[Digital Business Africa] – Protège QV organise, du 04 au 09 décembre 2023, un concours de la meilleure illustration des droits digitaux. L’événement prélude à la célébration de la Journée Mondiale des Droits de l’Homme prévu le 10 décembre 2023. Pour y participer, envoyer un courriel (email) à l’adresse [email protected] avec en objet « Inscription au concours ».Lire le communiqué https://www.digitalbusiness.africa/wp-content/uploads/2023/11/version-pdf-3-1.pdf Toutes les soumissions ou candidatures doivent être envoyées au plus tard le 04 décembre 2023 à minuit. Les résultats seront disponibles le 09 décembre 2023 par voie de média et sur le site de PROTEGE QV (https://www.protegeqv.org/)
[DIGITAL Business Africa] – 1700 nouvelles zones devraient connaître une amélioration du débit internet. La deuxième phase du Plan national pour le développement du haut et très haut débit sera lancée en 2024. Assurances données par Ghita Mezzour, ministre déléguée chargée de la transition numérique et de la réforme de l’administration, ce lundi 13 novembre 2023 à la Chambre des représentants. Cette phase sera financée par le Fonds du Service Universel des télécommunications.
Le FSUT est l’un des fondements de la réforme du secteur des télécommunications au Maroc.
Il a été initiée en vertu de la loi 24-96 promulguée par le dahir n°1-97-162 du 7 août 1997, relative à la poste et aux télécommunications. Sa finalité est de contribuer à la résorption de la fracture sociale dans le domaine des télécommunications. Le FSUT a pu mobiliser plus de 2,25 Milliards de dirhams depuis sa création en 2005 jusqu’à fin 2013.
Les programmes soutenus par le CGSUT
Plusieurs programmes ont été retenus par le comité de gestion du service universel des
télécommunications (CGSUT) et financés par le FSUT, portant notamment sur :
– Le programme d’accès généralisé des télécommunications (PACTE) ;
– La généralisation des technologies d’information et de communication dans
l’enseignement (GENIE) ;
– Le programme Nafida qui a pour objectif de faciliter l’accès de la famille de
l’enseignement aux Technologies de l’Information et de la Communication (TIC),
d’utiliser ces outils dans le système éducatif, et d’accéder à des contenus multimédias ;
– Le programme Injaz, destiné aux étudiants de l’enseignement supérieur public. Il a pour
finalité la contribution à l’acquisition des moyens d’accéder aux TIC dans le cadre de
leur formation ;
– La création de Centres d’accès communautaires (CAC), facilitant l’accès des jeunes aux
TIC, notamment au niveau des maisons de jeunes relevant du Ministère de la Jeunesse et
des Sports ;
– Le programme E-sup, qui a pour objectif la généralisation des TIC dans l’enseignement
supérieur, à travers l’équipement des universités pour l’acquisition des solutions en vue
de l’intégration des TIC ;
– Le programme « Net-U » qui vise à promouvoir et étendre l’accès aux TIC, en particulier
l’accès à Internet, au sein des établissements et cités universitaires
La première phase du PNHD I réalisée à 97%
Plus de sept milliards de dirhams ont été mobilisés par le gouvernement pour renforcer les infrastructures des réseaux et des télécommunications en 2022. Ceci, dans le cadre de la deuxième phase du PNHD . Selon Ghita Mezzour, ministre déléguée chargée de la transition numérique et de la réforme de l’administration, le taux de réalisation de la première phase de ce programme PNHD I (2018-2023) a atteint 97%, soit la couverture de près de 10420 zones territoriales par Internet haut débit sur un total de 10740 zones initialement prévues.
Le Maroc est le premier pays africain à déployer la techonologie Very Small Aperture Terminal ( VSAT). Ghita Mezzour a indiqué que l’Etat propose une subvention de 50% des frais de service de connexion par satellite dans la limite de 4000 bénéficiaires par an (plafonnée à 2500 Dh par abonnement VSAT). Sachant que l’abonnement VSAT au Maroc demande à 250 dirhams/mois. La souscription à un abonnement s’accompagne de l’installation d’un équipement spécifique différent de la box internet traditionnelle. L’abonnement pour les particuliers démarre, quant à lui, à 251 dirhams/mois.
[DIGITAL Business Africa] – L’entreprise Open AI, spécialisée dans l’intelligence artificielle, s’est séparée de son patron, Sam Altman, âgé de 38 ans. Le créateur de la plateforme d’intelligence artificielle générative ChatGPT est évincé pour le manque de franchise dans ses communications avec le conseil d’administration faisant entrave à sa capacité à remplir ses responsabilités, rapporte le communiqué signé par l’entreprise. OpenAI a été fondé en 2015 par un groupe d’experts de la technologie, parmi lesquels on retrouve le cofondateur de LinkedIn Reid Hoffman, l’investisseur Peter Thiel ainsi qu’Elon Musk.
La directrice technique d’Open AI, Mira Murati, va assurer l’intérim en attendant de trouver un successeur à Altman, qui ne regrette pas son passage à l’entreprise. «J’ai aimé mon temps passé à OpenAI. C’était transformateur pour moi sur un plan personnel, mais aussi, espérons-le, pour le monde ». Sam Altman, depuis la mise en ligne de la première version de ChatGPT le 30 novembre 2022, a conquis des millions d’utilisateurs. Le Chatbot est presque devenu une affaire de tous., même dans les pays où il n’est pas autorisé, on trouve des moyens pour créer un compte ChatGPT, en s’assurant un VPN, par exemple. Puisque Sam Altman a su trouver un moyen simplifié de rédiger des messages, demander une recette de cuisine ou inventer une histoire à raconter à leurs enfants que le robot conversationnel peut ensuite leur lire.
Mais pour l’analyste de Wedbush Dan Ives, son départ ne saurait plomber le fonctionnement de Open AI « Altman viré en tant que patron d’OpenAI, un choc, mais, au bout du compte, Microsoft aura simplement davantage de contrôle sur la situation étant donné sa participation…Il a été crucial pour guider la plateforme où elle est, mais le fait qu’il ne soit plus là engendre peu d’inquiétudes pour l’avenir.Il y a un an, ça aurait été différent », a dit l’analyste de Wedbush Dan Ives.
Le départ de Sam Altman est consécutif à la démission du co-fondateur d’Open AI, Greg Brockman. Plusieurs chercheurs de renom ont également quitté le navire.
[DIGITAL Business Africa] – La huitième édition du Salon international de la technologie et de l’innovation (Osiane) baptisée « Kolonga » se tiendra du 23 au 26 avril 2024 à Brazzaville sur le thème « Le numérique, accélérateur de performance ».
L’ONG Pratic qui l’organise l’a annoncé ce 08 novembre 2023 lors d’un kick-off en ligne.
Selon les explications de Luc Missidimbazi, président de Pratic, et de Rose Marie Ovaga, commissaire générale de cette édition 2024, l’accent sera mis sur l’intelligence artificielle, la cybersécurité, les technologies immersives et les solutions hard et software.
Digital Business Africa vous propose l’interview de Luc Missidimbazi qui présente l’esprit d’Osiane et les grandes orientations pour 2024 ?
DIGITAL Business Africa :Quelles sont les principales nouveautés qu’on va retrouver à Osiane 2024 ?
Luc Missidimbazi : Cela va se préciser dans le temps, dans les prochains mois. Bien qu’il y ait eu un travail à faire sur les tendances et aussi la relation avec le partenaire. Mais, ce qu’on sait déjà, c’est qu’on va accentuer le travail sur les performances.
