[DIGITAL Business Africa] – L’ Agence de Régulation des Postes et des Communications électroniques a servi de cadre pour les travaux du Fasuce. La deuxième session ordinaire du Comité du Fonds pour l’Accès et le Service Universels des Communications Électroniques s’est tenue ce jeudi 03 janvier 2024. Le président du Comité du Fonds, le ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Économie Numérique, Léon Juste Ibombo a présidé les travaux qui ont connu la présence de plusieurs personnalités du secteur du numérique à l’instar du Secrétaire du Fonds, le Directeur Général de l’ARPCE, Louis-Marc Sakala.
Administré par l’ARPCE, le Fonds pour l’Accès et le Service Universels des Communications Électroniques vise à réduire la fracture numérique et favoriser l’inclusion sociale au Congo, en connectant à Internet et à la téléphonie mobile, les communautés rurales, isolées et d’autres couches défavorisées de la population ( zones blanches et/ou non desservies en Réseaux de Communications Électroniques et Connecter à internet les établissements scolaires universitaires, certaines administrations publiques et structures sanitaires et les équiper en matériels de Communications Électroniques).
Selon l’Agence congolaise d’Information, plus de 150 localités considérés comme des « zones blanches » et 19 écoles auraient été connectées à l’internet et bénéficient des bienfaits de cet outil, grâce au Fonds pour l’accès et le service universels de communications électroniques (Fasuce), géré par l’Agence de régulation des postes et télécommunication (Arpce). Ces réalisations vont de 2021 à 2023 et ont couté environ quatre milliard de Fcfa à l’ Etat du Congo.
[DIGITAL Business Africa] – Installé à son fauteuil de ministre des Télécommunications et de l’Economie numérique, le 03 Janvier 2024, Boukar Michel a déjà pris ses marques. Il a accordé une audience à une délégation chinoise précisément de la Commune de Chongqing arrivée ce 07 janvier 2024 à N’Djamena. Plusieurs points ont meublé les échanges entre les deux parties notamment la coopération entre le Tchad et la chine dans le cadre des télécommunications.
La délégation chinoise était conduite par Zhao Shiqing. Il est le Vice-Président du Comité permanent de l’Assemblée populaire municipale de Chongqing, en même temps président de l’association du peuple de Chongqing pour l’amitié avec l’étranger. Cette délégation chinoise est arrivée au Tchad dans le cadre du jumelage entre N’Djamena et Chongqing.
Le chef de la mission chinoise, Zhao Shiqing, a d’ailleurs invité son homologue Boukar Michel, ministre des télécommunications et de l’Economie numérique, à prendre part à une grande activité de jumelage avec plusieurs pays qui se tiendra dans la ville chinoise de Chongqing. Selon le site colombe.fr, le jumelage, « est la rencontre de deux communes qui entendent s’associer pour agir dans une perspective…pour développer entre elles des liens d’amitié, sur un temps illimité… »
Depuis sa prise de fonction, le nouveau ministre des Télécommunications et de l’Economie numérique Boukar Michel a organisé une série de rencontres avec les cadres de son département. Boukar Michel a rencontré respectivement les membres de son cabinet et les cadres de l’administration centrale. Parmi les nombreux défis évoqués par le ministre des Télécommunications et de l’Economie numérique, figure la formation du personnel dans le domaine des Télécommunications.
Par Jean Materne Zambo, source : Bienvenu Nganan, Attaché de Presse/MTEN
[Digital Business Africa] – Depuis le 1er janvier 2024, une attestation de conformité fiscale (ACF) est exigée à tous les Camerounais qui demandent un visa auprès des missions diplomatiques et consulaires basées au Cameroun. C’est une exigence de la nouvelle loi de finances 2024. La Direction générale des impôts du Cameroun apporte en cinq points des précisions sur cette nouvelle disposition.
1. De quoi s’agit-il ?
La loi de finances 2024 apporte une innovation majeure dans le domaine du suivi de la conformité fiscale des contribuables. Elle substitue l’attestation de non-redevance (ANR) par l’attestation de conformité fiscale (ACF).
Aussi, à compter du 1er janvier 2024, l’ACF est désormais exigée pour toute demande de visa auprès des missions diplomatiques et consulaires.
L’ACF est un document délivré en ligne par l’administration fiscale qui atteste qu’un
contribuable est à jour de ses obligations déclaratives et de paiement d’impôts et taxes.
L’ACF n’est donc pas un nouvel impôt ou une nouvelle charge fiscale sur les contribuables.
2. Quelles sont les personnes concernées par la présentation de l’ACF pour les
demandes de visa ?
Sont concernées par la présentation de l’ACF pour les demandes de visa tous les
contribuables personnes physiques, professionnels ou non, notamment les salariés, les dirigeants d’entreprise, les exploitants individuels, les professionnels libéraux, … etc.
Toutefois, ne sont pas concernés par cette exigence, les enfants mineurs et étudiants
sans revenus, ainsi que les cas d’évacuations sanitaires.
3. Quel est l’objectif de la réforme ?
L’exigence de l’ACF dans le cadre de demandes de visa vise à promouvoir le civisme fiscal auprès des contribuables particuliers. Le civisme fiscal est la pierre angulaire d’un État de droit et d’une société juste.
La loi de finances 2024 consacre une pratique qui avait déjà cours dans les missions diplomatiques et consulaires. En effet, la plupart d’entre elles exigeaient déjà des documents attestant de la situation fiscale des demandeurs de visas, à l’instar du titre de patente, de l’attestation de domiciliation fiscale et de l’attestation de non redevance.
