économie numérique du Sénégal a levé la restriction sur l’internet des données mobiles. Dans un communiqué signé le 06 juin 2023, Moussa Bocar Thiam, précise que la connexion internet des données mobiles est rétablie sans distinction de plage horaires. Une réaction qui advient quelques heures après que le Réseau des Entreprises des Acteurs des Technologies de l’Information et de la Communication (Restic).

Il entreprenait de déposer une plainte contre les trois opérateurs détenteurs de licence d’internet mobile sur le territoire national devant le tribunal de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest, Cédéao. Motif de la plainte : violation sur les droits économiques et libertés d’expression. D’après le Restic, ces restrictions et coupures d’internet mobile auraient occasionné un préjudice commercial et économique incalculable de 12 milliards de pertes par jour pour l’économie formelle et informelle pour un secteur digital et le numérique qui contribue à hauteur de 12% au PIB du Sénégal.

Le réseau des entreprises des acteurs des technologies de l’information et de la communication (Restic) salue toutefois les efforts du ministre de l’économie numérique, des opérateurs et de l’ARTP pour « cet élan patriotique afin de rétablir la bande passante et mettre fin à l’impact de la coupure d’internet dans l’activité économique et commerciale ». En invitant l’ARTP, les opérateurs et ministère de l’Économie numérique à revoir les clauses des contrats de concession surtout pour la licence 5G dont le déploiement est imminent.

Par Jean Materne Zambo

 

 

Tchad : Concertation Adetic – Associations de TIC pour développer le secteur

[DIGITAL Business Africa] – C’est peut-être le départ d’une collaboration fructueuse entre l’ Adetic et les Associations du domaine des TIC. Le DG de l’Agence de Développement des Technologies de l’Information et de la Communication (Adetic), Ali Sidick Adam, a présidé une rencontre de prise de contact et d’échanges avec les associations œuvrant dans le secteur des TIC aux fins de trouver une bonne formule pour transformer le secteur des Technologies de l’Information et de la Communication du Tchad. L’on peut donc comprendre la présence marquante de tous les directeurs Techniques de l’ Agence lors de ces travaux tenus le 07 juin 2023 au siège de l’Adetic.

Sur sa page Facebook, l’Agence écrit avoir été « très réceptive et satisfaite de la volonté montrée par les associations dans le cadre de réalisation des missions communes ».

Placée sous la tutelle du ministère des Postes et de l’Economie Numérique, l’Agence de Développement des Technologies de l’Information et de la Communication (Adetic), a pour missions :

* D’élaborer et de suivre la mise en œuvre de la stratégie nationale de développement des TICS

* D’identifier les besoins communs des services publics en matière d’équipements informatiques et logiciels ;

* De veiller à l’harmonisation des standards techniques et de proposer des référentiels techniques, afin de favoriser l’interopérabilité entre les systèmes d’informations ;

* De fournir son expertise aux administrations pour la conception et le développement de leurs objets techniques ;

* De coordonner la réalisation et d’assurer le suivi des sites internet, intranet et extranet de l’État et des organismes publics ;

* De concourir à la formation technique des formateurs des universités, grandes écoles, lycées, collèges, écoles normales et écoles primaires ;

* De participer aux actions de formations des personnels de l’État dans le domaine de TIC, en émettant des recommandations sur le contenu des formations techniques et sur les programmes des examens professionnels et des concours ;

* D’assurer la mise en œuvre du service universel des communications électroniques ;

* De gérer le fonds du service universel des communications électroniques (FSUCE) ;

* De gérer le fond du service universel des postes (FSUP) ;

* De gérer les opérations d’investissements financées par l’État dans le domaine des technologies de l’information et de la communication ;

* D’entretenir des relations de coopération technique avec des organismes internationaux publics ou privés agissant dans ce domaine, suivant les modalités prévues par la législation en vigueur ;

* De gérer le nom de domaine « .td » ;

* D’élaborer la politique et les procédures d’enregistrement des noms de domaine « .td » d’hébergement, d’administration des serveurs racine, d’attribution d’agrément de registrars du « .td »,

* De planifier, d’attribuer et de contrôler les adresses internet IP au Tchad ;

* D’assurer la veille technologique et émettre des avis et recommandations en matière de sécurité des réseaux de communications électroniques, de systèmes d’information et de certification ;

* D’exercer toute autre mission d’intérêt général que pourrait lui confier l’autorité de tutelle.