Aujourd’hui, comment le numérique améliore les performances des entreprises ? Comment le numérique améliore les performances de l’administration publique ? Comment le numérique améliore les performances dans le cadre réglementaire que fixe les institutions ? Comment aujourd’hui allons-nous considérer tous ces progrès à travers des statistiques concrètes, à travers l’impact que cela a sur la société ? Toutes ces questions vont trouver une réponse.
Donc, c’est cela l’objectif. En 2024, on va vraiment être orienté sur les métiers dans les différents domaines de l’économie numérique. L’objectif sera aussi d’évaluer les performances de nos start-up. Donc, quelles sont les tendances associées ou quelles seront les innovations associées ?
DIGITAL Business Africa :Le salon Osiane 2023 s’est terminé. Que peut-on retenir de ce salon ?
Luc Missidimbazi : Nous avons terminé l’édition 2023 dans un esprit très festif pour les gagnants des challenges. Une chose est certaine, c’est qu’en 2023 nous avons quasiment doublé les dernières fréquentations en termes de visites et de présence dans les ateliers, les conférences, les tables rondes. Donc, on peut estimer que plus de 15 000 visiteurs sur les 4 jours du salon c’est quand même significatif.
DIGITAL Business Africa :En 2023, il y a eu plusieurs activités au salon Osiane. Osiane devient-il un carrefour de rencontres de plusieurs types d’événements ?
Luc Missidimbazi : Plusieurs événements ? Je ne pense pas. Ce n’est pas l’objectif. Notre objectif est de toujours promouvoir le numérique, accompagner les transformations numériques afin que ces transformations aident le développement, accompagnent les entreprises à avoir de meilleures performances.
L’un des objectifs c’est de faire d’Osiane une plateforme où on retrouve des solutions, où on a des réponses aux problématiques liées au développement technologique, au progrès et aussi à la modernisation de nos administrations publiques.
Maintenant, cette dimension internationale se confirme, s’exprime, s’affirme et on devient de plus en plus une plateforme reconnue. Certes après, il y a du travail à faire et on va s’atteler à consolider ce travail là.
DIGITAL Business Africa :On a vu par exemple l’Artac tenir ses réunions à Osiane 2023. Est-ce que d’autres organisations de la sous-région peuvent également s’approprier Osiane pour organiser leur propre rencontre sectorielle pendant l’événement ?
Luc Missidimbazi : C’est le but effectif de la plateforme. De rassembler à la fois des institutions, des gouvernements, des entreprises publiques / privées, des ONG, des experts, des universitaires pour apporter des solutions.
Donc, toute institution qui rentre dans la formule qui est la nôtre : la promotion de la technologie et de l’innovation, l’encouragement à l’entrepreneuriat est effectivement la bienvenue pour pouvoir exposer et discuter. On estime que c’est une plateforme ouverte. Pour le développement, on est prudent !
DIGITAL Business Africa :L’un des grands moments du salon Osiane 2023 était la cérémonie de clôture et la remise des prix aux différents vainqueurs. On se rend compte qu’Osiane s’est résolument tourné dans l’accompagnement des jeunes start-up du continent avec le Challenge bassin du Congo. Quelle est l’objectif en faisant ce challenge Bassin du Congo là et comment cela va se poursuivre ?
Luc Missidimbazi : En 2023, nous étions à la deuxième édition du challenge du Bassin du Congo qui met en lumière les compétences, des savoir-faire des jeunes entrepreneurs de la sous région Afrique centrale. Nous avons pour objectif de révéler au moins une structure ou un projet qui va être livré dans les prochaines années.
Mais aussi, de donner l’occasion à ces start-up de se comparer avec les autres qui sont autour d’elles dans les pays voisins. On les amène à découvrir ce que la technologie a de bien pour des pays occidentaux comme la France, l’Allemagne aussi les États-Unis.
DIGITAL Business Africa :Les trois lauréats de 2023 seront au CES 2024 à Las Vegas…
Luc Missidimbazi : Oui, nous les amenons au CES de Las Vegas pour qu’ils aillent découvrir cet aspect d’innovation et de nouveauté. Je pense qu’ils ont les fondements, les bases d’un esprit entrepreneurial.
Ces bases-là qui font partie des critères de ce qu’on recherche pour développer le mindset des gens et les élargir à des environnements plus modernes des technologies, des grandes industries. Cela va peut-être les aider à mieux répondre aux besoins d’une autre société et d’une autre population.
DIGITAL Business Africa :Les précédents vainqueurs étaient à Viva Tech. Qu’est-ce qui fait le choix ? Pourquoi passer de Viva Tech à CES ?
Luc Missidimbazi : C’est un choix de l’organisation. C’est un choix qui est motivé surtout par la découverte des technologies qui semblent être plus important pour les jeunes. C’est un choix que le comité d’organisation a souhaité. C’est aussi le retour d’expérience de la précédente mission. On va essayer d’étudier tout ça pour voir ; essayer CES pour voir ce que ça donne aux jeunes porteurs de projets.
DIGITAL Business Africa :Pour les prochaines éditions challenge Bassin du Congo, quelle seront les innovations ? Vous aviez dit tout à l’heure qu’il y aura des possibilités de faire des présélections au niveau de chaque pays. Comment cela va se passer ? Comment vous entendez faire ça ?
Luc Missidimbazi : Déjà, nous allons reprendre le tour au niveau du show Osiane qui va se dérouler dans les sept pays de la sous-région avec effectivement pour but, de sélectionner les start-up, inviter les pays, les agences de l’écosystème pour Osiane 2024, avec effectivement le besoin d’avoir les cinq à dix start-up qui vont suivre la formation pour challenger et monter les projets.
C’est une première chose que nous allons faire. La deuxième ça sera aussi d’avoir les catégories de prix, des challenges totalement ouvert. Ce sont par exemple des gens qui n’étaient pas très bon pour présenter.
On aura aussi une catégorie de start-up que l’on va recomposer. Mais, à côté de cela, c’est aussi l’impact que les incubateurs ont dans les systèmes des pays. On va intégrer cela. On peut dire que ce sont les principales avancées qu’on a considérées.
18 avril 2019. Brazzaville, Palais des Congrès. Osiane 2019. Luc Missidimbazi lors de son discours de clôture. Photo : Digital Business Africa
DIGITAL Business Africa : En 2023, il y a eu la réunion des agences de développement du numérique. Quel est l’objectif en invitant à Osiane les responsables qui s’occupent des agences de développement du numérique ?
Luc Missidimbazi : Il faut dire que notre sous-région connait aujourd’hui un développement de ces agences et sont quasiment jeunes. Elles ont toutes un seul même objectif qui est de pouvoir accompagner les gouvernements, mettre en place, exécuter les stratégies de transformation digitale.
Et on s’est dit qu’on peut trouver des synergies. Il fallait les rassembler pour travailler avec elles sur cette autre vision, cette autre transformation digitale et c’est ce qui s’est passé et que nous avons beaucoup apprécié.
Maintenant, elles étaient toutes là, elles ont répondu présentes. La question à présent est de savoir comment nous organisons la suite pour Brazzaville ? Et la suite de Brazzaville sera peut-être à Kinshasa, peut-être à Libreville pour commencer à constituer une forme de regroupement de ces agences et commencer à avoir comme un pouls de référents de transformation digitale.
Par exemple, avoir une expertise sur la cybersécurité et les données à caractère personnelles. Que cette expertise serve aussi à un Congo ou au Gabon. Donc, c’est tout cela que l’on est en train de préparer pour cette deuxième édition. D’où cette conférence qui se tiendra aussi probablement avant la fin d’année dans un des autres pays.