4. Comment obtient-on l’ACF ?
L’ACF est accessible d’un simple clic à partir du site web de la DGI (www.impots.cm).
Oubliez les tracas administratifs, générez votre document en toute convivialité.
Même en cas de difficultés, rassurez-vous, vous pouvez obtenir votre attestation en sollicitant un moratoire ou un sursis de paiement.
Besoin d’aide ? Appelez le numéro 8200 et une assistance en temps réel vous est apportée.
5. Un dirigeant peut-il obtenir une ACF si son entreprise a une dette vis-à-vis de
l’administration fiscale ?
La situation fiscale du dirigeant est à distinguer de celle de son entreprise. Ainsi, seule sa situation fiscale personnelle est prise en compte pour la délivrance à son profit de l’ACF.
En conséquence, l’existence d’une dette à la charge de l’entreprise ne fait pas obstacle
[DIGITAL Business Africa] – Le ministre des Finances apporte une précision à l’ attestation de conformité fiscale, entrée en vigueur le premier janvier 2024 . Il s’agit d’un document qui, comme son nom l’indique, apporte la preuve que son détenteur est parfaitement en règle envers l’administration fiscale. Louis Paul Motaze a signé un communiqué ce 05 janvier 2024 dans lequel il définit les contribuables qui sont exempts de tout impôt. Parmi eux, les enfants mineurs, les étudiants sans revenus et les cas d’évacuation sanitaire.
Ce qui tranche avec l’information relayée par des quotidiens au lendemain de l’entrée en vigueur de la loi de Finances 2024. Le journal « Le jour », en grande une de son numéro du 02 janvier 2024, a annoncé que « toutes les personnes désireuses obtenir un visa de sortie du pays auprès d’une ambassade étrangère devront impérativement présenter une attestation de conformité fiscale ». La nouvelle Expression abondait dans la même direction. « Pas de visa sans impôt », titrait le quotidien.
Les détails sur l’ACF
La circulaire relative à l’exécution de la loi de finances 2024, signée le 29 décembre 2023 par le ministre des Finances, Louis Paul Motazé, détaillait cette mesure.
« L’attestation de non-redevance (ANR) a été substituée par l’attestation de conformité fiscale (ACF), et la portée de ce document a été renforcée, à travers : sa délivrance exclusive par voie informatisée ; l’exigence de sa présentation pour les opérations d’importation ou d’exportation et d’obtention des subventions publiques, les demandes de visas de sortie auprès des ambassades et des consulats, le règlement des factures par l’État, les collectivités territoriales décentralisées, les établissements et entreprises publics, les sociétés à capital public et les entreprises privées qui figurent sur une liste arrêtée par le Minfi (ministre des Finances), la délivrance des attestations de prise en charge et d’exonération », indiquait le Minfi.
Pour le ministre des Finances, Louis Paul Motaze, cette évolution législative s’inscrit dans une démarche globale visant à renforcer la conformité des contribuables vis-à-vis de leurs obligations déclaratives et de paiement des impôts et taxes.
A noter que l’attention de conformité fiscale est délivrée sur le portail de la direction générale des impôts (www.impots.cm). Les contribuables peuvent également contacter le 8200 pour d’amples informations.
[DIGITAL Business Africa] – La Société nationale d’Edition de Documents administratifs et d’Identification (Snedai) joue un rôle déterminant dans l’établissement du passeport en Côte d’Ivoire. Le groupe ivoirien multiservices, créé en 2007, est lié à l’ Etat de Côte d’Ivoire à travers des conventions en vue de la production des passeports ordinaires, des passeports diplomatiques et de services, ainsi que pour l’édition de visas biométriques. Sur les 40.000F CFA payés dans une banque par le demandeur, la Snedai n’en retire que 2000 Fcfa.
L’ Art. 2 de la Concession conclue le 10 décembre 2007 entre la République de Côte d’Ivoire et la Société Nationale d’Edition de Documents Administratifs et d’Identification (Snedai) pour la production de passeports ordinaires biométriques à puces électroniques prévoit que : « Le demandeur doit s’acquitter des droits de passeport fixés à quarante mille francs (40.000) F CFA en franchise de TVA et répartis ainsi qu’il suit » :
– droit de timbre : 15 000 F CFA ;
– fonds national de sécurité : 850 F CFA (destinés à l’achat de matériels informatiques, de matériels de communication et à l’équipement de la police scientifique);
– comité de négociation et de suivi : 150 F CFA (charges de fonctionnement du comité) ;
– achat du carnet avec puce et ses consommables :
6.453 F CFA ;
– frais de contrôle et de sécurité: 2. 000 F CFA ;
– logiciels de gestion et de sécurité : 3.572 F CFA ;
– équipements de production et d’enrôlement: 4. 730 F CFA;
– connexion réseau et coûts de liaison : 1.235 F CFA;
– construction du bâtiment équipé : 1.826 F CFA ;
– frais financiers imprévus et plan de communication :
2. 184 F CFA ;
– rémunération du concessionnaire : 2.000 F CFA.
