[Digital Business Africa] – Après avoir annoncé le mardi 19 novembre 2019, qu’elle se retire du Cameroun, la société de e-commerce suspend cette semaine ses activités en Tanzanie. Dans une déclaration officielle publiée par son site, Jumia a déclaré: «Sur la base de notre examen de la voie du succès, nous avons pris la décision difficile de cesser nos opérations en Tanzanie à compter du 27 novembre 2019». «Bien que la Tanzanie ait un fort potentiel et que nous soyons fiers de la croissance que nous avons vue collectivement à la suite de l’adoption de Jumia, nous devons concentrer nos ressources sur nos autres marchés. Cette décision n’est pas facile, mais nous permettra de concentrer notre attention et nos ressources là où elles peuvent apporter la meilleure valeur et aider Jumia à prospérer. »
Selon TechCabal la sortie fait « partie des efforts d’optimisation du portefeuille en cours ». Le site de commerce électronique n’est plus disponible que dans 12 pays africains, et non 14, comme il l’était plus tôt cette année. Rebecca Enonchong, présidente du conseil d’administration de la Fondation AfriLabs, estime que les dernières sorties ne sont pas une surprise. « Je pense que certains pays étaient là pour prouver l’échelle géographique. C’était en grande partie pour conditionner Jumia à la vente», a-t-elle déclaré à TechCabal.
Par Gaëlle Massang
Congo : Léon Juste Ibombo lance un appel à manifestation d’intérêt pour débuter les tests de la 5G d’ici le 24 décembre 2019
[Digital Business Africa] – Le gouvernement congolais manifeste un intérêt pour la révolution numérique, facteur d’accélération de la croissance par la création de richesses et d’emplois. Il est ainsi engagé dans de nombreuses initiatives dans ce sens, entre autre le projet de couverture national en fibre optique, l’interconnexion avec les pays voisins, le point d’échange Internet régional, etc.
Ces efforts lui ont valu la reconnaissance de la Commission Economique des Nations Unies pour l’Afrique, au travers de la Secrétaire exécutive Mme Vera Songwe qui a ainsi adressé le 13 août 2019 au gouvernement une correspondance dans laquelle elle informait le gouvernement que le Congo a été sélectionné comme pays pilote en Afrique pour le lancement du réseau 5G organisé par la CEA en collaboration avec ses partenaires de l’Union Internationale des Télécommunications.
« Le lancement de cette phase de pilotage du réseau 5G comprendra une série de tests techniques et l’analyse des opportunités y relatives. Ces tests seront exécutés en étroite collaboration avec le gouvernement, les opérateurs de télécommunications locaux, l’Autorité de Régulation des télécommunications à savoir l’ARPCE ainsi que les acteurs du secteur privé afin de saisir les nouvelles opportunités émergentes offertes par la 5G », a déclaré le ministre Léon Juste Ibombo il y a quelques jours lors de son allocution expliquant le choix du Congo pour la phase pilote de la 5G. « Ces tests permettront aussi au gouvernement de prendre toutes les dispositions nécessaires pour la disponibilité et une attribution efficace des bandes de fréquences 5G prenant en compte les projets de déploiement techniques et commerciaux », a-t-il ajouté.
Il annonce ensuite le lancement officiel de l’appel à manifestation d’intérêt à l’ensemble des acteurs du secteur concernés pour accompagner le gouvernement dans l’expérimentation de cette phase de pilotage de la 5G.
« Vous êtes invité à vous rapprocher du Cabinet du Ministre pour les modalités pratiques. Vous aurez un délai de 7 jours pour vous manifester. Le lancement officiel de ces tests 5G s’effectuera d’ici le 24 décembre prochain », a-t-il annoncé.
Pour rappel, La 5G est la 5ème génération de technologie réseau mobile conçue pour répondre à la très grande croissance des données et à la connectivité de la société moderne. Elle offre des débits jusqu’à 10x plus rapides que la 4G, donc plus de monde connecté de façon optimale ; des milliards d’objets connectés : le pilotage des voitures autonomes ; objets de santé connectés ; lunettes de réalité virtuelle.