Propos recueillis par Beaugas Orain DJOYUM en avril 2023
[DIGITAL Business Africa] – Orange Cameroun a organisé une conférence de presse ce mardi 14 novembre 2023 à Douala pour présenter à ses abonnés ses offres et cagnottes pour la fin de l’année 2023.
Digital Business Africa vous présente les grandes lignes de cette conférence de presse animée par Yves Kom, directeur Marketing et Communication d’Orange Cameroun et Anne Cathérine Tchokonté, directrice générale d’Orange Money Cameroun.
Yves Kom, directeur marketing d’Orange Cameroun
(Orange Cameroun) – Chaque fin d’année, Orange Cameroun récompense son aimable clientèle à travers de nombreux lots. Nous avons encore en mémoire les fêtes de fin d’année 2021, durant laquelle Orange a offert une quinzaine de voitures à ses abonnés.
En 2022, de nombreux Camerounais ont eu l’opportunité de vivre l’expérience de la Coupe du Monde au Qatar grâce à des voyages entièrement pris en charge qui leur ont été offerts. En plus de ces voyages, la somme de plus de 250 millions de francs a été distribuée, contribuant ainsi à la réalisation de plusieurs projets portés par les heureux gagnants.
Par ailleurs, des Smart TVs grand format ont également été offerts pendant cette période.
En cette fin d’année 2023, Orange ne compte pas faire exception à la règle et offrira une fois de plus à ses clients la chance de remporter une multitude de lots et de profiter des fêtes dans une ambiance de joie immense quel que soit leur réseau.
Au-delà des fêtes de fin d’année
En dehors des fêtes de fin d’année, Orange Cameroun a toujours été reconnu pour sa capacité à fournir des solutions innovantes, offrant à ses abonnés des forfaits d’appels et datas à des tarifs avantageux. Parmi ces forfaits, on reconnait :
Orange Bonus, accessible via le code #111*1# ou via l’appli MyOrange offre des forfaits d’appels et d’internet aux abonnés prépayés et hybrides, leur permettant de bénéficier de plusieurs avantages notamment :
Des appels vers tous les réseaux au même prix
Des gros volumes d’internet à des tarifs avantageux.
Infinity Home, l’offre d’internet illimité à la maison accessible sur My Orange pour W
Streamer en illimité et en haut débit
Jouer en ligne en illimité
Tenir des conférences téléphoniques et des visioconférences en toute tranquillité
Leader sur tous les terrains
Depuis plus de deux décennies, Orange Cameroun est le leader de l’innovation dans le secteur des télécommunications au Cameroun. Notre objectif principal est de fournir des solutions innovantes pour le bien-être de nos clients, en leur offrant chaque jour :
Une connexion fiable, illimitée et abordable
Des forfaits, des appels et des services Internet à des prix compétitifs
Une flexibilité dans leurs transactions Orange Money, moins cher et ouvert à tous.
Des applications innovantes qui facilitent leur vie quotidienne.
Mais au-delà de nos services de télécommunication, nous nous efforçons d’être une entreprise proche de nos clients. Cela se manifeste par les projets de responsabilité sociale d’entreprise (RSE) déployés sur l’ensemble du territoire national.
Nous pensons grand pour nos clients
Cette année encore, nous allons :
Célébrer les fêtes de la plus belle des manière avec nos clients Offrir un max de lots pouvant impacter positivement la vie de nos abonnés.
Tout simplement, distiller de la joie…
Max de lots, Max tes fêtes
C’est parti pour 3 mois de fêtes. Du 16 novembre au 29 Février 2024, les abonnés Orange auront la possibilité de gagner un maximum de lots.
Des voyages entièrement pris en charge pour vivre la CAN TotalEnergies en Côte d’Ivoire
Des Millions à partager afin de permettre aux clients de se faire plaisir en famille
Des véhicules tout-terrain flambant neuf
Des Smart TV grand format pour regarder la CAN en famille et vivre
L’expérience comme si vous étiez à Abidjan, Bouake, Babi ou Yamoussoukro
Un max de surprises…
Comment gagner ?
Tout simplement via des opérations simples et habituelles :
Achat d’un forfait appels ou data via Orange Bonus : au #111*1# ou via l’appli
Une opération Orange Money d’au moins 2000F : retrait, paiements de factures Canal +; Eneo; Camwater…
Au #150# ou via l’appli
En renouvelant son forfait Infinity Home via l’appli My Orange Achat d’un forfait Sembe Woila au #195*3#
[DIGITAL Business Africa] – Africa Networks rêve d’une Afrique connectée. En partenariat avec Intelsat, AMN veut déployer 1340 au Rwanda, en République Démocratique du Congo et à Madagascar pour combler le fossé numérique dans ces pays. AMN est spécialisée dans la connexion des communautés, en réduisant les coûts d’équipement initiaux et continus tout en permettant l’extension des services cellulaires dans des zones reculées. Les deux partenaires AMN et Intelsat ont révélé leur nouveau projet dans un communiqué de presse, ce mardi 14 novembre 2023.
« La combinaison de la couverture africaine multisatellites d’Intelsat et de la solution de tour solaire d’AMN signifie que les citoyens et les entreprises de pratiquement n’importe quelle communauté peuvent désormais avoir accès aux avantages éducatifs, sociaux et économiques des services de télécommunication », a déclaré Intelsat.
L’on a généralement recours au satellite pour fournir une connectivité « backhaul » aux tours cellulaires éloignées . La situation géographique et le terrain de ces tours ne permettent souvent pas d’utiliser des solutions de liaison telles que le câble à fibre optique et les micro-ondes
Cela fait cinq ans qu’ Intelsat, opérateur de réseaux satellitaires et terrestres intégrés et Africa Mobile Networks (AMN) cheminent ensemble.Le tandem a installé, en 2018, plus de 3 000 antennes satellites de base rurales dans plusieurs pays d’Afrique. Quelque huit millions de personnes ont pu bénéficier des services de télécommunications. AMN regroupe des entreprises qui construisent, possèdent, exploitent et entretiennent des infrastructures de réseaux mobiles desservant les plus grands opérateurs de réseaux mobiles (ORM) d’Afrique. AMN détient son principal réseau au Nigeria. Il revendique au total plus de 1 350 sites.
Africa Mobile Networks n’est pas àson premier partenariat pour embarquer l’ Afrique vers une destination connectée. La société a signé, en juillet 2023,, un partenariat avec Starlink pour renforcer les capacités de ces sites télécoms en s’appuyant sur sa constellation de satellites en orbite basse. Gilat Satellite Networks est aussi un autre partenariat qui l’accompagne dans cette mission
[DIGITAL Business Africa] – La Can TotalEnergies 2023 en Côte d’Ivoire ne sera uniquement pas une affaire d’euphorie ou de ballon rond. Elle se tient du 13 janvier 2022 au 11 février 2024. Le ministre de la Transition numérique et de la Digitalisation, Ibrahim Kalif Konaté, a confirmé la présence d’une invitée surprise, la technologie de cinquième génération (5G).
L’annonce a été faite lors de la neuvième ’Assemblée des radiocommunications 2023 à Dubaï, qui se tient du 14 au 17 novembre 2023. Elle se tient en marge de la 39ème Conférence mondiale des Radiocommunications qui aura lieu du 20 novembre au 15 décembre 2023. Le ministre de la Transition numérique et de la Digitalisation, Ibrahim Kalif Konaté, vient ainsi rassurer l’opinion quant à ce projet évoqué officiellement Orange CI en septembre 2023.
