Modifier l’article
Icône du site
Aucun titre
· Article
Ctrl+K
Enregistrer le brouillon
Publier
Modifier le type ou le style du bloc
Déplacer le bloc Titre de la position 2 vers la position 1
Déplacer le bloc Titre de la position 2 à la position 3 en bas
Modifier l’alignement
Modifier l’alignement du texte
Côte d’ Ivoire : 10 nouvelles juridictions désormais connectées à la plateforme de délivrance des actes judiciaires e-justice.ci
Modifier l’article
Icône du site
Aucun titre
· Article
Ctrl+K
Enregistrer le brouillon
Publier
Modifier le type ou le style du bloc
Déplacer le bloc Titre de la position 2 vers la position 1
Déplacer le bloc Titre de la position 2 à la position 3 en bas
Modifier l’alignement
Modifier l’alignement du texte
Côte d’ Ivoire : 10 nouvelles juridictions désormais connectées à la plateforme de délivrance des actes judiciaires e-justice.ci
Modifier l’article
Icône du site
Aucun titre
· Article
Ctrl+K
Enregistrer le brouillon
Publier
Modifier le type ou le style du bloc
Déplacer le bloc Titre de la position 2 vers la position 1
Déplacer le bloc Titre de la position 2 à la position 3 en bas
Modifier l’alignement
Modifier l’alignement du texte
Côte d’ Ivoire : 10 nouvelles juridictions désormais connectées à la plateforme de délivrance des actes judiciaires e-justice.ci
Modifier l’article
Icône du site
Aucun titre
· Article
Ctrl+K
Enregistrer le brouillon
Publier
Modifier le type ou le style du bloc
Déplacer le bloc Titre de la position 2 vers la position 1
Déplacer le bloc Titre de la position 2 à la position 3 en bas
Modifier l’alignement
Modifier l’alignement du texte
Côte d’ Ivoire : 10 nouvelles juridictions désormais connectées à la plateforme de délivrance des actes judiciaires e-justice.ci
Modifier l’article
Icône du site
Aucun titre
· Article
Ctrl+K
Enregistrer le brouillon
Publier
Modifier le type ou le style du bloc
Déplacer le bloc Titre de la position 2 vers la position 1
Déplacer le bloc Titre de la position 2 à la position 3 en bas
Modifier l’alignement
Modifier l’alignement du texte
Côte d’ Ivoire : 10 nouvelles juridictions désormais connectées à la plateforme de délivrance des actes judiciaires e-justice.ci
Modifier l’article
Icône du site
Aucun titre
· Article
Ctrl+K
Enregistrer le brouillon
Publier
Modifier le type ou le style du bloc
Déplacer le bloc Titre de la position 2 vers la position 1
Déplacer le bloc Titre de la position 2 à la position 3 en bas
Modifier l’alignement
Modifier l’alignement du texte
Côte d’ Ivoire : 10 nouvelles juridictions désormais connectées à la plateforme de délivrance des actes judiciaires e-justice.ci
Modifier l’article
Icône du site
Aucun titre
· Article
Ctrl+K
Enregistrer le brouillon
Publier
Modifier le type ou le style du bloc
Déplacer le bloc Titre de la position 2 vers la position 1
Déplacer le bloc Titre de la position 2 à la position 3 en bas
Modifier l’alignement
Modifier l’alignement du texte
Côte d’ Ivoire : 10 nouvelles juridictions désormais connectées à la plateforme de délivrance des actes judiciaires e-justice.ci
Modifier l’article
Icône du site
Aucun titre
· Article
Ctrl+K
Enregistrer le brouillon
Publier
Modifier le type ou le style du bloc
Déplacer le bloc Titre de la position 2 vers la position 1
Déplacer le bloc Titre de la position 2 à la position 3 en bas
Modifier l’alignement
Modifier l’alignement du texte
Côte d’ Ivoire : 10 nouvelles juridictions désormais connectées à la plateforme de délivrance des actes judiciaires e-justice.ci
[Digital Business Africa] – Au Cameroun, l’ancien directeur général de l’Agence de régulation des télécommunications (ART) Jean Louis Beh Mengue a été placé dans la soirée du 7 août 2019 sous mandat de dépôt a la prison centrale de Yaoundé. Ceci, après avoir été passé près de deux jours au Tribunal criminel spécial où il était entendu dans le cadre d’une enquête depuis le 5 août.
Les faits remontent à 2013, lorsque le Conseil supérieur de l’Etat (Consupe) produit un rapport d’une mission spéciale de contrôle et de vérification mené à l’Agence de régulation des télécommunications (ART). Un rapport qui s’avère être à charge contre celui qui est encore directeur général de l’ART.
Les contrôleurs de cette institution avait
séjourné à l’ART pendant 165 jours, entre 2013 et 2014 et avaient passé au
peigne fin sa gestion sur la période allant de 2008 à 2013. La mission était
alors parvenue à la conclusion qu’en qualité de directeur général de l’Art,
Jean Louis Beh Mengue avait commis plusieurs fautes de gestion qui ont fait
perdre des milliards FCFA à l’Etat. Un préjudice estimé à presque 20,5
milliards de F Cfa.
Il est également reproché à Jean Louis Beh Mengue
de n’avoir pas appliqué les sanctions pécuniaires retenues contre les
opérateurs Orange et MTN Cameroun qui devaient respectivement payer 4,1
milliards FCFA et 523,22 millions FCFA pour divers manquements à leurs cahiers
de charges et constatés par les autorités camerounaises.
Au lieu de faire payer aux opérateurs
l’intégralité des sommes réclamés dans les caisses du Trésor public, l’ancien
DG de l’Art aurait alors demandé à Orange Cameroun de ne payer que 1,25
milliard sur les 4,1 milliards de pénalités infligées et d’investir le reste,
soit 2,89 milliards dans le développement de son réseau téléphonique, et à MTN
de ne rien payer sur les 523 220 000 FCFA de pénalités dues et d’investir
ladite somme pour le développement de son réseau téléphonique. Une décision
jugée par le Consupe contraire à la réglementation relative au recouvrement des
créances de l’Etat. Mais, relevant, d’après experts du secteur, de la
co-régulation et de la gouvernance concertée avec les opérateurs, afin de
transformer les sanctions en investissements.
A la suite de son
placement sous mandat de dépôt, on attend désormais d’être fixé sur la suite de
son procès.
[Digital Business Africa] – Il y a quelques jours, Facebook et son partenaire local Tinaya lançaient le programme « Boost avec Facebook » à Cotonou au Bénin. Une initiative qui ambitionne de former plus de 10 000 entrepreneurs dans six pays dont le Bénin. A l’occasion de cet événement, Aïda Ndiaye, la responsable des politiques publiques de Facebook pour l’Afrique francophone, a indiqué que le Bénin dispose d’un écosystème riche avec beaucoup de hubs, de développeurs qui créent de nouvelles applications innovantes.
« Pour nous à Facebook, nous voyons notre rôle dans cet écosystème en tant que partenaire de soutien. Le Bénin est un pays phare dans le secteur du numérique, car le gouvernement a mis en place des projets phares pour développer l’économie numérique », a-t-elle indiqué à nos confrères de La Nation à qui elle a accordé une interview.
