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Qui est Giresse Justin Tella, le Béninois qui va déployer les visas biométriques et le projet d’e-Visa au Cameroun ?

[Digital Business Africa ] – C’est en principe à la fin de ce mois de juillet 2022 qu’est prévu l’effectivité de la délivrance des visas biométriques dans les missions diplomatiques, dans les postes consulaires, dans les aéroports internationaux et aux frontières aériennes, terrestres et maritimes du Cameroun.

Le ministère des Relations extérieures du Cameroun a reçu de la société Impact Palmarès R&D SAS le matériel en vue de la réalisation, de la sécurisation et de l’uniformisation des prestations consulaires du Cameroun. C’était le 27 juin 2022 au MINREX en présence de Ntaribo Ashu, Ministre Plénipotentiaire, directeur du Protocole et des Affaires consulaires du Minrex, représentant le ministre et de Giresse Tella, PDG de la société Impact Palmarès R&D SAS.

Plus simplement, il s’agit du matériel pour la délivrance des visas biométriques, mais également pour la mise en place d’un système d’e-Visa. Entendez, visa électronique. Ce qui veut dire possibilité pour les voyageurs désirant  visiter le Cameroun de faire leur demande d’obtention du visa non plus dans les ambassades et représentations consulaires du Cameroun à l’étranger, mais plutôt en ligne.

Qui est Giresse Justin Tella, le Béninois qui va déployer les visas biométriques et le projet d’e-Visa au Cameroun ?

Le PDG de la société Impact Palmarès R&D SAS, le Béninois Giresse Justin Tella, professionnel de la sécurisation et de sureté de documents administratifs, a également présenté ce jour-là le nouveau système de prestations consulaires. Le MINREX dira alors que la construction des infrastructures de délivrance des visas biométriques est achevée dans les aéroports internationaux de Yaoundé et Douala.Qui est Giresse Justin Tella, le Béninois qui va déployer les visas biométriques et le projet d’e-Visa au Cameroun ?

Le prestataire engagé dans un contrat de 10 ans avec l’Etat camerounais mettra également en place un portail en ligne consacré à la demande, au traitement et à la délivrance de visas électroniques. Aussi, des équipements biométriques de dernière génération seront installés dans les missions diplomatiques et les postes consulaires du Cameroun pour l’impression des visas biométriques sur vignettes sécurisées.

L’on apprend du Minrex que tout le matériel adéquat pour le nouveau système de prestations consulaires sécurisées dans les missions diplomatiques, postes consulaires et aéroports internationaux du Cameroun est en cours de déploiement pour permettre son opérationnalisation avant la fin du mois de juillet 2022.

Pas seulement les visas biométriques…

Au-delà des visas biométriques sur vignettes sécurisées qui seront délivrés, il est également prévu la délivrance par les mêmes procédés des cartes consulaires, des laissez-passer, des laissez-passer mortuaires et bien d’autres documents solennels infalsifiables. Cela tant au ministère des Relations extérieurs que dans les missions diplomatiques, les postes consulaires et les postes de police aux frontières aériennes, terrestres et maritimes.Qui est Giresse Justin Tella, le Béninois qui va déployer les visas biométriques et le projet d’e-Visa au Cameroun ?

Le système proposé par Impact Palmarès R&D SAS est déjà expérimenté à l’ambassade du Cameroun en Côte d’Ivoire depuis septembre 2020, pour ce qui concerne la délivrance des visas biométriques. La solution de cette entreprise ivoirienne viendra optimiser et parfaire le système Diplomat développé par la Cellule des Nouvelles technologies et de la Cryptographie du Minrex, tant au plan sécuritaire qu’au plan de la centralisation des données, explique le Minrex.

L’on apprend toujours du Minrex que le projet intègre la construction d’un Data Center à Yaoundé pour le stockage et la sécurisation des données et le déploiement d’équipements de pointe appropriés aussi bien dans les ambassades et consulats qu’aux divers points d’entrée du Cameroun.

Un contrat « sur hautes instructions du Chef de l’Etat »

D’après le Minrex, ce déploiement intervient à la suite de la signature le 1er avril 2022, du contrat de partenariat entre la République du Cameroun et la Société Impact Palmarès R&D SAS, relatif au financement, à la conception et à la réalisation de la sécurisation et l’uniformisation des prestations consulaires du Cameroun.

C’est le ministre des Relations extérieures du Cameroun, Lejeune Mbella Mbella, qui, sur instructions du chef de l’Etat Paul Biya, avait signé ce contrat pour le compte du Cameroun avec la société Impact Palmarès R&D SAS représentée par son PDG, Giresse Tella.Qui est Giresse Justin Tella, le Béninois qui va déployer les visas biométriques et le projet d’e-Visa au Cameroun ?

S’exprimant à cette occasion, le ministre Mbella Mbella avait indiqué que c’est le chef de l’Etat, le président Paul Biya, qui avait instruit la signature de cet accord. Il avait par ailleurs indiqué qu’avec ce système, il sera possible d’obtenir des visas en ligne (e-visa) et que ce visa d’entrée au Cameroun coûtera 100.000 F.CFA pour une durée de six mois. Le contrat a une durée de dix ans est renouvelable, apprend-on.

Lejeune Mbella Mbella avait également affirmé que le président de la République avait aussi prescrit la nécessité d’offrir aux Camerounais résidant à l’étranger un levier supplémentaire pour leur protection dans les pays d’accueil en leur délivrant des cartes consulaires biométriques.

Qui est Giresse J. Tella ?

Qui est Giresse Justin Tella, le Béninois qui va déployer les visas biométriques et le projet d’e-Visa au Cameroun ?Expert en sécurisation et en sureté de documents administratifs, Son Excellence Giresse Justin TELLA est le Consul honoraire de la République de la Hongrie en Côte d’Ivoire. Ce Béninois basé à Abidjan en Côte d’Ivoire depuis plusieurs années est le PDG de la société Impact Palmarès R&D SAS qui s’est établie à Abidjan en 2019 d’abord comme une Sarl et qui par la suite est devenue une SAS depuis 2021.

Une entreprise en Société par Actions Simplifiée dont le siège est à Abidjan Cocody Riviera GOLF, Rue du Lycée Hôtelier avec un capital de 500.000.000 de Francs CFA (16.000 parts sociales d’une valeur nominale de 25.000 Francs CFA).

Le 02 août 2021, aux termes des délibérations de l’AG mixte de la société qui prenait acte de l’augmentation du capital de la société (passant de 100 millions à 500 millions de francs Cfa), Giresse Justin TELLA a été nommé PDG  et Sêdé Alida Inès Gwladys GNIGLA épouse TELLA a été nommée DG.

Impact Palmarès R&D SAS est une entreprise spécialisée dans les activités de sécurisation, d’identification, d’enregistrement et d’analyse des données et informations dans la cadre de la sûreté et de la sécurité intérieure des Etats.

Elle se charge notamment de la sécurisation, de l’identification, de l’enregistrement et de l’analyse des données et informations dans la cadre de la sûreté des Etats. Elle est également active dans la sécurité et la sûreté intérieure des Etats ; la recherche et le développement ; la protection de l’information et la protection et l’authentification des signatures.

La société Impact Palmarès R&D SAS est également active dans l’acquisition, la location et la vente de tous biens meubles et immeubles, la prise en location-gérance de tout fonds de commerce ou encore la prise de participation dans des sociétés.Qui est Giresse Justin Tella, le Béninois qui va déployer les visas biométriques et le projet d’e-Visa au Cameroun ?

Palmarès Technologies (R&D) SA au Bénin

Impact Palmarès R&D elle-même est une succursale de la société anonyme de droit béninois dénommée Palmarès Technologies Recherches & Développements en abrégé Palmarès Technologies (R&D) SA. Une société spécialisée dans la sécurité informatique, la sûreté, la défense, la recherche et le développement de logiciels.

En 2015, cette société toujours dirigée par Giresse Justin TELLA s’était vue attribué par le ministère ivoirien de la Justice, des Droits de l’homme et des Libertés publiques le marché de la confection des imprimés des actes de justice sécurisés (certificat de nationalité, casier judiciaire…).

Utilisant des équipements américains, Palmarès Technologies (R&D) SA devait produire annuellement au moins un million d’imprimés. Ce contrat était financé par l’Usaid, l’agence américaine de développement. Avant cette attribution, indique les médias spécialisés, le marché des imprimés des actes de justice revenait à l’imprimerie de la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA).

M. le Consul honoraire

L’année 2018 marque une autre étape dans le parcours professionnel de Giresse Tella. Le 25 mai 2018, dans le cadre de la mise en œuvre de sa nouvelle stratégie dénommée « Ouverture au Sud » dont l’objectif est de diversifier ses relations économiques par le biais de liens politiques plus proches et l’accroissement des échanges commerciaux avec les économies émergentes en Afrique, la Hongrie ouvre à Abidjan un Consulat honoraire. Et Giresse Tella est désigné Consul honoraire.

« Avec l’ouverture de ce Consulat honoraire, la Hongrie entend explorer et approfondir ses liens diplomatiques avec la Côte d’Ivoire », avait expliqué l’ambassadeur de la Hongrie en Côte d’Ivoire avec résidence à Accra au Ghana, Andras SZABO. Giresse Tella œuvre donc depuis lors à la promotion des relations amicales et des relations économiques et commerciales entre Côte d’Ivoire et la Hongrie.

Giresse Tella est également le promoteur de l’entreprise LES MYRIADES au Bénin. Au Cameroun avec Impact Palmarès R&D SAS, ils sont nombreux qui attendent de voir la concrétisation de ses engagements contractuels.