Par Jean Materne Zambo

Cameroun : Rideau sur le Forum de DNS de l’ Antic, plus de 33.000 sites web avec extension «.cm »

[DIGITAL Business Africa] – Trois jours ( 05-07 juin 2023) d’intenses échanges à Bertoua entre l’ Antic et les acteurs du secteur des TIC. A la clef, une annonce qui traduit la palette d’opportunités qu’offre le nom de domaine « .cm » aux entreprises. A savoir, l’amélioration et l’ optimisation pour les moteurs de recherche ainsi que l’augmentation du retour sur investissement.

Lire aussi : Cameroun/DNS: L’ Agence nationale des TIC présente ses services au public

Plus de 33.000 propriétaires d’entreprises, selon le directeur général de l’ Antic, le Pr. Ebot Ebot Enaw, font confiance au nom de domaine «.cm ». Bien qu’il n’ ait pas été mentionné le nombre total des sites camerounais mis en ligne. Question de pouvoir établir un ratio.

La troisième édition du Forum national de DNS avait pour fil conducteur : « DNS et souveraineté numérique du Cameroun ». Le but était d’améliorer la qualité de l’accès et de l’utilisation de l’Internet au Cameroun.

Par Jean Materne Zambo

Maroc :  Le Câble sous marin « West Africa » pour connecter l’ Afrique au monde

[Digital Business Africa] – Le Gitex Africa 2023, une tribune pour Maroc Telecom. L’opérateur de téléphonie mobile s’est saisi de l’occasion pour réitérer  sa volonté de poursuivre les investissements pour la réalisation du projet « West Africa »,son nouveau Câble sous-marin à fibre optique.

Financé à 150 millions d’euros par un consortium composé de Maroc Telecom et de ses filiales africaines, le projet devrait assurer un accompagnement dans la transformation digitale et le développement du haut et très haut débit dans toute l’ Afrique. En plus d’améliorer la connectivité des utilisateurs.

Selon le groupe Maroc Telecom, il ( le câble) « répond au besoin croissant de connectivité et de bande passante Internet des filiales africaines de Maroc Telecom. Il permettra à ces filiales de disposer de leur propre infrastructure internationale pour accompagner l’évolution des usages de données fixes et mobiles de leurs clients à des coûts optimisés. Le segment sud du câble est déjà opérationnel, reliant le Maroc à la Côte d’Ivoire, au Togo, au Bénin, au Gabon et à la Mauritanie, et interconnectant également les filiales non côtières via le câble terrestre Transafricain. Le segment nord relie Casablanca à Lisbonne et offre une capacité de 60 Tb/s ».

Projet à deux segments, notamment. Un segment Sud, opérationnel depuis 2021, qui repose sur un câble de 8600 km d’une capacité de 20 à 40 térabits par seconde. Il connecte le Maroc à la Côte d’Ivoire, le Maroc, la Mauritanie, le Togo et le Bénin via sept points d’atterrissement et relie les filiales non côtières ( Moov Africa) à travers le Câble terrestre transafricain.

Le segment Nord est quand à lui opérationnel depuis 2022. Il relie Casablanca à Lisbonne au Portugal. Le câble interconnecte ainsi les filiales africaines de Maroc Telecom à la boucle optique mondiale.

Par Jean Materne Zambo

 

 

RD Congo : Orange annonce le premier test de la 5G avec des débits dépassant les 1Gb/s contre les 10G/s de MTN à Brazzaville

[DIGITAL Business Africa]- L’autre rive du fleuve Congo s’apprête à vivre l’expérience de la technologie 5G. Orange RDC, a annoncé, le 05 juin 2023, par voie de communiqué, que l’entreprise va procéder au premier test de la 5G, après le Congo Brazzaville en 2022. Les débits de technologie d’Orange RDC devraient dépasser les 1Gb/s, avec une latence qui sera divisée par 10. Ce qui, selon le communiqué, permettrait  une grande réactivité et ouvrirait des perspectives pour exploiter l’internet des objets (IOT). Mais la date du début de la phase pilote n’est pas exactement indiquée dans le communiqué.

« Cette technologie offrira la possibilité d’être avec ses proches comme s’ils étaient près de soi. Des communications en vidéos seront plus fluides et plus simples même en mobilité et enrichies notamment par la technologie de la réalité virtuelle ou de réalité augmentée pour se former, travailler, communiquer, se divertir et gérer le quotidien… De vivre une réalité augmentée. Nous pourrons visualiser ce qui n’existe comme par exemple se projeter directement sur un terrain ce que donnera la construction d’une future maison ou en simultané pour tous dans un stade, une gare, un marché et profiter de tous nos usages en mobilité sans interruption… », rapporte le communiqué du Directeur  Marketing  et Communication, Abdoul Karim Diawara.

