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Télécommunications. Les enjeux de la visite de Christel Heydemann, DG du Groupe Orange, au Cameroun

[DIGITAL Business Africa] – Pendant deux jours, du 23 au 24 novembre 2023, Christel Heydemann a rencontré les autorités administratives et traditionnelles pour entre autres faire écho à l’ancrage local de la marque Orange et son engagement pour les communautés.

La Directrice générale (DG) du Groupe Orange, Christel Heydemann, était au Cameroun.  Cette dernière qui a pris part au lancement de l’application MAX IT et au concert géant organisé à cet effet, avait plusieurs raisons de se présenter sur le triangle national.

C’était également l’occasion pour Christel Heydemann, qui occupe le poste de DG du Groupe Orange  depuis le 4 avril 2022,  de discuter avec les Autorités camerounaises de nombreux enjeux tels que le développement d’une connectivité enrichie et de qualité, l’aboutissement de dossiers réglementaires structurants, des synergies et l’expertise que le Groupe Orange se propose de mettre au service de l’innovation et la transformation numérique au Cameroun.

D’après le staff d’Orange Cameroun, la Directrice générale a profité de cette tribune offerte, pour rassurer les Autorités sur l’engagement du Groupe Orange dans les questions sociétales et l’empreinte d’Orange sur l’environnement au Cameroun.

Plusieurs projets importants menés par le Groupe en faveur de l’environnement au Cameroun ont été évoqués, notamment la restauration de 1.000 hectares de mangrove dans le cadre d’un consortium, la solarisation du campus de Makepe et des sites stratégiques, pour ne citer que ceux-ci.

« La visite de Christel Heydemann est un signe d’engagement et de confiance du Groupe Orange envers le Cameroun, son potentiel économique et humain, sa position stratégique dans la sous-région, preuve que les deux parties peuvent conjuguer leurs efforts pour améliorer et enrichir l’offre de connectivité au Cameroun et dans la zone Afrique centrale. C’est une occasion unique de renforcer la coopération entre Orange et le Cameroun, de faire le point des dossiers structurants actuels et d’envisager de nouvelles pistes et coopérations pour répondre à l’ambition forte de l’Etat camerounais sur une offre numérique innovante et de qualité », fait savoir Orange Cameroun.

Au cours des échanges avec les autorités, l’on apprend qu’une attention particulière a été mise sur  la Fondation Orange et son engagement renouvelé à œuvrer pour plus de solidarité dans l’acculturation du numérique, l’inclusion des communautés et les segments de populations fragiles, ainsi que  la réduction des inégalités numériques et économiques.

Télécommunications. Les enjeux de la visite de Christel Heydemann, DG du Groupe Orange, au Cameroun
Christel Heydemann chez le Premier ministre CHIEF DR JOSEPH DION NGUTE

Christel Heydemann, un riche parcours dans les telcos

Christel Heydemann a commencé sa carrière en 1997 au Boston Consulting Group. En 1999, elle rejoint Alcatel où elle occupe différents postes de direction, notamment lors de la fusion d’Alcatel et de Lucent.

En 2008, elle est nommée directrice commerciale France et membre du comité exécutif d’Alcatel Lucent France, puis est promue en 2011 au poste de Directrice générale des ressources humaines et de la transformation du Groupe.

Elle rejoint Schneider Electric en 2014 en tant que Directrice des Alliances Stratégiques, avant d’être nommée en 2016 Senior Vice President Corporate Strategy & Alliances.

En 2017, elle devient Présidente-Directrice-Générale (PDG) de Schneider Electric France et membre du Comité exécutif de Schneider Electric.

Puis en 2021 Christel Heydemann devient Directrice générale Europe Opérations, poste qu’elle occupe jusqu’au début de l’année 2022.

A cette date, elle prend la Direction générale du Groupe Orange, dont elle est par ailleurs membre du Conseil d’administration depuis 2017.

Par Ghislaine DEUDJUI

 

Côte d’Ivoire : Les lauréats de la 5e édition du programme Seeds for the future de Huawei reçoivent leurs parchemins

[DIGITAL Business Africa] – Huawei reconnait le mérite de la cinquième cuvée du programme « Seeds for the future  ou « Graines de l’Avenir ». L’ entreprise de fourniture de solutions dans le domaine des technologies de l’information et des communications (TIC) a organisé une cérémonie de remise de prix ce lundi 27 novembre 2023 à l’hôtel Noom dans la commune du Plateau. Ces graines ont été semées en 2022.

Il s’agit des des étudiants de grandes écoles et universités publiques et privées notamment, l’INPHB, l’ISTC Polytechnique, IUA, ESATIC, HETEC et IIT. Ces établissements ont pris part à des ateliers de formation en ligne dans le but d’acquérir les qualités et compétences nécessaires pour faire face à la vie professionnelle. Lonan Coulibaly, directeur des opérations en charge de la transformation digitale et de l’innovation chez Huawei Côte d’Ivoire et membre statutaire du CODIR de Huawei Technologies Côte d’Ivoire, représentant Auguste Dong, président de la région Afrique de l’Ouest de Huawei a révélé que Huawei a pris la résolution de former 5000 jeunes ivoiriens.

« Nous avons pris l’engagement de former 5000 jeunes ivoiriens à l’horizon 2025. Graines de l’Avenir est un programme qui vise à présenter aux étudiants de nouvelles perspectives sur des sujets dans lesquels Huawei en tant qu’entreprise investit, développe et innove », notamment l’intelligence artificielle, la 5G, le big data et le cloud.

Prenaient aussi part à cet événement, le représentant du ministre de la jeunesse  Jean Louis Kouadio, administrateur de l’agence emploi jeune et du représentant du ministre de la Transition Numérique, Franck Olivier Koné, sous directeur du réseau et la veille technologique.

Par Jean Materne Zambo

Nigeria : Avec une contribution de15 % du PIB au 3e trimestre 2023, les TIC devraient augmenter dans le PIB à 22 % d’ici à 2027

[DIGITAL Business Africa] – Les Technologies de l’information et de la communication continuent de soutenir le PIB au Nigeria. Elles ont contribué à hauteur de 15,97 % au troisième trimestre de 2023. Un taux qui dépasse les 15,35 % ( à la même période) de l’année 2022, selon le Bureau national des statistiques. le Nigéria résout même de porter la contribution des TIC au PIB du Nigeria à 22 % d’ici 2027. Le Bureau national des statistique attribue cette croissance au sous-secteur des télécommunications, qui représenterait 13,5 % du PIB réel.

« L’industrie des télécommunications, dominée par les opérateurs de réseaux mobiles (MTN, Globacom, Airtel, 9mobile) et les fournisseurs d’accès à Internet (FAI), est également à l’origine d’un grand nombre d’activités dans tous les autres secteurs de l’économie », indique le NBS.

Un rapport du Bureau national des statistiques (NBS), publié le 22 février 2023, indiquait que le secteur a payé 131,97 milliards de nairas soit 286,6 millions de dollars en impôts sur le revenu au troisième trimestre de l’année financière 2022. Ce qui équivaut à une contribution à hauteur de 15,35 % au produit intérieur brut (PIB) réel du Nigeria. Ainsi en matière de contributions par secteur, les TIC constituent 27,31 % du total des recettes fiscales au troisième trimestre 2022, derrière le secteur manufacturier avec 28,76 %.

