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[Digital Business Africa] – Le Groupement Interbancaire monétique de l’Afrique Centrale (Gimac) va lancer prochainement une nouvelle plateforme monétique intégrale qui devrait apporter de nouveaux services numériques, à l’instar des services de convergence mobiles, transfert d’argent et cartes.
Selon le PDG du Gimac Valentin Mbozo’o qui révèle l’information contenue sur le site «Investors 4 Africa» qui l’interviewe. La nouvelle plateforme du Gimac permettra aux utilisateurs d’effectuer des transactions de carte en mobile, de mobile à compte, de compte à carte et autres.
« On va faire converger ces outils, effectuer des transactions intégrant tout cela dans une harmonie où nous sommes les précurseurs. Autrement dit, mettre en œuvre une offre d’interopérabilité monétique intégrant l’ensemble des instruments de paiement les plus en vue pour le moment, c’est-à-dire la monétique intégrale. Avec la monétique intégrale il va y avoir des interactions Carte, Mobile et Transferts interopérables. Ce que nous avons voulu promouvoir est l’interopérabilité », explique Valentin Mbozo’o.
[Digital Business Africa] – Comme avec la 4G, le Nigéria prend de l’avance sur la plupart des pays d’Afrique subsaharienne sur la 5G. Au lendemain de la tenue dans le pays de la semaine africaine de la télécommunication numérique, ouverte, le 27 août 2019 à Abuja, le régulateur des télécoms, la Commission des Communications du Nigeria (NCC) a annoncé l’approbation prochaine de des opérations de test de la 5G.
Ainsi, les opérateurs télécoms présents sur ce marché pourront tester cette technologie, dans l’optique de se pré-positionner. Aussi, la NCC annonce le lancement prochain des appels d’offres pour l’acquisition des licences d’exploitation 5G. Avec l’annonce du lancement prochain des tests par les opérateurs, le Nigeria rejoint ainsi l’occurrence le Maroc, l’Algérie, l’Afrique du sud et le Lesotho qui expérimentent déjà la 5G avec succès pour certains, depuis 2018.
[Digital Business Africa] – En Ethiopie, alors que la libéralisation du secteur des télécommunications sera effective dans moins de trois mois, Ethio Telecom, l’opérateur public qui détient le monopole se prépare déjà à la future concurrence, qui s’annonce très rude. Dans ce sillage, Frehiwot Tamru, PDG d’Ethio Telecom, a personnellement présenté un plan stratégique triennal de développement (2019-2022). Ce qui devrait lui permettre de rester le leader du marché.
De manière spécifique, ce plan triennal prévoit le lancement de nouveaux services tels que le mobile money, ou encore le data cloud. A cet effet, Frehiwot Tamru a annoncé qu’une demande d’autorisation pour proposer des services de mobile money a déjà été déposée auprès de la Banque centrale. Avec le lancement de ces services, l’opérateur prévoit de réaliser des gains d’environ 13 milliards de dollars. Aussi, Ethio Telecom envisage d’élargir son réseau de 4G dans tout Addis Abeba et dans d’autres régions de manière à parvenir à une hausse de près de 16% du nombre total d’abonnés et de 25% du chiffre d’affaires à 45,4 millions de dollars sur la première année (2019-2020) du plan stratégique.
«La libéralisation du marché créera des défis
et des opportunités. Autant que possible, nous nous préparons à exploiter
les opportunités et à relever les défis […] L’enjeu stratégique de ce plan
est de faire d’Ethio Telecom un fournisseur de services compétitif, compétent
et préféré à ses concurrents», explique le PDG d’Ethio Telecom, cité par The
Reporter Ethiopia.
Notons qu’en plus de libéraliser le secteur des télécommunications, le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed a également annoncé sa volonté de privatiser Ethio Telecom. Depuis juin 2018 qu’il a annoncé cette ouverture, plusieurs grands groupes se sont déjà positionnés en embuscade. C’est le cas notamment du français Orange, du Sud-africain MTN, ou encore le britannique Vodafone qui s’est manifesté via sa filiale sud-africaine Vodacom. Selon le gouvernement Ethiopien, les première licences devraient être octroyées à deux multinationales d’ici fin 2019.
[Digital Business Africa] – Les ministres et autres responsables de l’Etat au Sénégal ne peuvent plus appeler sans limite avec leur téléphone portable de service, dont l’usage est désormais plafonné selon un montant forfaitaire mensuel. Selon une annonce gouvernementale, l’objectif est de diminuer les dépenses dans l’administration en réduisant le train de vie du gouvernement. Ceci, alors que chaque année, la facture de l’Etat pour le téléphone fixe et mobile est estimée à 11 milliards de francs CFA, hors frais de la présidence de la République. Au début du mois d’août 2019, le président Macky Sall avait estimé à “16 à 17 milliards” de francs CFA la facture téléphonique annuelle de l’Etat.
Ainsi, depuis le 1 er septembre 2019, les forfaits illimités auprès des opérateurs mobiles de ces serviteurs de l’Etat ne permettent plus d’effectuer d’appels sortants. Les appels entrants seront quant à eux uniquement possibles jusqu’au 30 septembre. Ces lignes seront ensuite “intégralement résiliées”. A la place, une “allocation forfaitaire a été intégrée dans les salaires de ce mois d’août 2019 des ayants droit”, précise le communiqué gouvernemental, qui ne donne aucune précision sur le nombre de fonctionnaires concernés. Outre les fonctionnaires, “la mesure concerne les gens qui ont des postes à responsabilités, dont les ministres, leur directeur de cabinet, les directeurs généraux ou encore les conseillers techniques”, précise le gouvernement.
[Digital Business Africa] – Elle fourbit ses armes dans le plus grand secret depuis plus d’un an: la messagerie cryptée Telegram pourrait bien devancer Facebook en lançant prochainement sa monnaie virtuelle, “Gram“, assortie d’un ambitieux système de paiement grand public.
L’objectif de Telegram est de créer un produit plus facile d’accès que les cryptomonnaies actuelles, comme le Bitcoin, qui fédèrent essentiellement un public d’initiés.
