[Digital Business Africa] – Le gouvernement ghanéen envisage introduire d’ici le mois prochain un système de paiement par QR code universel. Cette décision intervient dans le cadre de la mise en place de sa politique d’une société sans monnaie fiduciaire à travers une vaste reforme des transactions financières par l’intégration de la FinTech.
Selon le media en ligne Tech Nova, Archie Hesse, le Directeur général de GhIPSS (Ghana Interbank Payments and Settlements System) l’a définit en ces termes: « Ce système de code QR universel ne sera pas limité à une institution financière ou un partenaire technologique particulier, mais ce système de code QR peut être utilisé par tous. Les fonds peuvent quitter n’importe quel compte bancaire, n’importe quel portefeuille bancaire et être déposés sur le compte bancaire ou le portefeuille d’un commerçant »
En d’autres termes, un client d’une boutique qui n’a pas de liquidité mais dispose de fonds sur un compte mobile money peut payer le commerçant même si celui-ci ne dispose pas de compte mobile money. Il lui suffira de scanner le QR code du commerçant et le paiement ira directement sur le compte bancaire du gérant de la boutique. Autre exemple, un client qui à une carte Visa n’a plus besoin de TPE (terminaux de paiements électroniques), il n’a qu’à scanner le QR code du commerçant et valider le débit de son compte bancaire.
Dans le cadre de la reforme des transactions financières, il sera désormais possible de virer l’argent sur un compte bancaire d’un particulier, rien qu’en connaissant son numéro de téléphone. Ainsi, il ne sera plus nécessaire de demander le numéro de compte. Pour les entreprises, rien qu’avec la dénomination, il sera possible de virer de l’argent à une société sans se soucier de connaitre le numéro de compte, toujours selon ICT4Africa.
[Digital Business Africa] – WhatsApp a engrangé 500 millions d’utilisateurs supplémentaires en seulement 2 ans et compte maintenant environ 2 milliards d’utilisateurs, rapporte My Broadband.
Cette dernière statistique place WhatsApp, le service de messagerie acquis par Facebook Inc. pour 19 milliards de dollars, comme la plus grande plate-forme de messagerie sur Terre, mais avec tous ses utilisateurs, elle gagne à peine de l’argent. Le service a récemment commencé à planifier l’introduction d’annonces pour lutter contre cela.
WhatsApp a également été récemment impliqué dans des affrontements juridiques à Washington concernant son utilisation du cryptage. Facebook, sa société mère, fait valoir que le chiffrement – qui empêche quiconque, y compris Facebook lui-même, de lire les messages des utilisateurs – est bon pour la confidentialité des utilisateurs. Washington a fait valoir que cela rendait également l’application des lois plus difficile, car le comportement criminel passe sous le radar.
WhatsApp utilise une forme de cryptage connue sous le nom de cryptage de bout en bout, qui permet uniquement à vous et à la personne avec laquelle vous discutez de voir vos messages. Business Today écrit que les messages sont « sécurisés avec des verrous, et seul le destinataire a la clé spéciale pour déverrouiller et lire les messages ».
Lorsque WhatsApp est installé sur le téléphone, l’utilisateur reçoit une «clé privée» et lorsque l’utilisateur envoie un message à un autre utilisateur, les serveurs centralisés de WhatsApp envoient au destinataire du message une «clé publique». Ce n’est qu’avec ces deux touches que quiconque peut voir les messages, à moins que vous ne montriez réellement votre téléphone aux gens.
[Digital Business Africa] – Le premier Centre Interactif Digital au Maroc a été inauguré, ce mardi 11 février 2020 à l’ Université Mohammed VI Polytechnique de Benguérir, nous informe ICT4Africa. Ce centre est le fruit d’une union entre EON Reality et l’Agence des Etats-Unis pour le développement international.
Les technologies de Réalité augmentée et Réalité virtuelle sont offertes par l’IDC. Pour Driss Ouaouicha, Ministre délégué chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, l’IDC offre une opportunité époustouflante pour l’Université marocaine dans le domaine du transfert technologique. En effet, ce projet numérique contribuera à mettre en place des solutions d’apprentissage innovantes pour le développement des compétences nécessaires aux métiers de l’industrie de demain afin d’accompagner la transformation numérique du Royaume dans les secteurs universitaires, industriels et gouvernementaux.
Le Maroc veut être un acteur dans les changements que connaît le monde en offrant sa participation à l’évolution de nouvelles technologies telles que l’intelligence artificielle, la Blockchain, l’internet des objets 4.0.
C’est pourquoi, Driss Ouaouicha indique aussi que l’IDC sera un outil d’accélération industrielle dans lequel le volet formation est important, et devrait accorder une place de choix aux nouvelles technologies et à leur utilisation dans l’industrie.
Rappelons enfin, que EON Reality est le leader mondial du transfert de connaissances et compétences basées sur la réalité augmentée et virtuelle pour l’industrie et l’éducation.