Par Gaëlle Massang
Le Gabon et le Cameroun préparent l’interconnexion de leurs réseaux via la fibre optique
[Digital Business Africa] – Dans le cadre du projet Central African Backbone (CAB)], le Cameroun et le Gabon ont signé ce jeudi 28 novembre 2019 un Mémorandum d’entente (MoU), en prélude de l’interconnexion physique de leurs réseaux télécoms en fibre optique. Ce MOU a été signé par la ministre camerounaise des Postes et Télécommunications, Minette Libom Li Likeng, et par le ministre gabonais de la Communication et de l’Economie numérique, Rigobert Ikambouayat Ndeka.
Ce MoU a pour objet, d’une part, de fixer le cadre général et légal de la coopération en matière d’interconnexion des réseaux de communications électroniques entre les deux pays, et d’autre part, de mettre en place un Comité, chargé de la mise en œuvre et du suivi dudit Mémorandum et des conventions y subséquentes.
Pour les signataires, les échanges télécoms entre les deux pays se feront désormais via cette interconnexion et non plus via des câbles sous-marins internationaux. Ce qui va entraîner une baisse des coûts de connectivité. Y compris sur les tarifs de roaming comme annoncé par les deux parties.
Cette interconnexion coté Gabon est rendue possible grâce au déploiement d’un Backbone National en fibre optique axe BOOUE-BITAM- EBORO/MEYO-KYE d’une longueur de 411 KM avec l’appui de la Banque mondiale. La maîtrise d’ouvrage étant assurée par l’ANINF.
En plus de l’interconnexion avec le CAB1 (Cameroun, République centrafricaine et Tchad) par EBORO, cette dorsale permettra également une interconnexion avec la Guinée équatoriale par MEYO-KIE.
Par Gaëlle Massang
Aider les familles africaines à surfer sur Internet en toute sécurité
Chez Google nous prenons très au sérieux la sécurité sur Internet. Sensibiliser les enfants à la sécurité sur Internet et les aider à adopter un comportement adapté constitue une priorité pour nous. C’est une responsabilité que nous sommes prêts à assumer et que nous partageons avec le gouvernement, les organisations à but non lucratif, la communauté éducative et d’autres acteurs. En cela, lévénement annuel du Web Rangers Africa Summit est important pour nous : il rassemble des apprenants, des enseignants, des décideurs politiques, des organisations à but non lucratif et des entreprises privées dans le but d’échanger et de trouver des solutions innovantes sur la façon d’étendre les programmes d’apprentissage numérique. L’objectif est qu’un plus grand nombre de jeunes et de familles disposent des informations nécessaires pour aller sur Internet en toute sécurité.
Lors de l’édition 2019 du Web Rangers Summit qui s’est tenue à Nairobi, au Kenya, nous avons réuni des étudiants participant au programme Web Rangers, qui étaient originaires d’Afrique du Sud, du Nigeria et du Kenya, ainsi que plus de 30 partenaires dans le domaine de la sécurité en ligne. Au cours de ce sommet de deux jours, nous avons expliqué l’importance de rendre l’information et les programmes de sécurité en ligne facilement accessibles dans les écoles et de les diffuser auprès des familles, et présenté des projets dans ce sens. Nous avons aussi fait le point sur les actions en cours pour étendre le programme Web Rangers, ainsi que sur le projet de s’associer au Kenya Film Classification Board et à la Nigerian National Orientation Agency en 2020. Ce partenariat a pour but de lancer un programme d’éducation parentale au numérique avec pour objectif de sensibiliser les tuteurs, les enseignants et les familles aux outils en ligne, lesquels rassemblent les familles pour apprendre, s’amuser et surfer en ligne en toute sécurité.
Cette année, outre le Sommet, nous avons réalisé une partie de nos objectifs d’éducation et de sensibilisation en matière de sécurité sur Internet grâce à des tournées de présentation et à des partenariats avec les gouvernements. Au mois d’octobre, en association avec le Centre des sciences du Cap nous avons octroyé des financements à des organisations locales au Kenya, au Nigeria et en Afrique du Sud pour organiser des tournées d’information sur la sécurité à l’intention des élèves, des parents et des enseignants. Plus de 36 000 élèves, 2 500 parents et 1 400 enseignants ont été formés grâce à ce programme.