Dans un document ayant fuité l’an passé, la
messagerie créée par le russe Pavel Dourov affirmait vouloir créer plus qu’une
monnaie.
Son réseau TON (Telegram Open Network), reposant sur la technologie blockchain, devrait créer tout un système de paiement sécurisé et rapide se voulant “une alternative à Visa et Mastercard pour une nouvelle économie décentralisée”.
Pour cela, Telegram a recueilli la somme record
de 1,7 milliard de dollars auprès de 200 investisseurs privés, lors d’une levée
de fonds massive en cryptomonnaies (ICO) effectuée en deux fois.
Le succès à été tel que la messagerie a annulé
l’organisation d’une levée de fonds publique, imposant aux investisseurs non
triés sur le volet d’attendre le lancement officiel du “Gram” pour
pouvoir se procurer la nouvelle cryptomonnaie, qu’ils auraient pu commencer à
acquérir au moment de la levée de fonds.
– “Accord de
confidentialité” –
Telegram ne s’étant jamais exprimé sur le sujet,
les informations filtrent au compte-goutte via les investisseurs, situés
notamment aux Etats-Unis, en Asie et en Russie.
“Ils sont liés par un accord de
confidentialité”, a déclaré à l’AFP une source proche des milieux
économiques de Moscou, affirmant connaître personnellement “au moins un
banquier de premier plan et un homme d’affaires de la liste Forbes
Russie”, qui compile les hommes les plus riches du pays, parmi les
investisseurs.
“On ne pouvait investir que sur invitation,
beaucoup de gens voulaient y participer”, ajoute cette source.
Selon le quotidien économique russe Vedomosti,
Telegram commencera ainsi à tester son projet TON dès le 1er septembre, mettant
en accès public du code et des instructions pour créer un “noeud” et
devenir ainsi un acteur du réseau.
Les premiers Gram devraient être mis en
circulation d’ici deux mois, selon le New York Times, qui cite anonymement des
investisseurs. Soit avant la cryptomonnaie Libra, que Facebook espère mettre en
circulation au cours du premier semestre 2020. C’est que le temps presse: selon
la presse spécialisée, Telegram s’est engagé à remettre les Grams aux
investisseurs d’ici le 31 octobre, ou à leur rendre l’argent.
“Facebook comme Telegram voient bien qu’il y
a un espace à prendre: permettre aux gens d’échanger via internet des petits
montants, sans passer par de la monnaie fiduciaire, des opérations bancaires ou
des applications”, affirme à l’AFP Manuel Valente. “Cela va renforcer
les craintes des Etats nations sur leur perte d’influence”, ajoute le
directeur analyse et stratégie de Coinhouse, qui propose au grand public des
outils pour investir dans des cryptomonnaies.
A ce petit jeu, les services de messageries,
comme Telegram ou Facebook avec WhatsApp, ont beaucoup à gagner. Selon un
rapport d’Aton, un des principaux fonds d’investissement russe, “les
cryptomonnaies qui auront du succès sont celles qui feront partie intégrante de
l’écosystème de messagerie d’un réseau social existant”.
– Risques pour le
système financier international –
Un réseau d’utilisateurs important, à l’instar
des 250 millions estimés de Telegram, permettrait “d’accroître
l’acceptation de la cryptomonnaie auprès du grand public”, ajoute Aton,
selon qui des produits comme Gram ou Libra pourraient ainsi “littéralement
introduire la cryptomonnaie dans chaque ménage”.
Reste un écueil soulevé par Aton: une
cryptomonnaie qui fonctionne devra être en “parfaite conformité avec la
réglementation en vigueur”.
Lors du sommet du G7 Finances en juillet à Chantilly, près de Paris, les ministres et banquiers centraux des pays membres avaient alerté sur les risques pour le système financier international de ces projets ambitieux de monnaie numérique.
La messagerie Telegram, créée en 2013 par les
frères russes Nikolaï et Pavel Dourov, est avant tout connue pour sa capacité à
protéger et anonymiser les échanges. Son utilisation par les mouvements
jihadistes a régulièrement suscité la polémique.
Organisation à but non lucratif, Telegram est
basée sur des logiciels en “open source”, c’est-à-dire libres de
droits et accessibles à tous afin d’en améliorer le programme, et rejette tout
type de contrôle sur son fonctionnement et sa gouvernance.
[Digital Business Africa] – Google, dont la filiale YouTube est accusée d’avoir enfreint la loi en exposant les enfants à des vidéos inappropriées ou en collectant des données personnelles les concernant, va payer entre 150 et 200 millions de dollars dans le cadre d’un accord avec les autorités américaines de régulation, ont rapporté vendredi des médias américains.
La Commission fédérale du commerce (Federal Trade Commission, FTC) devrait annoncer sa décision sur cet accord en septembre, selon le New York Times. S’il est approuvé par le ministère de la Justice, l’accord deviendra le plus important à ce jour dans une affaire impliquant la protection de la vie privée des enfants, ajoute le quotidien.
En avril 2018, 23 organisations de défense des
droits numériques et de protection de l’enfance avaient déposé une plainte
auprès de la FTC. Elles accusaient YouTube de collecter les informations
personnelles de mineurs (localisation, appareil utilisé, numéros de téléphone)
sans que les parents le sachent, et de s’en servir pour permettre de la
publicité ciblée.
Selon ces associations, cela enfreint la loi
américaine COPPA qui interdit depuis 1998 la collecte et l’utilisation
commerciale de données des enfants de moins de 13 ans sans l’accord explicite
des parents.
YouTube, qui compte deux milliards d’usagers
mensuels et est extrêmement populaire chez les ados et les jeunes, a créé
en 2015 un site dédié aux enfants de moins de 13 ans, YouTube Kids. Mais son
site principal YouTube, officiellement interdit aux moins de 13 ans, regorge de
dessins animés ou de comptines pour tout-petits et … de publicités pour des
jouets.
Dans un communiqué, l’association Center for
Digital Democracy (Centre pour la démocratie numérique), qui fait partie des
plaignants, a estimé que l’accord envisagé serait “terriblement
modeste” au vu du chiffre d’affaires de Google.