Occasion pour
elle d’interpeller le gouvernement béninois dans ce quotidien national :
« En tant que représentant de
Facebook, le message que j’ai envie de lancer est que nous sommes prêts à
continuer à travailler, à collaborer avec le gouvernement et les institutions
pour faire en sorte que l’Afrique ne soit pas délaissée. Nous souhaitons voir
le Bénin au-devant de toutes les innovations, de toutes les politiques et de
tous les programmes nécessaires pour accompagner les Béninois à profiter
davantage du numérique », a-t-elle affirmé.
[Digital Business Africa] – Après les services des douanes béninoises, les services des douanes du Nigeria s’intéressent aussi à l’expérience camerounaise en matière de gestion et de numérisation des opérations douanières. Une délégation d’une quinzaine d’experts de la douane nigériane conduite par Monsieur B. A. ADEYINI, Contrôleur au Collège de commandement et d’état-majordes services douaniers du Nigeria (Nigerian Customs Services, NCS), a effectué le 16 juillet 2019 une visite d’imprégnation au Port Autonome de Douala afin de s’enquérir des méthodes de scanner des conteneurs.
La visite d’imprégnation de cette délégation constituée de nouvelles recrues de la NCS entre dans le cadre de la formation interne des agents de la NCS sur les meilleures pratiques douanières et sur la facilitation des opérations douanières développées dans les pays membres de l’OMD comme le Cameroun.
D’après B. A. ADEYINI, l’objectif de cette mission à Douala était de s’inspirer de l’expérience camerounaise dans la mise en œuvre, la gestion et l’exploitation des scanners, y compris la sélectivité des conteneurs à haut risque et surtout l’organisation entière de l’administration des douanes.
La délégation des douanes nigérianes visite les scanners du Port autonome de Douala.
M. Divine TANTOH, inspecteur principal a la division des études de la facilitation des échanges et l’analyses du risque DGD8, qui représentait le directeur général des douanes camerounaises et le chef du secteur Douane Littoral 1, lors de cette de visite, a indiqué que le ministre des Finances a validé cette visite de 15 fonctionnaires du Collège de commandement et d’état-major des services douaniers du Nigéria, afin qu’ils s’inspirent de l’expérience de la douane camerounaise en la matière.
Il a ajouté que le Directeur
général des douanes camerounaises a expressément demandé à toutes les parties
prenantes concernées de bien vouloir offrir aux visiteurs un cadre leur
permettant d’acquérir une valeur ajoutée dans l’exercice de leurs fonctions et ainsi
de renforcer l’image de marque de l’administration des douanes camerounaises en
tant que premier pays africain dans la mise en œuvre des opérations de la
technologie 100% Scanning.
La délégation des douanes nigérianes suit avec attention les explications sur la technologie SGS D-TECT déployée au Port autonome de Douala.
Cameroun, premier pays africain à déployer 100% Scanning
Avec le partenariat de SGS, le Cameroun est en effet depuis le 06 décembre 2016 le premier pays africain à mettre en œuvre un programme de numérisation à 100 % (100% Scanning) de ses opérations portuaires, utilisant un matériel de numérisation à haut débit pour toutes les importations, exportations et transits au Terminal international de Douala (DIT). Ce qui fait de DIT/PAD le premier port africain non automatisé à déployer 100% Scanning, ce balayage numérisé à 100% des conteneurs.
A travers ce dispositif, SGS a œuvré à la refonte du processus de numérisation des services douaniers afin de l’intégrer correctement aux opérations du terminal. La technologie 100% Scanning mise en place permet l’intégration de l’analyse d’images par les inspecteurs de première ligne des douanes avec vérification documentaire de la déclaration et des documents justificatifs, le partage des données grâce à une plate-forme unique (SGS D-TECT) qui fournit des images en temps réel aux services de la douane.
La délégation des douanes nigérianes suit avec attention les explications sur les technologies déployées au Port autonome de Douala.
La délégation du Nigeria a donc
visité les sites de Scanner du PAPMOD (Programme d’appui au plan de
modernisation des douanes). Après la visite de ces installations, la
présentation des processus des scanners et la présentation du rôle clé de SGS,
partenaire technique de la douane au Cameroun, une brève réunion a été
organisée pour répondre aux différentes questions de la délégation. C’est ainsi
que Eugène ABLORH, le Scanner Manager du Cameroun, a donné des points-clés pour
répondre aux différentes interrogations et préoccupations des experts venus du
Nigéria :
100% des scanning sur les importations et les exportations
200 000 conteneurs scannés par an
50 000 conteneurs manutentionnés chaque trimestre
Plus de 16 500 à 17 000 conteneurs en un mois pour les importations et les exportations combinées
Technologie de pointe avec une capacité de 150 conteneurs par heure par scanner
Capacité des trois scanneurs : 450 conteneurs scannés par heure
Réduction considérable du contrôle physique des contrôles de conteneurs grâce au système SGS D-TECT qui rend l’image radioscopique en temps réel à la Douane camerounaise
La délégation des douanes nigérianes suit avec attention les explications sur les technologies déployées au Port autonome de Douala.
Au terme de cette visite, impressionné, A. ADEYINI, Contrôleur au Collège de commandement et d’état-major des services douaniers du Nigeria, s’est dit « très satisfait des explications qui leur ont été données au sujet de 100% Scanning » et qu’ils sont favorables à l’implémentation de ces technologies au Nigeria. Il a notamment indiqué qu’ils feront un rapport complet aux autorités nigérianes sur l’expérience camerounaise dans la mise en œuvre de cette technologie 100% Scanning associée au système SGS D-TECT mis en place avec succès par la SGS.
[Digital Business Africa] – Moïse YAKAN, Directeur Régional Afrique Centrale et de l’Ouest du programme SGS Renovo et Directeur Régional GIS West Africa, SGS Ghana Limited, explique à Digital Business Africa pourquoi le 27 juillet 2019, une délégation libérienne conduite par le Commissionner of Customs (Directeur Général des Douanes) du Libéria, Saa Samoi, est venue s’enquérir de l’expérience camerounaise en matière de surveillance douanière. Ceci sous la conduite du Directeur Général des Douanes du Cameroun, Edwin Fongod Nuvaga. La délégation libérienne, en plus du Commissionner of Customs, était composée du Représentant de la Commission Nationale d’Investissement, Pewee S. Reed et d’un cadre du Ministère du Commerce et de l’industrie du Libéria, Stephen Mambu. Ils ont visité les installations de scanning, de vérification et de surveillance des containers au niveau du port de Douala. Par ailleurs, Moïse YAKAN présente succinctement les domaines d’intervention de la SGS au Cameroun.
Digital
Business Africa : Quel était le but exact de la visite des Libériens aux
installations du Port de Douala?
Moïse
Yakan : Dans
le cadre du processus d’évaluation des
offres relatives à l’Appel d’Offres auquel nous participons au Libéria
sur les services d’inspection non intrusives à destination et de la
vérification de la conformité de certains produits importés, des vérifications
nécessaires doivent être effectuées par l’autorité locale en charge du projet.
D’où la présence de la délégation libérienne au Cameroun la semaine dernière
(samedi 27 juillet 2019). Elle vient s’assurer que le contenu de notre Offre Technique est
conforme à ce que nous avons mis en place au Cameroun indiqué comme référence.