La RD Congo est donc proche de rejoindre son frère, le Congo Brazzaville, qui  après avoir initié des travaux de la 5G en 2016, a finalemeent lancé la phase pilote de la technologie en octobre 2022. Ici, les débits dépassent les 10 GB/s.

Lire aussi : Congo Brazzaville :  Congo Brazzaville : MTN lance la phase pilote de la 5G à la faveur de la célébration de ses 20 ans au pays

Par Jean Materne Zambo

Innovation : Apple voit loin avec son Casque de réalité virtuelle, « Vision Pro »

[DIGITAL Business Africa] – Tim Cook a une vision de presbyte ( à long terme). Le directeur général d’ Apple sait que le futur se fera dans le Métavers. Il annoncé lundi 05 juin 2023, lors de sa traditionnelle conférence annuelle des développeurs (WWDC), que l’entreprise va mettre sur le marché,  le nouveau casque de réalité augmentée, « Vision Pro » à 3500 dollars. Grâce à ce casque, les utilisateurs pourront aller dans des univers parallèles et choisir le degré d’immersion.

« Si vous achetiez un nouveau téléviseur dernier cri, des enceintes performantes, un ordinateur puissant avec plusieurs écrans haute définition, une caméra sophistiquée et plus encore, vous n’arriveriez pas au niveau de ce qu’apporte le Vision Pro », a assuré Richard Howarth, le vice-président du groupe chargé du design.

Pour  le patron Tim Cook, « mélanger les contenus numériques avec le monde réel va permettre de créer de nouvelles expériences, comme nous n’en avons jamais vues ».

Petite différence. Vision Pro ne sera pas intégralement sans fil. Un câble le relie en effet à un boitier extérieur à l’opposé des récents modèles de casques de réalité virtuelle Quest 2, lancé par Meta, ou Vive, commercialisé par HTC).

Tim Cook, DG de Apple , a également insisté sur la mise à jour de son système d’exploitation, IOS 7, ainsi que sur la commercialisation de nouveaux macs.

Par Jean Materne Zambo, sources : lefigaro.fr, lemonde.fr, rf.fr

Cameroun/DNS : L’Agence nationale des TIC présente ses services au public

[DIGITAL Business Africa] – « Le DNS et la souveraineté numérique du Cameroun ». Thème de la troisième édition du Forum national des Noms de Domaine, qui se tient du 05 au 06 juin 2023. A tout seigneur, tout honneur. Et c’est à l’ Agence nationale des Technologies de l’Information et de la communication que revenait l’honneur de présenter au public la richesse de ses services. Notamment : la certification électronique ; l’Audit de sécurité des systèmes d’information ; le traitement des incidents informatiques ; l’enregistrement des noms de domaine.

Quatre services que le gendarme de l’ Etat sur internet mène depuis sa création ( 2006) qui se résume en une expression : promouvoir les Technologies de l’Information et de la communication au Cameroun.

Intéressons-nous  au dernier service ( contexte oblige), l’enregistrement des noms de domaine. Ici, l’Antic est chargée entre autres d’élaborer la politique et les procédures d’enregistrement des noms de domaines «. cm » ( l’extension nationale de la République du Cameroun), l’hébergement, de l’administration des serveurs racine, de l’attribution d’agrément de Registrar, du «. cm ».

Ce nom de domaine, plus qu’une fierté nationale, a sa place. Tout simplement, il indique que vos données sont stockées sur le cloud grâce depuis des dataCenters ultramodernes certifiés que dispose le Cameroun, dont celui de Camtel à Zamengoué (Tier3) et de la Campost (Tier3).

Selon, St Digital, groupe panafricain spécialisé dans les solutions informatiques  « La classification Tier-3 ici est accordée à un data center ayant plusieurs circuits d’alimentation en électricité et de distribution de refroidissement. La disponibilité offerte doit s’élever à 99,982 % avec une interruption limitée à un peu plus d’une heure et demie chaque année ».

Le Cameroun offre donc un hébergement sécurisé et une confidentialité de vos données qui valent de l’or au même titre que les Droits de l’ Homme en ligne. Là également, on le gendarme d’ Internet au Cameroun devrait démêler l’écheveau.