[Digital Business Africa] – Ecobank et la plateforme de transfert d’argent du groupe Alibaba, Alipay, ont signé ce mercredi 12 février 2020, un accord de partenariat. Avec cet accord, Ecobank pourra offrir davantage de sécurité, de rapidité et d’instantanéité aux abonnés de sa plateforme de payement Rapidtransfer. Entre autres avantages, la réduction des coûts des transferts, souligne Ecobank. La diaspora africaine reste un principal acteur dans les transferts de fonds vers le continent.
Si la volonté d’Ecobank est de déployer cette nouvelle solution sur l’ensemble de ses marchés, il faudra attendre des accords locaux. Avec ses 1,2 milliard de personnes desservies dans le monde, Alipay apporte une nouvelle dynamique à la banque panafricaine. A Ecobank, l’on se réjouit « d’un canal supplémentaire pour diversifier les options offertes aux utilisateurs ». Du côté d’Alibaba, c’est une satisfaction de travailler avec des partenaires comme Ecobank pour « rendre accessibles des technologies innovantes permettant aux consommateurs à l’étranger d’accéder à des services financiers inclusifs ».
[Digital Business Africa] – La menace du coronavirus plane et le GSMA, l’association en charge de l’organisation du MWC, a finalement décidé de l’annuler. Le GSMA vient tout juste de publier un communiqué pour faire part de sa décision ferme et définitive. Le président du GSMA, John Hoffman, s’est rendu à l’évidence : dans les circonstances actuelles, la tenue du salon est impossible. « Considérant le devoir de sécurité et celui d’assurer le bon déroulement de l’événement, le GSMA a décidé d’annuler le MWC de Barcelone 2020 à cause de tous les risques potentiels de contamination au coronavirus. »
Le salon devait se tenir à partir du 24 février prochain mais plus les jours passaient, plus les acteurs du milieu de la mobilité étaient de plus en plus nombreux à annuler leur venue. Cela n’empêchera surement pas les marques de tenir des vidéoconférences et de faire quelques annonces par d’autres biais.
Le GSMA espère pouvoir organiser un salon dans de meilleures conditions dès l’année prochaine et toujours à Barcelone.
[Digital Business Africa] – Le Conseil National du Numérique (CNN) va bientôt démarrer ses activités pour participer au développement du numérique. L’annonce a été faite par Modou Mamoune NGOM lors d’un déjeuner de presse avec le ministère de l’économie Numérique et des Télécommunications. Le directeur des Télécommunications a soutenu que le CNN sera logé à la présidence.
“Le Conseil va démarrer ses activités au courant du mois de janvier. L’autorité est en train de faire les derniers réglages pour que les membres puissent se réunir et débattre sur des questions diverses qui seront d’un apport important dans la stratégie nationale du projet Sénégal numérique”, a t- il dit en marge de l’événement baptisé Peccum Numérique.
Pour rappel,le CNN est un organe multi- acteurs avec une dimension transversale et qui est composé de l’ensemble des parties prenantes du numérique, notamment les entités publiques, le secteur privé et la société civile.
Il a été créé en 2018 et sera chargé d’étudier et de donner son avis au gouvernement sur les questions qui lui sont présentées.
[Digital Business Africa] – Intel, Vivo et NTT Docomo rejoignent Amazon et Sony en tant que dernières entreprises technologiques mondiales à se retirer du Mobile World Congress 2020 à Barcelone, en Espagne, au milieu des craintes entourant l’épidémie de coronavirus, nous informe Itnewsafrica. Ils rejoignent désormais LG, ZTE, Erricson et Nvidia qui ont également pris la décision d’abandonner l’événement.
Le World Mobile Congress est probablement le plus grand salon annuel de la technologie qui accueille des centaines de passionnés de technologie et de grands acteurs de l’industrie. Cependant, au cours des derniers mois, le monde a été en proie à un virus mortel, ce qui a amené les entreprises à remettre en question leur décision initiale d’y assister. Malgré des craintes croissantes, les rapports suggèrent que le spectacle interdira les visiteurs qui ont récemment voyagé en Chine.
Et en fait, le conseiller politique numérique de la région, Jordi Puignero, a même demandé à la radio locale de garantir au public que le gouvernement régional catalan « prenait des mesures pour que tout se déroule normalement ». Il a ajouté qu ‘« il n’y a aucune raison de ne pas y assister ». Cependant, le risque est bien trop grand pour certains des plus grands acteurs de l’industrie. Dans une série de déclarations, Intel, Vivo et NTT expliquent tous pourquoi ils ont pris la décision d’abandonner le congrès.