Par Jean Materne Zambo

Roaming : Les appels entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso facturés au tarif local dès le 15 décembre 2023

[DIGITAL Business Africa] –  Un protocole d’accord de mise en œuvre du roaming CEDEAO entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso a été signé par l’ensemble des régulateurs et opérateurs de ces deux pays et une feuille de route pour le suivi de ce protocole a été élaborée. C’était en octobre 2023 au Burkina Faso.
Selon l’ARTCI, les démarches en cours devraient permettre l’ouverture effective des services de roaming CEDEAO entre le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire, le 15 décembre 2023 « pour le plus grand bonheur de nos populations« .
Dans le cadre de la mise en œuvre du Règlement C/REG.21/12/17 relatif à l’itinérance sur les réseaux publics de communications mobiles dans l’espace communautaire, une réunion bipartite avec les Régulateurs et opérateurs de la Côte d’Ivoire et du Burkina Faso s’est tenue, les 26 et 27 octobre 2023, dans les locaux de l’ARCEP (Burkina Faso).
Cette rencontre faisait suite à la 1ère collaboration initiée par l’ARTCI avec le Ghana qui a abouti, le 15 mai 2013, à l’ouverture effective des services de roaming communautaire entre les deux (02) pays, et s’inscrivait dans l’implémentation d’une approche plus pragmatique, encouragée et recommandée lors de la 12ème réunion des points focaux des Autorités Nationales de Régulation (ANR) de l’espace CEDEAO, tenue à Abuja (Nigéria) du 9 au 13 octobre 2023.
C’était une occasion pour la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso de faire un bilan de la mise en œuvre dudit Règlement, d’adresser de façon efficace les difficultés résiduelles rencontrées pour la finalisation du processus d’implémentation de ce Règlement entre les opérateurs des deux (02) pays.
Pour rappel, l’objectif du Règlement CEDEAO C/REG.21/12/17 est de réduire les coûts d’itinérance communautaire en vue de favoriser la libre circulation des biens et des personnes dans l’espace communautaire.
Par Digital Business Africa

Transformation numérique en RDC : le point de Dominique Migisha à l’Africa Digital Expo 2023

[DIGITAL Business Africa] – L’Africa Digital Expo 2023 s’est tenu du 20 au 23 novembre à Kinshasa en RDC. C’est un rendez-vous des acteurs du numérique en Afrique. Parmi les nombreux intervenants qui ont partagé leur vision et leur expérience, Dominique Migisha, le coordinateur de l’Agence pour le développement numérique (ADN).

Dominique Migisha
Dominique Migisha

Dans sa keynote intitulée “Capture d’écran sur l’évolution de la transformation digitale de la RDC : Défis et perspectives”, Dominique Migisha a présenté les avancées et les ambitions de la RDC dans le domaine du numérique. Il a notamment mis en avant la vision du Président de la RDC, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo , qui a fait du numérique une priorité nationale et un levier d’ intégration, de bonne gouvernance, de croissance économique et de progrès social.

Le Coordonnateur de l’cc a également exposé le rôle stratégique de l’Agence, qui a pour mission de coordonner, de superviser et de réguler les activités liées au numérique dans le pays. Il a cité quelques exemples de réalisations concrètes, comme l’e-visa, la création de l’Agence pour le développement du numérique, la Promotion du .CD ou encore l’organisation d’un Forum panafricain « Africa Digital »

Dominique Migisha n’a pas manqué de souligner les défis qui restent à relever pour faire de la RDC un pays numériquement mature, comme la réduction de la fracture numérique, la promotion de l’innovation et de l’entrepreneuriat, ou encore la protection des données personnelles et de la cybersécurité.

La keynote de Dominique Migisha a été ponctuée par des échanges stimulants au sujet de l’intelligence artificielle. Le public, composé de professionnels, d’experts, de décideurs, d’investisseurs et de médias, a posé des questions pertinentes au coordinateur de l’ADN qui a su démontrer le potentiel et les opportunités du numérique en RDC.

L’Africa Digital Expo 2023 s’est achevé le 23 novembre avec des conférences, des ateliers, des démonstrations, des rencontres B2B et des remises de prix.

L’événement vise à promouvoir le numérique comme vecteur de transformation et de croissance en Afrique. Il vise également à favoriser les échanges et les synergies entre les différents acteurs du secteur.

Par Digital Business Africa, Source: ADN

Maroc : PortNet S.A et l’Agence Nationale des Ports organisent les Rencontres du Digital le 30 novembre 2023

[DIGITAL Business Africa] – Les nouvelles technologies débarqueront sur les rives des eaux  marocaines, le 30 novembre 2023. A cette date, le Guichet unique National de facilitation des procédures du commerce extérieur, PortNet S.A, et l’Agence Nationale des Ports (ANP) organisent une édition des « Rencontres du Digital » sur le thème « IA, Blockchain, IoT… Comment les technologies transforment le commerce international ». Les « Rencontres du Digital » favorisent l’échange d’idées et de propositions dans le domaine économique et institutionnel.

Les échanges porteront sur l’impact des nouvelles technologies sur le commerce international, les défis et les bénéfices. Trois thématiques importantes vont meubler ces rencontres, dont Intelligence artificielle, Internet des Objets et la Blockchain. Cela pour transformer le secteur du commerce international, tout en offrant des opportunités d’optimisation et de durabilité. Le Smart Port Challenge, troisième Hackathon portuaire au Maroc dédié à l’innovation, sera lancé lors de cette édition. Pour la deuxième édition du Smart Port Challenge, 46 équipes étaient en lice.

Les lauréats

L’ équipe de Siliconesignale Technologies a proposé la solution Iport Smart Yards. Elle permet de lancer les modèles prédictifs sur la disponibilité des quais et par conséquent proposer aux navires en approche l’ajustement de leur vitesse et ainsi réduire aussi bien leur facture énergétique et leur temps d’attente en rade.  L’architecte-designer Abdessamad Elaichati a présenté la solution PORT-LAB system. Il s’agit d’un laboratoire mobile sous forme de conteneur qui embarque les dernières technologies de pointe pour le contrôle de la pollution dans les ports.

Dans la  catégorie de fluidification des flux des camions, l’équipe de Siliconesignale Technologies s’est distinguée avac la solution «iPort : Monitoring et planning des ressources portuaires intégrés». Elle permet une optimisation du trafic afin de réduire la congestion du trafic camion au niveau du port de Casablanca. Concernant le challenge de facilitation des processus du commerce, l’équipe de wabtech, une entreprise américaine a dévoilé Cargo Dwell & Optimization.

La solution web-based basée sur l’intelligence artificielle et la data analytics consiste à améliorer les traitements des importations et des exportations conteneurisées afin de réduire l’incertitude du délai de séjour, améliorer la prédiction, la synchronisation entre les procédures administratives et la logistique portuaire et la traçabilité des opérations.

Plusieurs convives doivent faire le déplacement pour le Maroc, notamment des personnalités du commerce extérieur, des nouvelles technologies et du développement digital, ainsi que des responsables de l’administration publique.

Par Jean Materne Zambo

Congo : La Caisse d’Assurance Maladie Universelle prête pour l’enrôlement  biométrique des assurés sociaux

[DIGITAL Business Africa] – « Assurer sans exclusion ». Tel est le leitmotiv du Premier ministre congolais pour garantir aux assurés sociaux, un meilleur traitement. Anatole Collinet Makosso a présidé la cérémonie de lancement de l’opération d’enrôlement biométrique à la CAMU, ce vendredi 24 novembre 2023 au siège de l’opérateur Congo Telecom. Cette initiative vise à moderniser le système de gestion des assurés sociaux, garantir une prestation de services rapide, fiable et sécurisée. Cette opération est le prélude à la prise en charge des soins médicaux pour tous les Congolais.

C’ est aussi avant tout un pas fort significatif dans la course vers la digitalisation totale  du Congo. L’opérationnalisation du CAMU a été précédée par la remise officielle des documents de Conduites thérapeutiques recommandées et du rapport d’évaluation générale des formations sanitaires, le 13 novembre 2023. Le Premier ministre, Anatole Collinet Makosso, a rappelé l’engagement du gouvernement à améliorer l’accès aux soins de santé et le bien-être général de la population congolaise.

A propos du CAMU

La Caisse d’assurance maladie universelle a été créée par la loi n°12-2015 du 31 août 2015. Elle est l’organe de gestion du régime d’assurance maladie en République du Congo. C’est une entité mise en place pour contribuer à l’instauration d’un meilleur système de prise en charge sanitaire au Congo.
Elle protège durablement la santé de chacun en agissant auprès de tous les résidents congolais. Telle est sa raison d’être. Concrètement, elle accompagne les assurés tout au long de leur vie, en prenant en charge leurs soins quelles que soient leurs catégories, leurs ressources ou leurs situations.