Etape d’établissement d’un passeport
Etape1
Retirer le formulaire de demande gratuitement dans les lieux suivants :
Les Centres d’enrôlement et de délivrance ;
Sous-direction de la police de l’air et des frontières ;
Site SNEDAI www.snedai.com à télécharger ICI;
Ou Gagnez du temps en allant sur le site web
www.monpasseport.ci
Pour le pré-enrôlement;
La Prise de RDV;
Et le Paiement des frais de timbre;
Etape 3 : Enrôlement
• Se rendre en personne dans le Site d’enrôlement de son choix:
AGENCE PASSEPORT PLATEAU Sûreté nationale | +225 27 20 32 02 89
AGENCE PASSEPORT COCODY Deux plateaux , Boulevard Latrille sens de Cocody /Angré, 200 m après Sococé sur la gauche, avant le carrefour DUNCAN | +225 27 22 41 38 39
AGENCE E-PASSEPORT MARCORY GFCI villa 2087 à 100 m du nouveau marché de Marcory, en direction d’Anoumanbo | +225 27 21 26 36 88
AGENCE PASSEPORT YOPOUGON 1er pont après la Pharmacie Chigata sur la gauche.
AGENCE E-PASSEPORT DJIBI Située à Angré à quelques mètres du Terminus des bus 81, 82 et 719, et en face de l’Hôpital Communautaire (accessible sur RDV via www.monpasseport.ci )
• Muni du formulaire rempli, du reçu de paiement et de toutes les pièces administratives requises.
• Se soumettre aux formalités de contrôle de tous les documents demandés, à la prise des empreintes digitales et de la photo. (Enregistrement biométriques et biographiques).
Exiger un reçu d’enrôlement.
Etape 2 : Paiement
Espèce
Payer 40.000F CFA dans une banque BACI, Ecobank ou NSIA Bank (exiger le reçu)
Etape 4 : Délivrance
Délai de délivrance du passeport : 72 heures après validation par la police de l’air et des frontières en Côte d’Ivoire ( S/DPAF).
Le passeport n’est délivré qu’au titulaire contre décharge (vérification de l’empreinte) et sur la présentation du récépissé de dépôt de dossier.
Par Jean Materne Zambo, Source : Journal officiel de Côte d’Ivoire
[DIGITAL Business Africa] – Ericsson ne pouvait pas trouver mieux pour donner un coup d’accélérateur à sa croissance dans la région Afrique de l’Ouest. L’entreprise a décidé de porter un visage connu de la maison au poste de Vice-présidente et de directrice d’Ericsson Afrique de l’Ouest et Maroc, le 02 janvier 2024. L’un des défis qui attend la nouvelle dirigeante étant de stimuler la croissance de l’entreprise dans la région Afrique de l’Ouest. Pour réussir le pari de la transformation numérique de la région, Majda Lahlou Kassi devra ne devra ménager aucun effort pour assurer à sa clientèle, une meilleure connectivité et lui ( la clientèle)faire profiter des avancées de la technologie.
« Je suis ravie d’assumer ce nouveau rôle et de collaborer étroitement avec nos partenaires et clients pour libérer le vaste potentiel de la transformation numérique en Afrique de l’Ouest. Mon objectif est de soutenir nos clients, de favoriser leur réussite tout en tirant parti de nos technologies et services pour stimuler la croissance d’Ericsson dans la région », a dit la Vice-présidente et de directrice d’Ericsson Afrique de l’Ouest et Maroc, Majda Lahlou Kassi.
Majda est un pur produit d’ Ericsson. Sa nomination n’était qu’une question de temps, presque un secret de polichinelle. Tant elle a passé 25 bonnes années au sein de la main Ericsson à briller par son abnégation, son professionnalisme. En témoigne ses états de services. Majda Lahlou Kassi a occupé plusieurs postes de direction dans les domaines de la technologie, des ventes, de la stratégie, des opérations et de la réalisation de projets pour les clients.
Avant son poste actuel, Majda était responsable des Solutions Réseaux, dirigeant une équipe chargée de faire évoluer les réseaux des clients dans 13 pays de la région Afrique de l’Ouest et du Maroc. Entre juillet 2018 et janvier 2024, elle occupait le poste de Responsable des solutions réseaux, Afrique de l’Ouest. Un poste précédé de celui de Country Manager Ericsson Moroco de janvier 2017 à février 2019.
Le début de carrière de Majda Lahlou Kassi fut surtout marqué par la fonction de Chef de projet client, (1998-2001). Puis Chef de projet support (2001). Un an après, elle sera faite Responsable des activités de service (2002) avant d’être hisser au poste de Chef du bureau de gestion de projet, entre janvier 2002 et octobre 2002.
La Vice-présidente et de directrice d’Ericsson Afrique de l’Ouest et Maroc, Majda Lahlou Kassi est diplômée de l’ Institut national des Postes et Télécommunications de Rabat, où elle obtint un Master of Engineering, Telecommunications Engineering au terme deux années d’étude (1996-1998).
[DIGITAL Business Africa] – Le marché du transport connecté est en pleine expansion en Côte d’Ivoire. Après , Yango, Heetch et Uber, voici Go’babi qui stationne sur l’asphalte. La plateforme Go’babi, 100% ivoirienne, a été présentée le 16 décembre 2023. Avec l’application Go’babi, vous pouvez partager votre itinéraire avec des proches, et profitez d’un service client réactif 24/7. Pour le PDG Jean François Aka, Go’babi va renouveler le secteur du transport en Côte d’Ivoire.
L’application doit en principe mettre en relation les passagers et de véhicules de transport avec chauffeurs (VTC) et taxis. Elle est conçue par la société Dayasam Côte d’Ivoire et ses partenaires. Pour Yao N’Guessan George, directeur général de l’entreprise promotrice Go Babi va créer des emplois. Car, ajoute-t-il, » l’avenir est en Côte d’Ivoire et il n’est pas normal que des jeunes meurent en mer. A en croire la direction de Go’babi, l’application met en lumière le savoir-faire ivoirien. Elle sera la continuité du travail abattu par les devanciers. Désormais en Côte d’Ivoire, c’est Go Babi ou rien ».