Publié par Venturebeat, un porte-parole d’Intel a déclaré: « La sécurité et le bien-être de tous nos employés et partenaires sont notre priorité absolue, et nous nous sommes retirés du Mobile World Congress de cette année par prudence ». « NTT a déclaré qu’elle s’était retirée après avoir pris en considération la sécurité des clients, des partenaires et du personnel », rapporte Reuters. Et clôturant la liste des retraits d’aujourd’hui, The Verge écrit « Vivo, citant des préoccupations concernant la santé et la sécurité de ses employés et du public, retire les débuts de son nouveau téléphone concept Apex 2020 de MWC ». Cependant, la société suggère qu’elle publiera bientôt des plans de lancement révisés.
[Digital Business Africa] – Un décret pris en conseil des ministres, le jeudi 6 février 2020, annonce la création, les missions et les modalités d’organisation et de fonctionnement du Haut Conseil du Numérique (HCN), nous informe ICT4Africa.
L’objectif du HCN est de proposer un cadre de gouvernance chargé de fournir des recommandations au gouvernement et piloter la mise en œuvre de la Stratégie numérique nationale. Parmi ses missions figurent les projets d’informatisation de l’administration.
Dans le pays, il n’existe qu’une seule autorité qui régule les services publics. A savoir la poste, les télécommunications, l’eau et l’électricité. La création du Haut conseil du numérique ne remet pas en cause les attributions de l’Autorité de régulation de la Mauritanie. La première est un organe consultatif, quand la seconde reste l’organe décisionnaire.
Mohamed Ould El-Ghazaouani, le Président mauritanien, à la sortie du conseil des Ministres a confirmé sa volonté d’une mise en place rapide du HCN. Il a précisé que des instructions claires avaient été formulées dans ce sens, toujours selon ICT4Africa.
[Digital Business Africa] – La Commission électorale nationale indépendante a annoncé ce mardi 11 février 2020 dans un communiqué officiel que pour le scrutin présidentiel du 22 février 2020, les électeurs ont la possibilité de vérifier leurs bureaux de vote par SMS. La CENI indique la mise en service de numéros courts, selon les opérateurs et les régions des électeurs. Ce qu’il faut souligner, c’est surtout la gratuité du service, nous rapporte Ciomag.
Selon le communiqué de l’institution, les abonnés au réseau Moov devront envoyer le numéro de leurs cartes au 1010. Ceux de Togocel devront consulter les BV, selon leur région. Ainsi, les électeurs de la région des Savanes, dans l’extrême nord du Togo, devront utiliser le 1014. Le 1013 pour ceux de la région de la Kara. Au centre, c’est le 1012 ; le 1011 dans les Plateaux et le 1010 dans la Maritime. Pour le vote de la diaspora, le problème ne se pose pas. Le vote se déroulant dans les ambassades ou consulats.
C’est la première fois que la CENI fait appel au digital dans l’organisation d’un scrutin au Togo. Lors de différents scrutins, les électeurs ont en effet l’habitude de se perdre dans les bureaux de vote (BV). Et cela crée des tensions. Dans un pays où le taux de pénétration du mobile est estimé à 83%, le téléphone portable devient donc une solution.
[Digital Business Africa] – Sotelma-Malitel, premier opérateur global et historique de téléphonie au Mali a inauguré ce 4 février 2020, son Agence de Bamako-Coura, en présence de Abdel Aziz Beddini, Directeur général de l’opérateur et de Mme Djiré Mariam Diallo, Mairesse de la Commune III du district de Bamako.
L’inauguration de cette nouvelle agence de Malitel s’inscrit dans le cadre d’un vaste programme d’aménagement de l’ensemble des agences commerciales de l’opérateur. La société veut améliorer davantage l’ambiance au sein du travail mais aussi améliorer le service rendu aux clients. Le Directeur général de la Sotelma-Malitel, est venu dire qu’il place désormais la qualité de service au centre de ses activités.
Sotelma-Malitel est l’opérateur historique du Mali. Issu de la scission en 1990 de l’ancien Office des Postes et Télécommunications, Sotelma-Malitel fournit des services de téléphonie fixe, mobile et data (ADSL et FTTH). Elle adresse à la fois une clientèle de particuliers et d’entreprises. Le secteur public est également un client favori de l’opérateur.
Notons que cette agence est la deuxième que l’opérateur inaugure cette année. La précédente était l’agence « entreprises grands comptes » à l’ACI 2000. Abdel Aziz Beddini, a revélé que d’autres agences seront bientôt inaugurées, toujours selon ICT4Africa.
[Digital Business Africa] – Samsung a donné aux téléspectateurs américains un aperçu du nouveau Galaxy Z Flip lors d’un spot publicitaire diffusé pendant la cérémonie des Oscars dimanche 9 février 2020, avant son événement Unpacked, prévu ce mardi, nous informe ZDnet. Le Galaxy Z Flip doit constituer la réponse de Samsung au nouveau téléphone pliable Razr de Motorola, d’une valeur de 1 500 euros. Le Galaxy Z Flip, qui n’a pas été nommé dans la publicité, s’ouvre également verticalement de la même manière que son concurrent.