Par Jean Materne Zambo, sources : camu-congo.fr , digitalnews.io

IA : Econduit par le C.A d’Open AI pour sa communication, Sam Altman reconduit de nouveau comme patron 

[DIGITAL Business Africa] – La nouvelle de sa révocation, vendredi 17 novembre 2023,avait créé un écho retentissant. Le créateur de ChatGPT, Sam Altman, était éconduit de son poste de patron de l’ entreprise américaine spécialisée dans l’intelligence artificielle, Open AI. Le conseil d’administration a retenu comme mobile de son éviction, son manque de franchise dans sa communication.

Pourtant annoncé du côté de Microsoft, Sam Altam a surpris le monde de la technologie en annonçant sont retour à la maison. Un cœur, un émoji de salut au garde à vous et un autre cœur. Sam Altman marquait ainsi sur X (Twitter) son retour chez OpenAI, ce mercredi 22 novembre 2023. Il a ajouté : A quoi les autres employés de X ont répondu : « We’re back », pour signifier qu’ils étaient de retour pour un nouvel épisode d’une série hollywoodienne.

A propos de OpenAI

C’est en 2015 comme organisation à but non lucratif que l’entreprise Open AI a vu le jour. La mission ne consistait pas à veiller aux intérêts des actionnaires. En 2019, elle a ajouté une filiale à but lucratif, mais son objectif est resté inchangé et le conseil d’administration de l’organisation à but non lucratif est resté aux commandes. Les membres du conseil d’administration impliqués dans le limogeage de M. Altman n’ont pas encore expliqué leur décision – Elon Musk fait partie de ceux qui ont exhorté les membres à « dire quelque chose ».

Par Jean Materne Zambo , sources : lemonde.fr ; euronews.com ; france24.fr

Côte d’Ivoire : YANGO sommée de désactiver sans délai l’option d’enregistrement des conversations téléphoniques sur son l’application

[Digital Business Africa] – D’après un communiqué de l’ARTCI, l’on apprend qu’il y a de probables enregistrements des communications ou échanges à l’intérieur de véhicules utilisateurs de l’application dénommée YANGO, sans information préalable ou consentement des personnes concernées. Digital Business Africa vous propose le communiqué de l’ARTCI publié sur son site web le 08 novembre 2023.

L’Autorité de Protection a, dans son communiqué en date du 29 juin 2023, porté à la connaissance de l’opinion nationale, que des investigations étaient menées dans le cadre de « probables enregistrements des communications ou échanges à l’intérieur de véhicules utilisateurs de l’application dénommée YANGO, sans information préalable ou consentement des personnes concernées.»

Après analyse des pièces et audition de la société YANGO LLC, les résultats des investigations ont conduit l’Autorité de Protection à prendre la Décision n°2023-0937 de l’Autorité de Protection de la République de Côte d’Ivoire en date du 23 août 2023 portant avertissement et mise en demeure de la société YANGO CIV LLC en matière de protection des données à caractère personnel.

Cette décision met en demeure la société YANGO LLC de désactiver sans délai et jusqu’à nouvel ordre l’option d’enregistrement des conversations téléphoniques sur l’application YANGO et prononce également à l’égard de ladite société le verrouillage et la suppression immédiate des données d’enregistrement audio des clients de sorte qu’elles ne soient plus accessibles;

Il convient de noter que les enregistrements effectués par la société YANGO LLC ont pour finalité la sécurité des chauffeurs. Il ne s’agit pas d’enregistrements effectués pour le compte du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité.

Par ailleurs, l’Autorité de Protection invite les utilisateurs à rester vigilant et à contacter ses services en cas de violations des dispositions de la décision de sanction qui est disponible sur le site www.autoritedeprotection.ci.

Pour toutes informations souhaitées, veuillez contacter l’Autorité de Protection :

–   à l’adresse électronique suivante [email protected] , avec pour objet : enregistrement des échanges des passagers opérés à l’intérieur des VTC utilisant l’application de réservation YANGO CIV LLC;

–   au numéro de téléphone suivant : +225 27 20 34 43 73.

 

La Direction Générale

Beaugas Orain DJOYUM

Amadou Coulibaly: « Le SICA, en plus d’être un marché, offre comme innovation des opportunités d’apprentissage et de formation »

[Digital Business Africa] – Le Salon International du Contenu Audiovisuel d’Abidjan, organisé par le Ministère de la Communication, en collaboration avec le Ministère de la Culture et de la Francophonie, se tient depuis ce 20 novembre 2023 et s’achève demain, 22 novembre. C’est au Sofitel Hôtel Ivoire.  Amadou Coulibaly, le ministre de la Communication, s’exprime sur le bien-fondé de cet événement.

Abidjan se prépare à accueillir, du 20 au 22 novembre, le Salon International du Contenu Audiovisuel (SICA). Quels seront les différentes articulations de ce rendez-vous ?

Le Salon International du Contenu Audiovisuel d’Abidjan, organisé par le Ministère de la Communication, en collaboration avec le Ministère de la Culture et de la Francophonie, se tiendra sur trois jours, du 20 au 22 novembre 2023, au Sofitel Hôtel Ivoire. Ce salon est organisé autour de trois points essentiels. C’est d’abord un marché où se rencontreront des acheteurs de contenus audiovisuels et des producteurs.

C’est ensuite un espace où seront organisées des conférences, des tables rondes et autres activités pour faire connaitre davantage les métiers et innovations aux professionnels et aux étudiants.

Il y est d’ailleurs prévu un concours pitch doté d’un prix pour encourager des talents. C’est enfin, un espace de rencontres avec des acteurs des finances et des banques pour mieux faire connaitre l’écosystème de la production audiovisuelle et ses opportunités d’investissement.

La dernière journée sera consacrée à la découverte d’Abidjan. Certaines des personnalités que nous accueillerons viennent à Abidjan pour la toute première fois. L’occasion me paraît donc bonne pour ‘‘vendre’’ notre pays, ses beaux sites ; sait-ont jamais ! cela pourrait susciter des idées de tournage et peut-être d’autres visites plus touristiques en Côte d’Ivoire. Je veux, à ce propos saluer le Ministre du tourisme et ses collaborateurs pour leur implication efficace dans le cadre des travaux du Comité d’Organisation.

Quels objectifs assignez-vous à cet événement qui se tient dans un contexte de libéralisation de l’espace audiovisuel et d’avènement de nouvelles chaines ?

Le SICA traduit la volonté du Gouvernement ivoirien de combler le manque d’initiatives centrées sur la promotion du contenu audiovisuel dans notre espace communautaire francophone. Il s’inscrit dans le grand programme du Président de la République, SEM. Alassane OUATTARA qui veut donner à la Côte d’Ivoire une chance de développement intégral, en accordant une place de choix à l’industrie de la création et du contenu. Ce qui impose la mise en place de toutes les commodités afin de permettre à toute la chaine de valeurs de la production de se développer.

Ce marché international vient donc consolider et dynamiser les acquis de l’ouverture de l’espace audiovisuel intervenue depuis les années 90 et devenue une réalité plus visible avec la libération télévisuelle, l’avènement de la Télévision Numérique Terrestre (TNT) et l’adaptation de la loi sur le régime juridique de la communication audiovisuelle à ce nouvel environnement.

Quelle importance pour la Côte d’Ivoire ?

Le Salon International de l’Audiovisuel d’Abidjan permet d’accueillir l’essentiel de l’industrie de création audiovisuel dans notre sous-région et hors du continent. Il permet, en outre, de créer des opportunités d’affaires entre les acteurs de l’écosystème, de renforcer les capacités des acteurs surtout des professionnels en se frottant à de grandes figures marquantes du secteur, d’attirer des investisseurs dans le domaine de la production et de la co-production, et enfin de dévoiler des talents naissants à travers le concours pitch.

Si notre pays a un leadership reconnu du point de vue économique, diplomatique et certainement culturel, il n’y a pas de raison qu’il ne s’affirme dans l’industrie créative, notamment dans le contenu audiovisuel.

Combien de participants sont attendus, en termes d’investisseurs, de Producteurs et de distributeurs ?

Les précédents évènements de ce genre organisés à Abidjan, ont vu la participation de plus d’un millier de professionnels. Pour cette première édition du SICA, nous visons le même objectif et attendons des centaines de professionnels du secteur de l’audiovisuel. Il convient cependant de souligner, que le SICA n’est pas un salon grand public, mais plutôt celui des professionnels du secteur de l’industrie audiovisuelle et du cinéma.