Au Nigeria, nous avons établi un partenariat avec le Conseil nigérian pour la recherche et le développement en éducation visant à intégrer un nouveau programme de sécurité sur Internet dans les programmes nationaux des écoles primaires et secondaires, avec l’objectif d’atteindre 56 millions d’apprenants (d’une année sur l’autre) une fois le programme pleinement intégré au système scolaire. De même, en Afrique du Sud, nous travaillons en partenariat avec le Département de l’éducation du Cap-Occidental pour mettre en place une action pilote d’intégration du programme sur la sécurité en ligne dans les établissements secondaires publics de la province. Le projet pilote concerne des écoles des districts de Cape Winelands et de Metro South. Au Kenya, nous avons travaillé en collaboration avec l’organisation CODE-IP, le Ministère de la Jeunesse et l’Association des Scouts du Kenya pour faire passer le nombre de Web Rangers à plus de 55 000 dans tout le pays.
En raison du nombre croissant d’internautes, jeunes et adultes que compte l’Afrique, il est désormais impératif de les aider à se protéger des risques d’Internet. Même si nous sommes encore loin de nos objectifs, nous sommes fiers de voir l’impact des actions menées à ce jour. Pour reprendre les mots du professeur de Rosabeth Moss Kanter, professeur à Harvard, : « les petites victoires, les petits projets, les petites différences font souvent d’énormes différences ».
Poste par Fortune Mgwili-Sibanda, Responsable, Affaires gouvernementales et politiques publiques, Afrique subsaharienne
Google envisage de former plus de 56 millions d’élèves en Afrique sur la sécurité en ligne
[Digital Business Africa] – Sensibiliser les enfants africains à la sécurité sur Internet et les aider à adopter un comportement adapté en ligne constitue pour Google une priorité. C’est ce qu’indique Fortune Mgwili-Sibanda, la responsable des Affaires gouvernementales et des Politiques publiques de Google en Afrique subsaharienne.
Une tâche qu’elle se dit prête à assumer et à partager avec les gouvernements, les organisations à but non lucratif, la communauté éducative et d’autres acteurs du secteur.
En 2019, Google indique avoir réalisé une partie de ses objectifs d’éducation et de sensibilisation en matière de sécurité sur Internet grâce à des tournées de présentation et à des partenariats avec les gouvernements. « Au mois d’octobre, en association avec le Centre des sciences du Cap nous avons octroyé des financements à des organisations locales au Kenya, au Nigeria et en Afrique du Sud pour organiser des tournées d’information sur la sécurité à l’intention des élèves, des parents et des enseignants. Plus de 36 000 élèves, 2 500 parents et 1 400 enseignants ont été formés grâce à ce programme », indique-t-elle sur le blog de l’entreprise.
Au Nigeria, le moteur de recherche a établi un partenariat avec le Conseil nigérian pour la recherche et le développement en éducation visant à intégrer un nouveau programme de sécurité sur Internet dans les programmes nationaux des écoles primaires et secondaires, avec l’objectif d’atteindre 56 millions d’apprenants (d’une année à l’autre) une fois le programme pleinement intégré au système scolaire.
De même, Google travaille en partenariat avec le Département de l’éducation du Cap-Occidental pour mettre en place une action pilote d’intégration du programme sur la sécurité en ligne dans les établissements secondaires publics de la province. Le projet pilote concerne des écoles des districts de Cape Winelands et de Metro South. Au Kenya, ajoute-t-elle, Google travaille en collaboration avec l’organisation CODE-IP, le Ministère de la Jeunesse et l’Association des Scouts du Kenya pour faire passer le nombre de Web Rangers à plus de 55 000 dans tout le pays.