Le Wall Street Journal avait évoqué en juin une
option radicale: que YouTube doive placer la totalité des contenus
destinés aux plus jeunes sur YouTube Kids, ce qui pourrait être lourd de
conséquences, avec la perte d’annonceurs publicitaires et des revenus qui vont
avec. Sans collecte de données, YouTube Kids est beaucoup moins intéressante
pour les annonceurs.
La gestion des vidéos d’enfants ou pour enfants
est un dossier épineux pour YouTube, également critiqué pour ne pas assez
protéger son site des pédophiles. YouTube a pris ces derniers mois des mesures
fermes, comme interdire la possibilité de commenter la plupart des vidéos
montrant des mineurs.
Dans l’Union européenne où est entré en vigueur en mai 2018 un règlement général de protection des données (RGPD), Google s’est vu infliger en France une amende record de 50 millions d’euros en janvier par la Commission nationale informatique et libertés (CNIL) pour information insuffisante des utilisateurs sur l’exploitation de leurs données. Google a fait appel.
[Digital Business Africa] – Le ministre français de l’Economie et des Finances rencontrera mardi son homologue américain à Washington pour parler de la taxation des géants du numérique (“Gafa”), dans la foulée de l’accord obtenu pendant le G7, a-t-on appris dimanche auprès de son entourage.
Bruno Le Maire est attendu dans la capitale fédérale pour un entretien avec le secrétaire au Trésor Steven Mnuchin, afin “de poursuivre les discussions sur la taxation du numérique”, a précisé cette source à l’AFP.
Après deux jours d’intenses tractations, la
France a affirmé lors du G7 de Biarritz la semaine dernière avoir trouvé un
accord de principe avec les Etats-Unis sur la taxation des géants du numérique,
censé écarter la menace de représailles américaines sur le vin français,
énoncée par le président Donald Trump.
Mardi, M. Le Maire avait estimé que cette menace
“s’éloignait” mais n’était pas encore “définitivement
écartée”, l’issue dépendant de discussions à venir avec la partie
américaine.
En vertu du compromis élaboré par Paris et Washington, la France s’est engagée à abandonner sa taxe, qui entre en vigueur cette année, dès qu’une solution internationale aura été trouvée sous l’égide de l’OCDE.
Définitivement adoptée le 11 juillet, cette taxe
dite “Gafa” (Google, Amazon, Facebook, Apple) crée une imposition des
grandes entreprises du secteur technologique non pas sur le bénéfice, souvent
transféré via des montages savants dans des pays à très faible fiscalité, mais
sur le chiffre d’affaires.
L’accord de principe annoncé à Biarritz a suscité
l’hostilité de l’industrie technologique américaine.
[Digital Business Africa] – C’est la capitale tchadienne Ndjamena qui a été choisie par l’Union africaine pour abriter l’édition 2019 du Forum sur la gouvernance de l’Internet en Afrique. Cette 8e édition se déroulera du 10 au 12 septembre 2019 sous le thème : « Responsabilités partagées des parties prenantes pour un écosystème robuste de gouvernance de l’Internet ». L’objectif est de favoriser la durabilité, la sécurité, la stabilité et le développement de l’Internet, en facilitant le développement des contenus, l’accès à l’information et aux connaissances.
D’après Kalzeubé Pahimi Deubet, le ministre secrétaire général à la présidence tchadienne qui préside le comité d’organisation, cet évènement rassemblera des ministres africains en charge des TIC et plus de 300 experts et participants. Notons que le forum africain sur la gouvernance de l’Internet découle du forum mondial de gouvernance de l’Internet qui a été institutionnalisé en 2011 par l’Assemblée générale des Nations-Unies. Son but est de promouvoir l’accès à l’information et au savoir et assurer la transformation numérique de l’Afrique.
L’autorité de Régulation des Postes et Télécommunications a signé un contrat avec le groupe GVG, en mai 2009, dans des conditions très particulières. L’objet de ce contrat était de doter l’institution de moyens techniques adéquats pour contrôler et de taxer les appels internationaux entrants et les appels nationaux, de lutter contre la fraude, de contrôler le spectre des fréquences, etc.
Les actes de corruption, de fraude et les résultats en deçà des attentes et des standards internationaux qui caractérisaient ce contrat nous ont amené à le résilier, après plusieurs interpellations de GVG sur ces différents points.
Le DG de l’ARPT, Antigou Chérif.
Le Groupe GVG a engagé le 08 décembre 2016, conformément aux Règlement d’arbitrage de la Chambre de commerce internationale, une procédure d’arbitrage pour voir la République de Guinée et de l’ARPT condamnées à lui payer la somme de USD 106.558.720 au titre des impayés et de la résiliation abusive de l’accord de partenariat liant GVG à l’ARPT.
La République de Guinée et l’ARPT ont, quant à elles, soulevé, d’une part, l’incompétence du tribunal motif pris de la nullité de la clause d’arbitrage et de la mauvaise saisine de la République de Guinée et, d’autre part, demandé au Tribunal arbitral de juger irrecevables et mal fondées des demandes de GVG notamment en raison de la nullité de l’Accord de Partenariat pour violation des procédures de passation des marchés publics en Guinée et pour corruption.
Le Tribunal arbitral n’a pas pris en compte les faits de corruption ainsi que les arguments apportés par les avocats et a estimé que la République de Guinée et l’ARPT ont abusivement résilié l’Accord de partenariat et les a, de ce fait, condamnées à payer à GVG la somme de USD 20 millions.
Le DG de l’ARPT Antigou Chérif et le ministre des Postes, Télécommunications et de l’Economie Numérique de la Guinée, Moustapha Mamy Diaby
Le Siège de l’arbitrage ayant été fixé par la cour d’arbitrage de la chambre de commerce internationale à paris, la République de Guinée et l’ARPT à travers le leur avocat le cabinet Hughes Hubbard & Reed LLP vont intenter dans les prochains jours un recours en annulation de la sentence arbitrale au motif que celle-ci viole l’ordre public international français en ce que le Tribunal arbitral a fait produire effet sur la jurisprudence désormais constante de la cour d’appel de Paris et de la Cour de cassation française.