C’est assez sensible. Cela reste un processus où SGS sera évalué avec d’autres
structures en compétition, et une seule sera retenue. En réalité, la délégation
aurait pû organiser sa visite ici (au Cameroun) sans même nous contacter dans ce sens que
c’est une enquête qu’elle mène.
Digital
Business Africa : Ils n’ont donc pas été invités par la Douane et encore
moins par la SGS…
Moïse YAKAN, Directeur Régional Afrique Centrale et de l’Ouest du Programme SGS Renovo®
Moïse
Yakan : Non.
Ils n’ont pas été invités par la SGS.
Ils viennent dans le cadre de vérifications (Due Diligence). Mais, ils
collaborent avec nous pour que nous organisions au mieux cette activité. Ils
sont libres de partir ou de rester jusqu’à la fin du programme, car ils
viennent vérifier un certain nombre de choses par rapport à leur projet.
C’est
une visite qui rentre dans le cadre du processus de sélection d’une entreprise.
Pour l’instant, il y a trois entreprises qui sont encore en jeu. Ils nous avaient
demandé d’indiquer trois pays où ce programme est mis en œuvre. Cela a été fait
et ils ont choisi le Cameroun.
Digital
Business Africa : Quels sont les autres procédures pour répondre à cet
appel d’offres ?
Moïse
Yakan : Le
processus est géré au niveau du Libéria par le National Investment commission
(NIC) qui pilote tout le projet pour le compte du Ministère du Commerce et de
l’Industrie (MOCI). A la suite de l’Avis à Manifestations d’Intérêt publié en
fin d’année dernière, nous avons été retenus pour participer à l’appel d’Offres. C’est
dans ce cadre que nous avons soumis nos offres Techniques et Financières.
L’Offre Technique est en cours d’évaluation par le comité en charge, la
structure qui enregistrera le score le plus élevé à la suite de cette
évaluation pour laquelle la note reçue lors des visites de vérifications (Due
Diligence) sera rajoutée, sera qualifiée pour les prochaines étapes :
évaluation de l’Offre Financière, Négociations et signature de Contrat en cas
d’accord
Digital
Business Africa : Comment travaille la SGS au Cameroun ?
Moïse
Yakan : Au
Cameroun, le plus gros de notre activité est assuré par la division en charge
des Services aux Gouvernements et Institutions (GIS), sachant que le Groupe SGS
compte 09 divisions : Agriculture, Food and Life (AFL), Certification and
Business Enhancement (CBE), Consumer and Retail (CRS), Environment, Health and
Safety (EHS), Governments and Institutions (GIS), Industrial (INDIV), Minerals,
Oil-Gas and Chemicals (OGC) et Transportation.
Nous
avons su demeurer le partenaire privilégié du Cameroun pour les services au
Gouvernement en œuvrant pour la dynamisation de l’économie, la facilitation des
échanges et la mise à disposition de prestations adaptées dans le cadre du
contrôle des importations – exportations, la sécurisation des recettes
douanières, la facilitation des échanges et la vérification de la conformité de
certains produits importés dans le pays.
Nous offrons également des services stratégiques
dans les secteurs de l’agriculture, du pétrole, du gaz, de la pétrochimie, de
l’industrie ainsi que la certification.
[Digital Business Africa] – Une délégation libérienne conduite par le Directeur général des Douanes du Cameroun, Edwin Fongod Nuvaga, est venue s’enquérir de l’expérience camerounaise en matière de surveillance douanière. C’était le Samedi 27 juillet 2019, au Port autonome de Douala. La délégation libérienne était composée du Directeur général des Douanes du Libéria, Saa Samoi, du représentant de la Commission nationale d’investissement, Pewee S. Reed et d’un cadre du Ministère du Commerce et de l’industrie du Libéria, Stephen Mambu. Ils ont visité les installations de scanning, de vérification et de surveillance des containers au niveau du port de Douala.
Pendant près de trois heures d’horloge, les Libériens, assistés des responsables de la Société Générale de Surveillance (SGS), ont touché du doigt les réalités pratiquées sur le terrain par la SGS et ses partenaires au niveau du port de Douala avec la technologie 100% Scanning. Ils ont été conduits sur la plateforme de scanners des conteneurs à l’import et à l’export, dans la salle de suivi des images des conteneurs et au centre de contrôle et d’analyse, et de formation.
D’après
la SGS, un scanner installé dans l’enceinte portuaire a une capacité de
traitement de près de 150 conteneurs par heure. A l’export, la société réussit
à scanner environ 200 conteneurs par jour et à l’import près de 350 conteneurs
par jour. Mais, « tout dépend de l’embarquement et du
débarquement », nous fait-on savoir.
Le Directeur général des Douanes du Cameroun, Edwin Fongod Nuvaga, explique certaines procédures à la délégation libérienne.
« Le système est entièrement digitalisé »
Entre
2016 et 2018, les statistiques relatives au scanning des cargaisons au niveau
du Port de Douala (PAD) ont fortement accru. A l’import, elles sont passées de
8657 conteneurs en 2016 à 116339 en 2018. A l’export, elles se chiffrent en
2018 à 86417 contre 7896 en 2017. « Ces données dévoilent à suffisance le
volume des contrôles non intrusifs opérés sur les marchandises conteneurisés au
port de Douala », affirme Edwin Fongod Nuvaga. Pour le chef de la
délégation libérienne, Saa Samoi, Commissionner of Customs, « c’est important de connaître ces
données afin de mesurer l’impact que cela peut également avoir sur notre
activité. Nous apprécions ce qui est fait ici ».
Après
s’être imprégnés des méthodes de travail de la SGS, les Libériens se rendent dans
les locaux du Guichet unique des opérations du commerce extérieur (Guce) pour
comprendre la méthode 100% scanning effectuée par la Douane au niveau du Port
de Douala, avant de rencontrer au terme de la deuxième journée les cadres de
l’Agence des normes et de la qualité (Anor) dans le cadre du Programme d’évaluation
de la conformité avant embarquement des marchandises importées (PECAE).
Lors
des échanges avec les responsables de l’Anor, l’équipe du Liberia est marquée
par le niveau du traitement des données. « Le système est entièrement digitalisé et les données sont centralisées.
Ainsi, les partenaires peuvent facilement avoir accès à une information et traiter
rapidement une marchandise », explique Biakolo Biakolo, chef d’antenne
Anor Littoral, aux hôtes Libériens.
Cette
visite d’évaluation rentre dans le cadre de vérifications nécessaires (Due
Diligence) à la suite des Offres Techniques et Financières de SGS pour la
fourniture des services d’inspection non intrusives à destination et de
vérification de la conformité dans le cadre de l’Appel d’Offres international
lancé par le Libéria en Janvier 2019. Au terme de cette visite, Thierno Bah,
GIS Manager de SGS Cameroun, espère avoir marqué de bons points. « Il était question de présenter nos
différents atouts et leur montrer comment ils sont pratiqués et l’apport de
notre méthode sur nos différentes activités », fait-il savoir.
Par Digital
Business Africa
Cameroun, premier pays africain à déployer 100% Scanning
Avec
le partenariat de SGS, le Cameroun est en effet depuis le 06 décembre 2016 le
premier pays africain à mettre en œuvre un programme de 100% Scanning de ses
opérations portuaires, utilisant du matériel d’inspection non-intrusifs à haut
débit, pour toutes les Importations, Exportations et Transits au Terminal
International de Douala (DIT). Ce qui fait de Port Autonome de Douala le
premier port africain non automatisé à déployer le 100% Scanning. C’est-à-dire
le passage au scanning de tous les conteneurs qui débarquent et embarquent au Port
de Douala.