Par Beaugas Orain DJOYUM, DG de ICT Media STRATEGIES

Valentin Mbozo’o au sujet du Sango de la RCA : « C’est très tôt d’avoir la cryptomonnaie comme monnaie pour un État » [Vidéo]

[Digital Business Africa] –  Le directeur général du Groupement interbancaire monétique de l’Afrique centrale (GIMAC), Valentin Mbozo’o, s’est exprimé au sujet du débat en cours sur l’adoption par la République centrafricaine de la cryptomonnaie comme monnaie nationale. La cryptomonnaie Sango a en effet été officiellement lancée ce 03 juillet 2022 par le président centrafricain Faustin-Archange Touadéra.

Le sujet n’a pas manqué d’intéresser les panélistes de la 13ème édition de l’Africa Banking Forum organisée du 07 au 08 juillet 2022 à Douala par i-conférences (rebaptisé One Africa) sous le thème général : « Quelles ambitions pour une banque catalyseur de la reprise ? »

Le Gimac, partenaire institutionnel de l’Africa Banking Forum 2022, à travers son DG, a soutenu que le  débat sur la cryptomonnaie en Afrique doit se faire. Il pense d’ailleurs que l’Afrique ne doit plus prendre du retard pour réfléchir. Mais, « sur la faisabilité technique de la cryptomonnaie, il est encore très tôt de l’avoir comme monnaie d’un Etat. Oui pour la recherche et la réflexion. Ne prenons plus du retard dans la réflexion. Mais, attention de mettre la charrue avant les bœufs ! », a-t-il déclaré ce 08 juillet en guise de conclusion d’un panel de l’ABF 2022.

Valentin Mbozo’o a également donné son avis à la question « Quelle digitalisation pour les banques ? ». Pour lui, la banque africaine aujourd’hui, en optant pour la digitalisation, doit choisir d’être digeste, légère et ne pas s’aventurer dans des investissements lourds au risque tout changer si l’appropriation n’est pas parfaite. « La banque ne doit pas être frileuse. Il faut connaître les us et coutumes des Africains et proposer des solutions adaptées. Nous aimons le cash en Afrique. Comment casser cette dynamique du cash ? Comment faire en sorte que les gens aient accès aux actifs électroniques du cash ? » Des questions qui, selon Valentin Mbozo’o, doivent trouver des réponses avant de se lancer dans la digitalisation.

Plus encore, le DG du Gimac affirme qu’en plus de la digitalisation, les banques doivent créer des synergies et tendre vers des convergences en explorant de nouvelles possibilités de services comme les transferts d’argent ou encore la bancassurance.

Digital Business Africa vous propose de revoir les explications Valentin Mbozo’o :

Le GIMAC

Le Groupement Interbancaire Monétique de l’Afrique Centrale (GIMAC) est un GIE dont les membres d’office sont la Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC), les trésors publics nationaux et les établissements de crédit de la zone CEMAC. Les établissements financiers postaux, les établissements de micro finance et les établissements de paiement, les sociétés de transfert d’argent peuvent y adhérer à la demande. Sont également participants dans l’écosystème GIMACPAY, les opérateurs mobiles et les agrégateurs (fournisseurs de services à valeur ajoutée).

Par Digital Business Africa

Lire aussi :

La Bange Bank, première banque en Afrique centrale à commercialiser la carte bancaire Gimac extensible à UnionPay [Vidéo]

La Bange Bank, première banque en Afrique centrale à commercialiser la carte bancaire Gimac extensible à UnionPay [Vidéo]

Lu sur Digital Business Africa.

La Bange Bank, première banque en Afrique centrale à commercialiser la carte bancaire Gimac extensible à UnionPay [Vidéo]

[Digital Business Africa] – La Banco Nacional de Guinea Ecuatorial (Bange Bank) a participé à la 13ème édition de l’Africa Banking Forum organisée du 07 au 08 juillet 2022 à Douala par i-conférences (rebaptisé One Africa) sous le thème général : « Quelles ambitions pour une banque catalyseur de la reprise ? »

La banque de Guinée équatoriale qui dispose d’une filiale au Cameroun (Bange Bank Cameroon) a présenté aux participants sa nouvelle carte bancaire Gimac extensible UnionPay. Il s’agit de la première banque en Afrique centrale à mettre sur le marché ce type de carte bancaire extensible UnionPay.

La présentation a été faite le 07 juillet lors du panel Innovation en présence du directeur général de BANGE Bank Cameroon, Emilio Moyo Avoro, représentant du PDG du groupe BANGE, Manuel Osa Nsue Nsua, et du DG du Gimac, Valentin Mbozo’o.

Au cours de ce panel, le représentant équato-guinéen de l’institution bancaire au Cameroun a souligné l’importance de l’utilisation des cartes bancaires en zone Cémac et à l’international pour les transactions bancaires et les paiements électroniques, soulignant ainsi l’importance de l’innovation, de la numérisation et des nouvelles technologies dans le secteur bancaire africain.

Blaise Mbarga, Chef section monétique, Responsable du réseau et de la sécurité informatiques et responsable de la technologie ATM à la Banco Nacional de Guinea Ecuatorial (Bange Bank), présente à Digital Business Africa les avantages et spécificités de cette nouvelle carte Bange Bank Gimac extensible UnionPay qui permet d’avoir accès aux GAB du monde entier :

Une carte mise en circulation avec l’apport du Groupement Interbancaire Monétique de l’Afrique Centrale (GIMAC) qui est certifié UnionPay. En rappel, toutes les banques hébergées au Gimac acceptent dans leurs GAB les paiements effectués par les cartes UnionPay. Il s’agit, selon Valentin Mbozo’o, DG du Gimac, des 09 milliards de cartes qui sont à l’étranger qui peuvent désormais effectuer sans soucis les retraits en zone CEMAC. Le DG du Gimac précise également que la Bange Bank est la première banque de l’Afrique centrale à commercialiser une carte bancaire Gimac extensible UnionPay. UnionPay étant l’un des premiers réseaux de cartes bancaires en Asie.

Lire aussi : Valentin Mbozo’o : « A présent, avec la carte Gimac extensible à UnionPay, plus besoin pour les voyageurs de la Cémac d’avoir deux cartes bancaires »

Par Digital Business Africa

La Bange Bank, première banque en Afrique centrale à commercialiser la carte bancaire Gimac extensible à UnionPay [Vidéo]

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Charles Ngueuga : « Avec Olympic Banking System, une banque est armée pour faire face aux défis de la digitalisation » [Vidéo]

[Digital Business Africa] – Les établissements bancaires et les établissements de micro-finance sont en permanence sous la menace des attaques cybercriminelles. Pour s’en prémunir, il est indispensable pour ces établissements qui gèrent les épargnes de millions de clients de posséder les meilleurs systèmes d’information.

C’est ce que propose OLYMPIC Banking System du groupe suisse ERI.  Il était présent à l’édition 2022 de l’Africa Banking Forum qui s’est tenue à Douala du 07 au 08 juillet 2022. Charles Ngueuga, Head of Business development – Africa d’OLYMPIC Banking System chez Eri, a expliqué à Digital Business Africa les avantages de la solution OLYMPIC Banking System pour les établissements bancaires et établissements de micro-finance.

Charles Ngueuga [OLYMPIC Banking System] : « Mettre notre expérience au service de la digitalisation de la banque africaine » [Vidéo]

Nous avons une solution qui peut répondre aux exigences de ce marché et accompagner les clients sur le chemin de la digitalisationL’ambition d’OLYMPIC Banking System c’est de devenir le leader sur le marché africain. D’autres marchés ont prouvé que nous savons nous faire adopter rapidement. A moyen et à court terme c’est d’imposer rapidement une nouvelle philosophie quand il s’agit des systèmes d’information et la gestion des infrastructures pour les banques et les microfinances Charles Ngueuga

Le groupe suisse ERI a en effet développé la solution OLYMPIC Banking System qui est un système intégré d’information bancaire qui couvre « toutes les activités de la banque front to back en temps réel, avec une architecture orientée entièrement vers l’utilisateur. Ce qui permet à la banque d’offrir une meilleure expérience client, mais aussi et surtout de mieux protéger son revenu, avec le meilleur retour sur investissement sur le marché ».

La solution logicielle OLYMPIC Banking System bénéficie par ailleurs des dernières mises à jour et évolutions dans le secteur. Ce qui la rend le moins vulnérable possible en cas d’attaques, mais aussi permet un record de 100% de réussite de projet.

Voir l’interview vidéo intégrale de Charles Ngueuga pour plus détails

Ecrit par Digital Business Africa

Elon Musk renonce à racheter Twitter, indignée l’entreprise annonce des poursuites judiciaires

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[DIGITAL Business Africa] – Il y avait de l’eau dans le gaz, depuis mai 2022. Date à laquelle le milliardaire Elon Musk avait déjà exprimé sa volonté de ne plus racheter Twitter. Principale raison : informations « fausses et trompeuses» sur l’entreprise.

En réalité il s’agit du refus par l’entreprise de livrer des informations exactes sur le nombre  de faux comptes existant. Elon Musk, patron de Tesla et SpaceX,  a finalement annoncé ce 08 juillet 2022 qu’il mettait fin à l’accord passé avec le Conseil d’Administration pour racheter le réseau social.

Dans la foulée, le président de Twitter a aussitôt affirmé que l’entreprise allait engager une action en justice pour «faire respecter l’accord» de rachat. Bret Taylor, président  de Twitter  a assuré que «Le conseil d’administration de Twitter est déterminé à conclure la transaction au prix et aux termes convenus avec M. Musk».

Le collège d’avocats d’Elon Musk évoque aussi « les licenciements récents d’employés de Twitter et le gel des recrutements ». Un motif de plus qui dispenserait Elon Musk de payer l’amende prévue, selon l’analyste pour l’AFP, Carolina Milanesi.