[DIGITAL Business Africa] – Un parcours atypique pour Sunil Taldar qui entre un peu plus dans l’histoire de Bharti Airtel. Le nouveau PDG d’Airtel Africa, filiale de l’entreprise indienne Bharti, vouée aux télécommunications en Afrique, a pris fonction le premier janvier 2024. Il a remplacé d’Olesegun « Segun » Ogunsanya, mis à la retraite, après 17 ans passés au sein de la boîte. Sunil Taldar aura la lourde mission de guider Airtel Africa vers un avenir marqué par l’innovation et la croissance. Il devra arrimer l’entreprise aux mutations que connaît le secteur des Télécommunications, notamment avec l’avènement de la 5G, de l’IoT et d’autres avancées technologiques. Voilà les défis de l’homme.
S’il y a une dirigeant qui maîtrise le marché, c’est bien Sunil Taldar. Il traine avec lui une trentaine d’années d’expérience dans la gestion d’entreprise, particulièrement dans les secteurs des produits de grande consommation et des télécommunications. Sa promotion à la présidence du Conseil d’administration d’ Airtel Africa est précédé des états de services louables chez Bharti Airltel. Pendant sept ans et deux mois, Il sera Director Operations de septembre 2021 à 2024. Bien avant cette fonction, Sunil Taldar occupait le fauteuil de CEO & Director – Homes entre mars 2019 et sept 2021, CEO & Director – DTH Business de décembre 2016 à mars 2019.
La saveur des friandises, Sunil Taldar la maitrise parfaitement. Il a offert ses loyaux services à Mondelez Indonesia. Il s’agit du leader mondial du snacking avec des catégories telles que le chocolat, les biscuits, les gommes, les bonbons et les boissons en poudre. Au sein de cette entreprise Sunil Taldar a occupé tour à tour les postes de Country Head pendant huit ans et six mois ( août 2015 à 2023), Directeur des ventes des produits Cadbury, India LTD, pendant cinq ans et trois mois.
Que dire de Bournvita? Cette marque de mélanges pour boissons maltées et chocolatées au malt fabriqués par Cadbury avait aussi besoin de visibilité. Sunil Taldar a participé à booster les ventes de Bournvita puisqu’il aura eté General Manager- Sales Branch Manager, Branch Manager et même Manager Media and research entre juin 1996 et décembre 2006.
A propos de Airtel Africa
Airtel Africa, filiale de l’entreprise indienne Bharti Airtel, opère dans le secteur des télécommunications en Afrique. Elle a établi sa présence dans plusieurs pays depuis le début de l’année 2015, couvrant ainsi le Burkina Faso, la République du Congo, la République démocratique du Congo, le Gabon, le Ghana, le Kenya, Madagascar, le Malawi, le Niger, le Nigeria, le Rwanda, la Sierra Leone, les Seychelles, le Tchad, la Tanzanie, l’Ouganda et la Zambie.
[DIGITAL Business Africa] – Dans le gouvernement du Dr Succès Masra nommé Premier ministre le 1er janvier 2024, figure un ministre qui fait son come-back. C’est Boukar Michel. L’ancien ministre du pétrole d’Idriss Déby Itno limogé en 2019 revient pour la deuxième fois dans le gouvernement. Cette fois-ci, il pilotera le ministère des Télécommunications et de l’Économie numérique.
L’ingénieur et expert en politiques et stratégies énergétiques aura désormais la mission d’impulser les politiques visant à favoriser l’accès aux services de communications électroniques au TCHAD. Le nouveau gouvernement a été rendu public ce 02 janvier 2024.
Fin connaisseur du Cameroun
Les médias tchadiens le présente comme un passionné d’études qui a enchainé une série des formations à l’Académie canadienne de Management et de technologie, à l’Unité Internationale de Genève, Institut de formation aux opérations de Paix (ONU).
« De même, il a pris des inscriptions dans plusieurs universités notamment l’Université de Ouagadougou, l’Université de Maroua, l’Université Henry Dunant de Genève, l’Université de Douala et l’École nationale supérieure polytechnique de Maroua, d’où il obtint huit masters dans diverses spécialités : génie énergétique, pétrole, énergies renouvelables, droit, science économique, management financier, management stratégique et les mathématiques », rappelle par exemple le Visionnaire Tchad qui précise également que le nouveau ministre est actuellement, doctorant et en phase de rédaction de deux thèses : l’une en énergie/environnement à l’Université de Douala et l’autre en énergie renouvelable à l’École nationale supérieure polytechnique de Maroua.
Né le 9 décembre 1970, Boukar Michel a obtenu son baccalauréat série C en 1990. Il entre à l’université du Tchad, à la Faculté des Sciences exactes et appliquées de Farcha, département de Mathématiques Physique Chimie, d’où il sorti nanti d’une licence en 1993.
Le Visionnaire fait remarque qu’il commence par enseigner les mathématiques et la physique –Chimie bénévolement au lycée d’Eré et de Koyom de septembre 1997 à 2000. Puis, est chargé de cours au Lycée technique industrielle de 2000 à 2003 et à l’Institut supérieur de technologie. Il sera également enseignant vacataire à l’Université de Mongo, Université de N’Djamena, et l’Université de Moundou. En 2006, il déposa sa valise chez Exxon comme ingénieur chargé de contrôle de qualité.