Ce salon offre-t-il des opportunités de création d’emplois ?

Tout naturellement, mais il faut voir la création d’emplois sur le long terme. L’idée, aujourd’hui, c’est de créer les conditions favorables pour ce secteur fortement demandeur de main-d’œuvre. Par exemple, la création de contenu demande beaucoup de compétences, en termes de son, d’image, d’habillage, de restauration, de prestation artistique, du divertissement et de la promotion de la culture. Ce secteur génère également beaucoup de retombées au plan touristique.

Quels résultats attendus à ce premier rendez-vous du SICA ?

Les résultats attendus sont, entre autres, faire connaître d’abord cette initiative ivoirienne, le SICA étant à sa première édition, et de l’inscrire dans les agendas des grands évènements.

Nous voulons également qu’au terme de cette édition, que des rencontres entre opérateurs économiques du secteur soient effectives, que des opportunités de partenariat soient nouées ou désormais beaucoup plus perceptibles.

Monsieur le Ministre, le SICA qui a une ouverture sur le monde prévoit-il des balises morales et culturelles pour tenir compte de nos sus et coutumes ?

Quand on parle de contenus, on parle forcément d’enracinement, d’environnement, de valeurs, de points d’ancrage. On ne produit pas sur du vide. Les scénarii sont des narratifs qui renvoient à des vécus, à des visions, à des convictions. Le contenu audiovisuel est le reflet de cultures et de traditions. La diversité des participants, la richesse assurée des interventions et la multiplicité des expériences en partage permettront la prise en compte des particularités.

Mais il y va aussi de la célébration des libertés. La création est liberté, mais aussi responsabilité. La régulation vise à maintenir un juste équilibre entre l’exigence de respecter les libertés, et de respecter à la fois nos valeurs morales et culturelles, en imposant des limites.

En tout état de cause, le législateur a prévu un régulateur qui est la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle (HACA). C’est elle qui est chargée du contenu audiovisuel.

Avez-vous des mécanismes mis en place, notamment un cadre règlementaire, institutionnel, etc. ?

Notre expérience dans ce domaine est vieille. Il y a eu la loi de 2004 sur la communication audiovisuelle qui, déjà, fixait des règles relativement aux supports audiovisuels. De même, comme je viens de le souligner, la HACA fait partie des mécanismes légaux et règlementaires régissant le secteur de l’audiovisuel en Côte d’Ivoire. L’encadrement audiovisuel par des textes législatifs et règlementaires est bien assumé.

La fiche technique annonce que ce rendez-vous cible entre autres, le gouvernement, les ministères techniques, les chaines de télévision publiques et privées, les établissements financiers, etc. Comment seront-ils impliqués dans la réussite de l’événement ?

Le SICA réunira les acteurs traditionnels de l’audiovisuel, à savoir les producteurs nationaux et internationaux, les distributeurs, les chaînes de télévision et de radio publiques et privées, les opérateurs du câble, de satellite, de mobile et des services de vidéo à la demande et des étudiants d’écoles spécialisées en audiovisuel.

C’est un rendez-vous du donner et du recevoir, un marché qui doit permettre aux différents acteurs, chacun dans son domaine, d’y tirer les meilleurs partis possibles.

Le Gouvernement, à travers le ministère de la communication et le ministère en charge de la culture, crée les conditions d’épanouissement des différents acteurs afin que le secteur audiovisuel contribue davantage au rayonnement du pays ainsi qu’au développement de l’industrie de la création du contenu, du cinéma.

Toutes choses qui impacteront positivement le marché de l’audiovisuel, la promotion des créateurs, producteurs et distributeurs. Tous les acteurs auxquels vous faites allusion participeront donc aux tables rondes, aux master-class, aux panels et différentes conférences pour la réussite de cet évènement.

Vous avez récemment ouvert la voie d’une action révolutionnaire pour une attitude responsables des internautes et leurs productions. Quel bilan dressez-vous de cette action ?

Nous avons lancé le 16 août 2023, la campagne « En Ligne Tous Responsables » pour sensibiliser tous les citoyens à une utilisation responsable et respectueuse des outils numériques, notamment les réseaux sociaux. C’est une campagne en deux étapes. Une première, dite de sensibilisation et d’éducation qui court d’août à décembre 2023, et une seconde phase de consolidation des acquis qui couvrira toute l’année 2024.

En termes de bilan à mi-parcours de la première phase, cette campagne a connu un vif succès auprès des cibles visées, c’est-à-dire les populations utilisatrices du numérique. Les effets combinés de la communication multicanale de messages de sensibilisation et la tenue d’ateliers de formation en présentiel ont permis d’engager la population dans le sens de la responsabilité en ligne.

Cette première étape de la campagne a également permis de vulgariser les quatre textes de loi récemment adoptés en vue de la régulation des activités déployées en ligne. Ces textes législatifs visent à expurger de l’utilisation des réseaux sociaux ou de toute utilisation en ligne des termes xénophobes, haineux et injurieux qui, malheureusement devenus légions ces dernières années.

Avez-vous atteint vos objectifs ?

Notre objectif, au départ, pour la première phase de sensibilisation et d’éducation était de visiter 21 localités et communes de Côte d’Ivoire, et sensibiliser et former 4200 personnes, notamment des jeunes, hommes et femmes, des administrations, le corps préfectoral, des enseignants.

Au 02 novembre 2023, soit un peu plus de deux mois après le lancement de la campagne, nous avons visité 15 localités dont 7 à l’intérieur et 8 communes du District d’Abidjan, et formé et sensibilisé plus de 3000 personnes soit un peu plus de 77% de l’objectif prévu. Et, les actions combinées de la communication multicanale ont permis de toucher plus de 5 000 000 personnes. La campagne se poursuit et nous ne doutons pas qu’au soir du 31 décembre 2023, nos objectifs seront atteints, voire dépassés.

Il y a quelques années la Côte d’Ivoire recevait l’événement « DISCOP à Abidjan) également en rapport avec les contenus audiovisuels. Quel serait la particularité du SICA 2023 ?

Lorsque je parlais d’évènements de ce genre, je faisais allusion au DISCOP que vous venez de citer. Le DISCOP est un label privé, alors que le SICA est une initiative publique du Ministère de la Communication qui consolide les acquis que nous avons eus à travers un partenariat public-privé avec le DISCOP, en proposant des innovations.

Le DISCOP est un marché de l’audiovisuel, alors que le SICA, en plus d’être un marché, offre comme innovation des opportunités d’apprentissage et de formation sur des thématiques du moment à travers des master class, des table-rondes, des conférences.

A cet effet, plus d’une cinquantaine de speakers parmi lesquels des producteurs de renom sont attendus à cet évènement, qui se veut un forum d’échanges sur l’avenir des contenus au regard de la grande mutation qui s’opère au niveau des modes de consommation liés à l’internet avec les plates formes de streaming, de vidéos à la demande, de podcast et autres OTT.

Il convient de noter que des promoteurs de streaming célèbres tels que Netflix et des promoteurs de bouquets satellitaires sont invités à ce salon, prouvant ainsi sa dimension internationale. Sans le SICA, il aurait été difficile de rencontrer ces sommités de l’écosystème mondial de l’audiovisuel et du cinéma dans notre pays.

Interview : B. G

Source : Ministère de la Communication

Patrick BENON, DG d’Orange Cameroun, annonce « Max it », la super Appli tout en un pour des fêtes au Max.

(Orange Cameroun) – Comme à son habitude Orange Cameroun réserve à ses abonnés et plus généralement aux Camerounais de belles surprises en fin d’année. Et cette année, le moins qu’on puisse dire c’est que les fêtes seront au Max pour tous.

Patrick BENON
Patrick BENON, DG d’Orange Cameroun

En effet, le Directeur Général d’Orange Cameroun Patrick BENON a lui-même annoncé le lancement de la Super Application tout en un « Max It » qui en plus de « permettre aux abonnés d’accéder à un maximum de solutions et de maximiser les avantages du digital (…) offre une interface unique pour accéder aux services télécommunications d’Orange Cameroun, aux services financiers d’Orange Money Cameroun, et à plusieurs autres univers fournis par Orange et d’autres entreprises partenaires ».