Mais un atelier sur la protection et la Promotion des Droits de l’ Homme en ligne était organisé via Zoom par l’ Association Protège QV, le 24 mai 2023. La communication de l’ Agence nationale des Technologies de l’Information et de la communication était attendue pour édifier sur ses actions afin d’avoir un internet libre et sécurisé. En vain !

Par Jean Materne Zambo

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tchad : Le débat sur la forme et le fond des sites web sur la table

[DIGITAL Business Africa] – Massakory, Massaguet, Moussoro et Mao. Quatre communes désormais connectées au monde. Chacune d’elle dotée d’un site internet avec pour nom de domaine «.com» . Objectif : attirer les investisseurs, en rendant visibles les activités que mènent les communes concernées, communiquer sur leurs besoins auprès de leurs administrés. Une volonté du gouvernement tchadien soutenue par l’Agence allemande de développement (GIZ) dans le cadre du projet portant réduction de fracture numérique.

Mais Abbatcha Ali Moussa, directeur des infrastructures des TIC à l’Agence de développement des technologies de l’information et de Communication (Adetic), est étonné que le nom du domaine attribué à ces sites soit «.com» pourtant, « td »(Tchad) est déjà là. Il a dit que l’ Adetic était  disposée à travailler pour donner ce nom du domaine à ces domaines.

Une remarque qui vient ainsi remettre au goût du jour le problème de fond et de forme des sites web au Tchad. L’ internaute, Abdel-Salam Abdel- Aziz Haggar, actif sur des questions technologiques, a d’ailleurs tracé ces mots. après vérification du projet des 20 sites Web créés par Adetic en 2020 :

« Plus de six(6) sites vérifiés, ont le même contenu ce qui n’est pas logique et sans mise à jour depuis Mai 2022;

– Le ministère de la santé a un domaine complètement différent des autres et affiche une page qui n’a pas de sens ;

– Le ministère de la communication qui a un rôle très important et qui devrait communiquer de manière très efficace sur l’action du gouvernement, ne dispose pas d’un site Web opérationnel. En plus de cela c’est un numéro personnel qui s’affiche sur la page Facebook comme contact ;

– Enseignement supérieur c’est pareil avec une adresse mail Gmail personnelle ; »

A quelques kilomètres du Tchad, la Cameroun. L’Agence  nationale des Technologies de l’Information et de la Communication (Antic)  tient depuis ce 05 juin 2023 à Bertoua, la troisième édition du Forum national des Noms de Domaine.

Par Jean Materne Zambo

Sénégal : Internet et le signal de la chaîne Walf TV suspendus , Amnesty International s’insurge

[DIGITAL Business Africa ] – Moussa Bocar Thiam trouve un argument sur la restriction d’internet au Sénégal : les discours de haine et subversifs. C’est ce qui ressort du communiqué qu’il a signé ce 04 juin 2023 alors que le pays traverse une zone trouble, née de la condamnation de l’opposant sénégalais Ousmane Sonko dans le cadre de l’affaire de viol sur la masseuse professionnelle, Adji Sarr.
Le Ministre des Communications, des Télécommunications et de l’Economie va plus loin. Dans une interview accordée à une chaîne locale, estime que 90% des informations des informations relayées sur les réseaux sociaux sont des montages, des Fakenews.

Mais pour Samira Daoud, directrice régionale du bureau d’Amnesty International pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre de telles pratiques sont à condamner. Car, selon elle, ces restrictions au droit à la liberté d’expression et à l’information constituent des mesures arbitraires contraires au droit international, et ne sauraient être justifiées par des impératifs de sécurité .

Dans la soirée du jeudi 1er au vendredi 02 juin 2023,   l’agence de la Sonatel de Tivaouane a été mise à sac. Les  travailleurs de Sonatel, sur la page Facebook  de l’entreprise, ont  exprimé toute leur compassion à l’endroit du peuple Sénégalais et présenté leurs sincères condoléances aux familles endeuillées.

Par Jean Materne Zambo 

Gitex Africa : la ministre  Ghita Mezzour signe deux conventions en faveur du développement numérique  

[DIGITAL Business Africa] – Par ces deux conventions, le gouvernement marocain entend bien soutenir les startups en plus de développer ses compétences digitales. En marge de la première édition du Gitex Africa ( du 31 mai au 02 juin 2023), la ministre de la Transition Numérique et de la Réforme de l’Administration, Ghita Mezzour, a signé deux conventions avec Technopark et LEET initiative.