C’est toujours dans cette perspective que de l’édition 2019 du Web Rangers Summit s’est tenue à Nairobi, au Kenya. Ici, Google a réuni des étudiants étaient originaires d’Afrique du Sud, du Nigeria et du Kenya, ainsi que plus de 30 partenaires dans le domaine de la sécurité en ligne. Au cours de ce sommet de deux jours, le moteur de recherche a expliqué l’importance de rendre l’information et les programmes de sécurité en ligne facilement accessibles dans les écoles et de les diffuser auprès des familles, et présenté des projets dans ce sens.
Par Digital Business Africa
L’Arcep met en garde les opérateurs Gsm Spacetel Bénin et Etisalat Bénin contre le non-respect des obligations
[Bénin Révélé Mag] – À l’occasion de la rencontre d’échanges tenue le 26 novembre 2019, au siège de l’Autorité de régulation des communications électroniques et de la poste (Arcep-Bénin) à Cotonou, entre le Conseil de régulation et les hauts responsables des opérateurs Gsm Spacetel Bénin et Etisalat Bénin, l’institution régulatrice a mis en garde les opérateurs concernés, suite à plusieurs non-conformités persistantes au niveau de cinq indicateurs de performance.
Flavien Bachabi, président du Conseil de régulation, organe de délibérations et de décisions de l’Arcep Bénin, signale que « Cette séance est une mise en garde pour dire qu’il y a des anomalies dans leurs réseaux. C’est persistant, il faut qu’ils trouvent des solutions à cela… ». Il s’exprimait ainsi à la rencontre d’échanges que son institution a eue, avec les opérateurs Gsm ; suite aux anomalies persistantes relevées sur quelques cellules des réseaux.
Selon Flavien Bachabi, cette séance vise à donner le bénéfice de la contradiction aux opérateurs de téléphonie mobile pour expliciter ce qui justifie ces dysfonctionnements et les dispositions pratiques prises pour l’amélioration continue de la qualité de service de leurs réseaux surtout en cette période de fin d’année.
En réalité, grâce son nouveau système de suivi de la qualité de service et malgré le délai de trois mois (échu en mai dernier) accordé aux opérateurs Gsm pour se conformer aux nouveaux indicateurs, l’Arcep-Bénin a malheureusement constaté que ces entreprises ne satisfont toujours pas à cinq indicateurs de performance pourtant mentionnés dans leurs cahiers des charges.
Il s’agit, selon le président du Conseil de régulation, « du taux de succès des appels voix, du taux de coupure des appels voix, du taux de blocage des appels voix, du taux de coupure de la connexion internet 3Gsurtout chez l’opérateur Moov, et enfin du débit down link 3G, encore chez Moov ».
« Qu’est-ce qui justifie ces dysfonctionnements ? Quelles dispositions pratiques sont prises pour y remédier ? », demande le président Flavien Bachabi aux directeurs généraux des deux entreprises. Après une série de réponses peu convaincantes, suivie de la relance des membres de l’Arcep, des responsables d’associations de consommateurs et des journalistes, les langues des opérateurs se sont finalement déliées.
Il ressort des interventions des opérateurs Gsm que les non-conformités décelées sont causées par des éléments dépendants et indépendants d’eux. S’agissant des premiers, les responsables des deux structures ont reconnu que leurs réseaux ne couvrent pas tout le territoire béninois. Ce qui justifie les non-conformités relevées surtout vers les zones frontalières. Mais ailleurs, comme à Abomey-Calavi, ils expliquent que ce sont les populations elles-mêmes qui s’opposent à l’implantation des antennes devant renforcer le taux de couverture.
Les chantiers de construction actuellement en cours dans le pays font que plusieurs de leurs câbles d’extension sont sectionnés par mégarde et leur réparation dure parfois des jours. Et cela influe sur l’expérience du consommateur.
Les opérateurs Gsm ont aussi évoqué la performance des téléphones des clients qui nécessitent plus ou moins des réglages. Ceci, simplement parce que l’expérience a montré que plusieurs portables sont bloqués sur une technologie. Autrement, si le téléphone est bloqué sur 2G, quels que soient les efforts de l’opérateur, le client ne vivra que l’expérience de 2G. Quand le câble sous-marin est aussi sectionné par un bateau, cela crée également des perturbations sur les réseaux. Ces derniers cas, disent-ils, montrent qu’ils ne sont pas directement liés aux problèmes soulevés. Toutefois, des mesures sont prises et des investissements lourds sont consentis pour remédier à certains problèmes techniques et d’organisation dont celui du service après-vente.