L’entrée dans le gouvernement
« En 2007, l’aventure gouvernementale commença sous le gouvernement de Dr. Kassiré Koumakoye, où il fut nommé conseiller aux mines, à l’énergie et au pétrole. La compétence aidant, il fut nommé secrétaire général du ministère du Pétrole, des Mines et de l’Energie en 2011-2012. Le même poste qu’il occupa de décembre 2015 à juin 2017. Il fait son premier pas dans le gouvernement comme ministre du pétrole et de l’énergie de mai 2018 à juin 2019. »
Depuis 2019, il est ambassadeur de la déclaration universelle des droits de l’homme. En 2021, il a été nommé conseiller technique au pétrole et aux mines à la Présidence.
Dans le domaine associatif, le nouveau ministre est un membre actif de l’ONG Internationale Awid Canada, du Bureau d’études technique et d’ingénierie et aussi de l’Association pour la coopération internationale au développement.
BOUKAR est auteur de trois ouvrages. Son troisième livre publié en octobre 2023 aux éditions l’Harmattan a pour titre : «Gestion de déchets dans les villes d’Afrique». Ce livre préfacé par l’homme politique camerounais Maurice Kamto décrit les réalités des villes africaines et propose des solutions pour une meilleure gestion de déchets dans les villes africaines.
Par Digital Business Africa
Voir l’interview du nouveau ministre sur AFRICA 24/ Archives
[DIGITAL Business Africa] – Le projet de construction de trois campus numériques au Cameroun n’est pas loin de prendre forme. Une délégation d’experts Sud-coréens, conduite par Sang hulotte Kim, représentant résident de l’Agence coréenne de Coopération internationale Koica, était reçue en audience par le ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative, Joseph LE, ce 02 janvier 2024. Question d’évaluer l’avancée des travaux relatifs au projet d’avancement du projet de construction de trois campus numériques.
« Nous sommes entrain de sortir le projet du papier pour quelque chose de plus concret. Le chef de l’ Etat à marqué son haut accord pour que ce projet voie le jour dans le cadre de se partenariat entre le Cameroun et la Corée du Sud. Il reste dans les tous prochains jours, la signature du mémorandum d’entente qui devrait être visé par le ministre de l’ Économie de la Planification, de l’ Aménagement du Territoire, et l’ ambassadeur de Corée au cours de ce mois de janvier . Mais cela n’empêche pas que les chose pratiques commencent sur le terrain », a dit le ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative, Joseph LE.
Le projet devra être réalisé au plus tard en 2027. Les trois campus numériques sortiront de terre à l’ Ecole Nationale d’ Administration et de magistrature, l’institut supérieur de Management public( ISMP) et l’ École nationale supérieure des Postes, des Télécommunications et des Technologies de l’Information et de la communication.
Le projet de construction de trois campus numériques au Cameroun avait été décidé au cours du Forum Cameroun-Corée du Sud de 2021, placé sous le thème : Gouvernance numérique en vue de la réforme administrative ». Le projet vise à former 4000 jeunes chaque année à arrimer les agents publics camerounais à l’ e-gouvernance. L’initiative bénéficie d’un appui financier de la part de la Corée du Sud à hauteur de quatre milliards de FCFA.
[DIGITAL Business Africa] – Sur quatorze projets présentés, seuls trois ont reçu l’assentiment du jury. Les trois startups lauréates ont reçu les gratification en raison de leur brillante participation à la cinquième édition du Prix de l’Innovation numérique « Denis-Sassou-N’Guesso » 2023. Et Huawei en a fait des « Seeds for the future ». La cérémonie de clôture de la cinquième édition du Prix de l’innovation numérique « Denis-Sassou-N’Guesso » 2023 a eu lieu cette fin du mois de décembre 2023. Le concours est organisé par le ministère des Postes, des Télécommunications et de l’Economie numérique, avec l’appui de la société Huawei.
L’ édition 2023 a connu la participation de jeunes inventeurs, filles comme garçons, âgés de 18 à 29 ans. Ils avaient suivi une formation spécifique dans les domaines de pointe tels que l’intelligence artificielle, la 5 G, l’internet des objets et les technologies émergentes.
Le premier prix a été décerné à Paul Kitsoukou Ngoma, qui a présenté une start-up dénommée « Tala ». Il s’agit d’une application permettant aux personnes souffrant de la déficience visuelle de mieux s’orienter pendant leurs mouvements. Paul Kitsoukou Ngoma est reparti avec un chèque d’un million cinq cent mille FCFA à titre d’encouragement.
Reine Ovaga, est la deuxième parmi les impétrants. Elle a reçu chèque d’un million FCFA. Son application mobile multifonctionnelle aide dans divers domaines.
Le dernier inventeur, Vintsie Janis Gavin Geovane, occupe la dernière marche du podium. Il a mis en place une application linguistique qui aide à traduire de manière instantanée des discours ou une communication d’une langue en une autre.
[DIGITAL Business Africa] – Un nouveau mode d’enregistrement et de payement des droits, taxes de douane des véhicules d’occasion importés entre en vigueur le 10 janvier 2024. Le ministre des Finances, Louis Paul Motaze, a signé un communiqué, portant réorganisation de la procédure de dédouanement des véhicules d’occasion importés, ce 02 janvier 2024. Cette mesure administrative vise à faciliter les procédures et à améliorer le service rendu aux usagers sans toute fois introduire de nouvel impôt et accroître la charge fiscale des contribuables.