« Orange Côte d’Ivoire a pour ambition d’étendre ses offres de service pour améliorer davantage la qualité de vie des citoyens et booster encore plus l’activité des entreprises. L’opérateur prévoit, à cette fin, de lancer la 5G en Côte d’Ivoire avant la CAN 2024 », a dit le Directeur Orange Business et Broadband. Il a toutefois précisé qu’orange CI souhaite commencer le lancement et l’installation de la 5G en Côte d’Ivoire avant la CAN 2024 afin de « bien » préparer l’arrivée de millions de personnes venant du monde entier pour assister à cette compétition. Et de conclure : « Ce sera pour nous un exercice grandeur nature et un challenge important à relever pour la Côte d’Ivoire mais aussi pour le reste du continent ».
Madame le directeur général de l’Autorité de Régulation des Télécommunications/TIC de Côte d’Ivoire (ARTCI), Namahoua Bamba Touré, fait partie de la délégation ministre de la Transition numérique et de la Digitalisation, Ibrahim Kalif Konaté qui prend part aux travaux de la neuvième Assemblée des Radiocommunications de Dubaï.
À propose de L’Assemblée des Radiocommunications
L’instance est responsable de la structure, du programme et des procédures d’approbation des études sur les radiocommunications. Les Assemblées des Radiocommunications sont convoquées tous les quatre ans et associées, en lieu et date, aux Conférences Mondiales des Radiocommunications (CMR).
Les Assemblées des Radiocommunications visent plus précisément à :
– attribuer les travaux préparatoires des conférences et d’autres questions aux Commissions d’Études du secteur des Radiocommunications ;
– donner suite à d’autres demandes émanant des conférences de l’UIT ;
– proposer des sujets à inscrire à l’ordre du jour de futures Conférences Mondiales des Radiocommunications ;
– approuver et publier les Recommandations et les Questions élaborées par les Commissions d’Études du secteur des Radiocommunications ;
– fixer le programme de travail des Commissions d’Études du secteur des Radiocommunications, dissoudre les Commissions d’Études du secteur des Radiocommunications ou en créer de nouvelles s’il y a lieu.
Par Jean Materne Zambo, source : orange ci, ARTIC (Facebook)
When the term ‘billionaire’ graces our ears, it’s easy to conjure images of unimaginable opulence—mansions sprawling across acres of land, fleets of luxury cars, and holidays on private islands. Yet, beneath this veil of material wealth lies a more enigmatic layer, particularly concerning the lives of the heirs and heiresses destined to inherit these colossal fortunes. Born into a life of privilege that far exceeds the norm, they inhabit a reality that is almost unfathomable to the average person. But, as we peel back the layers of glitz and glamor, we find that these heirs often harbor secrets, struggles, and life stories that are far from a fairytale narrative.
The Burden of Expectations
While the advantages of being born into a billionaire family are obvious—access to the best education money can buy, extensive travel experiences, and an almost guaranteed position of power in society—the downsides are less visible but no less real. The weight of expectation is monumental.
From a young age, many are meticulously groomed to take over family enterprises that are often multinational conglomerates. They’re exposed to boardroom discussions before most kids learn algebra, and their life paths are usually pre-decided by the generation before them. The emotional and psychological toll of this can be immense. High-profile parents often have unspoken, yet palpable, expectations that their children will not just inherit the family business but also expand it. This pressure to succeed, coupled with the world’s watchful eyes, often leads to various forms of anxiety and mental health issues, carefully hidden behind closed doors.
Hidden Lives: A Double-Edged Sword of Privacy and Isolation
Given their enormous financial worth, billionaire heirs are naturally targets for all kinds of threats, including kidnapping and extortion. This leads to a life that’s very private but also exceedingly isolated. It’s not uncommon for them to live in gated communities, attend private schools with other children of a similar socioeconomic status, and have their social activities carefully curated and supervised. While these measures ensure physical safety, they also result in a form of social isolation that makes it exceedingly difficult for these young people to form genuine, trusting relationships. Constantly shadowed by bodyguards, their interactions with the outside world are carefully monitored, which can lead to a distorted sense of reality and a deep-seated paranoia about people’s motives.
Philanthropy and Social Responsibility: Changing the Narrative
On the brighter side, a new wave of billionaire heirs and heiresses is emerging, armed with a heightened sense of social responsibility. Uncontent to simply coast along on family wealth, they’re actively working to reshape the societal impact of their fortunes. These individuals are not just pledging portions of their wealth to charitable foundations, but they are also deeply involved in issues that affect the global community, such as climate change, educational inequality, and systemic poverty.
They’re attending global summits, partnering with NGOs, and creating their own charitable initiatives to address issues they’re passionate about. Whether motivated by genuine altruism or a savvy public relations strategy, this shift towards philanthropy is a promising sign, indicating a more conscientious generation of billionaires to come.
The Complexity of Privilege
Navigating the nuanced realities of extreme wealth, especially as a young heir or heiress, is a monumental task that extends far beyond managing a financial portfolio. The challenges are multifaceted, affecting not just their material lives but also their emotional and psychological well-being. They bear the weight of generational expectations and immense responsibility, live secluded lives devoid of true personal freedom, and yet many are rising to the occasion, striving to convert their inherited wealth into meaningful change. While society often paints them with a broad brush of privilege, taking the time to understand their complexities allows us to see them as more than just their bank accounts. They’re human beings, molded by a set of incredibly unique and challenging circumstances, navigating a world that most of us will never fully understand.
[DIGITAL Business Africa] – Les enseignants du Togo ont retrouvé les bancs, depuis ce 13 novembre 2023. L’Organisation mondiale islamique pour l’éducation, la science et la culture (ICESCO) a organisé un atelier de formation pour appuyer les efforts des États membres de l’ICESCO en vue d’intégrer efficacement les TIC dans l’éducation et la formation. Cet atelier a pris fin le 15 novembre 2023 à Lomé.
Les enseignants-élèves ont été formé à la maîtrise des outils technologiques, la création de cours interactifs et l’utilisation de ressources éducatives en ligne. Plusieurs sessions étaient inscrites pour l’occasion. Notamment, « l’introduction aux technologies éducatives », « l’éducation aux technologies dans l’enseignement et l’apprentissage », « les outils et ressources technologiques pour l’éducation », « la conception pédagogique et la création de contenu, « l’adaptation aux besoins spécifiques et à la diversité » et « la gestion et l’administration des technologies administratives ». Selon Kouma Bamissa, inspecteur de l’Éducation nationale, l’introduction de ces outils innovants dans le système éducatif devrait permettre d’améliorer la qualité de l’éducation dans le pays.
La Charte de l’Organisation islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture ISESCO de1982 définit l’ICECO comme une organisation internationale spécialisée, opérant dans le cadre de l’Organisation de la Conférence islamique. Elle est spécialisée dans les domaines de l’éducation, des sciences, de la culture et de la communication. Créée en 1979, l’ ICESCO a pour mission est de :
– Renforcer la complémentarité et la coordination entre les institutions de l’Organisation de la Conférence islamique spécialisées dans les domaines de l’éducation, des sciences, de la culture et de la communication et entre les Etats membres de l’ISESCO, et raffermir la coopération et le partenariat avec les institutions gouvernementales et non gouvernementales similaires et d’intérêt commun, qui œuvrent à l’intérieur et en dehors des Etats membres.