App Max it

Et pour tenir cette promesse d’une fête au Max avec « Max it », les abonnés d’Orange Cameroun et même ceux d’autres réseaux peuvent d’ores et déjà :

  • Télécharger la Super Application Max it sur les stores habituels Playstore & App;
  • Suivre les instructions détaillées dans la vidéo d’annonce pour prendre un ticket ;
  • Confirmer leur présence au Concert évènement, à ne surtout pas manquer, avec Petit Pays + Davido et de nombreux autres artistes.
Petit pays
Petit pays au stade de Bepanda

Pour la circonstance ce concert aura lieu au mythique stade de Bépanda dès 16H (ouvertures des portes à 14H) et prendra fin à 21H. Une pluie de bonus et de surprises sont annoncés.

Ponctualité, discipline, requises pour des fêtes au Max.

Davido
Davido en concert au cameroun

Source : Orange Cameroun

Cameroun: L’ association Protège QV organise un concours de la meilleure illustration des Droits digitaux [ inscrivez-vous via l’adresse [email protected] ]

[Digital Business Africa] – Protège QV organise, du 04 au 09 décembre 2023, un concours de la meilleure illustration des droits digitaux. L’événement prélude à la célébration de la Journée Mondiale des Droits de l’Homme prévu le 10 décembre 2023. Pour y participer, envoyer un courriel (email) à l’adresse [email protected] avec en objet « Inscription au concours ».Lire le communiqué https://www.digitalbusiness.africa/wp-content/uploads/2023/11/version-pdf-3-1.pdf Toutes les soumissions ou candidatures doivent être envoyées au plus tard le 04 décembre 2023 à minuit. Les résultats seront disponibles le 09 décembre 2023 par voie de média et sur le site de PROTEGE QV (https://www.protegeqv.org/)

protegeqv.org

FSUT/Maroc: La 2ème phase du Plan national pour le développement du haut et très haut débit prévue pour 2024

[DIGITAL Business Africa] – 1700 nouvelles zones devraient connaître une amélioration du débit internet. La deuxième phase du Plan national pour le développement du haut et très haut débit sera lancée en 2024. Assurances données par Ghita Mezzour, ministre déléguée chargée de la transition numérique et de la réforme de l’administration, ce lundi 13 novembre 2023 à la Chambre des représentants. Cette phase sera financée par le Fonds du Service Universel des télécommunications.
Le FSUT est l’un des fondements de la réforme du secteur des télécommunications au Maroc.

Il a été initiée en vertu de la loi 24-96 promulguée par le dahir n°1-97-162 du 7 août 1997, relative à la poste et aux télécommunications. Sa finalité est de contribuer à la résorption de la fracture sociale dans le domaine des télécommunications. Le FSUT a pu mobiliser plus de 2,25 Milliards de dirhams depuis sa création en 2005 jusqu’à fin 2013.

Les programmes soutenus par le CGSUT

Plusieurs programmes ont été retenus par le comité de gestion du service universel des
télécommunications (CGSUT) et financés par le FSUT, portant notamment sur :
– Le programme d’accès généralisé des télécommunications (PACTE) ;
– La généralisation des technologies d’information et de communication dans
l’enseignement (GENIE) ;
– Le programme Nafida qui a pour objectif de faciliter l’accès de la famille de
l’enseignement aux Technologies de l’Information et de la Communication (TIC),
d’utiliser ces outils dans le système éducatif, et d’accéder à des contenus multimédias ;
– Le programme Injaz, destiné aux étudiants de l’enseignement supérieur public. Il a pour
finalité la contribution à l’acquisition des moyens d’accéder aux TIC dans le cadre de
leur formation ;
– La création de Centres d’accès communautaires (CAC), facilitant l’accès des jeunes aux
TIC, notamment au niveau des maisons de jeunes relevant du Ministère de la Jeunesse et
des Sports ;
– Le programme E-sup, qui a pour objectif la généralisation des TIC dans l’enseignement
supérieur, à travers l’équipement des universités pour l’acquisition des solutions en vue
de l’intégration des TIC ;
– Le programme « Net-U » qui vise à promouvoir et étendre l’accès aux TIC, en particulier
l’accès à Internet, au sein des établissements et cités universitaires

La première phase du PNHD I réalisée à 97%

Plus de sept milliards de dirhams ont été mobilisés par le gouvernement pour renforcer les infrastructures des réseaux et des télécommunications en 2022.  Ceci, dans le cadre de la deuxième phase du PNHD . Selon Ghita Mezzour, ministre déléguée chargée de la transition numérique et de la réforme de l’administration, le taux de réalisation de la première phase de ce programme PNHD I (2018-2023) a atteint 97%, soit la couverture de près de 10420 zones territoriales par Internet haut débit sur un total de 10740 zones initialement prévues.

Le Maroc est le premier pays africain à déployer la techonologie Very Small Aperture Terminal ( VSAT). Ghita Mezzour a indiqué que l’Etat propose une subvention de 50% des frais de service de connexion par satellite dans la limite de 4000 bénéficiaires par an (plafonnée à 2500 Dh par abonnement VSAT). Sachant que l’abonnement VSAT au Maroc demande à 250 dirhams/mois. La souscription à un abonnement s’accompagne de l’installation d’un équipement spécifique différent de la box internet traditionnelle. L’abonnement pour les particuliers démarre, quant à lui, à 251 dirhams/mois.

Par Jean Materne Zambo

IA : Le créateur de ChatGPT, Sam Altman, déchu de son poste de patron d’OpenAI par le conseil d’administration de l’entreprise


[DIGITAL Business Africa] – L’entreprise Open AI, spécialisée dans l’intelligence artificielle, s’est séparée de son patron, Sam Altman, âgé de 38 ans. Le créateur de la plateforme d’intelligence artificielle générative ChatGPT est évincé pour le  manque de franchise dans ses communications avec le conseil d’administration faisant entrave à sa capacité à remplir ses responsabilités, rapporte le communiqué signé par l’entreprise. OpenAI a été fondé en 2015 par un groupe d’experts de la technologie, parmi lesquels on retrouve le cofondateur de LinkedIn Reid Hoffman, l’investisseur Peter Thiel ainsi qu’Elon Musk.

La directrice technique d’Open AI, Mira Murati, va assurer l’intérim en attendant de trouver un successeur à Altman, qui ne regrette pas son passage à l’entreprise. «J’ai aimé mon temps passé à OpenAI. C’était transformateur pour moi sur un plan personnel, mais aussi, espérons-le, pour le monde ». Sam Altman, depuis la mise en ligne de la première version de ChatGPT le 30 novembre 2022, a conquis des millions d’utilisateurs. Le Chatbot est presque devenu une affaire de tous., même dans les pays où il n’est pas autorisé, on trouve des moyens pour créer un compte ChatGPT, en s’assurant un VPN, par exemple. Puisque Sam Altman a su trouver un moyen simplifié de rédiger des messages, demander une recette de cuisine ou inventer une histoire à raconter à leurs enfants que le robot conversationnel peut ensuite leur lire.

Lire aussi, IA: ChatGPT et sa restrictions aux pays africains,  comment y accéder ?

Mais pour l’analyste de Wedbush Dan Ives, son départ ne saurait plomber le fonctionnement de Open AI
« Altman viré en tant que patron d’OpenAI, un choc, mais, au bout du compte, Microsoft aura simplement davantage de contrôle sur la situation étant donné sa participation…Il a été crucial pour guider la plateforme où elle est, mais le fait qu’il ne soit plus là engendre peu d’inquiétudes pour l’avenir.Il y a un an, ça aurait été différent », a dit l’analyste de Wedbush Dan Ives.
Le départ de Sam Altman est consécutif à la démission du co-fondateur d’Open AI, Greg Brockman. Plusieurs chercheurs de renom ont également quitté le navire.

Par Jean Materne Zambo

Luc Missidimbazi : « La dimension internationale du salon Osiane se confirme, s’exprime et s’affirme »

[DIGITAL Business Africa] – La huitième édition du Salon international de la technologie et de l’innovation (Osiane) baptisée « Kolonga » se tiendra du 23 au 26 avril 2024 à Brazzaville sur le thème « Le numérique, accélérateur de performance ».