« A compter du 10 janvier 2024, les droits d’enregistrement et de timbre sur les mutations des véhicules d’occasion importés seront désormais déclarés et payés dans le Cameroon Custom Information System ( Camsis) en même temps que les droits et taxes de douane à travers le bulletin de liquidation douanière (BLD) », a dit le ministre des Finances, Louis Paul Motaze.
Et d’expliquer : « A cet effet, ces droits d’enregistrement sur les mutations de véhicules d’occasion importés actuellement déclarés à travers le système informatique de la DGI seront désormais déclarés et payés à l’occasion des opérations de dédouanement des marchandises via le BLD dans le Camsis », a-t-il dit.
Le système Camcis a été lancé en 2019, par le directeur général des Douanes (DGD), Fongod Edwin Nuvaga, en remplacement de l’application Sydonia. Cette dernière avait été conçue à l’origine pour des besoins statistiques. Selon le DGD Fongod Edwin Nuvaga, l’application Sydonia avait des faiblesses dans la prise en charge de l’ensemble des procédures de dédouanement. Camcis, depuis son lancement, a réduit relativement le délai des procédures en matière d’importation, d’exportation. En plus de sécuriser les taxes et droits de douanes.Louis
[DIGITAL Business Africa] – De nouvelles mesures de la Loi de Finances 2024 ont été dévoilées au Maroc à l’aune de l’année 2024. L’ Administration des Douanes et Impôts indirects annonce des changements impactant le code des douanes et impôts indirects, le tarif des droits de douane, les taxes intérieures de consommation, la TVA à l’importation, ainsi que les avantages fiscaux pour certains produits. Quatre principaux axes sous-tendent la Loi de Finances pour l’année budgétaire 2024. Premièrement, la Dématérialisation des procédures de dédouanement.
Un accent sera mis sur la facilitation et la simplification des procédures de dédouanement en favorisant la dématérialisation des documents couvrant le transport des marchandises entre les magasins et aires de dédouanement (MEAD) et les bureaux de douane d’exportation. Cette mesure vise à moderniser et accélérer les formalités douanières.
Ensuite le réajustement des Technologies de l’Information et ee la Communication. L’article 5 de la LF 2024 modifie le dahir ( décret royal marocain) portant loi n° 1-77-340 du 09 octobre 1977, relatif aux taxes intérieures de consommation (TIC). Ces ajustements touchent diverses matières, dont les boissons non alcoolisées, les pneumatiques, et les produits contenant du sucre. Une augmentation de la TIC sur les boissons alcoolisées est également à noter.
Et enfin, l’élargissement de l’exonération de la TVA à l’importation. La réforme de la TVA à l’importation étend l’exonération à plusieurs produits de large consommation. Cela inclue le beurre dérivé du lait d’origine animale, les conserves de sardines, le lait en poudre, le savon de ménage, les fournitures scolaires, les produits pharmaceutiques, les biens d’équipement de la Fondation Mohamed VI des Sciences et de la Santé, ainsi que tous les cathéters utilisés pour l’hémodialyse.
[DIGITAL Business Africa] – Avant d’amorcer l’année 2024, le Comité technique du Partenariat pour un Gouvernement ouvert (PGO ) ou Open Gouvernement Partnership (OGP) jette un bref regard dans le rétroviseur. Le PGO est un partenariat qui promeut un gouvernement ouvert, à savoir la transparence de l’action publique et son ouverture à de nouvelles formes de concertation et de collaboration avec la société civile, en faisant notamment levier sur le numérique et les nouvelles technologies. Le Comité technique qui est donc l’organe exécutif et décisionnel de l’ OGP s’est réuni au cours d’un atelier le mercredi 20 décembre 2023, à Ivoire Trade Center, dans la commune de Cocody.
Lors de cet atelier, la présidente de l’ OGP Koné Mariama, est revenue sur les réalisations de l’ OGP en 2023. Il s’agit entre autres de la campagne menée au cours de la Semaine de l’OGP ; des visites effectuées auprès des Administrations et Institutions de l’Etat ; des consultations publiques (présentiel et webinaire) ; des rencontres avec les porteurs d’engagements ; de la participation aux rencontres internationales (Sommet mondial OGP, Séminaire régional PAGOF, rencontres en ligne).
L’objectif de l’ OGP au sein des 22 membres (11 des gouvernements nationaux et 11 de la société civile) qui le constituent est la responsabilisation et l’ implication des citoyens ; la lutte contre la corruption et l’exploitation des technologies de l’information et de la communication. Tout ceci, en vue de renforcer la qualité de la gouvernance, dans un esprit de collaboration avec les acteurs non étatiques, les organisations de la société civile et les médias.
[DIGITAL Business Africa] – Alhamdou AG Ilyène a reçu les marques d’attention de ses proches et collaborateurs, ce 2 janvier 2024. Le ministère de la Communication de l’Économie Numérique et de la Modernisation de l’Administration a organisé la traditionnelle cérémonie de présentation de vœux à son patron Alhamdou AG Ilyène. C’était l’occasion pour le secrétaire général du ministère, Alkaïdi Amar Touré, de dresser le bilan des réalisations de l’année écoulée (2023). L’on rappelle que parmi ces réactions, il y a la plus récente, le lancement de l’Étude d’élaboration du document de Politique Nationale de Développement de l’Économie Numérique au Mali. C’était exactement le 29 décembre 2023.