– Accorder de l’intérêt à la culture islamique, mettre en valeur ses spécificités et faire connaître ses composantes à travers les études académiques, les recherches scientifiques et les programmes pédagogiques.
– Œuvrer à la complémentarité et à l’instauration de liens entre les systèmes éducatifs au sein des Etats membres.
– Soutenir les efforts des institutions éducatives, scientifiques et culturelles des Musulmans établies dans les Etats non membres de l’ICESCO.
Par Jean Materne Zambo, source : togofirst.com , icesco.org
[DIGITAL Business Africa] – Pour créer des applications, il n’y a plus besoin de savoir coder ! De plus en plus, les plateformes ’No Code’ (création d’une application sans aucune ligne de code) et Low Code (avec un minimum de lignes de codes) permettent à un nombre croissant de professionnels de créer des applications sans avoir de formation en informatique.
En collaboration avec la multinationale Pega system et l’intégrateur de solution Lyance, l’association 10.000 codeurs a permis à 20 camerounais de s’initier par la pratique à la technologie ‘Low code’ à travers une journée « Discover Pega ». C’était le vendredi O3 novembre 2023 au Cameroon Digital Innovation Center de Yaoundé à Bastos.
L’atelier était exclusivement réservé aux titulaires du « passeport numérique 10.000 Codeurs » délivré par l’association 10 000 codeurs. D’une durée d’une journée, cet atelier a été animé par un expert Pega venu de France : Djibril NDOYE, Directeur de l’innovation et PCLSA Emea Client Innovation chez PegaSystems France SARL et par ailleurs référent No code / Low code de l’association 10.000 Codeurs. Assisté bien entendu par Douglas Mbiandou, le président de l’association 10 000 codeurs.
La rencontre s’est tenue dans le cadre de l’étape ‘’sensibilisation » du programme d’accompagnement « Un emploi en 3 étapes» : Sensibilisation, formation et insertion.
A noter que les participants qui souhaitent aller plus loin et préparer la certifications Pega (System Architect) peuvent se rendre sur la plateforme d’auto apprentissage PEGA ACADEMY https://academy.pega.com
Voir un résumé vidéo de la formation
A PROPOS DE 10.000 CODEURS : L’association à but non lucratif ‘10.000 Codeurs’ sensibilise, forme et insère vers +65 métiers du Numérique.
A PROPOS DE PEGA : Pegasystems Inc. est une entreprise informatique américaine spécialisée dans les applications de gestion de la relation client et de gestion des processus métiers.
A PROPOS DE LYANCE : Lyance est une société spécialisée dans l’intégration de solutions numériques basées sur Pega.
[DIGITAL Business Africa] – Elles sont parées pour recevoir une culture numérique. Plusieurs femmes tchadiennes vont bénéficier du projet « Maman TIC » qui consiste à former des femmes en informatique et l’utilisation de l’Internet. Initié par l’association Reindos Social, le projet a été lancé ce mardi 14 novembre 2023 à N’Djamena. Moov Africa Tchad est partenaire de l’association dans le cadre de l’accomplissement de ce projet.
« Maman TIC » consiste à former des femmes en informatique et l’utilisation de l’Internet. 150 femmes, tous domaines confondus, seront outillées sur les technologies de l’information et de la communication afin de leur permettre d’être outillées et répondre aux besoins de l’ère. Il s’agit, au cours de cette formation, de renforcer leurs capacité dans plusieurs modules entre autres, l’initiation à l’internet et à l’informatique bureautique, l’initiation à la messagerie électronique : e-mail et les différents outils de communication, les enjeux d’E-commerce et le marketing digital et l’usage pédagogique des réseaux sociaux.
Pour cette phase de formation en collaboration avec la Chambre de Commerce, d’Industrie, d’Agriculture, des Mines et d’Artisanat (CCIAMA), Reindos Social a jugé utile d’orienter cette formation vers les femmes qui ont des activités génératrices de revenus pour leur permettre d’être outillées de manière optimale pour non seulement mieux gérer les finances mais aussi pérenniser durablement leurs activités. L’Association Reindos Social est une organisation de la société civile à but non lucratif œuvrant dans les domaines du développement durable à travers les TIC. Le lancement de ses activités a eu lieu en avril 2021.
[DIGITAL Business Africa] – « Se connecter, collaborer, prospérer ». Voilà le thème de la cinquième conférence de la Silicon Mountain qui s’est ouverte ce 14 novembre 2023 à Buea. Date de clôture de l’événement, le 18 novembre 2023. La Conference offre aux passionnés de technologie du Cameroun une plate-forme pour réseauter, présenter leurs produits et favoriser la collaboration. Plusieurs activités sont prévues à l’occasion de ce grand rassemblement des amoureux de la technologie. Les ingénieurs et les promoteurs de startups. Notamment les concours technologiques, qui vont primer ses méritants. Deux millions de FCFA seront réparties aux trois premiers prix. Ils recevront respectivement 1 million de francs CFA, 600 000 FCFA et 400 000.
Autres activités prévues, des conférences-débats, des séances de formation sur l’investissement dans les startups et la collecte de fonds, le codage. Depuis cinq ans, la Silicon Mountain Conference offre aux passionnés de technologie du Cameroun une plate-forme pour réseauter, présenter leurs produits et favoriser la collaboration.
A propos de la Silicon Mountain
La Silicon Mountain « vallée de la montagne », en français, désigne l’écosystème technologique (cluster) de la zone montagneuse du Sud-ouest Cameroun. Le nom fait référence au mont Cameroun. Silicon Mountain couve a des startups technologiques et une communauté croissante de développeurs, de designers. L’expression fait référence à la Buéa Tech Community,popularisée lors des rencontres de la communauté technologique locale telles que BarCamp Cameroon 2013, Google I/O Extended Buéa 2015 et les Kamer Design Meetups. Avec le temps, elle a fini par désigner la communauté des développeurs, des créatifs, des organisateurs, des professionnels du monde des affaires, des universités de la région.
Dans le cadre du programme d’accompagnement des jeunes porteurs de projets TIC, le gouvernement camerounais offrira gratuitement à chaque startupper de la Silicon Mountain, un an de connexion internet haut débit. La cérémonie d’activation de ces connexions internet a eu lieu le 15 mars 2022 par visioconférence en marge de la Semaine de l’innovation numérique.
Technology: The “Djibouti 1-A” satellite launched to provide climatological data to the Djibouti Study and Research Center – Digital Business Africa
[DIGITAL Business Africa] – Historic moment in the Republic of Djibouti. The country, in turn, joined the conquest of space, after the launch of its first operational satellite called “Djibouti 1-A”, Saturday November 11, 2023. “Djibouti 1-A” put into orbit aboard a Falcon 9 rocket of the society SpaceX. It was designed and developed by a team of Djiboutian researchers. The launch was carried out from Vandenberg Space Station, California. “Djibouti 1-A” was designed by Djiboutian engineers. The tool will allow the real-time transmission of data from stations distributed throughout the territory (areas without internet coverage and sometimes difficult to access) such as climatological and seismic stations.
Placed in orbit at an altitude of 520 km, Djibouti-1A will also provide climatological data to the CERD (Djibouti Study and Research Center). For Nabil Mohamed Ahmed, Djibouti Minister of Higher Education and Research, Djibouti-1A also has a security aspect.
“This satellite will help the country fight, among other things, against climate change and food insecurity. Its contribution will be useful in “the real-time transmission of data from stations distributed throughout the territory (areas without internet coverage and sometimes difficult to access) such as climatological and seismic stations”, explains Nabil Mohamed Ahmed, Djibouti Minister of Higher Education and Research.