Samsung devrait dévoiler officiellement le Galaxy Z Flip lors de l’événement Unpacked prévu le 11 février. Un évènement durant lequel le géant coréen devrait également dévoiler trois modèles de smartphones de la gamme “Galaxy S11”, qui pourrait devenir, selon la rumeur, la gamme “Galaxy S20”.
La courte publicité de Samsung pour les Oscars montrait le Galaxy Z Flip en action, prenant une photo, puis étant utilisé pour passer un appel vidéo. L’interface de l’appareil photo se trouve sur l’écran inférieur tandis que le sujet, capturé par l’écran frontal, se trouve sur l’écran supérieur
La publicité diffusée durant la cérémonie des Oscars à la télévision américaine suggère que le Galaxy Z Flip sera au moins disponible en violet et en noir. Samsung a également ajouté un avertissement dans la publicité selon lequel les utilisateurs « peuvent remarquer un pli au centre de l’écran principal, qui est une caractéristique naturelle de l’écran », prévenant les consommateurs que le nouveau pliable aura un pli comme celui du Galaxy Fold.
Le Galaxy Z Flip, le deuxième téléphone pliable de Samsung, sera probablement moins cher que le Galaxy Fold, qui coûte 2 000 dollars. Des rapports suggèrent que Samsung fixera le prix du Galaxy Z Flip, pour concurrencer le Razr, à 1 500 dollars. Ouvert, le Galaxy Z Flip est doté d’un grand écran de 6,7 pouces. L’arrière du téléphone dispose d’un écran de 1,06 pouce qui peut être utilisé pour surveiller les messages entrants, ou comme viseur pour prendre une photo avec le téléphone encore fermé.
Il devrait également être équipé d’un double module de caméra arrière et fonctionner avec un processeur Qualcomm Snapdragon 855+. Pour rappel, l’événement Unpacked se tiendra à San Francisco à 11 heures du matin (20 heures en France), mais il sera également retransmis en direct.
[Digital Business Africa] – Orange Digital Ventures Africa a annoncé, ce lundi 10 février 2020, un investissement dans la marketplace panafricaine Gebeya spécialisée dans la formation et le placement de développeurs, nous informe Ciomag. Selon le site Afriveille, Orange Digital Ventures a dirigé, aux côtés de Partech Africa et Consonance Investment Managers, une levée de fonds de 2 millions de dollars américains qui vont servir à étendre le modèle à l’Afrique francophone.
Gebeya est une société EdTech basée à Addis-Abeba, en Ethiopie. Depuis sa création en 2016, elle a permis à plus de 600 talents spécialisés dans la Tech de valider son programme de formation ; 45 % d’entre eux ont d’ores et déjà trouvé un emploi par le biais de la plateforme.
Afin de toucher plus de jeunes, Gebeya travaille au déploiement de sa plateforme web de mise en relation talents / entreprises, avec l’ambition de devenir le « hub » privilégié pour les entreprises cherchant à identifier et mobiliser des développeurs qualifiés. Cela est d’autant plus vrai dans un contexte mondial où la révolution numérique impacte les modes de travail. Notamment au sein des multinationales comme Orange.
L’engagement de Gebeya dans la formation de développeurs, le groupe Orange souhaite donc l’accompagner. En s’appuyant sur son programme d’investissement dédié, Orange Digital Ventures Africa, créé en 2017. Objectif : soutenir Gebeya dans la recherche d’opportunités commerciales. Y compris avec ses filiales en Afrique. Sa filiale ouest africaine Sonatel est déjà cliente de la start-up.
De quoi réjouir le fondateur et CEO de Gebeya. « Cet investissement permettra de financer le lancement de plusieurs initiatives essentielles pour cette phase décisive de développement de Gebeya, et amorcer notre croissance future », a déclaré Amadou Daffe.
Pour sa part, Marieme Diop, d’Orange Digital Ventures Africa a exprimé la satisfaction de soutenir Gebeya et son équipe « chevronnée ». Elle dit croire fortement à sa capacité à créer un vivier d’ingénieurs africains talentueux à même de répondre à la demande internationale d’expertise dans les domaines de la Tech.
[Digital Business Africa] – Le ministre nigérian des communications et de l’économie numérique, Dr Isa Pantami, a fait une récente mise à jour de la politique d’enregistrement des abonnés et d’utilisation des cartes SIM. Désormais, les abonnés mobiles devront rendre le numéro d’identification nationale (NIN) obligatoire pour l’enregistrement des cartes SIM. La nouvelle règlementation stipule qu’« il devrait y avoir un nombre maximum de cartes pouvant être liées à un seul individu, éventuellement un maximum de trois ».
Quant aux abonnés étrangers, ils devront se faire enregistrer avec leurs numéros de passeport ou de visa. Il est question selon le ministre nigérian, que le numéro d’identité nationale devienne une condition préalable à l’enregistrement de nouvelles cartes. Les raisons principales de cette révision sont d’après lui, liées à la sécurité et la protection des données.