Alhamdou AG Ilyène Ministre de la Communication, de l’Économie Numérique et de la Modernisation de l’Administration, entend corriger les lacunes du passé en favorisant l’innovation, la connectivité, la cybersécurité, la digitalisation des services publics, et la formation aux compétences numériques. Une étape,dit-il, cruciale vers la transformation digitale du Mali. Ou encore la participation du Mali à l’Atelier d’Excellence BRICS 2023 sur les Nouvelles Technologies de la Révolution Industrielle et la Gouvernance qui s’est tenu du 14 novembre au 09 décembre 2023 en Chine.
Le secrétaire général du ministère de la Communication de l’Économie Numérique et de la Modernisation de l’Administration, Alkaïdi Amar Touré, a aussi partagé les grandes lignes des projets et des actions en cours, visant à maintenir chaque agent informé des initiatives futures du département.
[DIGITAL Business Africa] – L’équipe de Digital Business Africa et moi vous souhaitons une bonne et heureuse année 2024. Par la grâce divine, que cette nouvelle année soit celle de l’accomplissement et de concrétisation des projets qui vous tiennent le plus à coeur.
Surtout, merci à vous, chers partenaires et annonceurs, qui avez fait confiance à DIGITAL BUSINESS AFRICA en 2023. Votre confiance a été une source de motivation exceptionnelle pour moi et pour l’ensemble de nos équipes.
Avec vous, nous nous sentons plus forts. Pour l’année 2024, nous vous promettons plus d’engagement et de professionnalisme dans la fourniture des contenus médiatiques spécialisés avec notre plateforme web Digital Business Africa, spécialisée dans les infos stratégiques sur les TIC, les Télécoms et le Numérique en Afrique.
En 2024, nous allons également renouer avec la version PDF de Digital Business AFRICA qui sera disponible dans les kiosques numériques et plateformes numériques spécialisées. Nous nous engageons à travailler davantage pour vous fournir des infos stratégiques nécessaires pour vos projets et organisations. Une fois de plus, bonne et heureuse année 2024 !
[DIGITAL Business Africa] – La vigilance est devenue le maître mot pour les Tchadiens qui préfèrent acheter des produits en ligne. Cela en raison de plusieurs cas d’ arnaque observés dans le monde de la vente en ligne, depuis un certain temps. Deux types d’arnaque sont courant en ligne. Notamment l’arnaque pour subtiliser vos données personnelles et l’ arnaque pour vous voler de l’argent. DIGITAL Business Africa a pu répertorier quelques témoignages des victimes d’arnaque dans le cadre du commerce en ligne. Irène est une cliente passionnée de e-commerce. Elle raconte fon expérience.
« J’ai été escroqué par un commerçant à hauteur d’une somme de 100 000 francs pour l’achat des mèches. Il devrait me les livrer en moins d’une heure, mais à ma grande surprise, le gars a disparu sur les réseaux sociaux. Depuis lors, j’ai décidé de ne plus jamais faire des achats en ligne » se souvient-elle.
Comme Irène, Edith a été victime à cause de son manque de connaissance en matière de vente en ligne. Elle n’a pas pris des dispositions nécessaires pour s’assurer de la bonne qualité de son produit desiré.
« J’ai fait la commande d’un powerbank en ligne, on me l’a livré dans le délai pour une somme de 20 000F. À ma grande surprise, ce n’était pas la bonne qualité. J’ai écrit en vain à mon commerçant qui n’a plus jamais répondu à mon message et a préféré me bloquer », raconte Édith.
Idriss Ali est, quant à lui, propriétaire d’une ligne de vêtements sur les réseaux sociaux. Pour lui, il est important d’adopter une attitude vigilante et de prendre des précautions pour se protéger.
« J’ai toujours fait des achats en ligne, mais je n’ai jamais été dépouillé par ces arnaqueurs. Il faut juste être vigilant et attendre que le produit soit livré avant de remettre l’argent. Aussi, se renseigner sur la crédibilité des sites, préférer les plateformes reconnues et signaler les incidents sont autant de mesures qui peuvent permettre de limiter les risques », dit-il
Comment se prémunir d’une arnaque à l’e-commerce?
Plusieurs mesures sont à prendre lorsqu’on est sur le point de procéder à l’achat d’un produit en ligne. Le site blog.europ-assistance.be vous propose ces 10 conseils essentiels pour se prémunir d’une arnaque à l’e-commerce.
[DIGITAL Business Africa] – L’opérateur de télécommunications Togocom a fait bon accueil des suggestions de l’ ATC. L’Association togolaise des consommateurs (ATC) avait demandé aux opérateurs de téléphonie mobile du Togo et au régulateur de mettre un accent sur la sensibilisation des internautes à l’arnaque surtout en temps de fête. Cette période festive a donc été l’occasion pour Togocom de recenser quelques mesures que les abonnés devraient prendre. L’opérateur prescrit la vigilance en plus de ces conseils :
– Ne suivez jamais un lien non sécurisé, peu importe la raison. – -Vérifiez toujours la fiabilité et la sécurité des liens avant de cliquer.
– N’obéissez jamais aux instructions d’inconnus par téléphone, que ce soit pour effectuer une transaction ou prétendre gagner des lots.
– Ne partagez jamais vos informations personnelles ou financières avec des personnes inconnues.
– Ne composez jamais une syntaxe ou ne cliquez jamais sur un lien pour réceptionner un lot. Togocom ne vous demandera jamais cela.