A
travers ce dispositif, SGS a œuvré à la refonte du processus de numérisation
afin de l’intégrer correctement aux opérations du terminal, à l’intégration de
l’analyse d’images par les inspecteurs de première ligne des douanes avec
vérification documentaire de la déclaration et des documents justificatifs, au
partage des données grâce à une plate-forme unique qui fournit des images en
temps réel au sein du réseau douanier.
Avec l’assistance technique de SGS par la technologie 100% Scanning, les douanes camerounaises ont été en mesure de réduire au minimum le contrôle physique des contrôles de conteneurs grâce au système SGS D-TECT qui est une solution de traitement et d’analyse d’images radioscopique. Les conteneurs sont donc scannés et les images mises à la disposition des douanes camerounaises en temps réel par le système SGS D-TECT. Ce qui facilite et allège les vérifications physiques. Par Digital Business Africa
[Digital Business Africa] – La startup Tiwyn a procédé au lancement officiel de ses activités jeudi 1er août 2019 à Douala. Tiwyn qui signifie « this is what you need » (ce dont tu as besoin) est une plateforme commerciale qui met en vitrine les entreprises africaines. Elle a pour principale mission d’offrir un centre commercial digital, simple et facile d’accès, mettant directement en contact les Petites et moyennes entreprises (PME) de tous les secteurs d’activités avec leurs clientèles cibles à travers le Cameroun et l’Afrique.
Co-fondatrice et par ailleurs responsable marketing et communication de cette startup, Jovanie Peughouia relève quelques particularités de cette plateforme numérique : « En comparaison à d’autres plateformes commerciales, Tiwyn met en avant l’entreprise et non le produit. » Il est ajouté que cette startup n’interfère pas dans la transaction entre le vendeur et le consommateur. Et, pour un début Tiwyn ne prendra pas de frais de transaction dans l’échange entre le vendeur et le consommateur.
Considérée
comme un centre commercial digital, la startup Tiwyn offre donc la
possibilité aux entreprises de louer des espaces pour promouvoir leurs activités.
D’après Thierry Fotso, gérant de la plateforme, être vendeur sur Tiwyn donne droit à de nombreux avantages concurrentiels. « Nous proposons des stratégies aux PME afin d’améliorer leurs ventes en ligne ; elles ont droit au sponsoring gratuit sur les réseaux sociaux ; un blog d’échanges avec d’autres utilisateurs est disponible, et les vendeurs peuvent garder le contrôle de leurs transactions ».
Selon
les responsables de la plateforme, le but de leur idée business n’est pas
d’éliminer la vente conventionnelle, mais de la rendre plus moderne. A ce jour,
apprend-on, plus de 300 vendeurs ont déjà adhéré au nouveau concept.
[Digital Business Africa] – Le Next Einstein Forum (NEF) a publié ce 05 août 2019 à Kigali au Rwanda les lauréats de sa troisième promotion des 25 scientifiques africains d’envergure. Tous sont âgés de moins de 42 ans. Leurs recherches et innovations contribuent à relever les défis les plus urgents pour l’Afrique et le monde.
« Je suis ravi de présenter la 3ième promotion des lauréats NEF pour deux raisons : la première est le fait que nous avons presque atteint la parité, avec 11 femmes au sein de la promotion. La seconde raison est la variété des domaines et des pays d’où sont issus les lauréats. Les lauréats sélectionnés font de la recherche de pointe dans le secteur de l’énergie renouvelable, de la nanomatériau et de la nanotechnologie, de la sécurité alimentaire, de la médecine de précision, des systèmes de santé, de la science du climat et de l’urbanisme. Le fait que deux scientifiques sociaux aient été sélectionnés pour cette promotion constitue également une première pour le groupe des lauréats. Nous sommes convaincus que leurs découvertes actuelles et futures résoudront les enjeux mondiaux et nous sommes ravis de vous les présenter », a déclaré Thierry Zomahoun, fondateur , président du Next Einstein Forum et président-directeur général de l’Institut panafricain des sciences mathématiques (AIMS).
Initiative de l’Institut panafricain des sciences mathématiques (AIMS), le NEF récompensera les lauréats lors de sa rencontre Internationale 2020 à Nairobi, au Kenya, le 10 mars 2020, sous le patronage du président Uhuru Kenyatta. Les lauréats NEF perpétueront la tradition qui consiste à présenter leurs recherches innovantes lors de cette rencontre.
Ils sont sélectionnés par un comité de programme scientifique international, grâce à un processus rigoureux prenant en compte le mérite en matière académique et scientifique, le nombre de publications, l’obtention des brevets, des prix et la preuve de levées de fonds indépendantes pour la recherche. Les lauréats doivent également démontrer la pertinence de leurs recherches ou innovations vis-à-vis des grands enjeux de l’humanité, ainsi qu’une volonté de promouvoir le profil scientifique de l’Afrique et d’inspirer les générations futures de leaders scientifiques.
« Nous sommes très heureux d’accueillir la nouvelle promotion au sein de la communauté grandissante des scientifiques du NEF, et des trente-cinq lauréats ayant précédé ce groupe. Cette promotion a été sélectionnée en un temps record grâce à la qualité de ces profils et nous sommes impatients de compter ces contributions parmi nos programmes de travaux prospectifs et d’engagement public tels que la Semaine Africaine de la Science», a déclaré le Dr Youssef Travaly, vice-président des sciences, de l’innovation et des partenariats du NEF.
Entre autre innovations, la seconde promotion a été à l’avant-garde des recherches innovantes en matière de blockchain pour les microcrédits, de bioinformatique pour l’amélioration de la production agricole et de détection non-invasive de la malaria. Plusieurs lauréats ont été récompensés par un million de dollars pour leurs recherches. Les lauréats du NEF ont dirigé la publication du journal scientifique africain du NEF qui en est à son quatrième numéro depuis mars 2018. En reconnaissance de leurs travaux et de leur excellence scientifique, trois lauréats ont rejoint le comité de programme scientifique international du NEF.
Next Einstein Forum Lauréats Web
Découvrez les lauréats NEF 2019-2021
Le Dr Badre Abdselam (Maroc) contribue à la conception et à la mise en œuvre de politiques régionales relatives à la mobilité volontaire des jeunes scientifiques sur le continent africain pour optimiser la circulation des cerveaux.
Le Dr Ademola Adenle (Nigéria) mène des recherches dans le domaine des politiques scientifiques et technologiques pour répondre aux enjeux de développement durable tels que le changement climatique, l’insécurité alimentaire, les innovations en matière énergétique et sanitaire en Afrique.
Le Dr Fanelwa Ajayi (Afrique du Sud) cherche à développer diverses nanoparticules, notamment avec l’utilisation de substances consommables telles que les fruits et les légumes, et à leur trouver d’autres applications.
Le Dr Daniel Akinyele (Nigéria) se consacre à la découverte de connaissances plus approfondies dans la planification, le développement et la gestion de nouveaux systèmes d’électrification pour les communautés dépourvues d’électricité, grâce à la politique environnementale économique, technique et sociale, connue sous le nom de STEEP.