L’ONG Pratic qui l’organise l’a annoncé ce 08 novembre 2023 lors d’un kick-off en ligne.

Selon les explications de Luc Missidimbazi, président de Pratic, et de Rose Marie Ovaga, commissaire générale de cette édition 2024, l’accent sera mis sur l’intelligence artificielle, la cybersécurité, les technologies immersives et les solutions hard et software.Luc Missidimbazi : « La dimension internationale du salon Osiane se confirme, s’exprime et s’affirme »

Digital Business Africa vous propose l’interview de Luc Missidimbazi qui présente l’esprit d’Osiane et les grandes orientations pour 2024 ?

DIGITAL Business Africa :  Quelles sont les principales nouveautés qu’on va retrouver à Osiane 2024 ?

Luc Missidimbazi : Cela va se préciser dans le temps, dans les prochains mois. Bien qu’il y ait eu un travail à faire sur les tendances et aussi la relation avec le partenaire. Mais, ce qu’on sait déjà, c’est qu’on va accentuer le travail sur les performances.

Aujourd’hui, comment le numérique améliore les performances des entreprises ? Comment le numérique améliore les performances de l’administration publique ? Comment le numérique améliore les performances dans le cadre réglementaire que fixe les institutions ? Comment aujourd’hui allons-nous considérer tous ces progrès à travers des statistiques concrètes, à travers l’impact que cela a sur la société ? Toutes ces questions vont trouver une réponse.

Donc, c’est cela l’objectif. En 2024, on va vraiment être orienté sur les métiers dans les différents domaines de l’économie numérique. L’objectif sera aussi d’évaluer les performances de nos start-up. Donc, quelles sont les tendances associées ou quelles seront les innovations associées ?

DIGITAL Business Africa :  Le salon Osiane 2023 s’est terminé. Que peut-on retenir de ce salon ?

Luc Missidimbazi : Nous avons terminé l’édition 2023 dans un esprit très festif pour les gagnants des challenges. Une chose est certaine, c’est qu’en 2023 nous avons quasiment doublé les dernières fréquentations en termes de visites et de présence dans les ateliers, les conférences, les tables rondes. Donc, on peut estimer que plus de 15 000 visiteurs sur les 4 jours du salon c’est quand même significatif.

DIGITAL Business Africa :  En 2023, il y a eu plusieurs activités au salon Osiane. Osiane devient-il un carrefour de rencontres de plusieurs types d’événements ?

Luc Missidimbazi : Plusieurs événements ? Je ne pense pas. Ce n’est pas l’objectif. Notre objectif est de toujours promouvoir le numérique, accompagner les transformations numériques afin que ces transformations aident le développement, accompagnent les entreprises à avoir de meilleures performances.

L’un des objectifs c’est de faire d’Osiane une plateforme où on retrouve des solutions, où on a des réponses aux problématiques liées au développement technologique, au progrès et aussi à la modernisation de nos administrations publiques.

Maintenant, cette dimension internationale se confirme, s’exprime, s’affirme et on devient de plus en plus une plateforme reconnue. Certes après, il y a du travail à faire et on va s’atteler à consolider ce travail là.

DIGITAL Business Africa :  On a vu par exemple l’Artac tenir ses réunions à Osiane 2023. Est-ce que d’autres organisations de la sous-région peuvent également s’approprier Osiane pour organiser leur propre rencontre sectorielle pendant l’événement ?

Luc Missidimbazi : C’est le but effectif de la plateforme. De rassembler à la fois des institutions, des gouvernements, des entreprises publiques / privées, des ONG, des experts, des universitaires pour apporter des solutions.

Donc, toute institution qui rentre dans la formule qui est la nôtre : la promotion de la technologie et de l’innovation, l’encouragement à l’entrepreneuriat est effectivement la bienvenue pour pouvoir exposer et discuter. On estime que c’est une plateforme ouverte. Pour le développement, on est prudent !Luc Missidimbazi : « La dimension internationale du salon Osiane se confirme, s’exprime et s’affirme »

DIGITAL Business Africa :  L’un des grands moments du salon Osiane 2023 était la cérémonie de clôture et la remise des prix aux différents vainqueurs. On se rend compte qu’Osiane s’est résolument tourné dans l’accompagnement des jeunes start-up du continent avec le Challenge bassin du Congo. Quelle est l’objectif en faisant ce challenge Bassin du Congo là et comment cela va se poursuivre ?

Luc Missidimbazi : En 2023, nous étions à la deuxième édition du challenge du Bassin du Congo qui met en lumière les compétences, des savoir-faire des jeunes entrepreneurs de la sous région Afrique centrale. Nous avons pour objectif de révéler au moins une structure ou un projet qui va être livré dans les prochaines années.

Mais aussi, de donner l’occasion à ces start-up de se comparer avec les autres qui sont autour d’elles dans les pays voisins. On les amène à découvrir ce que la technologie a de bien pour des pays occidentaux comme la France, l’Allemagne aussi les États-Unis.

DIGITAL Business Africa :  Les trois lauréats de 2023 seront au CES 2024 à Las Vegas…

Luc Missidimbazi : Oui, nous les amenons au CES de Las Vegas pour qu’ils aillent découvrir cet aspect d’innovation et de nouveauté. Je pense qu’ils ont les fondements, les bases d’un esprit entrepreneurial.

Ces bases-là qui font partie des critères de ce qu’on recherche pour développer le mindset des gens et les élargir à des environnements plus modernes des technologies, des grandes industries. Cela va peut-être les aider à mieux répondre aux besoins d’une autre société et d’une autre population.

DIGITAL Business Africa :  Les précédents vainqueurs étaient à Viva Tech. Qu’est-ce qui fait le choix ? Pourquoi passer de Viva Tech à CES ?

Luc Missidimbazi : C’est un choix de l’organisation. C’est un choix qui est motivé surtout par la découverte des technologies qui semblent être plus important pour les jeunes. C’est un choix que le comité d’organisation a souhaité. C’est aussi le retour d’expérience de la précédente mission. On va essayer d’étudier tout ça pour voir ; essayer CES pour voir ce que ça donne aux jeunes porteurs de projets.Congo : Luc Missidimbazi raconte la genèse, les débuts, les réussites et défis du Salon Osiane [Vidéo]

DIGITAL Business Africa :  Pour les prochaines éditions challenge Bassin du Congo, quelle seront les innovations ? Vous aviez dit tout à l’heure qu’il y aura des possibilités de faire des présélections au niveau de chaque pays. Comment cela va se passer ? Comment vous entendez faire ça ?

Luc Missidimbazi : Déjà, nous allons reprendre le tour au niveau du show Osiane qui va se dérouler dans les sept pays de la sous-région avec effectivement pour but, de sélectionner les start-up, inviter les pays, les agences de l’écosystème pour Osiane 2024, avec effectivement le besoin d’avoir les cinq à dix start-up qui vont suivre la formation pour challenger et monter les projets.

C’est une première chose que nous allons faire. La deuxième ça sera aussi d’avoir les catégories de prix, des challenges totalement ouvert. Ce sont par exemple des gens qui n’étaient pas très bon pour présenter.

On aura aussi une catégorie de start-up que l’on va recomposer. Mais, à côté de cela, c’est aussi l’impact que les incubateurs ont dans les systèmes des pays. On va intégrer cela. On peut dire que ce sont les principales avancées qu’on a considérées.

Congo Brazza : le salon Osiane 2020 reporté pour cause de Coronavirus
18 avril 2019. Brazzaville, Palais des Congrès. Osiane 2019. Luc Missidimbazi lors de son discours de clôture. Photo : Digital Business Africa

DIGITAL Business Africa :  En 2023, il y a eu la réunion des agences de développement du numérique. Quel est l’objectif en invitant à Osiane les responsables qui s’occupent des agences de développement du numérique ?

Luc Missidimbazi : Il faut dire que notre sous-région connait aujourd’hui un développement de ces agences et sont quasiment jeunes. Elles ont toutes un seul même objectif qui est de pouvoir accompagner les gouvernements, mettre en place, exécuter les stratégies de transformation digitale.