Par Laurent Adjovi
La GSMA et l’Unicef lancent l’initiative mPower Youth pour les technologies au service des droits de l’enfant
[Digital Business Africa] – Pour marquer le 30e anniversaire de la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant (CRC), la GSMA, s’appuyant sur l’expertise de l’UNICEF en matière de droits de l’enfant, a lancé l’initiative mPower Youth pour montrer que la technologie mobile peut servir de catalyseur pour la promotion des droits de l’enfant. Cette initiative est soutenue par un certain nombre d’opérateurs de téléphonie mobile dans le monde, notamment Orange.
Alors que nous célébrons la convention sur les droits de l’enfant, un service d’information sur la santé maternelle à travers un téléphone mobile a considérablement dynamisé les soins de maternité au Cameroun.
GiftedMom, un service mobile, en ligne et par SMS, a fourni des conseils en matière de soins de santé à des milliers de femmes au Cameroun depuis son lancement en 2015.
L’opérateur de téléphonie mobile Orange Cameroun s’est associé à GiftedMom pour l’amélioration de la santé maternelle au Cameroun, où moins de 60 % des femmes bénéficient des soins de santé recommandés pendant leur grossesse.
Orange Cameroun a choisi GiftedMom, une start-up de santé mobile, pour son programme d’accélération en 2016. Ce service fournit aux femmes enceintes et aux nouvelles mères des informations sur la santé et des services de surveillance, notamment des SMS. Les professionnels de santé rapportent que GiftedMom a contribué à augmenter la rétention des patients et les taux de vaccination.
En 2018, GiftedMom a remporté un prix de subvention de l’organisme mondial représentant l’industrie du mobile, la GSMA. Cette subvention provient du Fonds d’Innovation Accélerateur d’Ecosystèmes de la GSMA, destiné à aider GiftedMom à développer son application pour l’accouchement et l’allaitement. Cette application distribuera des jetons pour payer les soins de santé et devrait permettre à GiftedMom de soutenir 100 000 autres femmes.
GiftedMom est un exemple de la façon dont la technologie mobile répond aux promesses de la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant.
« Les opérateurs de téléphonie mobile du monde entier, notamment Orange, démontrent que la technologie mobile possède un pouvoir considérable pour faire respecter les droits fondamentaux d’un enfant », a déclaré Mats Granryd, directeur général de la GSMA.
« Il y a trente ans, ajoute-t-il, lorsque la convention a été adoptée, il y avait 7 millions d’utilisateurs mobiles dans le monde, ils sont aujourd’hui 5,2 milliards. L’industrie de la téléphonie mobile continue de miser sur son engagement en matière de protection et de sécurité Internet, et nous avons un rôle important à jouer pour que chaque enfant puisse s’exprimer, puisse participer et prospérer dans ses communautés. »
« Dans le monde d’aujourd’hui, les enfants naissent dans des situations que nous n’aurions pas pu imaginer il y a trente ans », a déclaré Wivina Belmonte, Conseillère principale, Engagement du secteur privé à l’UNICEF. Pour elle, « la Convention relative aux droits de l’enfant est aussi pertinente dans ce monde qu’elle l’était il y a trois décennies. Nous devons nous assurer que les enfants sont en sécurité lorsqu’ils explorent les nouvelles technologies. Et nous devons voir que les libertés et les opportunités que la technologie peut offrir sont disponibles pour chaque enfant. L’UNICEF appelle le secteur de la téléphonie mobile à démontrer comment la technologie peut être utilisée pour réduire les inégalités et libérer le potentiel de toutes les filles et de tous les garçons. »
Orange est membre de la GSMA, l’organisme mondial de la téléphonie mobile. GiftedMom est un exemple d’un large éventail d’initiatives soutenues par l’industrie qui encouragent la protection des droits des enfants dans le monde.
Digital Business Africa, avec communiqué de presse