Ce recours en annulation sera intenté devant la Cour d’appel de Paris et si nécessaire sera devant la cour de cassation française. Cette procédure va durer encore plusieurs mois avant de connaître un dénouement. L’intérêt de l’État Guinéen et de l’ARPT commande que ce recours en annulation soit en tout état de cause diligentée très prochainement, ce à quoi s’attellent nos avocats. Au cours des audiences nous produirons toutes les preuves de corruption, de malversations et des conflits d’intérêt, ici et ailleurs, pour démontrer ces faits.
[Digital Business Africa] – DHL Express a annoncé le lancement d’une plateforme mobile novatrice qui permettra à ses clients résidant en Afrique subsaharienne de suivre et de coordonner, plus facilement et plus efficacement, la livraison de leurs expéditions.
Selon Hennie Heymans, PDG de DHL Express pour l’Afrique subsaharienne, l’application mobile DHL Express s’inscrit dans le cadre de l’engagement continu de DHL Express qui vise à encourager les innovations améliorant l’expérience client. « Cette application, qui constitue un nouvel élément très intéressant de notre offre de services en Afrique subsaharienne, a été lancée en Afrique du Sud, au Kenya, au Ghana, au Nigéria, en Ethiopie, à l’Ile Maurice, en Tanzanie et en Ouganda, et sera déployée dans 40 autres pays de la région d’ici la fin de l’année 2020 ».
Il ajoute ensuite que l’application mobile DHL Express offre plusieurs avantages clés aux clients, leur permettant d’accéder à des fonctions très utiles lors de leurs déplacements. Ainsi, les clients peuvent accéder à des devis d’expédition précis, trouver le point de service DHL le plus proche pour récupérer et livrer facilement un colis, et suivre leurs expéditions en temps réel. « Lorsqu’il s’agit d’améliorer l’expérience client, l’objectif est l’adoption du numérique et nous sommes particulièrement enthousiastes de lancer une nouvelle application mobile passionnante destinée à nos clients de la région. », explique-t-il.
Un rapport rédigé par GSMA Intelligence a révélé que les téléphones et services mobiles facilitent la croissance des activités en Afrique. L’écosystème mobile a réalisé jusqu’ici une contribution significative à l’économie de l’Afrique subsaharienne, avec une contribution à la valeur économique à hauteur de 110 milliards d’USD, soit 7,1 % du PIB de la région en 2017.
Il ajoute qu’il ne s’agit pas seulement d’une nouvelle technologie, mais également d’un nouvel état d’esprit et d’une nouvelle culture. Nos clients ne cessent d’évoluer et de changer la manière dont ils communiquent, travaillent, voyagent et consomment ; il est par conséquent nécessaire de leur garantir des solutions suffisamment polyvalentes pour pouvoir s’adapter à leurs besoins changeants.
Les transactions en ligne connaissant une augmentation exponentielle en Afrique, M. Heymans affirme qu’il existe une demande manifeste de solutions mobiles intégrées permettant aux clients d’effectuer des transactions en tout lieu et à tout moment.
[Digital Business Africa] – La filiale nigériane du groupe de télécommunications sud-africain MTN est devenue le 29 août 2019 la première entreprise téléphonique à lancer un service de paiement sur mobile au Nigeria, ce qui rendra les transferts d’argent accessibles à des millions de personnes sans compte bancaire. Des services similaires, qui permettent aux usagers de recevoir et d’envoyer de l’argent avec leurs téléphones portables, ont déjà été lancés avec succès dans des marchés clés du continent, comme le Kenya.
Le Nigeria, le pays africain le plus peuplé avec 190 millions d’habitants, a autorisé l’année dernière les compagnies téléphoniques à fournir des services financiers et MTN a obtenu une licence pour y opérer dans ce cadre en juillet. Cette décision est intervenue après que MTN eut résolu une série de conflits avec les régulateurs nigérians et proposé les actions de la compagnie sur la Bourse du pays.
D’autres acteurs clés du secteur, notamment
Airtel, cherchent aussi à obtenir des licences pour ces services de paiement
par mobile au Nigeria, selon certaines sources. MTN affirme que plus de 50
millions d’habitants du pays, riche en pétrole, n’ont pas de compte bancaire. Le
géant des télécoms a précisé qu’il prévoyait d’étendre la gamme des services
financiers offerts quand il aurait l’accord de la banque centrale.
[Digital Business Africa – Avis d’expert] – Afrique, eldorado très
convoité. Richement dotée en ressources naturelles, l’Afrique a tout pour
réussir. Toutefois, les nombreuses ressources du Continent peine à profiter aux
Africains. Non pas que ces ressources ne soient pas exploitées, mais plus tôt
du fait que le cours de l’histoire a conditionné les Africains à être étrangers
à l’exploitation de leurs richesses.
L’Afrique a donc été et reste la convoitise des principales puissances mondiales qui s’y livrent une guerre de tous les instants.
Cette guerre a consisté pendant longtemps en des accords diplomatiques, négociés autour d’un café chaud, dans les salons feutrés des capitales européennes. L’entrée en course de la Chine, de la Russie (avec l’exhumation des accords bilatéraux ancestraux, comme récemment en RCA et en RDC) et de l’Inde a redistribué les cartes, contraignant les anciennes puissances coloniales à réagir. C’est ce qui explique les turbulences qu’a connu l’Afrique au cours des dix dernières années (la chute de Laurent Gbagbo en Côte d’ivoire, la mort de Mouammar Kadhafi, l’Egypte, l’épée de Damoclès dangereusement suspendue sur la tête d’Idriss Deby du Tchad. Etc.)
Désormais, la ruée vers l’Afrique
rentre dans une nouvelle phase. Les groupuscules terroristes y prolifèrent avec
une célérité inquiétante. Boko haram, ainsi que beaucoup d’autres groupes ont
connu un sursaut d’activité à la fin des années 2010, pour ensuite faire
allégeance à l’Etat Islamique en 2014. D’ailleurs et pour la première fois/fait
nouveau, l’Etat Islamique a revendiqué un attentat terroriste dans l’Est de la
RDC le 19 Avril dernier.