L’accord de rachat par Twitter avait  été signé le 27 avril 2022.  44 milliards de dollars c’est  le montant conclu entre les deux parties. Depuis, le titre de Twitter aurait perdu plus d’un quart de sa valeur. L’action de Tesla a aussi dégringolé de près de 25% sur cette période, rapporte le site lefigaro.fr.

Par Jean Materne Zambo 

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DIGITAL Business Africa est la plateforme d’infos stratégiques sur le secteur des TIC, des Télécoms et du Numérique en Afrique. Son Directeur de publication est Beaugas Orain DJOYUM , journaliste et consultant en e-Réputation, en communication digitale et en veille stratégique. Pour le contact : [email protected]. Téléphone : +237 243 25 64 36

Elon Musk renonce à racheter Twitter, indignée l’entreprise annonce des poursuites judiciaires – https://www.digitalbusiness.africa/elon-musk-renonce-a-racheter-twitter-indignee-lentreprise-annonce-des-poursuites-judiciaires/ via @DigitalBusiness #DigitalBusinessAfrica

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Valentin Mbozo’o : « A présent, avec la carte Gimac extensible à UnionPay, plus besoin pour les voyageurs de la Cémac d’avoir deux cartes bancaires »

[Digital Business Africa] – En tant que partenaire technique, le Groupement interbancaire monétique de l’Afrique centrale (GIMAC) a participé à l’édition 2022 de l’Africa banking Forum organisée du 07 au 08 juillet 2022 à Douala par i-conférences, rebaptisé One Africa. Ici, le Gimac a principalement présenté aux participants sa nouvelle carte bancaire Gimac extensible UnionPay. Valentin Mbozo’o, le DG du GIMAC, présente à Digital Business Africa les avantages et spécificités de cette nouvelle carte.

Digital Business Africa : Le Gimac vient de présenter ici à l’Africa Banking Forum sa nouvelle carte Gimac lancée en collaboration avec UnionPay. Quels sont les avantages de cette nouvelle carte Gimac UnionPay ?

Valentin Mbozo’o : Le Gimac vient effectivement de mettre une nouvelle pépite sur le marché :  la carte Gimac UnionPay International. UnionPay International est le plus grand réseau de cartes bancaires au monde avec 53% en volumétrie du nombre de cartes bancaires et couvre le monde entier. Autant que les autres émetteurs que sont Visa et MasterCard.

UnionPay a des avantages en termes de facturation et de coûts de commissions. C’est un réseau qui offre les mêmes services que les autres cartes Visa et Mastercard. Un réseau permet de faire trois choses :  retirer de l’argent dans les GAB à travers le monde, payer sur les terminaux de paiement électroniques et payer en ligne sur Internet.

Jusqu’à ce jour, la carte Gimac n’était opérationnelle que dans l’espace CEMAC. Il nous était impératif d’étendre la carte Gimac à l’international pour ceux des 6% des populations de la zone Cémac qui voyagent au-delà des frontières de la Cémac et de l’Afrique. Depuis le lancement ce O7 juillet 2022 de la carte Gimac extensible à UnionPay, un citoyen de la CEMAC qui voyage au-delà de la CEMAC peut effectuer des transactions dans tous les GAB du monde, parce que UnionPay est dans tous les pays du monde.

Avant, les voyageurs étaient obligés d’avoir deux cartes bancaires. L’une Gimac et l’autre internationale. A présent, avec la Carte Gimac extensible à UnionPay, plus besoin pour les voyageurs d’avoir deux cartes.

Digital Business Africa : Est-ce que les détenteurs actuels des cartes Gimac peuvent déjà effectuer ces paiements à l’international ou alors il faudrait se rendre dans sa banque pour acquérir une nouvelle carte Gimac ?

Valentin Mbozo’o : Non. Pour utiliser la Gimac extensible à UnionPay vous devez payer un coût supplémentaire auprès de votre banque et changer votre carte bancaire actuelle. Toutes cartes Gimac ne sont pas extensibles à UnionPay. Ce sont des cartes au besoin.

Digital Business Africa : Comment donc obtenir cette carte Gimac extensible à UnionPay ?

Valentin Mbozo’o : Il faut simplement se rendre auprès de sa banque ou auprès de sa microfinance. Pour l’instant, nous avons commencé avec Bange Bank Guinée équatoriale. Je profite pour dire que depuis 2020, Gimac est certifié UnionPay. Toutes les banques hébergées au Gimac acceptent dans leurs GAB les paiements effectués par les cartes UnionPay. Il s’agit des 09 milliards de cartes qui sont à l’étranger qui peuvent effectuer sans soucis les retraits en zone CEMAC.

Digital Business Africa : Quels sont aujourd’hui les chiffres qui font le GIMAC ?

Valentin Mbozo’o : Nous avons aujourd’hui environ 80 participants. Les 54 banques, une dizaine d’établissements de microfinance, une dizaine d’opérateurs mobiles. Tous les opérateurs mobiles de la Zone Cémac sont membres du Gimac à l’exception de Telecel de la RCA, en cours d’intégration.

Concernant les montants cumulés mensuels, nous sommes entre 15 et 20 milliards de francs CFA. Pour les commissions, ce sont des informations propres au GIMAC. Le Gimac c’est également 2 000 GAB dans la sous-région. Avec l’extension UnionPay, ce sera les 2 000 GAB de la zone Cémac plus l’ensemble des GAB du monde entier. Je rappelle que UnionPay est le premier réseau en Asie et le premier au monde en termes de GAB. Il y a 2500 TPE disponibles.

Le chiffre le plus impressionnant et le plus époustouflant du Gimac à ce jour c’est le nombre de wallets. Le Gimac aujourd’hui c’est plus de 30 millions de wallets, de portes-monnaies mobile banking, mobile money et évidemment de transfert d’argent.

Ce que le Gimac a fait est une grande première mondiale, la convergence des paiements entre les cartes bancaires, les transferts et les paiements mobiles. Nous sommes avant-gardistes. Quelqu’un en France peut vous effectuer un transfert d’argent via sa banque et vous le recevez dans votre compte de paiement mobile sur votre téléphone portable.

Digital Business Africa : Pourquoi le Gimac est présent ici à l’Africa Banking Forum 2022 en tant que partenaire de l’événement ?

Valentin Mbozo’o : J’ai toujours été dans tout ce qui fait avancer l’Afrique, la CEMAC et le Cameroun. Je suis un Africain. Je crois que ce ne sont pas les gens venus d’ailleurs qui construiront l’Afrique. C’est à nous de construire l’Afrique.

Il y a 15 ans, nous avons participé à l’Africa Banking Forum au Maroc. Il y a 04 ans, le GIMAC a convaincu i-conférences, aujourd’hui One Africa, de venir tenir une édition de l’Africa Banking Forum au Cameroun. Avant, cela se tenait à Abidjan et à Dakar. D’un coup d’essai, cela a été un coup de maître. Et ils ne sont plus repartis. C’est la quatrième édition consécutive qu’ils organisent au Cameroun.

C’est le lieu de remercier les autorités de notre pays en particulier le Chef de l’État qui a permis que Douala soit une forte place financière, le hub financier de l’Afrique centrale. Ils sont unanimes à déclarer que l’écho de l’Africa Banking Forum à Douala est formidable.

Propos recueillis par Digital Business Africa

Orange Cameroun lance la « Journée Tous Orange Money » pour sensibiliser les abonnés sur les avantages d’Orange Money

[Digital Business Africa] – Juste trois jours après la notification de son agrément d’établissement de paiement au Cameroun le O5 juillet 2022 par le ministère des Finances, Orange Money Cameroun S.A  est sur le terrain. Sur l’étendue du territoire national, Orange Cameroun a lancé ce 08 juillet 2022 la première édition de la « Journée Tous Orange Money »

D’après Patrick Benon, le DG d’Orange Cameroun, il s’agit pour tout le staff d’Orange Cameroun d’entrer en contact avec les populations camerounaises pour leur expliquer les avantages et bénéfices du service de paiement Orange Money accessible au #150#.

A Douala, la capitale économique, le top management d’Orange Cameroun ainsi que l’ensemble des équipes se sont déportés sur le terrain pour discuter avec les abonnés. Des caravanes d’explications et de sensibilisation constituées de plusieurs véhicules ont ainsi silloné les rues de Douala et principalement le quartier Akwa au plaisir des abonnés qui apprenaient plus sur les options de paiement d’Orange Money.

Aussi, les clients et potentiels clients d’Orange Cameroun ont été édifiés sur les avantages de l’application Orange Money Afrique.

Selon Yves Kom, le directeur marketing d’Orange Cameroun, la « Journée Tous Orange Money » était l’occasion de « démocratiser l’expérience de l’application Orange Money Afrique qui favorise l’inclusion financière digitale ».

Tous #OrangeMoney, une journée pour se rapprocher de nos clients à travers les 10 régions du pays.
C’était l’occasion de démocratiser l’expérience de l’application Orange Money Afrique qui favorise l’inclusion financière digitale. pic.twitter.com/84VcHyb2i5

— Kom Yves Huster (@KomHuster) July 8, 2022

D’après les explications du staff d’Orange Cameroun, les services d’OM sont accessibles en composant le #150#. Les abonnés d’Orange peuvent déposer, transférer et retirer de l’argent, acheter du crédit, payer les factures, les impôts, les produits et services, recevoir les salaires, transférer de l’argent entre votre compte bancaire et votre Orange Money ou encore payer les assurances.