In 2020, the Head of State of Djibouti, Ismaïl Omar Guelleh, did not hide his ambition to have a nano-satellite developed by a Djiboutian team. Two partnership agreements between MENSUR and the University of Montpellier were signed in 2020 then 2021 for reception, training and technology transfer. The Ministry of Higher Education and Research (MENSUR) was therefore tasked with coordinating this project. Thanks to this partnership, 10 Djiboutian students were able to benefit from training in “Assembly Integration Tests” and Development of Space Systems. Training leading to bachelor’s degrees.
At the end of this training, the 10 students were installed in the CSUM premises to begin the design and then the production of our first satellite. Now in 2021, a year later, this first nano-satellite has taken shape. If we talk about a vettion A this means that there will be another one. Djibouti-1B is therefore being finalized. It should be delivered in January 2024 for takeoff scheduled for March 2024.
[DIGITAL Business Africa] – Accra s’apprête à accueillir du beau monde. Une conférence mondiale sur la cybersécurité doit s’y tenir du 29 au 30 novembre 2023. 800 experts en cybersécurité, mais aussi des professionnels, personnalités publiques, membres de la communauté internationale du développement et innovateurs des quatre coin du globe devrait prendre à cet consultation qui s’ouvrira sous le thème « la cyber-résilience pour le développement ». La conférence est co-organisée avec le Forum mondial sur la cybersécurité, la Banque mondiale, le Cyber Peace Institute et le Forum économique mondial. Son but est de « contribuer à l’avancement du renforcement des cyber-capacités à l’échelle mondiale », a annoncé l’Autorité ghanéenne de la cybersécurité (CSA).
Les travaux seront sous-tendus par quatre thématiques – notamment, la cyber-résilience dans le développement international, la collaboration pour sécuriser l’écosystème numérique, le renforcement des cybercapacités pour la stabilité et la sécurité et enfin l’opérationnalisation des solutions.
Selon le site ciomag, le Ghana présentait en 2020 un score de 86,69% sur l’indice mondial de la cybersécurité. Soit une progression par rapport aux années antérieures. (2017 en 32,6 % ; 43,7 % en 2018). L’on peut donc comprendre que le pays puisse accueillir des événements d’envergure mondiale inhérents à internet. La preuve, en 2022, le Ghana a accueilli le Forum mondial de l’Internet pour contrer le terrorisme. En 2020, le pays organisait la conférence Freedom Online et la réunion du comité de lancement des experts en cybersécurité d’Afrique.
Les Forces Armées Ghanéennes (GAF) ont indiqué fin octobre 2023, des mesures décisives pour établir une Direction des Opérations de Cybersécurité et de Guerre Électronique. Selon les responsables des armées du Ghana, la fraude en ligne a coûté plus de quatre millions de dollars au pays au cours du premier semestre de 2023. L’ institution vise à protéger les données, les réseaux et les infrastructures de communication du pays.
Par Jean Materne Zambo, sources : cybersecuritymag.africa , ceomag
[DIGITAL Business Africa] – Moment historique en République de Djibouti. Le pays a rejoint, à son tour la conquête spatiale, après le lancement de son premier satellite dénommé « Djibouti 1-A », samedi 11 novembre 2023. « Djibouti 1-A » a été mis en orbite à bord d’une fusée Falcon 9 de la société SpaceX.
Il a été conçu et développé par une équipe de chercheurs djiboutiens. Le lancement a été effectué depuis la base spatiale de Vandenberg, en Californie. « Djibouti 1-A » permettra la transmission en temps réel de données de stations réparties sur l’ensemble du territoire (zones sans couverture internet et parfois difficile d’accès) comme les stations climatologiques et sismiques.
Placé en orbite à 520 km d’altitude, Djibouti-1A permettra aussi la fourniture de données climatologiques au CERD (Centre d’Etude et de Recherche de Djibouti). Pour Nabil Mohamed Ahmed, ministre djiboutien de l’enseignement supérieur et de la recherche, Djibouti-1A revêt également un aspect sécuritaire.
« Ce satellite aidera le pays à lutter, entre autre, contre le changement climatique et l’insécurité alimentaire. Son apport sera utile dans « la transmission en temps réel de données de stations réparties sur l’ensemble du territoire (zones sans couverture internet et parfois difficile d’accès) comme les stations climatologiques et sismiques », explique Nabil Mohamed Ahmed, ministre djiboutien de l’enseignement supérieur et de la recherche.
En 2020, le chef de l’ Etat de Djibouti, Ismaïl Omar Guelleh, ne dissimulait pas son ambition de faire développer un nano-satellite par une équipe djiboutienne. Deux conventions de partenariat entre MENSUR et l’Université de Montpellier ont été signées en 2020 puis 2021 pour l’accueil, la formation et le transfert de technologie. Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (MENSUR) avait donc reçu la mission de coordonner ce projet. Grâce à ce partenariat 10 étudiants Djiboutiens ont pu bénéficier d’une formation en « Assemblage Intégration Tests » et Développement des Systèmes Spatiaux. Une formation sanctionnée par des diplômes de licence.
A l’issue de cette formation, les 10 étudiants ont été installés dans les locaux du CSUM pour débuter la conception puis la réalisation de notre 1er satellite. Voilà qu’en 2021, soit un an plus tard, ce premier nano-satellite a pris forme. Si on parle d’une vetsion A cela signifie qu’il y en aura une autre. Djibouti-1B serait donc en cours de finalisation. Il devrait être livré en janvier 2024 pour un décollage prévue en mars de la même année.
[DIGITAL Business Africa] – Le nouveau président de l’Autorité de Régulation des Communications électroniques et des Postes (Arcep) du Gabon a pris part au séminaire Artac/UIT du 07 au 10 novembre 2023 à Douala, Cameroun. Célestin Kadjidja a partagé son expérience ainsi que d’autres régulateurs conviés à cette consultation qui a porté sur le Fonds de Service universel, la qualité de service et la régulation numérique. Au terme des travaux coordonnés la secrétaire permanente de l’ Artac, Bernice Otye, le président de l’ Arcep s’est confié à DIGITAL Business Africa pour évoquer quelques chantiers de l’ Arcep. Lire l’interview exclusive.
Digital Business Africa : Vous êtes nouvellement porté à la tête de l’Autorité de Régulation des Communications électroniques et des Postes (Arcep ) au Gabon, comment assumez- vous cette nouvelle responsabilité ?
Célestin Kadjidja : L’ Arcep est chargé de la régulation du secteur des télécommunications et des postes au Gabon. C’est une autorité administrative et indépendante, donc qui a pour mission de protéger essentiellement les utilisateurs, les télécommunications. Cette protection passe par la régulation de tout ce que les opérateurs de téléphonie et d’accès internet propose comme services.
C’est un gros challenge et je pense qu’avec les équipes disponibles, qu’avec le renforcement d’autres personnes qui nous ont rejoint, nous allons pouvoir, dans un délai assez raisonnable, produire un travail de qualité.
Digital Business Africa :Quelle a été la mesure d’urgence de la nouvelle équipe de l’ Arcep une fois en poste ? Et s’il fallait déjà penser à un plan d’action pour 2024, que diriez vous ?