Les télécommunications en Afrique comme butin de guerre
Si certains groupes terroristes
se concentrent sur la revente du butin de guerre, exprimé en Carats, Lingots,
Barils, ivoire, etc., leur action ne s’arrête pas là. Ils s’attaquent aussi à
l’économie numérique, portée par l’extension exponentielle des réseaux mobiles.
Les télécommunications en Afrique deviennent progressivement l’Eldorado à
partir duquel ces groupes terroristes tirent une partie de leurs financements.
Là aussi, la stratégie est très
claire : créer plusieurs entreprises s’adressant à des secteurs distincts du
marché des télécommunications (ne surtout pas se faire concurrence)…
Les Africains semblent observer
la scène en spectateurs passifs oiseux et indolents, laissant tout entre les
mains de Dieu. Mais quel prophète vaticinera sur les lendemains de l’Afrique ?
En attendant, les présages sont dramatiques pour des lendemains qui déchantent,
à moins que les Africains se réveillent et prennent le problème à bras le
corps.
Il est encore temps. Les
Etats-Unis ont montré l’exemple en inscrivant les entreprises de
télécommunications aux visées douteuses sur une liste rouge, de même
que les banques impliquées dans la gestion financière des flux générés par
leurs activités. L’Afrique pourrait leur emboiter le pas, en procédant de
la même manière :
1) Créer un groupe de
travail transcontinental qui procèdera à une due diligence méticuleuse des
différents collaborateurs de l’Afrique dans le domaine des télécommunications
2) Proscrire les entreprises
qui se révèleront néfastes pour le continent
3) Créer et doter une équipe
d’experts, qui s’appuieraient sur des instruments comme SmartAfrica et dont la
charge serait de vérifier l’effectivité de la mesure précédente en scrutant le
trafic télécom,
4) Adopter des mesures coercitives fortes envers les contrevenants aux mesures précédentes
Par Jules Mathurin KEMENI PAWOSSI*
Jules Mathurin KEMENI PAWOSSI est ingénieur en télécommunications. Ingénieur en Télécoms. Domaine d’expertise: l’essor des télécommunications en Afrique Sub-saharienne.
[Digital Business Africa] – Au Gabon, c’est un ingénieur qui a évolué dans l’ombre durant toute sa carrière qui siègera désormais au Conseil de régulation de l’Autorité de régulation des communications électroniques et de la Poste (Arcep) en qualité de membre. Jean Charles Solon, militaire de l’armée de terre passé par les services de renseignement (DGSE), a été nommé au terme du Conseil des ministres du 01er août 2019 à ce poste au sein de l’Arcep – Gabon. Il remplace l’honorable Emmanuel Idoundou, démissionnaire.
Jean Charles Solon est Conseiller à la Présidence
depuis de nombreuses années. C’est un spécialiste de l’ingénierie réseaux. C’est
d’ailleurs lui qui gère au quotidien le Silam, le centre d’interception
(téléphone et internet) mis en place au début des années 80 sous Omar Bongo,
rapporte la Lettre du Continent.
Ce centre est directement rattaché à la Présidence
de la République à qui il rend exclusivement compte. Sous la direction de son
premier dirigeant, le colonel de marine Maurice Marion mort en 1999 le Silam
s’occupait non seulement d’écoute, mais également de renseignement, passant au
crible tous les visiteurs du Palais présidentiel, des figures officielles aux
invités les plus privés, indique le confidentiel. Mais depuis, sous la
direction de Jean Charles Solon, le Silam s’est recentrée sur les interceptions
techniques.
Désormais donc, Jean-Charles Solon devra davantage se rendre utile dans le développement du secteur du numérique et des télécoms au Gabon. En plus de son poste au Conseil de régulation de l’Arcep, il est également membre du CA de la Société de patrimoine des infrastructures numériques (SPIN), une entreprise chargée de commercialiser les infrastructures numériques déployées au Gabon par l’Aninf. Pour cela, la Spin a noué un partenariat avec le français Axione.
[Digital Business Africa] – Au Cameroun, le gouvernement demande aux opérateurs de télécommunications de faire beaucoup plus dans le cadre de la lutte contre la criminalité par voie de télécoms. Les directeurs généraux des opérateurs MTN et Orange Cameroun ont été reçues le 26 août 2019 par le ministre de l’Administration territoriale, Paul Atanga Nji. Si l’audience a été entièrement à huis clos, on apprend tout de même du quotidien à capitaux publics Cameroon Tribune qu’il s’agissait de discuter des mesures à mettre en œuvre en vue de limiter l’utilisation des facilités offertes par les télécoms à des fins criminelles.
Dans le viseur du ministre, l’éternelle obligation d’identification de tous les abonnés au téléphone mobile, afin de pouvoir rendre responsable tout utilisateur en cas de nécessité. Dans le même sillage, le ministre a demandé aux opérateurs « de réfléchir sur la sécurisation de certaines transactions afin que les malfaiteurs n’utilisent plus certaines facilités mises en place par ces opérateurs pour faire du racket et commettre des actes de banditisme », apprend – t – on de Cameroon Tribune.
De manière spécifique, il s’agit des opérations de mobile money qui permettent à un éventuel expéditeur d’accéder à l’identification d’un présumé bénéficiaire, avant même que la transaction soit faite.
Dans les faits, les criminelles utilisent cette facilité
pour arnaquer les abonnés. Ainsi donc, le ministre de l’Administration
territoriale demande aux opérateurs de trouver la solution idoine, qui
protègera les informations personnelles des abonnés et qui limitera les moyens
offerts aux personnes mal intentionnées.
[Digital Business Africa] – C’est le résultat du partenariat de l’Etat du Cameroun avec le géant chinois des télécommunications Huawei. L’opérateur télécoms a officiellement restitué à l’Etat camerounais un Centre national de commandement de vidéosurveillance, le deuxième du genre qu’il a construit à Yaoundé. De manière globale, cette infrastructure est reliée à un réseau de 2 000 caméras, positionnées dans les principales villes du Cameroun. Elles retransmettent au Centre, les images qu’elles prennent en temps réel.