Et on s’est dit qu’on peut trouver des synergies. Il fallait les rassembler pour travailler avec elles sur cette autre vision, cette autre transformation digitale et c’est ce qui s’est passé et que nous avons beaucoup apprécié.

Maintenant, elles étaient toutes là, elles ont répondu présentes. La question à présent est de savoir comment nous organisons la suite pour Brazzaville ? Et la suite de Brazzaville sera peut-être à Kinshasa, peut-être à Libreville pour commencer à constituer une forme de regroupement de ces agences et commencer à avoir comme un pouls de référents de transformation digitale.

Par exemple, avoir une expertise sur la cybersécurité et les données à caractère personnelles. Que cette expertise serve aussi à un Congo ou au Gabon. Donc, c’est tout cela que l’on est en train de préparer pour cette deuxième édition. D’où cette conférence qui se tiendra aussi probablement avant la fin d’année dans un des autres pays.

Propos recueillis par Beaugas Orain DJOYUM en avril 2023

Yves Kom [Orange Cameroun] : « Pour cette fin d’année 2023, nous promettons le max à nos clients » (vidéo)

[DIGITAL Business Africa] – Yves Kom,le directeur Marketing et Communication d’Orange Cameroun etAnne Cathérine Tchokonté, directrice générale d’Orange Money Cameroun ont animé une conférence de presse ce mardi 14 novembre 2023 à Douala pour présenter à leurs abonnés des offres et cagnottes pour la fin de l’année 2023.

Retrouvez dans cette vidéo les explications du directeur Marketing et Communication d’Orange Cameroun.

Du 16 novembre au 29 février 2024, Orange Cameroun offre à ses abonnés des voyages pour vivre la CAN TotalEnergies en Côte d'Ivoire et des voitures à gagner
Yves Kom, directeur marketing d’Orange Cameroun

 

Revivez la conférence de presse d’Orange en vidéo

Max de lots, Max tes fêtes

Du 16 novembre au 29 février 2024, Orange Cameroun offre à ses abonnés des voyages pour vivre la CAN TotalEnergies en Côte d'Ivoire et des voitures à gagner

 

Du 16 novembre au 29 février 2024, Orange Cameroun offre à ses abonnés des voyages pour vivre la CAN TotalEnergies en Côte d’Ivoire et des voitures à gagner

[DIGITAL Business Africa] – Orange Cameroun a organisé une conférence de presse ce mardi 14 novembre 2023 à Douala pour présenter à ses abonnés ses offres et cagnottes pour la fin de l’année 2023.

Digital Business Africa vous présente les grandes lignes de cette conférence de presse animée par Yves Kom, directeur Marketing et Communication d’Orange Cameroun et Anne Cathérine Tchokonté, directrice générale d’Orange Money Cameroun.

Du 16 novembre au 29 février 2024, Orange Cameroun offre à ses abonnés des voyages pour vivre la CAN TotalEnergies en Côte d'Ivoire et des voitures à gagner
Yves Kom, directeur marketing d’Orange Cameroun

(Orange Cameroun) – Chaque fin d’année, Orange Cameroun récompense son aimable clientèle à travers de nombreux lots. Nous avons encore en mémoire les fêtes de fin d’année 2021, durant laquelle Orange a offert une quinzaine de voitures à ses abonnés.

En 2022, de nombreux Camerounais ont eu l’opportunité de vivre l’expérience de la Coupe du Monde au Qatar grâce à des voyages entièrement pris en charge qui leur ont été offerts. En plus de ces voyages, la somme de plus de 250 millions de francs a été distribuée, contribuant ainsi à la réalisation de plusieurs projets portés par les heureux gagnants.

Par ailleurs, des Smart TVs grand format ont également été offerts pendant cette période.

En cette fin d’année 2023, Orange ne compte pas faire exception à la règle et offrira une fois de plus à ses clients la chance de remporter une multitude de lots et de profiter des fêtes dans une ambiance de joie immense quel que soit leur réseau.

 Au-delà des fêtes de fin d’année

En dehors des fêtes de fin d’année, Orange Cameroun a toujours été reconnu pour sa capacité à fournir des solutions innovantes, offrant à ses abonnés des forfaits d’appels et datas à des tarifs avantageux. Parmi ces forfaits, on reconnait :

Orange Bonus, accessible via le code #111*1# ou via l’appli MyOrange offre des forfaits d’appels et d’internet aux abonnés prépayés et hybrides, leur permettant de bénéficier de plusieurs avantages notamment :

  • Des appels vers tous les réseaux au même prix
  • Des gros volumes d’internet à des tarifs avantageux.
    Infinity Home, l’offre d’internet illimité à la maison accessible sur My Orange pour W
  • Streamer en illimité et en haut débit
  • Jouer en ligne en illimité
  • Tenir des conférences téléphoniques et des visioconférences en toute tranquillité

Leader sur tous les terrains

Depuis plus de deux décennies, Orange Cameroun est le leader de l’innovation dans le secteur des télécommunications au Cameroun. Notre objectif principal est de fournir des solutions innovantes pour le bien-être de nos clients, en leur offrant chaque jour :

  1. Une connexion fiable, illimitée et abordable
  2. Des forfaits, des appels et des services Internet à des prix compétitifs
  3. Une flexibilité dans leurs transactions Orange Money, moins cher et ouvert à tous.
  4. Des applications innovantes qui facilitent leur vie quotidienne.

Mais au-delà de nos services de télécommunication, nous nous efforçons d’être une entreprise proche de nos clients. Cela se manifeste par les projets de responsabilité sociale d’entreprise (RSE) déployés sur l’ensemble du territoire national.Du 16 novembre au 29 février 2024, Orange Cameroun offre à ses abonnés des voyages pour vivre la CAN TotalEnergies en Côte d'Ivoire et des voitures à gagner

Nous pensons grand pour nos clients

Cette année encore, nous allons :

  • Célébrer les fêtes de la plus belle des manière avec nos clients Offrir un max de lots pouvant impacter positivement la vie de nos abonnés.
  • Tout simplement, distiller de la joie…

Max de lots, Max tes fêtes

Du 16 novembre au 29 février 2024, Orange Cameroun offre à ses abonnés des voyages pour vivre la CAN TotalEnergies en Côte d'Ivoire et des voitures à gagner

C’est parti pour 3 mois de fêtes. Du 16 novembre au 29 Février 2024, les abonnés Orange auront la possibilité de gagner un maximum de lots.

  1. Des voyages entièrement pris en charge pour vivre la CAN TotalEnergies en Côte d’Ivoire
  2. Des Millions à partager afin de permettre aux clients de se faire plaisir en famille
  3. Des véhicules tout-terrain flambant neuf
  4. Des Smart TV grand format pour regarder la CAN en famille et vivre
  5. L’expérience comme si vous étiez à Abidjan, Bouake, Babi ou Yamoussoukro
  6. Un max de surprises…

Comment gagner ?

Tout simplement via des opérations simples et habituelles :

  • Achat d’un forfait appels ou data via Orange Bonus : au #111*1# ou via l’appli
  • Une opération Orange Money d’au moins 2000F : retrait, paiements de factures Canal +; Eneo; Camwater…

Au #150# ou via l’appli

En renouvelant son forfait Infinity Home via l’appli My Orange Achat d’un forfait Sembe Woila au #195*3#

Revivre la conférence de presse d’Orange en vidéo


Source : Orange Cameroun

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Inclusion numérique : Africa Mobile Networks et Intelsat ensemble pour déployer 1 340 sites télécoms à Madagascar, au Rwanda et en RDC

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[DIGITAL Business Africa] –  Africa Networks rêve d’une Afrique connectée. En partenariat avec Intelsat, AMN veut déployer 1340 au Rwanda, en République Démocratique du Congo et à Madagascar pour combler le fossé numérique dans ces pays. AMN est spécialisée dans la connexion des communautés, en réduisant les coûts d’équipement initiaux et continus tout en permettant l’extension des services cellulaires dans des zones reculées. Les deux partenaires AMN et Intelsat ont révélé leur nouveau projet dans un communiqué de presse, ce mardi 14 novembre 2023.