Les avantages d’Orange Money sont uniques, explique Orange Cameroun. Parmi ces avantages :

  • La sécurité : « vos transactions avec Orange Money sont sécurisées grâce à un code confidentiel que vous créez vous-même après l’ouverture de votre porte-monnaie électronique, et que vous devrez renseigner à chaque opération. Ce code confidentiel sécurise votre argent contre toute fraude en cas de perte ou de vol de votre téléphone. »
  • La rapidité : « Orange Money est un service qui s’effectue en temps réel. Gagnez un temps précieux en payant vos factures et en effectuant vos transactions à partir de votre téléphone. Fini les files d’attentes et les pertes de temps devant les guichets. »Orange Cameroun lance la « Journée Tous Orange Money » pour sensibiliser les abonnés sur les avantages d'Orange Money
  • La simplicité : « Un simple code à composer, #150#, et laissez-vous guider par votre téléphone mobile. Le service est compatible avec tous les mobiles. »
  • L’économie : « Avec Orange Money, le service ne génère aucun frais de gestion de porte-monnaie électronique et il n’y a pas d’obligation de solde minimum. Enfin, les transactions avec Orange Money vous assurent des tarifs très compétitifs. »

Premier établissement de paiement au Cameroun

En rappel, Orange Money Cameroun SA, filiale d’Orange Cameroun dédiée aux services financiers mobiles, est désormais établissement de paiement au Cameroun. La décision qui lui confère ce statut est l’arrêté N°00000373/MINFI du 05 mai 2022. Selon l’opérateur, à travers cet agrément, « Orange Money Cameroun SA devient (ainsi) le tout premier établissement de paiement au Cameroun ».

Orange Money Cameroun SA, explique l’opérateur, est désormais officiellement habilitée à fournir, de façon autonome, des services de paiement tels que les dépôts, transferts et retraits d’argent, les achats de crédits et forfaits téléphoniques, les paiements de factures, salaires, impôts et taxes, les collectes et remontées de fonds et la réception de transferts d’argent internationaux.

Pour Patrick Benon, le DG d’Orange Cameroun, l’agrément d’Orange Money Cameroun SA représente « un jalon majeur pour l’inclusion financière du pays. Un nouveau statut et le même engagement : les services Orange Money demeurent disponibles dans les canaux habituels« .

Dans son communiqué officiel, Orange Cameroun précise que Orange Money aujourd’hui c’est près de 10 millions de comptes ouverts, plus de 100 000 partenaires commerciaux et environ 200 000 emplois directs et indirects créés.

Orange Money Cameroun S.A. devient le premier Etablissement de Paiement du Cameroun. https://t.co/9uTeL38MBr pic.twitter.com/2iHTikt9up

— Orange Cameroun (@Orange_Cameroun) July 7, 2022

En rappel, dotée d’un capital social de 1,2 milliard de F.Cfa, Orange Money Cameroun SA a été créée en 2019 pour s’arrimer au règlement n° 04/18/Cemac/Umac/Cobac relatif au services de paiements en zone Cémac. Son DG est la Camerounaise Anne Catherine Tchokonté Tholagheu. Elle est assistée de Serge Hervé Eyiké, DGA. En photo ci-dessous en compagnie du DG d’Orange Cameroun, Patrick Benon.

Patrick Benon :

Le service Orange Money est aujourd’hui disponible dans 17 pays en Afrique et au Moyen-Orient et compte plus de 40 millions de clients. Au Cameroun, OM avait été lancé en septembre 2011 en partenariat avec la BICEC.

Par Digital Business Africa

Orange Cameroun engagé à former la future génération des footballeurs camerounais avec le renouvellement de son partenariat avec l’Anafoot

[Digital Business Africa] – L’opérateur de télécommunications Orange Cameroun et  l’Académie Nationale de Football (ANAFOOT) ont procédé au renouvellement de leur partenariat ce mercredi 06 juillet 2022 à Yaoundé en vue de soutenir le football camerounais. Ce partenariat intègre désormais la possibilité pour Orange Cameroun d’octroyer plus de bourses scolaires aux jeunes de l’ANAFOOT.

Pour Patrick BENON, directeur général d’Orange Cameroun, l’opérateur télécoms choisi ainsi d’investir dans les futures générations de footballeurs « en soutenant leur formation sportive et intellectuelle et en faisant d’eux des promoteurs de la protection de l’environnement ».

https://www.digitalbusiness.africa/

Pour sa part, Yves Kom, le directeur marketing d’Orange Cameroun, indique que « dans le cadre de la mise en œuvre de ses différents plans d’action en faveur du football, Orange Cameroun a commencé depuis 2021 une collaboration avec l’ANAFOOT. A travers une approche participative, Orange Sponsors Change donne à tous les supporters et jeunes joueurs l’opportunité de vivre leur passion pour le football tout en ayant un impact positif sur l’environnement ». https://www.digitalbusiness.africa/

Directeur Marketing et Communication d’Orange Cameroun

[Signature de convention Orange Cameroun & ANAFOOT]

Nous avons le plaisir de signer le renouvellement de ce partenariat en intégrant un renforcement qui permettra d’offrir encore plus de bourses scolaires aux jeunes de L’ANAFOOT.

Patrick BENON, Directeur Général Orange Cameroun pic.twitter.com/Dg6K6P7DEy

— Orange Cameroun (@Orange_Cameroun) July 6, 2022

La cérémonie de renouvellement de ce partenariat s’est tenue en présence de Carl Enow Ngachu, le DG de l’Anafoot, qui n’a pas manqué de remercier Orange Cameroun, du PCA  de l’Anafoot, ISSA Hayatou, qui a salué l’initiative ainsi que de nombreux jeunes bénéficiaires des bourses de l’Anafoot.

Orange Cameroun engagé à former la future génération des footballeurs camerounais avec le renouvellement de son partenariat avec l'Anafoot

Par Digital Business Africa

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Digital Business Africa

Digital Business Africa est le site web de référence sur les infos stratégiques du secteur des TIC, des Télécoms et du Numérique en Afrique. Il est animé par une équipe de journalistes et d’experts passionnés de ces thématiques. Son Directeur de publication est Beaugas Orain DJOYUM , journaliste et consultant en e-Réputation, en communication digitale et en veille stratégique. Pour contacter Digital Business Africa : [email protected] Téléphone: +237 243 25 64 36

L’intégralité de cet article écrit et publié en premier sur Digital Business Africa

Patrick Benon : « Orange Money Cameroun S.A. devient le premier Etablissement de paiement du Cameroun. C’est un jalon majeur pour l’inclusion financière du pays »

[Digital Business Africa] – L’opérateur Orange Cameroun a reçu le O5 juillet 2022 du ministère des Finances son agrément d’établissement de paiement au Cameroun à travers sa filiale dédiée aux transactions financières Orange Money Cameroun S.A. La décision qui lui confère ce statut est l’arrêté N°00000373/MINFI du 05 mai 2022. Selon l’opérateur, à travers cet agrément, premier du genre au Cameroun, « Orange Money Cameroun SA devient (ainsi) le tout premier établissement de paiement au Cameroun ».

Orange Cameroun précise dans son communiqué que « Orange Money Cameroun SA est désormais habilitée à fournir, de façon autonome, des services de paiement tels que les dépôts, transferts et retraits d’argent, les achats de crédits et forfaits téléphoniques, les paiements de factures, salaires, impôts et taxes, les collectes et remontées de fonds et la réception de transferts d’argent internationaux… ».

Pour sa part, Patrick Benon, le DG d’Orange Cameroun, a déclaré sur Twitter qu’ Orange Money Cameroun SA devient ainsi le tout premier établissement de paiement au Cameroun  et que cela représente « un jalon majeur pour l’inclusion financière du pays. Un nouveau statut et le même engagement : les services Orange Money demeurent disponibles dans les canaux habituels« .

Dans son communiqué officiel, Orange Cameroun précise que Orange Money aujourd’hui c’est près de 10 millions de comptes ouverts, plus de 100 000 partenaires commerciaux et environ 200 000 emplois directs et indirects créés.

Orange Money Cameroun S.A. devient le premier Etablissement de Paiement du Cameroun. https://t.co/9uTeL38MBr pic.twitter.com/2iHTikt9up

— Orange Cameroun (@Orange_Cameroun) July 7, 2022

En rappel, dotée d’un capital social de 1,2 milliard de F.Cfa, Orange Money Cameroun SA a été créée en 2019 pour s’arrimer au règlement n° 04/18/Cemac/Umac/Cobac relatif au services de paiements en zone Cémac. Son DG est la Camerounaise Anne Catherine Tchokonté Tholagheu. Elle est assistée de Serge Hervé Eyiké, DGA.

Le service Orange Money est aujourd’hui disponible dans 17 pays en Afrique et au Moyen-Orient et compte plus de 40 millions de clients. Au Cameroun, OM avait été lancé en septembre 2011 en partenariat avec la BICEC.

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Pr Nadine MACHIKOU NGAMENI : « On ne peut pas digitaliser les capitales alors que les territoires ne le sont pas!» [Live streaming By ICT Media]

[ICT Media STRATEGIES] – C’était en LIVE. La vice-Recteur de l’Université de Yaoundé II – SOA, le Pr Nadine MACHIKOU NGAMENI, pense que le gouvernement doit énormément travailler à réenchanter les Camerounais. La digitalisation peut être une piste. « Mais, jusqu’où peut aller la digitalisation ? », s’interroge-t-elle.

D’où son invitation à une réelle réduction de la fracture numérique géographique en dotant les zones rurales des mêmes capacités et infrastructures numériques que dans les villes. Pour elle, la digitalisation doit permettre de “reconnecter les territoires”.

Le Pr Nadine MACHIKOU NGAMENI était en effet panéliste à la première conférence du MINFOPRA au SAGO le 23 juin 2022 sur le thème : « Le rôle de la quatrième révolution industrielle dans la réorganisation de la prestation de service et de la relance pendant et après une pandémie ».

Voir les précisions du Pr Nadine MACHIKOU NGAMENI dans cette vidéo

Pr Nadine MACHIKOU NGAMENI : « On ne peut pas digitaliser les capitales alors que les territoires ne le sont pas!» [Live streaming By ICT Media]La 11e édition du Salon de l’action gouvernementale (Sago) s’est tenue du 22 juin 2022 au 01 juillet 2022 au Palais polyvalent des sports de Yaoundé sur le thème général : « Modernisation de l’administration publique camerounaise comme levier majeur d’atteinte des objectifs de la SND 30 ».