– Ne saisissez jamais de code reçu par message pour valider une opération si vous n’en êtes pas l’auteur.
– Ne partagez ces codes avec personne, car ils peuvent être utilisés de manière frauduleuse.
– Ne communiquez jamais les informations liées à votre numéro ou compte TMoney par téléphone ou sur un site inconnu.
Les pratiques frauduleuses qui font mouche auprès des abonnés, selon l’Association togolaise des consommateurs (ATC), est l’appel trompeur et les messages frauduleux . Ils émanent généralement de numéros inconnus, de faux organismes de services publics ou d’institutions financières. On peut aussi ajouter les fausses promotions et offres alléchantes.
Le but étant généralement d’inciter les utilisateurs à divulguer des informations personnelles sensibles, comme les numéros de carte de crédit, les mots de passe ou les numéros de sécurité sociale, ce qui peut entraîner des conséquences désastreuses, allant de la fraude financière à l’usurpation d’identité.
[DIGITAL Business Africa] – Les passionnés (professionnels, amateur) de photographie sont à l’honneur et peuvent représenter leurs pays à Genève, Suisse. L’ Union Internationale des Télécommunications lance un concours de photos du Sommet mondial sur la Société de l’Information – SMSI20. Poury participer, les candidats à la candidature doivent envoyer cinq photos sur le thème les TIC ou les objectifs de développement durable via le https://qrco.de/befX3T . Et ce, jusqu’au 05 janvier 2024 à 23h59. Le Sommet mondial sur la Société de l’Information – SMSI20 est organisé conjointement par l’UIT, l’UNESCO, le PNUD et la CNUCED.
Le Forum SMSI 20 revient deux décennies après s’être tenu à Genève en 2003 et Tunis en 2005. Ces assises avaient abouti à l’établissement d’un cadre de la coopération numérique mondiale avec la vision de construire des sociétés de l’information et de la connaissance centrées sur l’être humain, inclusives et axées sur le développement. Le Forum SMSI 20 revient deux décennies après s’être tenu à Genève en 2003 et Tunis en 2005 avec l’objectif de faire le point sur les réalisations et les tendances clés, les défis et les opportunités depuis le plan d’action de Genève en 2003.
Retour sur l’édition 2023
Les conditions ci-après ne sont peut-être pas celles de l’ édition 2024 du concours de photos du Sommet mondial sur la Société de l’Information – SMSI20. Mais DIGITAL Business Africa vous propose le règlement et les conditions de participation au concours SMSI20, édition 2023. Voici donc
le gèglement et les conditions du concours SMSI 2023.
• Les personnes doivent être âgées de plus de 18 ans au moment de l’inscription pour être considérées comme admissibles à participer et à gagner au concours.
• Les candidats ne doivent pas être des employés (ou des membres de la famille ou du ménage nucléaire d’un employé) de l’UIT ou détenir une offre d’emploi futur à l’UIT.
• Toutes les inscriptions doivent être soumises en anglais.
Les soumissions retenues obéissaient à ces exigences :
• Un maximum de cinq participations pouvaient être soumises par un photographe.
• Les photos avaient un titre, une date, un lieu, une légende (maximum de 100 mots) et des détails sur le photographe.
• Les participations étaient acceptées uniquement en format numérique et n’étaient pas améliorées ou manipulées numériquement de quelque manière que ce soit.
• Les fichiers image étaient inférieurs ou suivants : 7 mégaoctets, doivent être au format .jpg et doivent avoir une résolution de capture de 1600 x 1200 pixels.
• Les images n’étaient pas filigranées.
Les trois lauréats du concours photo du SMSI 2023 avaient été invités à participer à la campagne ICT4SDG de l’UIT. Cette initiative met en lumière les nombreuses façons dont les TIC contribuent à la réalisation de tous les ODD.
[DIGITAL Business Africa] – Le Mali entre de plain-pied dans l’an 2024 avec un objectif précis : élaborer le document de Politique nationale de Développement de l’Économie numérique. Le ministre de la Communication, de l’Économie numérique et de la Modernisation de l’Administration du Mali, Alhamdou AG Ilyène, a présidé la cérémonie de lancement d’élaboration du document en question, ce 29 décembre 2023. C’était en présence du directeur national de l’Economie numérique, Abdoul Kader Ky, des représentants de haut niveau, des experts du secteur du numérique, entre autres.
La Politique nationale de Développement de l’Économie numérique 2024-2028 rejoint le Programme d’Action du Gouvernement, le Cadre Stratégique pour la Relance Économique et le Développement Durable (CREDD), et les Objectifs du Développement Durable (ODD). Cette vision de l’Etat du Mali vise à créer un écosystème propice à l’émergence des start-ups, la modernisation de l’Administration, et la prospérité économique durable.
Cela passe évidemment par l’innovation, la connectivité, la cybersécurité, la digitalisation des services publics, et la formation aux compétences numériques. Le ministre de la Communication, de l’Économie numérique et de la Modernisation de l’Administration du Mali, Alhamdou AG Ilyène a, de ce fait, lancé un appel à la collaboration de tous les acteurs du numérique dans l’élaboration de ce document crucial.
Cette démarche inclusive, a dit le ministre Alhamdou AG Ilyène, vise à impulser une croissance économique grâce aux avancées numériques, impactant positivement la vie des citoyens et l’efficacité de l’Administration. Alhamdou AG Ilyène reste confiant que les échanges, dans le cadre des travaux d’élaboration de ce document, produiront des recommandations essentielles pour relever les défis de la transformation digitale au Mali.