« La combinaison de la couverture africaine multisatellites d’Intelsat et de la solution de tour solaire d’AMN signifie que les citoyens et les entreprises de pratiquement n’importe quelle communauté peuvent désormais avoir accès aux avantages éducatifs, sociaux et économiques des services de télécommunication », a déclaré Intelsat.

L’on a généralement recours  au satellite pour fournir une connectivité « backhaul » aux tours cellulaires éloignées . La situation géographique et le terrain de ces tours ne permettent souvent pas d’utiliser des solutions de liaison telles que le câble à fibre optique et les micro-ondes

Cela fait cinq ans qu’ Intelsat, opérateur de  réseaux satellitaires et terrestres intégrés  et Africa Mobile Networks (AMN) cheminent ensemble.Le tandem a installé, en 2018, plus de 3 000 antennes satellites de base rurales dans plusieurs pays d’Afrique. Quelque huit millions de personnes ont pu bénéficier des services de télécommunications. AMN regroupe des entreprises qui construisent, possèdent, exploitent et entretiennent des infrastructures de réseaux mobiles desservant les plus grands opérateurs de réseaux mobiles (ORM) d’Afrique. AMN détient son principal réseau  au Nigeria. Il revendique au total plus de 1 350 sites.

Africa Mobile Networks n’est pas àson premier partenariat pour embarquer l’ Afrique vers une destination connectée. La société a signé, en juillet 2023,, un partenariat avec Starlink pour renforcer les capacités de ces sites télécoms en s’appuyant sur sa constellation de satellites en orbite basse. Gilat Satellite Networks est aussi un autre partenariat qui l’accompagne dans cette mission

Par Jean Materne Zambo

Côte d’ Ivoire : La 5G pour la Can TotalEnergies 2023

[DIGITAL Business Africa] – La Can TotalEnergies 2023 en Côte d’Ivoire ne sera uniquement pas une affaire d’euphorie ou de ballon rond. Elle se tient du 13 janvier 2022 au 11 février 2024. Le ministre de la Transition numérique et de la Digitalisation, Ibrahim Kalif Konaté, a confirmé la présence d’une invitée surprise, la technologie de cinquième génération (5G).

L’annonce a été faite lors de la neuvième ’Assemblée des radiocommunications 2023 à Dubaï, qui se tient du 14 au 17 novembre 2023. Elle se tient en marge de la 39ème Conférence mondiale des Radiocommunications qui aura lieu du 20 novembre au 15 décembre 2023. Le ministre de la Transition numérique et de la Digitalisation, Ibrahim Kalif Konaté, vient ainsi rassurer l’opinion quant à ce projet évoqué officiellement Orange CI en septembre 2023.

« Orange Côte d’Ivoire a pour ambition d’étendre ses offres de service pour améliorer davantage la qualité de vie des citoyens et booster encore plus l’activité des entreprises. L’opérateur prévoit, à cette fin, de lancer la 5G en Côte d’Ivoire avant la CAN 2024 », a dit le Directeur Orange Business et Broadband. Il a toutefois précisé qu’orange CI souhaite commencer le lancement et l’installation de la 5G en Côte d’Ivoire avant la CAN 2024 afin de « bien » préparer l’arrivée de millions de personnes venant du monde entier pour assister à cette compétition. Et de conclure : « Ce sera pour nous un exercice grandeur nature et un challenge important à relever pour la Côte d’Ivoire mais aussi pour le reste du continent ».

Madame le directeur général de l’Autorité de Régulation des Télécommunications/TIC de Côte d’Ivoire (ARTCI), Namahoua Bamba Touré, fait partie de la délégation ministre de la Transition numérique et de la Digitalisation, Ibrahim Kalif Konaté qui prend part aux travaux de la neuvième Assemblée des Radiocommunications de Dubaï.

À propose de L’Assemblée des Radiocommunications

L’instance est responsable de la structure, du programme et des procédures d’approbation des études sur les radiocommunications. Les Assemblées des Radiocommunications sont convoquées tous les quatre ans et associées, en lieu et date, aux Conférences Mondiales des Radiocommunications (CMR).

Les Assemblées des Radiocommunications visent plus précisément à :
– attribuer les travaux préparatoires des conférences et d’autres questions aux Commissions d’Études du secteur des Radiocommunications ;
– donner suite à d’autres demandes émanant des conférences de l’UIT ;
– proposer des sujets à inscrire à l’ordre du jour de futures Conférences Mondiales des Radiocommunications ;
– approuver et publier les Recommandations et les Questions élaborées par les Commissions d’Études du secteur des Radiocommunications ;
– fixer le programme de travail des Commissions d’Études du secteur des Radiocommunications, dissoudre les Commissions d’Études du secteur des Radiocommunications ou en créer de nouvelles s’il y a lieu.

Par Jean Materne Zambo, source : orange ci, ARTIC (Facebook)

The Revolution of Electric Airplanes

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The Allure of Extreme Wealth

When the term ‘billionaire’ graces our ears, it’s easy to conjure images of unimaginable opulence—mansions sprawling across acres of land, fleets of luxury cars, and holidays on private islands. Yet, beneath this veil of material wealth lies a more enigmatic layer, particularly concerning the lives of the heirs and heiresses destined to inherit these colossal fortunes. Born into a life of privilege that far exceeds the norm, they inhabit a reality that is almost unfathomable to the average person. But, as we peel back the layers of glitz and glamor, we find that these heirs often harbor secrets, struggles, and life stories that are far from a fairytale narrative.

The Burden of Expectations

While the advantages of being born into a billionaire family are obvious—access to the best education money can buy, extensive travel experiences, and an almost guaranteed position of power in society—the downsides are less visible but no less real. The weight of expectation is monumental.

From a young age, many are meticulously groomed to take over family enterprises that are often multinational conglomerates. They’re exposed to boardroom discussions before most kids learn algebra, and their life paths are usually pre-decided by the generation before them. The emotional and psychological toll of this can be immense. High-profile parents often have unspoken, yet palpable, expectations that their children will not just inherit the family business but also expand it. This pressure to succeed, coupled with the world’s watchful eyes, often leads to various forms of anxiety and mental health issues, carefully hidden behind closed doors.

Hidden Lives: A Double-Edged Sword of Privacy and Isolation

Given their enormous financial worth, billionaire heirs are naturally targets for all kinds of threats, including kidnapping and extortion. This leads to a life that’s very private but also exceedingly isolated. It’s not uncommon for them to live in gated communities, attend private schools with other children of a similar socioeconomic status, and have their social activities carefully curated and supervised. While these measures ensure physical safety, they also result in a form of social isolation that makes it exceedingly difficult for these young people to form genuine, trusting relationships. Constantly shadowed by bodyguards, their interactions with the outside world are carefully monitored, which can lead to a distorted sense of reality and a deep-seated paranoia about people’s motives.

Philanthropy and Social Responsibility: Changing the Narrative

On the brighter side, a new wave of billionaire heirs and heiresses is emerging, armed with a heightened sense of social responsibility. Uncontent to simply coast along on family wealth, they’re actively working to reshape the societal impact of their fortunes. These individuals are not just pledging portions of their wealth to charitable foundations, but they are also deeply involved in issues that affect the global community, such as climate change, educational inequality, and systemic poverty.

They’re attending global summits, partnering with NGOs, and creating their own charitable initiatives to address issues they’re passionate about. Whether motivated by genuine altruism or a savvy public relations strategy, this shift towards philanthropy is a promising sign, indicating a more conscientious generation of billionaires to come.

The Complexity of Privilege

Navigating the nuanced realities of extreme wealth, especially as a young heir or heiress, is a monumental task that extends far beyond managing a financial portfolio. The challenges are multifaceted, affecting not just their material lives but also their emotional and psychological well-being. They bear the weight of generational expectations and immense responsibility, live secluded lives devoid of true personal freedom, and yet many are rising to the occasion, striving to convert their inherited wealth into meaningful change. While society often paints them with a broad brush of privilege, taking the time to understand their complexities allows us to see them as more than just their bank accounts. They’re human beings, molded by a set of incredibly unique and challenging circumstances, navigating a world that most of us will never fully understand.