Voir l’intégralité du Live et des explications du Pr Nadine MACHIKOU NGAMENI sur la page Facebook du Minfopra.

Live streaming réalisé par ICT Media STRATEGIES.

Pour vos événements au Cameroun diffusés en live streaming professionnel sur vos propres pages Facebook, Twitter et YouTube, contactez ICT Media STRATEGIES.
Mail : [email protected]. Tél : +237 674 61 01 68

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Nos lives à suivre sur Facebook et Twitter via le hashtag #LiveByICTMedia

Par ICT Media STRATEGIES

Joseph LE : « Avec la digitalisation, la crise ouverte par les enseignants va bientôt relever du passé » [Live streaming By ICT Media]

[ICT Media STRATEGIES] – Pour Joseph LE, le ministre de la Fonction publique et de la Réforme publique, grâce à la digitalisation et la dématérialisation, la crise ouverte par les enseignants va bientôt relever du passé

C’était en LIVE. Lors de la première conférence du MINFOPRA au SAGO le 23 juin 2022 sur le thème : « Rôle de la quatrième révolution industrielle dans la réorganisation de la prestation de service…», le ministre de la Fonction publique et de la Réforme publique, Joseph LE, a fait le point sur les actions menées par son département ministériel pour résoudre les revendications des enseignants.

Pour lui, la digitalisation et la dématérialisation des process en cours vont considérablement réduire les délais et satisfaire les enseignants. Le ministre Joseph LE ne manque pas également de faire le point sur les actions en cours dans les autres départements ministériels impliqués.

En rappel, la 11e édition du Salon de l’action gouvernementale (Sago) s’est tenue du 22 juin 2022 au 01 juillet 2022 au Palais polyvalent des sports de Yaoundé sur le thème : « Modernisation de l’administration publique camerounaise comme levier majeur d’atteinte des objectifs de la SND 30 ».

Voir les précisions du ministre Joseph LE dans cette vidéo

Voir l’intégralité du Live et des explications du ministre sur la page Facebook du #Minfopra.

Live streaming réalisé par ICT Media STRATEGIES.

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Par ICT Media STRATEGIES

How enterprise blockchain is reshaping finance for the better [By Ericsson]

[Digital Business Africa – Experts] – By raising standards for efficiency, trust, and integrity of data, blockchain looks set to upend traditional enterprise finance in coming years. Below, we explore the potential of blockchain for finance and look at some of the enterprise market’s early movers, including a fully end-to-end digital letter of credit.

Financial transactions across the world today are becoming more efficient thanks to decentralization and peer-to-peer interchanges, made possible by blockchain and distributed ledger technologies. By design, these technologies have proved very effective in simplifying traditional transaction processes and enabling instant payment solutions globally.

What is cryptocurrency?

A cryptocurrency, such as Bitcoin, is a decentralized digital currency that is based on blockchain technology. Unlike fiat money which is a currency declared legal by a central government and is backed by said issuer, cryptocurrency is not backed by any central authority. Through distributed ledger technology that can record and synchronize electronic ledgers across multiple computers (known as nodes) globally, rather than a central database, cryptocurrencies also eliminate the need for intermediaries and their related costs.

Although blockchain evolved with smart contracts several years ago, opening the door for blockchain to be deployed across a wider variety of industries, banks and financial sectors still represent by far the highest share of blockchain deployments today, mainly for clearing settlements, cross-border payments, and digital identity management. According to a report by Jupiter Research, blockchain deployments will enable banks to realize savings on cross-border settlement transactions of up to USD 27 billion by the end of 2030 – reducing costs by more than 11 percent.

What is decentralized finance?

Decentralized finance, also known as DeFi, is the umbrella term used for peer-to-peer financial services by using blockchain technology. This makes it an alternative financial system that can compete with centralized services in terms of accessibility, resilience, and transparency in a peer-to-peer fashion.

Here are some of the key characteristics of decentralized finance:

  • Asset management: This is considered one of the most useful DeFi applications for users. A key aspect of DeFi is to give users control in areas such as purchasing, selling, and transferring digital assets. As a direct result, consumers are the sole custodian of their data and can earn interest handling their digital assets.
  • Data privacy: In contrast to traditional centralized banking systems, DeFi enables users to keep their sensitive data private.
  • Know-your-customer and compliance: Traditionally, know-your-customer (KYC) rules are a company’s most important compliance instrument for securing counter-terrorist financing (CFT) measures and anti-money laundering (AML), where privacy plays a key and sensitive role between the players. DeFi uses the know-your-transaction (KYT) method where the decentralized infrastructure provides knowledge on transactional behaviors and digital addresses, rather than the users’ identities.
  • Data and analytics: DeFi applications show unprecedented transparency for transactional data, which enables data analysis, discovery, and untapped decision-making opportunities. The growing popularity of these applications is leading to the development of dashboards and tools to assess risks, track asset value, and compare them for the liquidity process.

 

Benefit of Enterprise Blockchain for finance

Dedicated blockchain enterprise platforms have the potential to change how businesses operate globally, with the ability to create bridges based on transparency, security and trust with other companies, industries and economies across the globe.

Here are some of the benefits that blockchain can bring to today’s businesses and their value chains:

  • Trust and transparency with respect to privacy: The shared and immutable source of truth enables all parties in a business network to collaborate, reach agreements and manage selective data, while maintaining integrity and confidentiality.
  • Security: There is no single point of failure due to its distributed architecture, reducing the need for data intermediaries. It is tamper-proof against fraud and malicious third parties, making it practically impossible to manipulate or hack.
  • Business logic programmability through smart contracts: Blockchain technology supports business logic implementation and automation through programming code, validating each step of the business process with accuracy, security, and step-by-step control.
  • High performance: The modern private blockchain platforms are engineered to sustain hundreds of transactions per second as well as periodic surges in network activity.

Enterprise Blockchain use cases for finance

Many businesses have explored the advantages of blockchain for years. However, even though the technological underpinnings have untapped transformational potential, most businesses are still in the testing phase and have not yet rolled out any production-ready solutions. 

Ericsson is among the first enterprises to forge blockchain capabilities in its core business and has already adopted the technology in select processes. Just like how Enterprise Resource Planning (ERP) burst efficiency through integrating internal business processes within a company context back in the ‘90s, we are now revolutionizing ways of working by adopting blockchain technology to integrate business processes between enterprises, suppliers, third parties and customers. 

Here are two blockchain use cases which are transforming transactional processes across our value chain today:

1. Trade finance: Blockchain technology and Letters of Credit 

Block chain video

Global trade can be a complicated process when importers and exporters from various part of the world need transaction verifications before they can complete the trade finance transaction. Blockchain speeds up the process by giving all parties access to documents and records as soon as they process them. 

Expanding the footprint of blockchain in finance, Ericsson is in the frontier to adopt a digitized, trustworthy, and fully traceable Letter of Credit (LoC) process streamlined to the trade finance activities. The solution enables real-time visibility and reduction of manual paperwork while improving traceability, efficiency in handovers of assets or goods, as well as reducing working capital levels. 

operational excellence

Above: Blockchain technology in letter of credit transactions is based on an application using blockchain to link banks and corporates for an end-to-end digital letter of credit, without relying on other systems.

International transactions are part of the daily operations at Ericsson. However, the nature of these transactions can be highly complex due to the multiple parties involved and the varying geographical locations. To safeguard the execution of commercial agreements, securing payments and correctly transferring ownership of underlying goods, an LoC is used in such transactions.  

Blackchain

Traditionally, the issuance of an LoC often relies heavily on manual paperwork and requires negotiations and iterations by all parties, resulting in time-consuming and tedious processes with low visibility and traceability. By implementing blockchain technology, Ericsson is part of the early development of a digitized LoC, which is streamlined to the trade activities and allows immutable and transparent records of critical transactions and real-time visibility.  

The aim is to build a future digital Trade Finance connecting the entire eco system between all parties – Ericsson, the customer, the issuing bank, and the nominated bank. Building on blockchain and an existing global trade finance together with smart contracts and digital signatures, the LoC can virtually be approved and traced across all parties, securing the processing with speed and simplicity.  

2. Venus – Intercompany invoicing 

In 2020, Ericsson embedded blockchain in its enterprise landscape as the first blockchain use case went into full production for intercompany invoicing. Venus – the internal name of the solution, inspired by the Greek goddess of beauty – is the first blockchain platform within the Ericsson enterprise landscape.  

Venus is part of an intercompany digital transformation project, adopting blockchain technology in the non-sales order related (N-SOR) invoicing process.

The solution supports financial processes worldwide, covering more than 180 countries in which Ericsson operates. Massive post-reconciliation efforts are prevented since blockchain allows for mitigation of potential issues upfront, rather than addressing them reactively. As a result, this has yielded process quality improvements and a factor ten improvement in lead time.  

Stories of sucess group function

Above: Blockchain platform and the Venus solution enables real-time validation of invoices against purchase orders, as well as increasing tractability by eliminating manual steps in non-sales order processes.

What next?

Blockchain has the potential to reshape financial processes – reducing cost and increasing control benefits. It is a new catalyst to improve from order to cash to procure-to-pay, accounts receivable, accounts payable, general ledger, reconciliation, and even payroll.

Through blockchain technology, Ericsson is working intensively to improve financial processes by increasing efficiency, reducing reconciliation and generating new revenue streams both across our own value chain and for our customers.