La construction de ce Centre de commandement en partenariat avec l’opérateur historique Cameroon Telecommunications rentre dans le cadre de la construction du backbone national à fibre optique, financé par Eximbank of China. Ce projet avait déjà abouti en septembre 2018 à la restitution à la gendarmerie nationale d’un premier centre de commandement, relié à 1 500 caméras de vidéosurveillance. A terme, ce projet devrait aboutir à la mise en place d’un réseau de 7 000 caméras.
La mise à la disposition de ces outils
aux forces de sécurité devrait permettre d’améliorer la sécurité dans les villes
et permettre de résoudre plus facilement des enquêtes. Les populations
pourraient être plus en sécurité.
Toutefois, certains s’interrogent sur
deux choses. D’abord, la capacité de la police et de la gendarmerie nationale à
entretenir cette infrastructure, quand on sait que la maintenance a toujours
été le ventre mou de la police. Ensuite, les autres utilisations de ces caméras
installées dans les villes du pays.
En effet, le Cameroun est parfois décrié par les ONG et organismes internationaux pour des dérives en matière de droits humains. Du coup, certains craignent que de telles infrastructures soient utilisées pour la traque des opposants ou des activistes.
[Digital Business Africa] – Les employés d’Orange au Niger ont entamé le 28 août 2019 une grève de quatre jours pour réclamer des négociations salariales et débattre de l’avenir de la filiale nigérienne de l’entreprise française, en quête d’un repreneur. Les 20 et 21 août, les employés d’Orange au Niger avaient déjà observé un arrêt de travail de deux jours pour les mêmes revendications.
“Nous n’avons pas obtenu satisfaction, alors nous lançons ce mercredi une grève sur quatre jours pour mettre la pression sur notre employeur qui refuse de négocier”, a affirmé Ali Hachimou, un délégué du personnel d’Orange Niger. Les grévistes réclament “la reprise des négociations” sur “la révision d’un accord salarial”, entamées avant la fermeture, en novembre 2018, de la société par le fisc nigérien pour “non-paiement d’impôt”.
Ces négociations n’ont pas pu reprendre après la réouverture
de la société en raison d'”un règlement préventif” de la direction
suspendant pour cinq mois “toute action sur les finances de
l’entreprise”, avait expliqué Ali Hachimou. Les grévistes veulent
également que leurs emplois soient préservés dans le cadre d’un éventuel
contrat entre Orange et un nouveau repreneur.
“Orange Niger reste prêt à examiner toute solution alternative qui préserverait le maintien de l’activité et les intérêts de son personnel”, avait indiqué le groupe, précisant qu’il “privilégie la recherche d’un partenaire capable d’accompagner le redressement et le développement de l’entreprise”. Un discours qui ne convainc pas grand monde, en premier Ali Hachimou qui pense que “Ce discours sur la préservation des emplois, c’est juste pour que l’Etat nigérien valide leur dossier de transaction.
Lancée en 2008, Orange Niger compte 2,4 millions de clients
et son activité génère plus de 52.000 emplois indirects au Niger, selon sa
direction.
Les téléphones mobiles ont radicalement transformé la façon dont les gens travaillent, se socialisent, s’organisent et se divertissent. Depuis leur invention dans les années 1980, ils ont connu de grands progrès. Nous avons assisté à la naissance de diverses applications, jusqu’à arriver au niveau de la 4G (également appelée LTE). Chaque génération de technologie sans fil a apporté des modifications significatives. La plupart d’entre elles ont rendu la version précédente incompatible. Aujourd’hui, la 5G promet de changer encore plus la donne. Les avancées technologiques qui s’y rapportent obligeront les spécialistes du marketing à adapter leur stratégie pour en tirer parti.
Mais
tout d’abord, qu’est-ce que la 5G ?
En télécommunication, la 5G représente la nouvelle et dernière génération en date en matière de connectivité. Elle donne accès à des connexions Internet plus fiables et plus rapides à un niveau jamais atteint auparavant. Le réseau contribuera à alimenter l’énorme montée en puissance de la technologie des objets intelligents, en fournissant l’infrastructure nécessaire pour transporter de gigantesques quantités de données, donnant ainsi accès à un monde de plus en plus autonome.
Quand tout cela va-t-il arriver ?
Verizon, AT&T et Sprint ont promis des appareils 5G pour le premier semestre de 2019, alors que T-Mobile indique qu’un réseau national sera lancé en 2020. Néanmoins, il faudra quelques années avant que la plupart des changements majeurs ne se produisent. À titre de comparaison, les premiers téléphones 4G sont apparus aux États-Unis en 2010. Cependant, ce n’était qu’en 2013 qu’on a constaté l’impact des ajustements ayant entraîné la création des applications telles que Snapchat et Uber. Si la 5G suit le même chemin, vous devriez donc vous attendre à voir des progrès palpables vers 2021 ou 2022.
Les
avantages de la connexion 5G
La
5G est la prochaine technologie mobile susceptible de révolutionner les
économies, les sociétés ainsi que le style de vie. C’est tout du moins ce que
l’industrie du sans-fil croit. Les experts investissent énormément dans ce
domaine pour répondre aux besoins d’une consommation croissante de données
nécessitant un très haut débit. Et pour cause, elle ouvre la porte à de
nouvelles opportunités.
Une plus grande vitesse de connexion
Combinant
une technologie de réseau de pointe avec les toutes dernières recherches, la 5G
devrait donner accès à des connexions plus rapides que celles offertes
actuellement. Cela rime avec une vitesse de téléchargement moyenne d’environ 10
Go/s, soit 100 fois plus vite que son prédécesseur la 4G. Théoriquement, le
téléchargement d’un film HD complet ne prendra alors que quelques secondes. En
bref, la 5G permet de consommer de gros fichiers n’importe où et sur n’importe
quel appareil. Cette connectivité accrue devrait profiter aux marchés
existants. Pour créer une expérience plus personnalisée, il sera toutefois
important pour les spécialistes du marketing de segmenter les données de leurs
clients. Les consommateurs d’aujourd’hui prennent cet aspect à cœur.