La première convention avec Technopark, agglomérat d’entreprises informatiques et du secteur de l’énergie verte créé en 2001 à Casablanca, vise à améliorer l’offre des Technoparks pour les startups digitales et à établir l’offre digitales dans d’autres régions du Maroc. Les startups sélectionnées pourront bénéficier du parcours d’accompagnement connu : pré-incubation, incubation, développement et accélération. Tous ces programmes seront financés par le ministère de la Transition Numérique et de la Réforme de l’Administration.

La deuxième convention concerne le ministère de la Transition Numérique et de la Réforme de l’Administration et LEET initiative. Il s’agit des écoles conçues pour les jeunes de diverses régions du Maroc. Leur but est de favoriser le développement des métiers du numérique, d’améliorer les opportunités d’emploi dans les nouvelles technologies, et de stimuler la création d’écosystèmes de startups numériques. Chaque école aura pour ambition de former au moins 50 étudiants par promotion.

Par Jean Materne Zambo

 

 

 

 

Gitex Africa 2023 : La start-up nigériane Nearpays remporte 10 000 $ au Supernova Challenge, catégorie Fintech and Blockchain Technology

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[DIGITAL Business Africa] – Les Aigles ont survolé l’ Atlas lors du Supernova Challenge, la plus grande compétition de pitch en Afrique, ouverte au Gitex Africa 2023. Dans la catégorie Fintech and Blockchain Technology , c’est donc la start-up nigériane, Nearpays,  qui empoche les 10 000 dollars mis en jeu, ce deux juin 2023. Le prix devrait aider Nearpays à obtenir sa licence de système de carte de paiement, qui coûte environ 15 000 dollars.

Le prix total en espèces du  de 100 000 dollars pour toutes les catégories telles que la cybersécurité, l’IA et les villes numériques, la technologie de la santé, la durabilité et l’agritech. Pour le promoteur de Nearpays, Danyian, il fallait bien une bonne préparation et surtout une méthodolgie  pour avoir raison de ses concurrents.

« Je suis venu avec l’intention de gagner depuis le Nigeria. J’étais déterminé; J’étais prêt. C’était une surprise, mais j’étais aussi très déterminé à gagner […] J’ai pris le temps de comprendre les gens qui entendaient le pitch. J’ai pris le temps de faire des recherches sur eux, sur les entreprises dans lesquelles ils travaillaient et sur leur personnalité à partir de leur page LinkedIn. J’ai pu leur faire comprendre notre métier en très peu de temps, en allant droit au but », a-t-il dit.

La première édition du Salon Gitex Africa a eu lieu du 31 au 02 juin 2023 à Marrakech, Maroc. 900 grandes entreprises technologiques, entités gouvernementales, start-ups et participants de plus de 100 pays étaient attendus. La Place Bab Jdid, Bd Al Yarmouk y a servi d’espace d’exposition avec ses dix halls et 45 000 m² .

Par Jean Materne Zambo

Cameroun : La 3e édition du Forum national des DNS en cours de téléchargement

[DIGITAL Business Africa] – Le DG de l’ Antic, Ebot Ebot Enaw , sera du côté de Bertoua pour honorer un devoir devenu annuel depuis deux ans. L’Agence Nationale des Technologies de l’Information et de la Communication organise le Forum national des Noms de Domaine (DNS), le troisième du genre, du 05 au 07 juin 2023.

Les travaux qui réuniront une palette d’experts dans le domaine des TIC, de cybersécurité, auront comme thème : « Le DNS et la souveraineté numérique du Cameroun ». C’est dans le but de sensibiliser les développeurs de services numériques et les acteurs de l’Internet de la Région de l’Est sur les bonnes pratiques qui pourraient contribuer à construire l’autonomie du Cameroun dans le cadre du Domain Name System.

La deuxième édition s’est tenue du côté de Douala du 09 au 11 août 2022 sous le thème : « Un DNS de qualité pour un accès à internet de qualité ». Pour en parler, des panélistes triés sur le volet, notamment  Yazid Akanho, Technical Engagement Sr. Spécialist, Middle East & Africa Office of the Chief technical office, représentant de l’ Icann Internet coopération for Assigned Names and Numbers, le Dr Gérard Eyoum Eyoum, expert en Cybersécurité, entre autres.