Le Dr Zaheer Allam (Ile Maurice) étudie la dynamique de façonnement de la vie urbaine de l’Anthropocène afin de développer de manière plus adéquate des politiques visant à améliorer le niveau économique et d’habitabilité des villes futures, qui devront héberger la majorité des êtres humains de la planète.
Le Dr Ibrahim Cissé (Niger) s’intéresse au développement de méthodes de microscopie à haute résolution allant directement à l’intérieur des cellules vivantes et de biomolécules simples pouvant décoder le génome humain d’ADN en ARN
Le Dr Menattallah Elserafy (Égypte) étudie les mécanismes de réparation ADN, afin de comprendre les processus cellulaires, qui, une fois décryptés, modifieront les diagnostics et ouvriront la voie à des thérapies personnalisées.
Le Dr Obidimma Ezezika (Nigéria) étudie les processus permettant de contribuer au développement de nouveaux modèles industriels afin de renforcer efficacement les interventions sanitaires en Afrique subsaharienne.
Le Dr Jesse Gitaka (Kenya) travaille à l’élimination de la malaria, au diagnostic précoce et à la gestion des infections bactériennes maternelles infracliniques permettant de prévenir les enfants morts-nés, prématurés, les septicémies et la mortalité maternelle et du nouveau-né.
Le Dr Alpha Keita (Guinée) espère développer, avec son équipe en Guinée et en France, les réservoirs de virus pour mieux comprendre l’histoire naturelle de la propagation du virus Ebola.
Le Dr Agnes Kiragga (Ouganda) a pour objectif de fusionner les méthodes de science des données et d’apprentissage automatique avec les « ensembles de données » disponibles et les dossiers médicaux existants pour prévoir et prévenir le VIH au sein des groupes à haut risque en Afrique.
Le Dr Eric Lontchi (Cameroun) étudie les manières de combattre l’épidémie croissante d’obésité et de diabète, et espère découvrir de nouvelles informations relatives à la pathogenèse et à des traitements potentiels du diabète.
Le Dr Salome Maswime (Afrique du Sud) dirige un projet de recherche visant à étendre la mise en œuvre du modèle de programme d’identification du problème périnatal à quatre autres systèmes de santé en Afrique.
Le Dr Blessing Mbabie (Nigéria) cherche à traiter l’état en temps réel de la résistance antimicrobienne et les facteurs sociaux qui l’entraînent, en découvrant des médicaments naturels dotés d’inhibiteurs à haut potentiel du mécanisme de résistance antimicrobienne.
Le Dr Ebele Mogo (Nigéria) consacre ses recherches à la transformation des systèmes sociétaux qui reconnaissent les réalités contextuelles africaines pour imaginer des communautés saines et prévenir les maladies non transmissibles.
Le Dr Vidushi Neergheen-Bhujun (Ile Maurice) est déterminé à établir un lien entre le rôle de l’alimentation fonctionnelle et la prévention du cancer.
Le Dr. Marian Nkansah (Ghana) se concentre sur le développement de la connaissance publique en matière de produits chimiques toxiques issus d’emplacements inhabituels et le risque associé sur les communautés locales, renforçant le croisement de l’évidence scientifique et des politiques.
Le Dr. Eucharia Nwaichi (Nigéria) dirige des projets de recherches dont l’objectif est de trouver des stratégies d’assainissement durable et sécurisé pour la réhabilitation des environnements affectés par le pétrole dans le delta du Niger.
Le Dr Cecil Ouma (Kenya) exploite les recherches actuelles sur les ressources énergétiques et technologies associées, avec l’espoir d’innover dans le domaine des technologies hors réseau bon marché et à petite échelle pour les agglomérations rurales et périurbaines d’Afrique.
Le Dr Dyllon Randall (Afrique du Sud) souhaite modifier nos systèmes d’assainissement modernes pour se consacrer à la récupération des ressources plutôt qu’à leur simple traitement, pour amener les communautés à repenser « les eaux usées » comme étant une ressource précieuse.
Le Dr Samson Rwahwire (Ouganda) met à profit ses connaissances en science des matériaux et en nanotechnologies pour modifier le bitume pour la construction des routes en utilisant les nanosciences écologiques comme agent de couplage des déchets plastiques.
Le Dr Cheikh Sarr (Sénégal) s’intéresse au développement d’un prototype de véhicule autoconduit, équipé de nombreux réseaux de capteurs, visant à faciliter la mobilité des personnes en situation d’handicap.
Le Dr Geoffrey Siwo (Kenya) souhaite associer l’intelligence artificielle aux données génétiques et aux connaissances scientifiques afin d’accélérer la découverte de principes fondamentaux pouvant permettre un développement équitable de la médecine de précision.
Le Dr Sara Suliman (Soudan), co-inventrice d’un biomarqueur quatre gènes, étudie la raison pour laquelle les gènes impliqués dans la régulation des électrolytes des membranes cellulaires des mammifères peuvent conférer une sensibilité au pathogène le plus mortel au monde : Mycobacterium tuberculosis.
Le Dr Jessica Thorn (Namibie) utilise le modèle de système écologique et social et la planification participative des scénarii pour étudier et mesurer l’impact des corridors de développent sur l’occupation des territoires, les moyens de subsistance, l’écosystème, et la cohérence sociale.
À propos du Next Einstein Forum
Lancé en 2013 par l’Institut panafricain des sciences mathématiques (AIMS), le
travail du Next Einstein Forum (NEF) est façonné par sa conviction que le
prochain Einstein sera Africain. Son challenge, faire de l’Afrique une
plateforme scientifique et technologique mondiale. Le NEF relie la science, la
société et les politiques africaines au reste du monde – avec l’objectif
d’utiliser la science pour le développement humain à l’échelle mondiale. Le NEF
a organisé des rencontres internationales, bi-annuelles, la conférence des sciences et de l’innovation la
plus importante d’Afrique.
Bien plus qu’un simple forum scientifique,
les rencontres internationales du NEF placent les sciences au centre des
efforts mondiaux de développement. En présence de leaders politiques et
industriels, et une attention particulière envers les jeunes et les femmes, les
voix des leaders scientifiques peuvent ici être entendues et avoir une
incidence majeure sur l’avenir scientifique de l’Afrique.
La prochaine Rencontre
Internationale du NEF 2020 aura lieu du 10 au 13 mars 2020, à Nairobi, au
Kenya. En outre, le NEF organise chaque année une Semaine Africaine de la Science dans plus de 30
pays. L’édition de cette année se tiendra dans 40 pays en octobre 2019. Pour
rendre les sciences pertinentes pour tous, la NEF publie un magazine
public Scientific African Magazine.
[Digital Business Africa] – La Commission économique Unies pour l’Afrique (CEA) a annoncé avoir signé un protocole d’accord avec l’Arméniequi va dans le sens de la promotion du le concept de développement intelligent, qui rentre dans le cadre de l’Agenda 2030 pour le développement durable et l’Agenda 2063 de l’Afrique. De manière pratique, l’accord signé avec la Fondation de la pépinière d’entreprises (EIF) concerne « les domaines de l’identification numérique, du commerce numérique et de l’économie numérique ; du renforcement de la capacité de la CEA en matière de collecte de données ; de la promotion de l’innovation interne, ainsi que de l’appui extérieur au programme de développement de l’Afrique ; des travaux de recherche sur les politiques et activités avec les universités dans le domaine du génie biométrique ; de l’appui au développement des processus de paiement en ligne et des droits de propriété intellectuelle en ligne », fait savoir la CEA dans son communiqué.