Célestin Kadjidja : J’ai pris part à trois séminaires. D’abord à Kigali et ensuite à Rabat et enfin celui-ci ( Séminaire Artac/UIT )qui est fondamentalement axé sur le développement du service universel , qui est l’un des points d’achoppement de la régulation. Le service universel veut dire apporter la téléphonie et l’internet dans les zones rurales où les opérateurs n’ont pas, sur le plan commercial, besoin d’y aller parce que ce sont des activités lucratives. Donc ils ne peuvent pas s’installer là où Ils ne gagnent pas de l’argent pour parler simplement. Donc en ce moment, l’ Etat, à travers l’ Arcep ou le régulateur, propose des solutions avec les opérateurs, bien sûr, pour amener l’internet et la téléphonie dans ces zones-là. C’est l’un des projets les plus importants parmi d’autres.
Digital Business Africa :Est-ce possible de dresser la cartographie des zones peu desservies au Gabon et comment est-ce que vous allez faire pour changer cette situation grâce au Fonds de service universel ?
Célestin Kadjidja : Le Fonds de service universel existe depuis longtemps au Gabon. Il y a déjà eu une phase de déploiement de ce fonds dans le Nord-est et le sud du Gabon. Le Fonds de Service universel sert donc en fait à pousser, en termes d’équipements, de services de la téléphonie et d’ internet dans ces zones.
Au Gabon, nous avons la chance d’avoir un petit grand pays, j’allais dire. Parce qu’aujourd’hui, il nous reste à couvrir 6,5% du territoire. Donc c’est un gros challenge, bien sûr, parce que les attentes sont énormes. Il faut intégrer toute la population gabonaise dans la société de l’information.
Digital Business Africa :Le chargé des politiques publiques à la GSMA Afrique centrale, Alain Betu en appelle presque à la générosité des régulateurs envers les opérateurs lorsque le consommateur est confronté aux problèmes de qualité du service. Comment est ce que vous accueillez cette demande ?
Célestin Kadjidja : Non, je ne parlerais pas de générosité. Les opérateurs sont des hommes d’affaires. Donc, quand ils viennent s’installer, ce n’est pas pour offrir de la gratuité. C’est une coopération, une collaboration comme vous l’avez vu pendant les quatre jours. On doit rechercher une convergence entre les opérateurs et le régulateur pour pouvoir développer ce service-là. C’est un deal gagnant-gagnant.
[DIGITAL Business Africa] – Lors du Forum International sur la régulation des réseaux sociaux qui s’est tenu du 08 au 09 novembre 2023 à l’hôtel Hilton de Yaoundé, sous le thème « La problématique de la régulation des réseaux sociaux : les modalités d’une collaboration entre les régulateurs africains des médias et les plateformes numériques », Fargani TAMBE AYUK, le représentant du groupe META, a défini le mode de modération des contenus des réseaux sociaux du groupe.
Il était le principal intervenant à l’atelier N1 sur le thème: « gestion des politiques des contenus des plateformes numériques internationales ». Atelier modéré par Germain NGOYO MOUSSAVOU, Président de la HAC du Gabon. Le représentant de la plateforme numérique META Fargani TAMBE AYUK a défini le mode de fonctionnement de ladite structure lors de son intervention La désinformation numérique devient une caractéristique de plus en plus courante en Afrique.
L’impact à la fois déformant et distrayant de celle-ci rend difficile au public africain de distinguer les faits réels des « fake news » tout en suivant les développements politiques, sociaux et sécuritaires sur le continent. Il revient donc aux plateformes numériques internationales d’apporter des solutions pour réduire voir supprimer les fake news.
Fargani TAMBE AYUK représentant de META a présenté aux régulateurs africains des médias trois différentes approches qu’use la plateforme Meta pour gérer les contenus à savoir: la suppression, la réduction de la portée et l’information des utilisateurs sur ce qu’est la désinformation.
Il a tenu à préciser que META ne devrait pas être le garant de la vérité et qu’ils prônent la réduction de la désinformation plutôt que la suppression. Aussi, concernant la vérification des faits, la plateforme numérique travaille avec des Fact-checkers qui ont tous été vérifiés par le Réseau International de Fact-checking(IFCN). Cette vérification repose sur des codes et principes tels que: Impartialité et équité, Transparence de sources, Transparence financière, Transparence de méthodologie et Politique ouverte et honnête de correction.
L’ approche de la modération des contenus chez META
Le représentant de Meta a partagé une vue d’ensemble de leur approche de la modération de contenu et du traitement des contenus problématiques sur les plateformes. Il a souligné les Standards de la Communauté qui décrivent ce qui est autorisé sur la plateforme et ce qui ne l’est pas, et comment ces standards de la communauté mondiale s’appliquent à tout le monde, partout dans le monde, et à tous les types de contenu.
Fargani TAMBE AYUK a expliqué comment les standards communautaires ont été améliorées au fil du temps. Il a encouragé les parties prenantes présentes dans la salle à examiner les standards de la communauté et à partager leurs commentaires sur la façon dont les standards de la communauté peuvent être améliorés et sur les domaines dans lesquels ils peuvent l’être.
Il a également expliqué que la qualité des normes dépend de leur mise en œuvre, et que Meta utilise une combinaison de rapports d’utilisateurs et de partenaires, d’examens humains et de technologie pour identifier et examiner le contenu par rapport à les normes. Fargani TAMBE AYUK a aussi donné un aperçu du processus de modération du contenu.
Par ailleurs, le représentant a partagé l’approche de Meta pour lutter contre la désinformation qu’il a définie comme les informations fausses, inexactes ou trompeuses souvent partagées involontairement.
Il a également fourni des détails sur leur stratégie en trois parties pour lutter contre ce type de désinformation, expliquant que Meta supprime les fausses informations lorsqu’elles sont susceptibles de contribuer directement au risque de préjudice physique imminent. Meta supprime également les contenus susceptibles de contribuer directement à l’ingérence dans les processus politiques et certains médias manipulés très trompeurs tels que les deep fake videos, a-t-on appris.
La modération des Fake news
En ce qui concerne les fake news, le groupe Meta n’est pas favorable à la suppression de tous les posts. Car, dit-il, Meta opte pour la liberté d’expression. Néanmoins, des mesures sont prises en cas de fake News avéré. Les précisions du représentant de Facebook : « Le deuxième volet de la stratégie est que pour toutes les autres fausses informations, nous nous efforçons de réduire leur visibilité.
Dans le cadre de cet effort, Meta s’associe à des organisations tierces de vérification des faits pour examiner et évaluer l’exactitude des contenus les plus viraux sur nos plateformes et fournir des commentaires. Une fois que le contenu est considéré comme de la désinformation telle que définie ci-dessus, Meta réduit sa visibilité et fournit des avertissements contextuels pour informer nos utilisateurs », a expliqué Fargani TAMBE AYUK.
La troisième et dernière partie de l’approche en trois volets de Meta pour lutter contre la désinformation consiste à informer ses utilisateurs. Pour lutter contre la désinformation virale et développer la culture numérique de ses utilisateurs sur le long terme, il explique qu’il est essentiel pour Meta de fournir à ses utilisateurs plus de contexte sur le contenu qui a été identifié comme de la désinformation qu’ils voient sur nos plateformes.
Fargani TAMBE AYUK explique que si Meta supprimait tous les contenus signalés comme étant de la désinformation par les vérificateurs de faits, ils seraient toujours disponibles ailleurs sur Internet ou sur d’autres plateformes de médias sociaux.
En le laissant affiché et en le signalant comme faux, Meta fournit aux gens des informations et un contexte importants, de sorte que lorsqu’ils tombent inévitablement sur ce contenu en dehors des plateformes Meta, ils sont armés de ce contexte sur ce contenu qui a été signalé comme étant de la désinformation.