Par Jean Materne Zambo

GITEX Africa 2023 : Entrevue entre Az-El-Arabe HASSIBI de l’ ANRT et Abdoul Karim Sall DG de l’ ARTP

[Digiral Business Africa] – L’Agence nationale de réglementation des l’ ANRT et télécommunications (ANRT) a réussi à attirer bien de grosses figures des Technologies et même des Télécommunications en Afrique. Cela depuis le 31 mai 2023. Jour d’ouverture du salon Gitex Africa, premier du genre en terre africaine. Le ministre Abdoul  Karim Sall, DG de l’Artp est à Marakesh pour vivre ce grand rendez vous mondial de l’innovation. Il s’est aussi entretenu avec son homologue Marocain Hssibi Dg de l’ANRT avec qui il a passé en revue les différentes problématiques de la Régulation des Télécommunications.

« En ma qualité de DG de l’ARTP, j’ai pris part ce mercredi à Marrakech à la cérémonie d’ouverture de GITEX AFRICA, un grand rendez-vous mondial de l’innovation.En marge de ce colloque, j’ai eu un riche entretien avec mon homologue Marocain, Az-El-Arabe Hassibi, DG de l’Agence Nationale de Réglementation des Télécommunications (ANRT)»,  a-t-il dit.

Ensemble, nous avons passé en revue les différentes problématiques de la Régulation des Télécommunications.Le rideau du Gitex Africa 2023 retombe ce juin 2023.

Par Jean Materne Zambo

Tchad : Mahamat Allahou Taher passe en revue les infrastructures de communication numérique en chantier 

[DIGITALBusiness Africa ] – Le ministre des Télécommunications et de l’Economie numérique a visité les chantiers du projet de modernisation des infrastructures du communication numérique, ce 31 mai 2023. Mahamat Allahou Taher est allé lui-même s’enquérir de l’état d’avancement des travaux de cette  infrastructure qui  s’élève à plus de 200 milliards de FCFA, financée par Eximbank et le gouvernement du Tchad et mise en exécution par l’entreprise chinoise Huawei.

Le premièr arrêt a eu lieu au site Quatrième génération nouvellement construit. Il vise à consolider le réseau mobile Sotel Tchad sis à la localité de Ridina. Puis, la délégation va s’ébranler en direction du Centre d’alimentation énergétique au quartier Goudji pour finalement bifurquer vers le Centre secondaire data de Farcha et le centre Data principal de Klemat. A terme, ces deux centres serviront à sauvegarder toutes les données mobiles. Le ministre des Télécommunications et de l’Economie numérique, Mahamat Allahou Taher, a pu apporter sa propre appréciation de ce vaste chantier.

« Ce grand projet doit venir transformer la physiologie numérique de notre pays et surtout donner l’Internet haut débit à nos populations. Certains travaux sont réalisés, je dirais même à 90 % pour le data centre secondaire, d’autres connaissent un taux d’exécution moins important », a-t-il dit.

Concernant les entreprises qui sont à la traîne, il exhorte à un peu plus de célérité dans l’exécution de leurs cahiers des charges.

« Nous exhortons les entreprises à redoubler d’efforts pour finir et faire aboutir le projet dans un délai bref. Ce projet de modernisation des infrastructures de communication électronique doit nous permettre de construire 1200 kilomètres de fibres optiques sur l’ensemble du territoire »,a-t-il précisé.

Le Arcep Mahamat Allahou Taher, conduisait une forte délégation composée des cadres et hauts cadres de son département ministériel et ceux des institutions sous tutelles notamment l’Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes ( Arcep), l’ Agence de Développement des Technologies de l’lnformation et de la Communication( Adetic) la Société des Télécommunications du Tchad( Sotel)…

Par Jean Materne Zambo

Togo : Moov Africa et Togocel à nouveau sommés pour manquements graves à leurs obligations de qualité de services, 06 mois pour se conformer

[DIGITAL Business Africa] – 2021, 2022 et 2023. Déjà trois années (consécutives) que l’Arcep sert une mise en demeure au duopole Moov Africa-Togo et Togocel.  Motif: manquements graves à leurs obligations de qualité de services. L’ Arcep leur a accordé un délai  de six mois pour « mettre en œuvre des actions correctives nécessaires en vue du respect des indicateurs et seuils réglementaires de qualité des services sous peine de sanction ».