« L’Université d’Addis-Abeba et l’EIF ont
signé un protocole, suivi de discussions approfondies qui ont abouti à un plan
d’action de coopération. Les efforts décrits visent à mettre en œuvre
conjointement le programme national de laboratoires d’ingénierie qui connaît un
succès en Arménie, la formation d’un écosystème de jeunes entreprises
d’ingénierie et la recherche commune », explique le Directeur par intérim
de la Division des publications, des conférences, de la gestion des
connaissances et des TIC (PCKMD), Almoustapha Amadou Cissé.
L’Arménie, ancienne république soviétique située dans la région montagneuse du Caucase entre l’Asie et l’Europe, est une plaque tournante pour le développement de logiciels, l’informatique industrielle, l’électronique et la production de semi-conducteurs. Son secteur des technologies de l’information et de la communication joue un rôle important dans l’économie du pays en raison de la force de travail concurrentielle, de sa part dans le PIB, de la croissance constante du nombre d’entreprises et du chiffre d’affaires total. En l’absence de ressources naturelles, le Gouvernement arménien s’intéresse de près au concept d’innovation et de développement des ressources humaines dans son programme de révolution économique, créant ainsi des conditions optimales permettant aux populations de tirer parti de leurs capacités de production par la recherche et le développement.
[Digital Business Africa] – Depuis le 25 juillet 2019, Cyrille Lavoisier Kemayou est le directeur général d’IHS Towers Rwanda, l’un des plus importants fournisseurs d’infrastructures de télécommunications mobiles en Afrique, en Europe et au Moyen-Orient. Il prend ainsi la direction de IHS Rwanda Ltd, qui a débuté ses activités en décembre 2013, et qui détient et exploite la majorité des tours de télécommunication dans le pays. Sa mission sera donc d’impulser une nouvelle dynamique dans le développement de cette filiale du groupe dans ce pays d’Afrique de l’Est.
Avant sa nomination, Cyrille Lavoisier Kemayou était directeur commercial et des services corporate chez IHS Towers Cameroon depuis décembre 2012. Le spécialiste des ventes, du marketing et de la communication d’entreprise est titulaire d’une maîtrise en Publicité et Relations publiques de l’Ecole supérieur des Sciences et Techniques de l’information et de la Communication de Yaoundé (Esstic).
Cyrille Lavoisier Kemayou, nouveau DG de IHS Towers Rwanda
Une riche expérience
Durant six ans, il a été en charge de la responsabilité sociétale de MTN Cameroon. Il compte également à son CV plusieurs postes de direction. Parmi ceux-ci, directeur général adjoint chez UNIPAL Central & West Africa (P & G Affiliated Distributor) durant deux ans (de janvier 2011 à décembre 2012). Tout comme de 2008 à 2010 il a été Directeur à Palmares Sport, une boîte chargée de la définition et de l’opérationnalisation des stratégies de parrainage et de marketing de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT).
En 2016, il a également suivi un programme pour cadres supérieurs à la Harvard Business School, aux États-Unis. Une expérience qu’il est désormais appelé à mettre au service d’IHS Towers Rwanda.
Selon Freddy Tchalla, CEO de MTN Côte d’Ivoire, Cyrille Lavoisier Kemayou est un professionnel bien organisé pour livrer des projets dans des normes élevées. Joël Ndjodo, ancien collègue à MTN Cameroon dit de ce brave Camerounais qu’il est « un professionnel devoué, rigoureux avec beaucoup d’empathie et surtout doté d’une culture éprouvée du résultat et de la performance. Son leadership et son sens du planning ont toujours été mis au service de la compagnie ».
[Digital Business Africa] – Au Nigéria, la filiale locale du groupe de télécommunications Sud-africain MTN est à nouveau en conflit avec les autorités. Ceci, en lien avec l’affaire de la non désactivation des cartes SIM non enregistrées qui avait valu à l’opérateur une amende de 1,1 milliards de dollars. Dans une communication qui date du 2 août 2019, MTN Nigéria a fait savoir qu’il a demandé un contrôle judiciaire après que l’administration fiscale nigériane a désapprouvé le traitement comptable par l’entreprise de l’amende en tant que coût d’exploitation. « Nous pensons que l’amende devrait être traitée comme une partie des coûts d’exploitation de l’entreprise, mais l’autorité fiscale nigériane, la Federal Inland Revenue Service (FIRS) pense le contraire. Nous avons tout payé à la FIRS, puis nous sommes allés devant le tribunal », explique le porte-parole de MTN dans un communiqué.
De manière concrète, MTN demande à la justice fiscale nigériane de décider si elle doit payer au gouvernement une taxe sur les sociétés pour une amende de 1,1 milliard de dollars. Ou si à la place, elle est autorisée à traiter cette amende comme étant un coût d’exploitation. S’il arrivait que la Justice nigériane donne raison à MTN, cela créerait un précédent en ce qui concerne la manière dont les sanctions sont traitées par les sociétés enregistrées au Nigéria.
Cette nouvelle affaire vient
s’ajouter à la longue liste de conflits entre MTN Nigéria et les autorités de
ce pays. Déjà en octobre 2015, l’opérateur écopait d’une amende de 5,2
milliards de dollars pour n’avoir pas désactivé dans les délais les lignes
téléphoniques non identifiées. Finalement, l’amende avait été ramenée à 1,1
milliard de dollars après de multiples tractations, y compris au sommet de
l’Etat.
Ensuite, en août 2018, MTN Nigéria
avait été sommé par la Banque centrale du Nigéria de rapatrier 8,13 milliards
de dollars au Nigeria. Des fonds
considérés comme sortis illégalement du pays, avec la complicité de banques
locales. Pour se sortir de cette autre affaire, MTN a dû débourser 51,7
millions de dollars pour payer une amende. Aujourd’hui encore, MTN est accusé
par les autorités du Nigéria de non-paiement detaxes sur l”importation d’équipements et sur ses paiements à des
fournisseurs étrangers. Dans cette affaire, les autorités nigérianes réclament deux
milliards de dollars.
[Digital Business Africa] – Au Nigeria, l’avenir de la filiale locale du groupe sud-africain de télécommunications MTN se jouera certainement dans le secteur de la fintech. L’opérateur a en effet annoncé avoir obtenu de la banque centrale du Nigeria une licence qui lui permet de se lancer dans la prestation de services financiers. La première étape pour lancer son service de mobile money, qui fait grande recette dans les autres pays où le groupe est présent. Seulement, au Nigéria, la réglementation dans le secteur financier est stricte, et ne permet qu’aux banques agrées, ou aux sociétés de technologies en partenariat avec les banques d’utiliser l’argent mobile.
Cette règlementation a justement entrainé un
ralentissement de l’inclusion financière du Nigéria par rapport aux autres pays
d’Afrique subsaharienne. Dans ce pays, seul 40% détient un compte bancaire, et
plus de 60 millions de personnes n’ont pas accès aux services financiers.