Le texte désormais en vigueur est basé sur les commentaires reçus des agences de sécurité suite à la revalidation réussie des cartes SIM mal enregistrées en septembre 2019. Mais aussi le blocage de ceux qui n’ont pas revalidé leurs SIM.
En effet, en avril 2019 la Commission nigériane des communications (NCC) a affirmé qu’un total de 95,7 millions de cartes SIM utilisées par les abonnés n’étaient pas correctement enregistrées. Mais aussi que sur un total de 151,4 millions d’abonnés enregistrés, seuls 55,7 millions sont valables, soit 63,2 % du total des enregistrements invalides sur la base de la saisie de visages et d’empreintes digitales.
Au Nigeria, cet enregistrement a été signalé en 2011 par la NCC, avec pour objectif d’atténuer les problèmes de sécurité dans la chasse aux cybercriminels. Il s’agissait aussi d’établir une base de données centrale des abonnés afin qu’elle serve de catalyseur au système national d’identification global.
Les personnes impliquées dans les réenregistrements de ces cartes sont passibles, entre autres, de sanction pour violation, d’amende, d’arrestation et de poursuites judiciaires. Un nombre de sanctions qui s’étend aux responsables du marketing des opérateurs de réseaux mobiles et même aux directeurs généraux des titulaires de licences qui profitent de ces activités illégales d’enregistrement des SIM pour atteindre leurs objectifs de marketing.
A présent, les nouvelles dispositions initiées par Pantami visent à limiter totalement l’utilisation des cartes SIM préenregistrées dans le pays. Mais elles constituent par la même occasion un moyen pour les abonnés de vérifier facilement le nombre de cartes enregistrées à leur nom, ainsi que les numéros de téléphones et les réseaux qui y sont associés. Les nigérians devront s’aligner à ces nouvelles directives avant le 1er décembre de cette année.
[Digital Business Africa] –Airtel TV a été lancé et sera accessible gratuitement aux clients prépayés et postpayés avec une carte SIM enregistrée et un casque ou un appareil compatible avec les données, selon Airtel. Les utilisateurs pourront télécharger l’application Airtel TV depuis Google Play Store ou Apple Store.
Le directeur du marketing d’Airtel, Hussam Baday, a déclaré à Itwebafrica que la nouvelle application Airtel TV permet aux clients de profiter des nouvelles en déplacement ainsi que d’autres programmes tels que des films, de la musique, des émissions de téléréalité, des émissions pour enfants, ainsi que des documentaires qui incluent les chaînes de la BBC, d’Hollywood, de Bollywood et de Nollywood.
« Nous sommes heureux de vous proposer une plateforme à guichet unique qui vous propose plus de 30 chaînes en direct et plus de 800 vidéos à la demande, dont le nombre devrait augmenter au cours de l’année, alors que nous ajoutons davantage de chaînes de divertissement pour répondre à vos besoins. toutes les préférences de nos clients », a déclaré Baday. La directrice générale de l’Autorité de la radiodiffusion indépendante (IBA), Joséphine Mapoma, a ajouté: « Les progrès technologiques ont permis de créer de nouveaux contenus multimédias et des plates-formes telles que les services mobiles peuvent désormais diffuser la télévision. »
Yuyo Kambikambi, responsable des communications d’entreprise chez Airtel, a déclaré que l’initiative panafricaine atteint tous les marchés où Airtel est présent. Kambikambi a déclaré: « Le lancement d’Airtel TV s’appuie sur le lancement de notre réseau 4G. Nous avons été le premier opérateur à disposer d’un réseau 100% 4G en Zambie. Donc, nos clients avec des appareils compatibles 4G ainsi que des cartes SIM ne ne bénéficient que d’un service de streaming en continu sur Airtel TV, mais aussi d’une utilisation globale d’Internet. »
Elle a déclaré que, selon un rapport de la Zambia Information and Communications Regulatory Authority (ZICTA), les marchés pertinents et la détermination de la domination pour 2020, il y avait 9 084 189 utilisateurs d’Internet en Zambie au troisième trimestre 2019. Selon Kambikabmi, il s’agit du marché potentiel adressable pour l’adoption du service de streaming multimédia dans le pays.
[Digital Business Africa] – Une mise à jour de Google Maps est prévue ce jeudi 6 février 2020, et continuera de faire évoluer l’appli, qui n’est plus seulement un moyen de navigation, mais aussi un centre d’information sur les points d’intérêt à proximité, etc, nous informe Busines Insider. La mise à jour coïncide avec le 15e anniversaire de Google Maps. La refonte se concentre sur cinq catégories spécifiques : “Découvrir”, “Trajets”, “Lieux enregistrés”, “Contribuer” et “Actualités”.