Written By :

Giovanni Franzese

Head of Blockchain Business Development

Annette

Annette Ericsson

Head of Trade Finance

Roger Lindquist

Roger Lindquist

Senior Trade Finance Advisor

Anna Evsin-Sjögren

Anna Evsin-Sjögren

Senior Trade Finance Advisor

Minette Libom Li Likeng : « Le corrigé est dans le NPSI…Le DG du Gimac est sorti de la barque !»

[Digital Business Africa] – Répondant à une question de Beaugas Orain DJOYUM, DG du cabinet ICT Media STRATEGIES, la ministre des Postes et Télécommunications, Minette Libom Li Likeng, a décrié l’attitude du GIMAC qui n’aurait pas été fair play dans le processus de mise en place de la National Payment Switch Infrastructure (NPSI).
Cette plateforme d’agrégation des services numériques et financiers disponible pour tous les opérateurs et usagers camerounais grâce au code Ussd #237#.

La plateforme a été développée sous l’impulsion du Minpostel par Campost et son partenaire technique eTranzact. Elle fonctionne depuis plusieurs mois.

Lors de la cérémonie de lancement officiel de cette plateforme ce 05 juillet 2022 à Yaoundé, Beaugas Orain DJOYUM demandait en effet de savoir s’il n’y avait pas possibilité d’obliger tous les opérateurs télécoms du pays à utiliser le code Ussd #237# en lieu et place de leur propre code Ussd.

En effet, MTN Cameroon et Orange Cameroun utilisent respectivement les codes Ussd #126# et #150# pour l’accès à leur service de paiement mobile. Ils font moins ou pas de publicité de leur code Ussd #237#.

Plus encore, le DG de ICT Media STRATEGIES demandait s’il est moins onéreux d’utiliser la NPSI ou le Gimac Pay, la solution développée par le Groupement interbancaire monétique de l’Afrique centrale (GIMAC) qui offre également les services d’interopérabilité.

Répondant à ces questions, la ministre a affirmé que la National Payment Switch Infrastructure (NPSI) et son code Ussd #237# sont une réponse appropriée aux multiples demandes et besoins des petits acteurs des télécoms et du numérique, des PME et même des opérateurs qui avaient du mal à obtenir les API des services mobiles financiers des opérateurs télécoms.

Plus encore, Minette Libom Li Likeng laisse entendre qu’au cours des multiples réunions en vue de la mise sur pied de ce switch national, le DG du GIMAC, Valentin MBOZO’O, ne s’est pas comporté en gentlemen. « Nous avons tenu des réunions à l’ART et le Gimac participait à ces réunions… Pour réussir l’inclusion financière et l’inclusion numérique, il faut impliquer tout le monde. Il ne faut laisser personne. Il faut impliquer tout type d’acteurs et de services. Les gros comme les petits. Pour que tout le monde puisse bénéficier des performances technologiques des outils modernes. Pendant qu’on cheminait, le Gimac est sorti de la barque. Je l’ai souvent dit directement et je l’assume comme membre du gouvernement. Je dis directement au DG du Gimac que ce n’est pas « fair ». (Fair play, ndlr). Il a débarqué et il a vite couru. Il y a de la place pour tout le monde. Nous sommes restés et petits pas par petits pas. Parce que nous voulons qu’il y ait des grands, mais aussi qu’il y ait des startups, des petits. Que ceux de l’informel viennent dans le formel », raconte la ministre qui explique qu’il n’y a pas lieu de faire des compétitions inutiles.

En fonction des objectifs, chacun peut choisir soit le GimacPay, soit le NPSI. « Mais, vante la ministre, pour les startups, les microfinances et les autres acteurs de paiement, le corrigé est dans le Switch NPSI ! Les services qu’offre le Switch sont énormes… »

Digital Business Africa vous propose d’écouter en vidéo les explications de la ministre Minette Libom Li Likeng sur les avantages de ce code Ussd national et sur l’expérience avec le Gimac.

Les explications de la ministre interviennent après la réponse du Dr Mfuh Winfried, conseiller technique N°2 au Minpostel, indiquant que la ministre des Postes et des Télécommunications a déjà pris une décision pour obliger les opérateurs télécoms à se connecter au switch national du code Ussd #237#. « La décision des opérateurs télécoms de faire la publicité sur ce code Ussd #237# est une décision commerciale des opérateurs qui interviendra au moment opportun », a-t-il précisé.

Beaugas Orain DJOYUM pense qu’il est nécessaire de faire une large promotion de ce code Ussd #237# et d’obliger tous les opérateurs à l’utiliser. Le DG du cabinet de veille stratégique, d’e-Réputation et de Personal branding ICT Media STRATEGIES croit en effet que Cameroun, premier pays africain à expérimenter ce code Ussd unique national, peut gagner beaucoup d’argent si l’on interdit les opérateurs télécoms concessionnaires d’utiliser leurs propres codes Ussd au profit du code unique Ussd #237# du NPSI.

Cela permettra d’ailleurs, dit-il, une meilleure traçabilité des transactions. Tout comme il invite Campost et son partenaire technique à travailler en permanence pour améliorer la qualité de service de ce Switch national de paiement.

Par Digital Business Africa

La vidéo ici présentée est également disponible sur la chaîne YouTube de la plateforme d’informations stratégiques sur les TIC, les Télécoms et le Numérique en Afrique Digital Business Africa

Faustin-Archange Touadéra : « Sango Coin sera la monnaie de la nouvelle génération pour la RCA » [Vidéo]

[Digital Business Africa] – Les explications du président de la RCA, Faustin-Archange Touadéra, lors du lancement officiel du « Sango Coin, la monnaie de la nouvelle génération pour la RCA ».

La République centrafricaine a officiellement procédé au lancement de son grand projet de cryptomonnaie baptisé Sango. C’était ce dimanche 03 juillet 2022 dans un live de plus d’une heure et demie où ont tour à tour défilé le président de la République Faustin-Archange Touadéra, de nombreux acteurs publics et experts de la technologie blockchain.

Premier intervenant, le président de la République Faustin-Archange #Touadéra qui laisse entendre que le lancement de Sango Coin est une nouvelle page qui représente un pas ferme sur la voie qui ouvre d’incroyables opportunités pour la République centrafricaine.

« Pour nous, la vision est parfaite, explique Faustin-Archange Touadéra. Nous n’avons plus de temps à attendre. Pour nous, l’économie formelle n’est plus une option. Une bureaucratie impénétrable nous maintient dans un système qui ne nous donne pas la possibilité d’être performant. Notre solution c’est de repenser notre philosophie économique. C’est ce que nous avons fait et la route qui s’ouvre devant nous fait entrevoir un grand succès pour le peuple centrafricain. »

Le président explique que la blockchain va dépasser les normes conventionnelles et offrir la possibilité de prospérer économiquement. Il s’agit d’une vision orientée vers l’avenir et le progrès.

La monnaie numérique de la RCA ne veut pas seulement être une simple cryptomonnaie. La réflexion sur la tokenisation des matières premières comme l’or, le diamant, le fer, le lithium de la RCA est cours. Le président a promis une législation claire sur ce sujet. « Le Sango Coin sera l’accès direct à nos ressources naturelles pour le monde entier», indique le président de ce pays de l’Afrique centrale riche en or et en diamant.

« Nous pensons avant tout à la manière dont il changera la vie de nos citoyens et la façon dont nous réussirons à créer une économie stable, forte et prospère. Il convient de faire ce qui est nécessaire pour le bien de tous, en gardant à l’esprit les générations futures à qui nous devons laisser un héritage significatif. Sango Coin sera la monnaie de la nouvelle génération pour la République centrafricaine. Sango signifie que nous parlons enfin le langage de l’argent ! », affirme Faustin-Archange Touadéra.

Digital Business Africa vous propose l’extrait de l’exposé de Faustin-Archange Toudéra sur le Sango Coin

Plusieurs autres intervenants seront programmés dans ce live. Ceux-ci ont exposé sur de nombreuses thématiques relatives au projet Sango Coin, à savoir :
• programme e-residency ;
• programme de citoyenneté ;
• tokenisation des ressources naturelles nationales ;
• le seul metaverse soutenu par la réalité.

Premier pays africain à adopter le Bitcoin

Pour le président de la RCA, « l’alternative à l’argent liquide est la cryptomonnaie ». Son pays est d’ailleurs devenu le premier État africain à donner cours légal au bitcoin en avril 2022.

Le #SangoCoin sera soutenu par le #bitcoin. Pour l’instant, peu d’informations circulent sur la tokenomics du Sango Coin, mais, indique les experts, il est évident que le lien avec le bitcoin doit être important. Le président avait d’ailleurs déclaré sur Twitter : « Les mathématiques sont le langage de l’univers. Le #bitcoin est la monnaie universelle. »

Par Digital Business Africa

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🔴 LIVE. Tout savoir sur le Sango Coin de la RCA : les explications du président Touadéra et Cie

[Digital Business Africa] – La République centrafricaine a officiellement procédé au lancement de son grand projet de cryptomonnaie baptisé Sango. C’était ce dimanche 03 juillet 2022 dans un live de plus d’une heure et demie où ont tour à tour défilé le président de la République Faustin-Archange Touadéra, de nombreux acteurs publics et experts de la technologie blockchain.

Premier intervenant, le président de la République Faustin-Archange Touadéra qui laisse entendre que le lancement de Sango Coin est une nouvelle page qui représente un pas ferme sur la voie qui ouvre d’incroyables opportunités pour la République centrafricaine.

« Pour nous, la vision est parfaite, explique Faustin-Archange Touadéra. Nous n’avons plus de temps à attendre. Pour nous, l’économie formelle n’est plus une option. Une bureaucratie impénétrable nous maintient dans un système qui ne nous donne pas la possibilité d’être performant. Notre solution c’est de repenser notre philosophie économique. C’est ce que nous avons fait et la route qui s’ouvre devant nous fait entrevoir un grand succès pour le peuple centrafricain. »

Le président explique que la blockchain va dépasser les normes conventionnelles et offrir la possibilité de prospérer économiquement. Il s’agit d’une vision orientée vers l’avenir et le progrès.