Une faible latence
La
latence fait référence au temps d’intervalle requis pour la transmission d’un
paquet de données. En offrant des vitesses similaires à celles de la fibre
optique, le réseau 5G aura la capacité de réduire ce temps d’attente, et ce
indépendamment de la localisation. Dans l’ensemble, ce nouveau service devrait
permettre de réduire de 10 fois la latence de bout en bout. Cela peut
considérablement améliorer l’expérience utilisateur actuelle et créer de
nouvelles opportunités.
En
outre, l’un des principaux avantages que la 5G offre est la possibilité de
communiquer avec le marché en temps réel. Cela veut dire qu’il n’y aura plus de
bugs lors de vos conversations vidéos en direct avec un client. Il en va de
même pour le contrôle à distance d’infrastructures et de machines critiques où
la précision est de rigueur. La latence est également un point douloureux dans
le domaine du jeu vidéo, où elle reste l’un des obstacles les plus importants
pour créer une expérience plus captivante.
Une analyse en temps réel
Les
spécialistes du marketing auront accès à des analyses à effet presque immédiat.
Cela signifie qu’il est possible d’optimiser et d’ajuster les campagnes
marketing en temps réel en utilisant l’intelligence artificielle et le système
d’automatisation. Un exemple de ceci pourrait être un consommateur effectuant
un achat en ligne et, en raison d’analyses informées en temps réel, il ne
reçoit plus d’annonces pour ce qu’il vient d’acquérir. En revanche, des
publicités pour des articles, des accessoires ou des mises à jour connexes lui
seront proposés.
Toute surface peut devenir un support marketing interactif
Un
environnement multimédia optimisé 5G offre davantage d’opportunités. Cela
pourrait aussi changer radicalement le type de messages marketing. On envisage
alors une nouvelle ère pour la réalité augmentée, où des superpositions
d’images de haute qualité, interactives et intelligentes deviennent disponibles
partout. Le champ d’action ne se limitera donc plus aux lunettes de réalité
virtuelle, mais également aux vitrines de magasins, sur les murs, dans les
tableaux de bord des voitures et ailleurs. De même, ceci ne concernera plus
uniquement les incrustations graphiques 2D que nous associons maintenant
souvent à la RA. Ce type de bande passante ultra rapide ouvre même la porte à
la transmission d’hologrammes, en plus de toutes sortes d’images modélisées en
3D.
Le
réseau 5G : un nouveau moyen pratique de présenter des produits
Cette
prolifération de solutions de réalité augmentée pourrait impacter la façon dont
les clients potentiels perçoivent le produit ou le service. Cependant, il ne
s’agit pas uniquement de référentiels de données qui doivent éventuellement
être repensés pour faire face à une demande massive. Les infrastructures
publicitaires devront également être réinventées. Les technologies
programmatiques actuelles ne sont pas conçues pour répondre aux exigences d’un
système capable de diffuser des annonces jusqu’à cent fois plus rapidement.
Autrement dit, le secteur doit se préparer à la 5G de différentes manières. Il
doit donc procéder à des mises à jour de création des spécifications concernant
les formats des annonces et la taille des fichiers.
Par
ailleurs, la visualisation à distance a atteint un niveau qui pourrait
bouleverser la manière dont les performances sont commercialisées. À titre
d’exemple, une transformation pourrait avoir lieu pour repenser la façon dont
les spécialistes du marketing pensent aux véhicules. Comme la 5G donnera
l’accès à l’intelligence informatique la plus sophistiquée, les voitures
autonomes peuvent devenir des salons mobiles, créant des opportunités de
marketing et de publicité allant au-delà de l’audio. De même, les consommateurs
auront des interactions vocales réelles avec les appareils mobiles.
Les
ventes et marketing numériques dans le monde de 2020
La
réalité augmentée et la réalité virtuelle seront plus importantes, car elles
permettront aux équipes de marketing et de vente de personnaliser l’expérience
client. Par exemple, les maisons intelligentes seront connectées avec des
thermostats, des appareils d’éclairage, des appareils ménagers, des caméras et
des dispositifs de sécurité. Et tout cela peut être contrôlé via des gadgets
high-tech tels que les smartphones ou les haut-parleurs avec assistant vocal
intégré. De plus, pour les spécialistes du marketing, l’IdO (Internet des
objets) donne la parole aux consommateurs pour qu’ils puissent exprimer de
manière continue leurs besoins. Cela peut leur permettre d’écouter et de
répondre au mieux à leurs désirs et à leurs exigences.
La
5G et ses défis
Alors que la 5G a déjà fait sa première entrée, les challenges restent énormes. Le déploiement sur plusieurs transporteurs et l’adoption de spécifications formelles constituent quelques obstacles potentiels. Quand AT & T a commencé à installer des poteaux de cellules 5G dans les rues du centre-ville de Bâton-Rouge, en Louisiane, cela a généré beaucoup de problèmes provoquant la coupure d’une ligne électrique souterraine. Une coupure de courant massive a ainsi eu lieu dans la ville.
Par
ailleurs, la perte de confidentialité est un autre sujet de préoccupation. Les
données de localisation peuvent devenir plus précises que jamais. La 5G offre
également la possibilité de collecter de grandes quantités de données
personnelles. En théorie, si votre réseau mobile vend vos données de
localisation, les annonceurs pourront voir votre position réelle. Dans ce cas,
les spécialistes du marketing seront en mesure de diffuser des publicités plus
pertinentes à leurs audiences, en fonction de leur emplacement.
Proposé et rédigé parNicolas Finet*
*Nicolas Finet est un entrepreneur spécialisé dans le marketing digital et les agences de communication. Il est le co-fondateur de Sortlist, une plateforme permettant aux entreprises de trouver facilement les agences digitales qui correspondent le mieux à leurs projets.