Elles mettent en évidence toutes les tâches pour lesquelles les gens utilisent Google Maps, alors que la version précédente de l’application ne comportait que les onglets “Découvrir”, “Trajets” et “Pour vous”, qui rassemble des recommandations sur les lieux à visiter. La société prépare en outre d’autres nouveautés. Une d’entre elles concernera la fonction Live View, qui utilise la réalité augmentée pour afficher les directions dans le monde réel, et arrivera dans les mois à venir.
Google Maps devrait aussi fournir plus d’informations sur les transports publics à partir du mois prochain, à l’instar de la fonction ajoutée l’année dernière qui vous indique si votre train est susceptible d’être bondé à une heure donnée. L’icône de l’application a également changé. Elle ressemble désormais à une épingle. C’est la première fois que Google met à jour l’icône de l’application Maps depuis 2015.
[Digital Business Africa] – Le constructeur chinois Huawei annonce qu’il traîne Verizon devant la justice américaine, alléguant que le géant américain des télécommunications a violé ses droits de propriété intellectuelle, nous informe ZDnet. La firme de Shenzhen a intenté un procès à Verizon devant les tribunaux du Texas afin d’obtenir une compensation pour l’utilisation présumée par Verizon d’une technologie brevetée à douze reprises.
« Les produits et services de Verizon ont bénéficié de la technologie brevetée que Huawei a développée au cours de nombreuses années de recherche et de développement », a déclaré Song Liuping, directeur juridique de Huawei, pour justifier cette démarche. Selon l’état-major de Huawei, le procès fait suite à des négociations infructueuses pour parvenir à un accord sur les conditions de licence entre les deux sociétés « pour une période de temps significative ».
« Depuis des années maintenant, nous avons négocié avec succès des accords de licences et de brevets avec de nombreuses entreprises. Malheureusement, lorsqu’aucun accord ne peut être conclu, nous n’avons pas d’autre choix que de chercher un recours juridique », a déclaré la direction du constructeur chinois. Pour celle-ci, il s’agit d’une « pratique courante dans l’industrie. Huawei demande simplement que Verizon respecte l’investissement de Huawei dans la recherche et le développement en payant pour l’utilisation de nos brevets ou en s’abstenant de les utiliser dans ses produits et services ».
[Digital Business Africa] – Le gouvernement du Cap-Vert, représenté par le vice-Premier ministre et ministre des Finances, Olavo Avelino Garcia Correia, a reçu la livraison du projet e-Gov II le 29 janvier 2020. Le projet, financé par la République populaire de Chine à hauteur de 15 millions de dollars, consiste en l’extension du réseau technologique privé de l’État (RTPE) au secteur de l’éducation et de la santé.
Prenant part à la cérémonie de livraison du projet, la ministre de l’Éducation, Maritza Rosabal, a déclaré que « la connectivité du réseau de l’État dans les écoles permettra de se connecter pour avoir plus de connaissances, partager les bonnes pratiques, rechercher et renforcer les partenariats, une plus grande transparence dans les processus. La mise en œuvre du Système intégré de gestion scolaire (SIGE) en est un exemple, car il permet une plus grande transparence et une meilleure sécurité, dans le suivi des processus d’enseignement et d’apprentissage, mais aussi des résultats ».
Le projet e-Gov II est une composante de la stratégie numérique du Cap-Vert, cofinancée à hauteur de 30 millions de dollars, pendant cinq ans par la Banque mondiale.
Le ministre des Finances a souligné pour sa part que « le numérique représente une grande opportunité pour le Cap-Vert. À cette fin, nous voulons avancer beaucoup plus en matière de numérisation, en améliorant les principaux facteurs de développement du secteur, à savoir la connectivité, le haut débit à moindre prix, avec de meilleures conditions du point de vue de l’accès, mais aussi en termes de continuité de service ».
[Digital Business Africa] – Dans un communiqué en date du 30 janvier dernier, l’opérateur de téléphonie mobile Orange a décidé, à compter du 17 février 2020, de procéder à une augmentation tarifaire de communication et de service internet, de l’ordre de 2,04% sur l’ensemble de ses offres et services. Cette nouvelle suscite l’indignation à la ligue des consommateurs, qui menacent de boycotter l’opérateur si rien n’est fait contre cette mesure.
Au cours d’une conférence de presse qu’elle a animé, ce lundi 3 février 2020 à son siège à Ouagadougou, la LCB affirme avoir reçu une invitation d’Orange Burkina pour prendre part à une rencontre de présentation et d’explications de la nouvelle grille tarifaire qui devait se tenir ce lundi. Mais très tôt le matin, par un coup de fil, l’opérateur a reporté la rencontre à une date ultérieure, nous rapporte Lefaso.net.
Rappelons que le Premier ministre, Christophe Dabiré, avait également qualifié la décision de la société Orange d’« inacceptable et contreproductive », car l’adoption de la loi de finances évoquée par Orange ne saurait être un argument suffisant pour décider d’une augmentation des tarifs, de façon unilatérale.