La monnaie numérique de la RCA ne veut pas seulement être une simple cryptomonnaie. La réflexion sur la tokenisation des matières premières comme l’or, le diamant, le fer, le lithium de la RCA est cours. Le président a promis une législation claire sur ce sujet. « Le Sango Coin sera l’accès direct à nos ressources naturelles pour le monde entier», indique le président de ce pays de l’Afrique centrale riche en or et en diamant.

« Nous pensons avant tout à la manière dont il changera la vie de nos citoyens et la façon dont nous réussirons à créer une économie stable, forte et prospère. Il convient de faire ce qui est nécessaire pour le bien de tous, en gardant à l’esprit les générations futures à qui nous devons laisser un héritage significatif. Sango Coin sera la monnaie de la nouvelle génération pour la République centrafricaine. Sango signifie que nous parlons enfin le langage de l’argent ! », affirme Faustin-Archange Touadéra.

Digital Business Africa vous propose l’intégralité de la conférence Live de lancement de Sango Coin

https://www.youtube.com/embed/U3mTkXHnKsw

Plusieurs autres intervenants seront programmés dans ce live. Ceux-ci ont exposé sur de nombreuses thématiques relatives au projet Sango Coin, à savoir :
• programme e-residency ;
• programme de citoyenneté ;
• tokenisation des ressources naturelles nationales ;
• le seul metaverse soutenu par la réalité.

Premier pays africain à adopter le Bitcoin

Pour le président de la RCA, « l’alternative à l’argent liquide est la cryptomonnaie ». Son pays est d’ailleurs devenu le premier État africain à donner cours légal au bitcoin en avril 2022.

Le #SangoCoin sera soutenu par le #bitcoin. Pour l’instant, peu d’informations circulent sur la tokenomics du Sango Coin, mais, indique les experts, il est évident que le lien avec le bitcoin doit être important. Le président avait d’ailleurs déclaré sur Twitter : « Les mathématiques sont le langage de l’univers. Le #bitcoin est la monnaie universelle. »

Par Digital Business Africa

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Et pourquoi pas une dorsale transafricaine de données ?

[DIGITAL Business Africa – Avis d’expert] – Le développement des réseaux à large bande à travers le monde représente un facteur significatif du développement de notre siècle et le continent Africain offre encore, dans plusieurs de ses géographies, d’immenses opportunités de développement en termes de connectivité. Le cabinet d’études #Telegeography a récemment publié avec son partenaire #Telecom Egypt l’édition 2022 de la cartographie des télécommunications africaines avec un focus sur les câbles sous-marins reliant le continent. C’est l’occasion de se retourner sur l’état des autoroutes numériques internationales reliant le continent et le développement des routes terrestres panafricaines !

Si il est vrai que de nombreux projets de câbles sous-marins ceinturant tout ou partie du continent sont déjà actifs, l’on compte également une demi-douzaine de projets de câbles sous-marins en phase active de développement sur la période 2022-2025 et cela devrait porter à plusieurs centaines de Téraoctets par seconde la capacité totale de transport de données du continent Africain avec des points d’atterrissage dans plusieurs villes le long des cotes de l’Océan Atlantique, l’Océan Indien, la Mer Rouge et la Mer Méditerranée.

Et pourquoi pas une dorsale transafricaine de données ?

Cet essor des infrastructures sous-marines à fibre optique aura permis de considérablement réduire la fracture numérique sur le continent et par ricochet le coût moyen de l’accès aux réseaux large bande même si au final les coûts pratiqués au détail par les opérateurs de communications électroniques de plusieurs pays africains restent encore globalement plus élevés que la moyenne des continents Américain, Européen et Asiatique (voir l’étude complète du cout moyen de 1Go mobile réalisée sur 230 pays à travers le monde).

Et pourquoi pas une dorsale transafricaine de données ?

Si le modèle de connectivité internationale par câble sous-marin a largement pris le pas sur la connectivité par le segment spatial en termes de volume global transporté sur le continent, cela reste un challenge pour de nombreux pays enclavés (Botswana, Burkina Faso, Burundi, Centrafrique, Ethiopie, Malawi, Mali, Niger, Ouganda, Rwanda, Soudan du Sud, Tchad, Zambie, Zimbabwe) qui, ne bénéficiant pas d’un accès à un littoral, devraient s’appuyer dans une proportion non négligeable sur la connectivité par réseaux satellitaires. Il est vrai que l’offre globale sur les transpondeurs a connu une évolution qualitative et quantitative sur les dernières années avec l’explosion de la bande Ka en sus des bandes Ku et C, mais il ne reste pas moins vrai que la connectivité internationale par fibre optique demeure incomparable avec une bande passante internationale totale en croissance de 7.5Tbps a 38Tbps entre 2017 et 2021.

Et pourquoi pas une dorsale transafricaine de données ?

Cette situation ouvre de manière immédiate de vastes opportunités de développement de réseaux terrestres d’interconnexion transfrontalières à fibre optique permettant de relier entre elles des stations d’atterrissements de câbles sous-marins situées de part et d’autre du continent ce qui présente de facto plusieurs avantages directs :

  • Routes de restoration pour divers câbles sous-marins
  • Optimisation du temps de traversée (RTT) entre les principaux hubs continentaux (Egypte, Nigeria, Kenya & Afrique du Sud)
  • Opportunités d’accès aux câbles sous-marins pour les points de présence des pays enclavés y compris par l’acquisition de larges capacités sur le modèle de droits d’usage inaliénables sur de longues périodes (IRU – Indefeasible Right of Use)
  • Interconnexion des points d’échange internet (IXPs) continentaux
  • etc…

Les acteurs majeurs du transport de données sur le continent ne s’y sont d’ailleurs pas trompés avec de nombreuses initiatives dans plusieurs régions africaines pour interconnecter des réseaux terrestres nationaux dans le but de bâtir cette dorsale transafricaine a fibre optique. On pourrait citer sans ordre spécifique :

  • Le projet Djoliba porté par le groupe Orange en Afrique de l’Ouest et traversant le Sénégal, le Mali, le Burkina Faso, la Cote d’Ivoire et le Ghana avec une interconnexion aux câbles sous-marins ACE (Africa Coast to Europe), MainOne et SAT-3 (South Atlantic 3)
  • Le projet One Africa Broadband Network de Liquid Intelligent Technologies tout particulièrement en Afrique Australe avec le “Southern Corridor” ainsi que l’expansion vers l’Océan Atlantique via la République Démocratique du Congo
  • Le projet de câble à fibres optiques Trans Africain du groupe Maroc Télécom qui relie le Maroc, la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso et le Niger sur 5.698 km
  • Le projet WE-AFRICA-NA reliant Port-Soudan sur la Mer Rouge à Kribi et Limbe au Cameroun sur l’Océan Atlantique (annoncé en marge de Capacity Middle East 2022) initiative des opérateurs nationaux SudaChad, Sudatel et CAMTEL respectivement au Tchad, au Soudan et au Cameroun

Cette mouvance vers une accélération de la connectivité terrestre par fibre optique transfrontalière qui s’inscrit dans la dynamique globale de fluidification et d’accroissement des échanges économiques entre pays africains devrait en principe participer à la tendance baissière des coûts de communication sur le continent si elle est judicieusement exploitée par les opérateurs de communications électroniques mobiles et à condition que la qualité de service assurée sur ces dorsales transfrontalières soient arrimée aux standards internationaux particulièrement en termes de taux de disponibilité et de temps de latence.

N’hésitez pas à partager vos opinions, questions ou suggestions en commentaires !

Par Georges Mpoudi Ngole, Building the digital hub of Central Africa via CAMTEL Carrier | Transformation Leader | Business & Technology Senior Executive | French/English Speaker

Georges Mpoudi Ngolè, également promoteur de Cowork Africa

Texte initialiement publié sur LinkedIn

Empreinte énergétique : ST DIGITAL publie le PUE de son datacenter

[DIGITAL Business Africa – Avis d’expert] – ST DIGITAL publie le PUE de son datacenter. LE PUE C’EST QUOI ?

Le Power Usage Effectiveness (PUE) est un indicateur mis au point par le Green Grid pour mesurer l’efficacité énergétique d’un datacenter. Il est calculé en divisant le total de l’énergie consommée par le datacenter par le total de l’énergie utilisée par les équipements informatiques (serveur, stockage, réseau). Par exemple, en moyenne les datacenters français ont un PUE de 2,5 ce qui signifie que pour 1 Watt consommé par l’informatique, il en faut 2,5 Watt à l’entrée du datacenter.

Le PUE (Power Usage Effectiveness) s’est aujourd’hui imposé comme un indicateur technique universellement reconnu pour traduire l’efficacité énergétique des datacenters.

Il est devenu un témoin de l’informatique « éco-responsable.

DES PRATIQUES RESPONSABLES

Avec l’adoption du cloud, l’informatique mondiale se déplace massivement dans les datacenters et ces derniers concentrent désormais une part très significative de l’empreinte énergétique de l’économie du numérique. Ils sont devenus plus que jamais des infrastructures critiques et vitales, dont la moindre défaillance entraîne des conséquences désastreuses et un impact concret sur l’économie.

Chez ST DIGITAL nous travaillons au quotidien pour améliorer l’efficacité de notre datacenter, par exemple les serveurs modernes peuvent supporter une température constante de 30°C (conformément aux normes ASHRAE) et avons donc fait le choix d’ajuster nos températures de fonctionnement en conséquence au lieu de la consigne classique de température de 20°C.

La performance énergétique est un véritable enjeu pour nous operateur de datacenter dans un contexte de crise énergétique qui se traduit par de nombreuse interruption de fourniture suites aux problèmes en cours sur les organes de production comme sur le réseau de transport et distribution.