L’ Autorité de Régulation des Communications électroniques et des Postes a rappelé ce 31 mai 2023 que le taux de non-conformité est de 63% chez Moov Africa Togo et de 51,4% chez Togo Cellulaire.  Ce qui constitue de fait, selon l’ Arcep, « des violations graves et continues conjuguées à la faible amélioration de la qualité de service observée au cours des dix-huit (18) derniers mois, de l’ordre de 5% pour Moov Africa Togo et 8% pour Togo Cellulaire ».

Cette mesure est consécutive à l’ engagement d’une procédure de sanction ouverte en mars 2023. Elle va à l’encontre des deux acteurs de téléphonie, après une campagne nationale observée du 03 novembre 2022 au 13 janvier 2023. Elle portait sur la qualité de services mobiles (voix et internet). D’après cette étude, les deux opérateurs mobiles ne respecteraient toujours pas les seuils de conformité réglementaires malgré leurs multiples interpellations.

La décision n°185/ARCEP/DG/22 du 24 octobre 2022 qui fixe les conditions et modalités de compensations des consommateurs, prévoit  des modalités de compensations en cas de :
– Indisponibilité ou interruption de services due à un incident affectant l’ensemble ou une partie des clients ;
– Non relève de dérangement chez un client dans les 48 heures suivant sa notification à l’opérateur ;
– Non-respect des délais convenus avec un client pour l’installation et/ou l’activation de services d’accès Internet ;
– Non-respect de rendez-vous convenu avec un client pour une intervention à domicile.

Les fournisseurs d’accès Internet sont tenus d’inclure ces modalités de compensations dans leurs conditions générales d’abonnement et de les respecter sous peine de sanctions, selon L’Arcep.

Par Jean Materne Zambo

e-visa/Cameroun : Le Minrex annonce 12719 demandes de visas ordinaires traitées sur le site www.evisacam.cm

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[DIGITAL Business Africa] – 12 719, c’est le nombre de demandes de visas ordinaires que la plateforme de prestations consulaires www.evisacam.cm a déjà traitées en un mois. Annonce disponible sur la page Facebook du ministère des Relations extérieures, depuis ce 31 mai 2023.

Le visa ordinaire est exigé à tous les étrangers (personne de toute nationalité) sauf aux ressortissants des pays (ou des régions) avec lesquels le Cameroun a signé des Accords particuliers en matière de circulations des biens et des personnes.

Il est le troisième derrière le visa de courtoisie, qui est délivré à une catégorie de personnes ayant un statut particulier dans le cadre des relations internationale bilatérales ou multilatérales. Il peut aussi être délivré à titre exceptionnel à certaines personnes. Il n’est pas gratuit.

Reste le visa diplomatique . Il est délivré au service du protocole de la Chancellerie à une catégorie de personnes (diplomate) ayant un statut particulier dans le cadre des relations internationales bilatérales ou multilatérales.

La plateforme www.evisacam.cm a été mise sur pied à la faveur de la signature du contrat de partenariat entre la République du Cameroun et la Société Impact Palmarès R&D SAS. La convention porte sur le financement, la conception et à la réalisation de la sécurisation et l’uniformisation des prestations consulaires du Cameroun.
Précision, le système de délivrance des visas biométriques, proposé par Impact Palmarès R&D SAS est expérimenté à l’ambassade du Cameroun en Côte d’Ivoire depuis septembre 2020.

Lire aussi : e-Visa du Cameroun : Bugs et sueurs froides sur la plateforme evisacam.cm mise en place par le MINREX et Impact Palmarès R&D SAS

Quelques consignes du Minrex

Le ministère des Relations extérieures, dans sa mission régalienne de protéger les ressortissants et les intérêts camerounais à l’étranger donne des détails précis sur ses plateformes de communication digitale. Par exemple, les voyageurs doivent disposer d’ un QR Code ( autorisation d’embarquer) e-visa reçu par mail, après approbation de la demande de visa ou de la vignette de visa. Elle est apposée dans le passeport après les formalités biométriques dans une ambassade ou consulat du Cameroun. si vous n’avez pas de représentation diplomatique dans votre ville de résidence, vous recevez un QR Code 24 à 72 heures après votre demande de visa en ligne.

Par Jean Materne Zambo

Gabon: Pour mettre fin “aux pratiques abusives”, l’ANINF récupère à Freenom la gestion internationale du domaine de premier niveau .ga

[DIGITAL Business Africa] – L’Agence Nationale des Infrastructures Numériques et des Fréquences de la République gabonaise (ANINF) a publié un communiqué informant le grand public qu’à compter du mercredi 07 juin 2023, elle procédera à une migration technique relative à la gestion de l’extension nationale .ga.