Tout en saluant la réaction « proactive et sans ambages » du gouvernement, qui rejoint la position du bureau exécutif national de la ligue défendue depuis le 1er février, les conférenciers avec à leur tête Dasmané Traoré, estiment que cette décision est « incompréhensible au-delà des récriminations des consommateurs » toujours selon Lefaso.net.
Pour la LCB, le consommateur mérite un peu plus de respect, « c’est parce qu’il y a stabilité que vous êtes là, c’est parce qu’il y a des consommateurs que vous êtes là. Qu’ils discutent avec l’Etat », a suggéré le président de la LCB. Selon les conférenciers, plutôt que de se préoccuper de l’augmentation des tarifs, Orange devrait se concentrer sur les griefs des consommateurs. Il s’agit notamment de « la multiplicité des bonus avec des dates de validité de consommation, la qualité vocale, le retrait des bonus, les messages intempestifs qui incitent aux jeux, la consommation rapide des mégas, la facturation du numéro vert de l’ONEA et du service clientèle ».
Le boycott des produits d’Orange Burkina, c’est l’un des moyens de pression que prévoit la ligue des consommateurs si l’opérateur ne recule pas. En attendant, la ligue prévient que son message n’est pas adressé qu’à Orange mais à tous les opérateurs de téléphonie mobile.
[Digital Business Africa] – L’Agence de protection de l’environnement (EPA) a commencé à prélever à titre expérimental une taxe “éco-redevance anticipée” en abrégé « Eco Levy » sur certains produits électriques et électroniques importés.
D’après Hobson Agyapong, le chef de l’unité des déchets dangereux et électroniques de l’EPA, la phase pilote a commencé au mois de janvier 2020 avec les importateurs de pneus industriels utilisés par les gros camions et avec les climatiseurs.
Il s’exprimait le 20 janvier 2020 à Accra lors de l’inauguration de l’Electronic Waste Round Table Association (EWROTA), une association regroupant des entreprises de gestion des déchets électroniques du secteur formel. Association présidée par Gilbert Odjidja, président. Celui-ci est assisté de Vivian Ahiayibor, vice-présidente, et de Richard Boadi-Soadwa, secrétaire général.
Parmi les 10 sociétés qui composent EWROTA l’on peut citer City Waste, Presank Limited, Marshal and Co, Jekorah Ventures, JSO, Zeal Environment, Integrated Recycling and Compost Plant, Atlantic Phones, Vermark et M. Lawson and Co.
L’idée de cette écotaxe
Le Ghana doit en effet faire face à l’augmentation constante des déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE) importés notamment des pays de l’OCDE. La prolifération de ces déchets entassés sur des décharges à ciel ouvert menace la santé publique et l’environnement alors même que le recyclage de ces déchets doit permettre de générer d’importantes ressources financières ainsi que de nombreux emplois liés à la filière de recyclage, tout en préservant l’environnement du Ghana.
SGS Renovo
C’est dans cette optique de lutte contre ces déchets que le gouvernement ghanéen a fait appel à SGS, pour la mise en place de la solution SGS Renovo, permettant d’assurer la pérennité des ressources financières nécessaires à la mise en place de l’infrastructure de recyclage.
Le groupe SGS a donc reçu du gouvernement ghanéen, à travers le Ministère de l’Environnement, des Sciences et de la Technologie (MESTI) et de l’Agence de Protection de l’Environnement (EPA), un mandat pour mettre en place un système de collecte de l’éco-redevance anticipée auprès des exportateurs d’équipements électriques et électroniques (EEE) et pneus neufs et usagés.
En parallèle, SGS est chargé d’inspecter les pays d’origine de ces produits lorsqu’ils sont déclarés comme usagés, afin de s’assurer que seuls des produits de deuxième main fonctionnels sont exportés vers le Ghana et non des DEEE.
L’idée générale est de pouvoir collecter des fonds pour soutenir la collecte et l’élimination des déchets électroniques et pneumatiques de manière écologique au fur et à mesure qu’ils sont usés.
La section 21 de la loi sur le contrôle et la gestion des déchets dangereux et électroniques de 2016 (loi 917) au Ghana prévoit d’ailleurs cette alternative afin de collecter des fonds durables pour la gestion de ces déchets et ne plus dépendre des donateurs.
Cette taxe commande que tous les équipements électriques et électroniques, ainsi que les pneus exportés au Ghana, soient enregistrés sur la plateforme électronique environnementale déployée par la Société Générale de Surveillance SA (SGS).
Impact sur l’emploi et sur les RH
Moïse YAKAN, directeur régional Afrique centrale et de l’Ouest du Programme SGS Renovo.