Justement, la stratégie de MTN qui dispose dans le pays de 67 millions
d’habitants est de capitaliser sur le faible taux de bancarisation et offrir
aux personnes non bancarisées, mais qui disposent tout de même d’un téléphone
portable. Avec l’obtention par MTN de la qualité de « super agent », l’opérateur pourra déployer prochainement son
service baptisé Yello Digital Financial
Services Limited (YDFS).
« Cela constitue une première étape très importante pour exploiter notre infrastructure afin de faire évoluer nos initiatives de technologie financière. Nous avons également demandé une licence de banque de services de paiement, ce qui nous permettra d’offrir à terme une gamme de services financiers plus large et plus approfondie à ces communautés et nous espérons toujours que nous obtiendrons l’approbation sous peu », explique le PDG de MTN Nigeria, Ferdi Moolman.
Notons toutefois que la libéralisation progressive de ce secteur entrainera une concurrence accrue. Parmi les plus en vue, le groupe indien Airtel qui a annoncé dès 2018 une extension de son service Airtel Money. Dans ce sillage, Airtel a obtenu un financement de 1,25 milliards de dollars. De quoi propulser la croissance de ce service sur le continent.
[Digital Business Africa] – Au Sénégal, c’est une offre qui devrait permettre aux foyers les plus démunis d’accéder à Internet. La Sonatel a annoncé le 30 juillet 2019 le lancement de l’acte 4 de son programme d’universalisation de l’accès à un Internet abordable et de qualité. D’après le média en ligne innovafrica.net qui révèle l’information, cette phase offre aux utilisateurs finaux la possibilité de bénéficier d’une baisse de 83% du prix du mégabit sur les offres Internet à la maison, comparée aux tarifs de 2016.
« L’objectif de cet acte 4 est d’accélérer davantage l’entrée de l’Internet fixe dans chaque foyer, quel que soit la technologie disponible dans les zones d’habitation et son niveau de revenu. », explique Sékou Dramé, le directeur général de la Sonatel. Selon la Sonatel, une telle réduction de prix est rendue possible par la fibre optique d’Orange qui a apporté l’Internet très haut débit. Cette avancée a également permis la réduction du prix du mégabit de 79%. Une réduction aujourd’hui répliquée dans le cadre de cette offre.
[Digital Business Africa] – Le groupe de e-commerce Jumia a annoncé le 29 juillet 2019 s’être associé à Vivo Energy, détaillant et distributeur panafricain de carburants et lubrifiants aux marques Shell et Engen. L’accord vise à faire des points de vente de Vivo Energy, des points de distribution de Jumia. Ceci, dans tous les pays où les deux partenaires sont implantés.
«Nous cherchons constamment à adapter davantage notre technologie pour faire partie de l’infrastructure locale et devenir plus accessible à un plus grand nombre de clients. Nous sommes ravis d’annoncer ce partenariat avec Vivo Energy, car nous sommes confiants que leur réseau de vente au détail permettra à Jumia de livrer facilement des produits aux clients actuels et nouveaux, y compris dans les régions éloignées. Nous continuerons à élargir nos partenariats de marque dans le but de diversifier les offres de produits », explique Boris Gbahoue, vice-président exécutif du marketing de Jumia.
Cet accord sera progressivement implanté dans les pays du continent. Ce sera le cas prochainement au Cameroun, où la filiale locale affirme se préparer à l’implémentation de ce projet : « Ce partenariat entrera prochainement en vigueur au Cameroun. Nous travaillons d’ailleurs à son implémentation. Au vu de la place du Cameroun dans le développement du e-commerce, et surtout la place prépondérante de Jumia, nous y voyons une opportunité qu’il faut au plus vite exploiter afin de nous rapprocher le plus de nos clients », affirme Simon Mbelek, le Responsable Communication & Relations Publiques de Jumia Cameroun.
[Digital Business Africa] – Au Cameroun, l’administration marque un pas de plus dans sa marche progressive vers la digitalisation complète de ses services. Ceci notamment, avec l’entrée en service d’une plateforme d’interconnexion des applications informatiques de trois administrations : Système de Sécurisation des Documents et Titres de Transport (SSDT) du Ministère des Transports (MINT), Système Douanier Automatisé (SYDONIA) de la Direction générale des Douanes(DGD) et Fiscal Information System (FISCALIS) de la Direction générale des Impôts(DGI).
« Ladite plateforme
favorisera la collaboration et les échanges de données entre les systèmes
informatiques interconnectés. La
plateforme d’interconnexion proposée dans le cahier des charges préconise : la
mise en place d’un serveur d’échange ou Swap
dans chaque système. Le serveur de Swap du MINT contiendra l’ensemble
des informations sur les cartes grises
des véhicules automobiles immatriculés tel que défini dans le protocole
d’échanges. Le serveur d’échange de la DGD conservera les informations
contenues sur les attestations de dédouanement des véhicules automobiles
importés. Enfin, le serveur d’échanges de la DGI recueillera toutes les données affichées sur les
quittances d’enregistrement des véhicules automobiles », explique la
douane camerounaise.
On apprend également de
la même source que chaque serveur d’échange reçoit puis publie les données
qu’une Administration met en partage ou en échange avec les deux autres
Administrations parties prenantes. Par ailleurs, le passage par les serveurs
d’échange permet non seulement à chaque
système de poursuivre son fonctionnement normal et régulier mais surtout, donne
une certaine flexibilité à chaque administration
consommatrice de données, d’imaginer tout type d’exploitation étant donné qu’on
ne saurait être exhaustif à l’heure actuelle quant à l’ensemble des besoins
d’exploitation.
Selon la direction générale de la Douane, la consultation des données dans les divers serveurs d’échanges utilise le numéro de châssis comme clé de recherche. Avant la production d’une carte grise, le SSDT vérifiera, de façon automatique à l’aide d’une requête dans les serveurs d’échange de la DGD et de la DGI, que l’Attestation de Dédouanement et la Quittance d’enregistrement des impôts sont authentiques et figurent dans les bases de données des serveurs d’échanges de la DGD et de la DGI ; lorsque le résultat de la requête indique que le document présenté par l’usager est faux, la carte grise n’est pas produite et un rejet conséquent est généré par le SSDT et retourné aux autres administrations (DGD,DGI).
[Digital Business Africa] – La capitale congolaise abritera le 8 août 2019 la BantuHub Conference. Un évènement à l’initiative de l’organisation de promotion des TIC et de l’entrepreneuriat juvénile en République du Congo BantuHub, qui entend présenter aux jeunes et aux investisseurs toutes les opportunités qu’offrent le secteur de la Fintech en Afrique. D’où le thème retenu : « Enjeux de la fintech et perspectives pour le Congo ».
Selon BantuHub, cette rencontre permettra de questionner dans le fond le fonctionnement et les opportunités du secteur de la Fintech dans le pays, et en Afrique en générale. De manière précise, trois grandes problématiques seront étudiée : « quels peuvent être les paramètres à prendre en compte avant de se lancer dans le secteur de la Fintech ? Comment le Congo peut-il concilier son appétence pour les TIC et la fintech avec sa difficulté à mettre en place un écosystème de nature à libérer son potentiel numérique ? Et pour terminer, les quelques entreprises locales qui exercent déjà sur ce segment s’accrochent malgré les obstacles. Que peut-on apprendre de leur expérience ?