La responsabilité environnementale de notre industrie doit reposer sur 2 piliers indissociables : efficience du datacenter et l’approvisionnement énergétique.

Mesure réalisée suivant la norme ISO/IEC 30134-2:2016

ST DIGITAL L’ACTEUR MAJEUR DE LA COLLOCATION EN AFRIQUE CENTRALE ET DE L’OUEST

ST DIGITAL se positionne comme leader du cloud en Afrique de l’Ouest et du Centre en étant à la fois partenaire MICROSOFT CLOUD SOLUTION PROVIDER et seul acteur indépendant à posséder un DATACENTER aux normes et standards internationaux avec des sites d’hébergement en Côte d’Ivoire et Togo pour proposer une offre 100% Africaine.

Par correspondance particulière

La Zambienne Mitwa Ng’ambi nommée DG de MTN Cameroon en remplacement de Stephen Blewett qui quitte le groupe MTN

[DIGITAL Business Africa] – L’opérateur de télécommunications MTN Cameroon a annoncé ce 30 juin 2022 la nomination de Mitwa Ng’ambi comme nouveau directeur général à compter du 1er septembre 2022. Elle succède à Stephen Blewett qui quitte le groupe sud-africain MTN pour d’autres opportunités de carrière.

Mitwa Ng’ambi, actuellement directeur général de MTN Rwanda, compte près de dix ans dans la famille MTN où elle a également occupé des postes de responsabilité au sein des filiales du Groupe au Bénin et en Zambie.

Mitwa Ng’ambi, 39 ans (née le 03 août 1983), est une spécialiste des télécommunications dont la carrière s’étend sur plus de 10 ans dans ce secteur des télécoms. Elle a rejoint MTN Rwandacell PLC en octobre 2019 en provenance d’Airtel Tigo Ghana où elle occupait le poste de PDG. Avant cela, elle était directrice générale de Tigo Sénégal.

Ng’ambi est décrite comme une personne ayant de l’expérience dans le commerce, la technologie et le développement de stratégies de croissance. Elle a précédemment travaillé pour MTN Bénin en tant que directrice du marketing.

Au fil des ans, elle a également acquis de l’expérience dans la direction de fusions et d’acquisitions dans le secteur des télécommunications. Elle est titulaire d’une maîtrise en informatique de l’Université de Joensuu, en Finlande, et d’une licence en informatique de l’Université de Namibie.

La Zambienne Mitwa Ng'ambi nommée DG de MTN Cameroon en remplacement de Stephen Blewett qui quitte le groupe MTN

Au cours de son mandat à la tête de MTN Rwanda, Mitwa a contribué à renforcer l’engagement des parties prenantes de l’entreprise. Elle a mené avec succès des initiatives de transformation de l’industrie pour le développement du numérique et l’inclusion financière. Mitwa a par ailleurs supervisé l’entrée en bourse de MTN Rwanda et la création de sa filiale Fintech.

« Nous tenons à remercier Stephen pour sa précieuse contribution au fil des ans, et nous souhaitons la bienvenue à Mitwa dans la famille MTN Cameroon. Nous sommes convaincus que son expérience, son leadership exceptionnel et son expertise profiteront à MTN Cameroon et aux parties prenantes. Nous lui souhaitons la réussite dans son nouveau rôle où elle va poursuivre la mise en œuvre de nos priorités stratégiques définies dans le Plan  Ambition 2025 », a déclaré Colin Mukete, président du conseil d’administration de MTN Cameroon.

Par Digital Business Africa. Source : MTN Cameroon

Empreinte énergétique : ST DIGITAL publie le PUE de son datacenter

LE PUE C’EST QUOI ? Le Power Usage Effectiveness (PUE) est un indicateur mis au point par le Green Grid pour mesurer l’efficacité énergétique d’un datacenter. Il est calculé en divisant le total de l’énergie consommée par le datacenter par le total de l’énergie utilisée par les équipements informatiques (serveur, stockage, réseau). Par exemple, en moyenne les datacenters français ont un PUE de 2,5 ce qui signifie que pour 1 Watt consommé par l’informatique, il en faut 2,5 Watt à l’entrée du datacenter.

Le PUE (Power Usage Effectiveness) s’est aujourd’hui imposé comme un indicateur technique universellement reconnu pour traduire l’efficacité énergétique des datacenters.

Il est devenu un témoin de l’informatique « éco-responsable.

DES PRATIQUES RESPONSABLE

Avec l’adoption du cloud, l’informatique mondiale se déplace massivement dans les datacenters et ces derniers concentrent désormais une part très significative de l’empreinte énergétique de l’économie du numérique. Ils sont devenus plus que jamais des infrastructures critiques et vitales, dont la moindre défaillance entraîne des conséquences désastreuses et un impact concret sur l’économie.

Chez ST DIGITAL nous travaillons au quotidien pour améliorer l’efficacité de notre datacenter, par exemple les serveurs modernes peuvent supporter une température constante de 30°C (conformément aux normes ASHRAE) et avons donc fait le choix d’ajuster nos températures de fonctionnement en conséquence au lieu de la consigne classique de température de 20°C.

La performance énergétique est un véritable enjeu pour nous operateur de datacenter dans un contexte de crise énergétique qui se traduit par de nombreuse interruption de fourniture suites aux problèmes en cours sur les organes de production comme sur le réseau de transport et distribution.

La responsabilité environnementale de notre industrie doit reposer sur 2 piliers indissociables : efficience du datacenter et l’approvisionnement énergétique.

Mesure réalisé suivant la norme ISO/IEC 30134-2:2016

ST DIGITAL L’ACTEUR MAJEUR DE LA COLLOCATION EN AFRIQUE CENTRALE ET DE L’OUEST

ST DIGITAL se positionne comme leader du cloud en Afrique de l’Ouest et du Centre en étant à la fois partenaire MICROSOFT CLOUD SOLUTION PROVIDER et seul acteur indépendant à posséder un DATACENTER aux normes et standards internationaux avec des sites d’hébergement en Côte d’Ivoire et Togo pour proposer une offre 100% Africaine.

Par correspondance particulière

Cameroun : Des officiers stagiaires de l’EIFORCES à Camtel pour comprendre les dispositifs de sécurisation des communications électroniques

Digital Business AfricaLa 8ème promotion des hauts cadres de la police et de la gendarmerie en formation à l’Ecole Internationale des Forces de sécurité (EIFORCES) a effectué une visite d’étude à la société nationale de télécommunications du Cameroun Camtel ce mercredi 29 juin 2022. Après dix mois de formation théorique, il s’agissait pour les 28 auditeurs du Cameroun, Mali, Congo, Cote d’Ivoire et du Togo de passer à la phase pratique pour concrètement cerner les réalités sur le terrain.

Selon le colonel Atangana qui conduisait la délégation, un des aspects de la formation à l’EIFORCES consiste en effet à se déplacer pour venir toucher du doigt l’environnement dans lequel évoluent les acteurs impliqués dans les processus sécuritaires du pays.

Cameroun : Des officiers stagiaires de l’EIFORCES à Camtel pour comprendre les dispositifs de sécurisation des communications électroniques

Et la Camtel compte assurément parmi ceux-ci. « Il s’agit de leur permettre de mieux appréhender leur rôle dans les missions qu’ils seront appelés à mener. Le choix de la société Camtel est d’un pur intérêt stratégique. Aujourd’hui, les TIC sont à la pointe de toutes les activités de sécurité. Il était question pour nous d’ouvrir cet horizon pour nos auditeurs afin qu’ils sachent situer cet acteur dans le corpus sécuritaire camerounais, et les étrangers feront de même avec les sociétés similaires qui existent chez eux » a-t-il précisé, avant d’ajouter : « les échanges que nous avons eu ont permis de déblayer certains domaines qui restaient encore obscurs, ils ont ainsi permis à nos apprenants de savoir ce qu’ils peuvent attendre d’une société comme la Camtel ».

Le programme de visite a ainsi été jugé satisfaisant par la délégation. Après les mots de bienvenue et la présentation de la 8ème promotion de l’EIFORCES, l’assistance a eu droit à un exposé dispensé par l’inspecteur N 3 à la Camtel, M Georges Mpoudi Ngollè.

Après avoir rappelé l’historique et les missions de la Camtel, ce dernier a présenté les différents réseaux qui sont gérés par la Camtel ainsi que les enjeux de l’émergence d’une économie numérique sécurisée. Le Cameroun possède en effet 4 câbles qui constituent l’architecture des télécommunications et déploie plusieurs initiatives afin de devenir le hub sous-régional en matière d’interconnexion.  

Les apprenants ont également découvert le Network Operations Center qui coordonne la télécommunication, ainsi que Security Operation Center qui est une unité essentielle chargée de veiller à la sécurité de tout le système.

Beaucoup de satisfaction a également été exprimé par Mme Fadimatou Aboubacar, représente de la DG, qui s’est énormément réjouie de la visite des installations et équipements de la Network Operation Center par les étudiants de l’EIFORCES.

« Je nourris fortement le vœu que des rencontres de cette nature deviennent une tradition pour nos deux institutions, tradition mutuellement bénéfique dans le cadre de la formation des personnels de Cqmtel et des étudiants de l’EIFORCES, à travers des échanges, des partages d’expérience notamment », a-t-elle déclaré.

Pour rappel, l’EIFORCES est une école internationale de droit camerounais fondée en 2008 par Son Excellence M Paul Biya avec pour vocation de former des civils, policiers et gendarmes aux niveaux tactiques, opératifs et stratégiques dans tous les domaines de la sécurité et du maintien de la paix. Elle compte déjà à son actif près de 3000 diplômés issus de 24 pays africains.

Par Gaelle Massang