Pour l’ANINF, cette transition répond à deux enjeux prioritaires : “offrir des services de qualité obéissant aux règles de référence du métier d’opérateur de registre et mettre un terme aux pratiques abusives, via la volonté et l’appui de l’Etat gabonais, qui ont eu un impact négatif sur l’image du pays et son rayonnement sur Internet”.

Cette opération entrainera des perturbations auprès des titulaires du .ga. au Gabon et à l’International. Aussi, le Registre ANINF rassure ses utilisateurs que toutes les mesures nécessaires pour favoriser une continuité de service ont été prises avec le concours des autorités nationales et des instances internationales du secteur.

En outre, l’Aninf indique avoir entamé depuis plusieurs semaines une campagne d’accréditation auprès des bureaux d’enregistrement pour assurer “l‘opération de bascule et la gestion de la zone .ga selon les plus hauts standards de qualité de service et de sécurité”.

L’ANINF rappelle aux Bureaux d’Enregistrement susceptibles d’avoir pour clients des titulaires actuels du .ga ainsi que les clients détenteurs d’un nom de domaine .ga via l’Opérateur Freenom, qu’à compter de la date du 07 juin 2023 la zone internationale du .ga sera désormais gérée par l’ANINF. “Aussi, le Registre les invite à se rapprocher de ses services techniques, via l’adresse www.mon.ga, afin d’éviter tout éventuel désagrément après cette opération. En définitive, l’ANINF rappelle que cette décision stratégique s’inscrit dans la continuité de sa mission d’offrir à ses utilisateurs des services de qualité, fiables et sécurisés“, lit-on dans le communiqué signé du DG de l’ANINF, Aimé Martial ASSAME.

Les titulaires ou non d’un nom de domaine .ga souhaitant s’enregistrer auprès d’un Bureau d’Enregistrement accrédité ANINF ont plusieurs choix.

A ce jour, voici la liste des Bureaux d’Enregistrement accrédités par l’ANINF par zone : International • GANDI • SAFE NAMES • MARCARIA • NETIM et CSC

National • GABON TELECOM • ST DIGITAL • IT CORP • IPI9 et NKS

Les bureaux souhaitant commercialiser le .ga sont invités à contacter l’adresse [email protected] afin de recevoir le Pack d’Accréditation et afin de s’enregistrer auprès de l’ANINF.

L’ANINF réaffirme par ailleurs son engagement à renforcer la souveraineté numérique du Gabon et à assurer une gestion responsable des ressources numériques du Gabon.

Par Digital Business Africa

Gitex Africa 2023 : Huawei rappelle les avancées de l’Internet Protocol version 6( IPv6) 

[DIGITAL Business Africa] – Jour « 1 », jour d’ambiance mais aussi décisif pour chaque entreprise dans un salon. A l’ouverture du Gitex Africa 2023, Tonny Bao, vice-président de Huawei, ( sponsor platine de l’évènement) ce 31 mai 2023, est revenu sur les avancées technologiques de l’Internet Protocol version 6 ( IPv6). Il s’agit d’un protocole réseau sans connexion de la couche 3 du modèle Open Systems Interconnection (OSI).

Le site fibre-pro.fr rapporte que « l’’IPv6 est en préparation depuis 1998 pour remédier à la pénurie d’adresses IP disponibles dans le cadre de l’IPv4. Mais malgré ses avantages en termes d’efficacité et de sécurité, les entreprises tardent à l’adopter ».

Et à docs.oracle.com de renchérir que : « les adresses IPv6 sont assignées à des interfaces, plutôt qu’à des nœuds, dans la mesure où un nœud peut disposer de plusieurs interfaces. De plus, vous pouvez assigner plusieurs adresses IPv6 à une interface ».

Au-delà du Protocol réseau IPv6, Tonny Bao, vice-président président de Huawei, a également posé un diagnostic de l’entreprise chinoise pour que l’ Afrique ait une économie numérique saine et prospère.

Le salon Gitex Africa 2023 n’attire pas que les experts des Technologies, de réseautage et les investisseurs visionnaires. Plusieurs étudiants ont convergé au lieu de l’évènement, ce premier jour, pour venir découvrir les dernières technologies de pointe pour une transformation numérique de l’Afrique.

Par Jean Materne Zambo