Il y a quelques mois, Moïse YAKAN, le directeur régional Afrique centrale et de l’Ouest du Programme SGS Renovo,confiait à Digital Business Africa que ce programme permettra, « à terme, de générer plusieurs centaines de nouveaux emplois (directs et indirects), qu’il s’agisse de personnes travaillant dans la collecte des DEEE ou au sein de l’infrastructure de recyclage, ou de personnes qui souhaiteraient revendre les matières premières issues du recyclage. Nous sommes encore au début du processus, mais nous sommes optimistes sur l’impact de ce programme à l’échelle de l’emploi local ».
Si au départ tous les acteurs de la chaîne, notamment les importateurs n’étaient pas d’accord, ce n’est plus le cas aujourd’hui, confie Hobson Agyapong indiquant que tous sont désormais sur la même longueur d’onde.
« Nous sommes heureux que les importateurs et les exportateurs, ainsi que la GUTA (l’Union des associations de commerçants du Ghana) et les transitaires, aient maintenant compris la nécessité de collecter le fonds et y soient pleinement favorables », indique Hobson Agyapong dont les propos sont rapportés par Graphic Online.
Pour sa part, Gilbert Odjidja a indiqué que l’EWROTA travaillerait avec tous les acteurs du secteur des déchets électroniques et les agences d’État pour gérer les déchets de manière durable. « Le recyclage des e-déchets devrait être faite localement, de sorte que l’étiquette négative du Ghana présentée comme l’une des plaques tournantes des déchets électroniques soit supprimée », a-t-il déclaré.
Ghana : Les déchets électroniques déversés. Crédit photo : Martin Holzknecht, Arnika.
Selon Hobson Agyapong, en plus des pneus industriels utilisés par les gros camions et les climatiseurs, l’EPA prévoit d’en ajouter huit autres pour en faire dix. « Nous allons l’observer pendant un certain temps et le déployer entièrement pour couvrir tous les biens électriques et électroniques », a-t-il déclaré.
Pour le chef de l’unité des déchets dangereux et électroniques de l’EPA, une partie des recettes du fonds sera canalisée vers le renforcement des capacités des acteurs de la chaîne de valeur de la gestion des déchets, en particulier ceux du secteur informel.
De son côté, la directrice générale du ministère de l’environnement, de la science, de la technologie et de l’innovation (MESTI), Mme Levina Owusu, a déclaré que la mise en œuvre de l’éco-taxe constituait un grand coup de pouce aux efforts déployés par le gouvernement pour gérer efficacement les déchets électroniques.
D’après elle, cela permettra entres autres le renforcement des capacités des acteurs du secteur informel dans la chaîne de valeur de la gestion des déchets et mettra fin à la combustion à ciel ouvert des déchets électroniques.
Par Digital Business Africa
Photo : Mr Gilbert Odjidja (right), President of the E-Waste Round Table Association, speaking on behalf of the executive after the inaugural ceremony. Those with him are the other members of the executive. Picture: GABRIEL AHIABOR
[Digital Business Africa] – Ce mardi 4 février 2020, Bloomberg rapporte qu’Instagram a généré 20 milliards de dollars (18,11 milliards d’euros) de revenus en 2019, soit plus d’un quart du chiffre d’affaires total de sa société-mère, nous infore Tech business Inider. Ce chiffre souligne l’extraordinaire succès de l’application de partage de photos depuis que Facebook l’a acquise en 2012. Passée d’une application sans revenu à une centrale génératrice de liquidités, Instagram joue un rôle clé dans la stratégie de la “famille d’applications” de Facebook et dans l’avenir de l’entreprise.
Au total, Facebook a généré environ 70,7 milliards de dollars (64,02 milliards d’euros) de revenus en 2019, dont la quasi-totalité provient de la publicité. On ignore quelle application a dégagé le plus de marge nette entre Instagram et l’application Facebook. Contacté par Business Insider US, Instagram n’a pas souhaité faire de commentaire.
Ce chiffre indique également qu’Instagram génère désormais plus d’argent que la plateforme YouTube. Sa maison-mère, Google, a publié ce lundi 3 février 2020, pour la première fois, des données sur les revenus publicitaires de YouTube. La publicité aurait généré 15 milliards de dollars (13,6 milliards d’euros) en 2019.
Facebook a payé 1 milliard de dollars (0,91 milliards d’euros) en cash et en actions pour acquérir Instagram en 2012. L’application vaudrait maintenant beaucoup plus que cela. En 2018, la valeur théorique d’Instagram était estimée à plus de 100 milliards de dollars (91 milliards d’euros). Elle devrait être encore supérieure à ce montant en 2020.
Instagram a été fondée par Kevin Systrom et Mike Krieger. Ils l’ont quittée en 2018, alors que Facebook s’efforçait d’intégrer plus étroitement la plateforme dans sa “famille d’applications”. Adam Mosseri, un proche du PDG Mark Zuckerberg, a été nommé à sa tête, et ses dirigeants comprennent maintenant de nombreux cadres expérimentés de Facebook.