Autant de questions qui trouveront des réponses le 8 août 2019 lors de cette conférence libre d’accès. Pour plus d’informations à propose de l’évènement, vous pouvez vous rendre à l’adresse http://www.bantuhub.com/conference/
[Digital Business Africa] – Après l’Afrique centrale et une partie de l’Afrique de l’Ouest en mai 2019, le géant américain Facebook a annoncé le lancement au Bénin de son vaste programme de formation de jeunes entrepreneurs baptisé « Boost Avec Facebook ». Pour ce pays, Facebook entend former gratuitement 1 500 entrepreneurs aux techniques du marketing digital.
« Facebook veut donner aux petites et moyennes entreprises du Bénin les moyens d’exploiter les plateformes digitales pour démarrer et faire grandir leur activité. Le secteur numérique représente un formidable levier de croissance pour le Bénin. À travers le programme Boost Avec Facebook, Facebook s’engage auprès des entrepreneurs béninois pour leur permettre de développer leurs activités grâce aux opportunités du digital » explique Aïda Ndiaye, Responsable affaires publiques en Afrique francophone.
De manière plus générale, à travers Boost Avec Facebook, le groupe américain
veut former 10 000 entrepreneurs en Afrique francophone d’ici l’horizon
2020. Cette formation se fera notamment par des ateliers, mais aussi des
séances d’immersion dans des petites et moyennes entreprises, à même d’apporter
une plus-value dans le développement de leurs activités.
[Digital Business Africa] – C’est une bonne nouvelle pour les startups africaines. L’accélérateur de startups marocain Hseven a annoncé qu’il accordera un financement qui pourra aller jusqu’à 1,5 millions d’euros aux startups africaines. Ceci, dans le cadre d’un ambitieux programme d’accélération de startups marocaines, et également africaines. Selon Hseven, ce programme baptisé « Hseven Disrupt Africa » devra durer six mois, et facilitera l’accès aux financements des startups bénéficiaires. Sur le principe, le programme vise les startups «seed» et «early stage», c’est-à-dire constituées de deux à cinq entrepreneurs. Surtout, les projets sélectionnés doivent présenter un impact à grande échelle en Afrique.
Dans son implémentation, le programme bénéficie du soutien de plusieurs organismes tels la Dutch Good Growth Fund (DGGF) ou encore la Banque mondiale. Il débutera par un appel à candidature qui permettra de sélectionner les startups qui répondent aux mieux aux critères définis. Les sélections se feront dans les villes de New York, Montréal, San Francisco, Shanghai, Dubaï, Londres, Amsterdam, Paris et Casablanca. « Les startups sélectionnées bénéficieront d’un investissement de 150 000 d’euros au début du programme, pour 5% à 7% d’équité. Puis un éventuel investissement de 500 000 à 1.5 million d’euros à la fin du programme », indique Hseven, qui précise que ces investissements seront effectués majoritairement grâce à un partenariat avec le fonds d’investissement Capital-Risque Azur Partners.
[Digital Business Africa] – En France, c’est une avancée législative importante dans le domaine du numérique. Un décret du gouvernement a officialisé le développement d’une application mobile d’authentification d’identité. Baptisée «AliceM», cette application fait appel à un dispositif de reconnaissance faciale. Selon le gouvernement, cet outil qui n’est encore qu’à la phase de tests servira à authentifier l’identité des citoyens.
Sur le principe, l’application permettra de
s’identifier grâce à son smartphone pour accéder depuis son mobile aux sites de
certains services publics regroupés dans le portail d’accès FranceConnect comme
celui des impôts ou celui de l’Assurance maladie.
Seulement, cette avancée suscite des réticences de la part de certaines associations qui craignent pour la protection des données personnelles. Ceci, en raison du fait que des articles sont régulièrement publiés en ligne sur les abus liés à la reconnaissance faciale. C’est le cas notamment aux Etats-Unis où elle est utilisée pour traquer les migrants, ou encore en Chine où elle est utilisée pour traquer les opposants politique.
Pour les opposants à cette nouvelle technologie, il
est important de s’insurger contre le fait que l’utilisateur n’ait pas la
liberté de choisir de passer outre le dispositif de reconnaissance faciale pour
avoir accès à plusieurs services publics dématérialisés via AliceM. Une
réticense qui pour l’instant n’a pas freiné le gouvernement français dans son
projet.
[Digital Business Africa] – Au Cameroun, le studio de création de jeux vidéo Kiroo Games qui a lancé le 4 avril 2019 un crowdfunding annonce avoir franchi le cap de 500 000 dollars de collecte, soit environ 278 millions de F Cfa. Une collecte effectuée auprès de 414 souscripteurs, avec la particularité d’avoir un processus de collecte et de vérification entièrement en ligne. Ceci, grâce à la technologie et aux procédés baptisés « Kiroo Rebuntu », entièrement développé par Kiro Games.
De manière plus détaillée, on apprend d’un
communiqué de Kiro’o Games que sur les 500 000 USD de souscriptions
enregistrés, 163 000 USD ont déjà été reçu, et 143 actionnaires effectifs ont
déjà concrétisé. Aussi, la tranche d’âge des 31 – 35 ans représente le plus
gros volume de souscriptions avec 33%, suivi des 26 – 30 ans (29%), 36 – 40 ans
(15%) et des 21 – 25 ans qui représentent 12% des souscriptions totales.
Concernant les aspects liés au genre, les investisseurs masculins représentent
70%, tandis que les femmes sont à 30%. Dans le même sillage, on apprend que les
camerounais représente le gros des investisseurs avec 60% de l’actionnariat.
Les français viennent en 2e position avec 12% d’actionnariat.
Selon le studio Kiro’o Games, après cette levée de fonds, la prochaine étape consistera à une éventuelle entrée en bourse. « D’ici 2030, Kiroo ambitionne d’entrer en bourse sur des marchés tel que le NASDAQ, et le studio doit créer un catalogue de jeux, Bd, dessins animés africains et services smartphones pour 1 million de clients sur 12 pays en Afrique », ajoute le studio.
[Digital Business Africa] – La filiale camerounaise de l’opérateur de télécommunications MTN a lancé le 25 juillet 2019 une nouvelle plateforme numérique de collaboration entre elle et les entreprises. La plateforme baptisée MTN Fusion entend accélérer le développement de sa clientèle professionnelle.
« Depuis plusieurs années déjà, MTN est le principal catalyseur de l’Economie numérique au Cameroun. Avec MTN Fusion nous continuons dans cette lancée, mais surtout, nous mettons nos infrastructures de pointes, nos technologies et nos talents à la disposition de l’écosystème pour créer un cercle vertueux autour de nous et avancer encore plus vite dans ce grand processus de transformation digitale en cours au Cameroun », explique dans un communiqué Hendrik Kasteel, le directeur Général de MTN Cameroon.
On apprend également du communiqué que cette plateforme va réunir les partenaires actuels et futurs de l’entreprise pour créer un nouvel écosystème qui permettra d’apporter encore plus de valeur à la clientèle professionnelle et entreprise de MTN. Seront ainsi identifiés, de nouveaux services et solutions que MTN Business pourra tailler sur mesure pour chacun des clients : startups, petites et moyennes entreprises, multinationales, organisations non-gouvernementales, entreprises publiques et parapubliques, etc.