Voir en vidéo les explications du représentant de META
Suivez l’Atelier N°1 : Gestion des politiques des contenus des plateformes numériques internationales/ Avec comme modérateur Germain NGOYO MOUSSAVOU, Président de la HAC du Gabon. Et le principal panéliste, Fargani Tambe Ayuk, représentant de Meta à ce forum.
Dans cette même vidéo, suivez l’atelier N°2 : Mesures de prévention et de lutte contre la désinformation et le discours de haine dans les réseaux sociaux. Avec comme modérateur BABACAR DIAGNE, Président du CNRA du Sénégal, Vice-président du REFRAM. Parmi les panélistes, Desmond Ngala de Civic Watch, Marie Noëlle d’Eduk Media et Mme Latifa Akharbach, présidente de la HACA et présidente en exercice du RIARC.
En rappel, ce forum international était l’initiative du Conseil National de la Communication du Cameroun (CNC). Placé sous le Très Haut patronage de Son Excellence Monsieur le Président de la République du Cameroun, ce forum s’est inscrit dans le cadre du plan d’action du Réseau des Instances Africaines de Régulation de la Communication (RIARC) et a connu la participation de représentants de nombreuses instances africaines de régulation des médias et des plateformes numériques.
[DIGITAL Business Africa] – Starlink semble loin d’orbiter autour du Cameroun dans les prochains jours. Même si plusieurs sites annoncent la venue du service internet haut débit d’ Elon Musk en 2024, quelques éléments peuvent déjà montrer que l’on devra encore attendre un peu. Peut-être même longtemps. Le Nigéria était le premier pays africain à disposer du réseau de SpaceX en mai 2022. Quelques prémices le démontraiet déjà. La Nigerian Communications Commission (NCC), avait d’abord reçu une demande de licence de la part de Space X.
La NCC a ensuite octroyé deux licences à l’entreprise SpaceX. Elle avait reçu mendat de les exploiter sous la dénomination Starlink Internet Services Nigeria Ltd. Il s’agit d’ une licence de passerelle internationale et d’une licence de fournisseur de services Internet (ISP) d’une durée de 10 ans et 5 ans respectivement. Depuis lors, Starlink apporte de la connectivité Internet à haut débit au Nigeria, avec des vitesses allant jusqu’à 100 Mbps, une latence aussi faible que 20 millisecondes.
Cela, grâce à sa constellation de satellites composée d’environ 2 000 appareils en orbite autour de la Terre.
Autre indice, Elon Musk a signé le 29 septembre 2022, un partenariat avec la plateforme d’e-commerce Jumia, pour distribuer ses produits dans les zones reculées du continent africain. En offrant aux utilisateurs du continent africain, des terminaux nécessaires à l’utilisation de Starlink. Seulement, Jumia suspend son activité au Cameroun depuis 2019 pour des « difficultés que l’entreprise rencontrait ». « Notre portail, tel qu’il est opéré aujourd’hui, n’est pas adapté au contexte actuel du Cameroun », avait affirmé la société. Avec cette suspension, des doutes subsistent quant à une arrivée imminente de Starlink au Cameroun.
En dehors de ce doute de la fondatrice de l’entreprise AppsTech, il y a aussi le fait que SpaceX ou Elon Musk n’ait pas encore communiqué sur le déploiement de Starlink au Cameroun. Pourtant l’entreprise ou son patron le fait généralement sur son compte X quand un pays ciblé a officialisé le partenariat. Côté gouvernement camerounais, aucune annonce n’à encore été faite concernant une demande d’attribution de licence de la part de Space X.
[DIGITAL Business Africa] – Exit le séminaire ARTAC/ UIT sur la qualité de service. Quatre jours d’échange ont suffi à renforcer les capacités des délégués représentant les différents régulateurs de la sous-région Afrique centrale. Ce sont environ 20 participants qui ont répondu favorablement à l’invitation de la Secrétaire permanente de l’ Assemblée des Régulateurs des Télécommunications de l’Afrique Centrale, ARTAC, Bernice Otye, pour cette concertation tenue du 07 au 10 novembre 2023 à Douala. Parmi, les invités, le tout niveau président de l’ Arcep Gabon, Célestin Kadjidja, le Policy Manager de la branche subsaharienne de la GSMA, Alain Betu, des représentants de l’ ARTAC, de l’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (ARCEP) Gabon, entre autres. Les échanges ont porté d’une part sur la présentation du Fond de service universel, et, d’autre part sur la qualité de service et la régulation numérique. Pour en parler trois experts de renom, dont le représentant de l’ Union Internationale des Télécommunications pour l’ Afrique centrale et Madagascar, Jean Jacques Massima Landji, le Policy Manager de la branche subsaharienne de la GSMA, Alain Betu et Reine Essobmadje, experte du digitale.
Le moins qu’on puisse retenir sur le Fonds de Service universel ( Fonds spécial des Télécommunications au Cameroun) est qu’il s’agit d’ un ensemble de contributions des opérateurs d’un pays qui servent au développement des régions enclavées ou mal desservies. Plus précisément, ce fonds sert à la construction des infrastructures de télécommunication, les télé centres polyvalents. Le représentant de l’ UIT Afrique centrale et Madagascar a souligné que tous les projets entrepris fans le cadre du FSU devraiet tenir compte des besoins des populations. Ainsi pour une pérennité des télé centres polyvalents, le représentant de l’ Union Internationale des Télécommunications, pense que, les opérateurs doivent élaborer un projet qui fasse ressortir les investissements, les gains et les manques à gagner. Ce qu’il appelle un projet SMART (Spécifiques, Mesurables, Acceptables, Réalistes, et Temporellement définis).
Pour Reine Essobmadje, le SFU doit être aussi penser en association avec certains ministères pour redynamiser le développement économique d’une région peu viable. Il faut penser les chose en termes de développement.
Sur le devenir de ces contributions, Jean-Jacques Massima Landji a dit que le rôle du régulateur est de permettre que le régulateur prélève de fonds. Lesquels sont déposés où cela doit être déposé. Pour lui, l’opérateur ne doit pas chercher à savoir à quels fins cet argent a permis.
Au sujet du rapport entre le régulateur et les opérateurs, Jean Jacques Massima Landji de l’ UIT suggère moins de rigueur aux régulateurs. Il a rappelé que l’ objectif de la régulation est d’amener les opérateurs à se mettre au niveau des compétences attendues. Un point de vue qui se rapproche de celui du Policy Manager de la branche subsaharienne de la GSMA. En fait, Alain Bertu pense qu’il faut une solution alternative à la sanction financière. Car, selon lui, les régulateurs doivent être conciliants face à la qualité de service et ne doivent pas être très rigoureux . Non sans quand même rappeler que la qualité de service ( QOS) obéit à un certain nombre de critères – notamment la disponibilité, l’ accessibilité, la continuité, l’intégrité. Pour Aux Alain Betu, lorsqu’un opérateur est conforme à ces critères, cela signifie qu’il est arrimé aux standards internationaux.
Pour ce qui est de la régulation numérique, Jean Jacques Massima Landji, a évoqué la nécessité de migrer vers régulation 5.0. Celle-ci permettra aux Régulateurs d’organiser des sessions d’échanges d’expérience. Rappelons que le directeur général de l’ Agence de Régulation des Télécommunications ( ART ) et régulateur garant de l’ ARTAC, le Pr. Philémon Zoo Zame, a présidé la cérémonie d’ouverture des travaux en présence du directeur général d’ Orange Cameroun, Patrick Benon et du représentant du directeur général de MTN Cameroon, Mitwa Ng’ambi.