Cinq ans
après les faits, le 18 juillet dernier, la Cour d’arbitrage de la Chambre de
commerce internationale de Paris a tranché le conflit opposant l’Etat guinéen à
la société Global Voice Group (GVG). Reconnue coupable de rupture abusive de
contrat, la Guinée a été condamnée à verser plus de 20 millions de dollars au
fournisseur de solutions TIC au titre du préjudice subi.
C’est l’épilogue d’un conflit amorcé en mai 2014, lorsque l’Autorité de régulation des Postes et Télécommunications (ARPT) avait décidé d’arrêter de rémunérer son partenaire Global Voice Group, fournisseur de solutions informatiques pour les gouvernements et les régulateurs. En mai 2009, les deux parties avaient pourtant signé un contrat de six ans visant à doter le pays de moyens techniques adéquats pour superviser les appels internationaux entrants et les appels nationaux, assurer au gouvernement de toucher le revenu dû au titre du trafic téléphonique et lutter contre la fraude.
Cette
décision était intervenue alors que le Directeur général de l’ARPT d’alors,
Mustapha Mamy Diaby, aujourd’hui ministre des postes et télécommunications,
avait validé le recours aux services de GVG après sa nomination en mars 2011 à
la tête de l’autorité de régulation en signant le 10 juin 2012 un addendum à
l’accord de partenariat.
Atout clé
pour l’économie
Mis en
œuvre en septembre 2009, le Système de vérification du trafic international des
télécoms de GVG avait contribué à la santé du secteur national des télécoms –
un atout clé pour l’économie – ainsi qu’aux ressources publiques, générant un
revenu supplémentaire mensuel moyen de 35 millions de dollars. En plus de
réduire la dépendance à l’aide étrangère, ces nouvelles ressources ont pu être
mobilisées au service du développement de la Guinée.
Depuis, GVG n’a cessé de réclamer ses arriérés d’impayés. En vain, ce qui a poussé la société à engager le 8 décembre 2016 une procédure d’arbitrage pour condamner la République de Guinée et l’ARPT à lui verser une indemnisation au titre des impayés et de la résiliation abusive de l’accord de partenariat.
Résiliation infondée
Dans
la sentence rendue le 18 juillet, le Tribunal arbitral n’a retenu ni les faits
de corruption, ni les accusations de fraude, ni les griefs sur les résultats
avancés par les avocats de la partie adverse. Il a estimé que la République de
Guinée et l’ARPT, qui a depuis annoncé son intention de faire appel de cette
décision, ont abusivement résilié l’accord de partenariat, les condamnant de ce
fait à indemniser GVG à hauteur de 20 millions de dollars – plus précisément à
6,8 millions de dollars correspondant aux factures impayées et à 14,9 millions
de dollars correspondant à l’estimation des montants dus pour la période allant
du 1er juin 2014 au 31 mai 2015.
[Digital Business Africa] – Elle est de plus en plus visible dans les couloirs des
événements d’envergure organisés au Congo Brazza. Lorsqu’elle n’est pas Master
of Ceremony ou modératrice, elle peut être speaker. Active sur les réseaux
sociaux où elle fait principalement sa promo, Brenda Kabulo met aujourd’hui son
expérience au service des organisateurs d’événements de son pays. La jeune dame
qui a flirté avec les médias réoriente progressivement sa carrière vers les
relations publiques, la communication digitale et la gestion des événements. Elle envisage d’ailleurs d’ouvrir un cabinet
dans ce sens.
Digital Business Africa a interrogé celle qui se présente sur les réseaux sociaux comme une journaliste indépendante et event manager. Ses passions pour la communication digitale, ses projets, ses succès et ses ambitions sont présentés dans cet entretien. Aussi, elle n’hésite pas d’interpeller à sa manière le président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso.
Digital Business Africa : L’on vous a vu très active il y a quelques mois lors du Salon Osiane 2019. En quoi consistait votre job lors de ce salon Osiane?
Brenda Kabulo : Effectivement, j’ai pleinement participé au salon OSIANE. C’était en qualité de journaliste indépendante et spécialiste de la communication que j’ai eu l’honneur de gérer la partie événementielle et les relations publiques. Cela consistait à manager les intervenants, à animer l’événement et aussi à assurer la gestion des personnalités et des partenaires du salon. D’où ma présence au côté du président du comité d’organisation M. Luc MISSIDIMBAZI à qui j’adresse une fois de plus mes remerciements pour la confiance accordée.
Brazzaville, 16 avril 2019. Ouverture du Salon Osiane 2019. Brenda Kabulo en Master of Ceremony!
Le journalisme est ma première profession. Mais aujourd’hui, nous devons être polyvalents pour pouvoir être plus opérationnel. Dans les zones où je travaille, il y a beaucoup d’événements et notre rôle est de nous adapter aux changements du terrain.Brenda Kabulo
Digital Business Africa : Sur les réseaux sociaux vous vous
présentez comme une journaliste indépendante et évent manager. De plus en plus,
l’on vous voit à la manœuvre ou dans les coulisses de plusieurs événements.
Pourquoi cette réorientation de votre carrière professionnelle?
Brenda Kabulo : C’est vrai ! Le journalisme est ma première profession. Mais aujourd’hui, nous devons être polyvalents pour pouvoir être plus opérationnel. Dans les zones où je travaille, il y a beaucoup d’événements et notre rôle est de nous adapter aux changements du terrain.
Digital Business Africa : Quelle est la petite histoire qui se
cache derrière vos motivations et votre enthousiasme?
Brenda Kabulo : La petite histoire est simple. Il y a une nouvelle donne et moi je
m’adapte. Mes motivations résident dans le fait qu’en travaillant dans les
évènements, je me retrouve dans des situations très différentes les unes des
autres avec des interlocuteurs très diversifiés. Cela permet d’aborder
plusieurs activités et cela fait aussi partie de l’apprentissage et de la
formation au quotidien.
Digital Business Africa : Vous êtes active sur les réseaux sociaux.
Facebook en particulier. Pourquoi avoir choisi les ressources du web pour mieux
faire passer vos messages et faire votre promo?
Brenda Kabulo : Le numérique est incontournable pour notre métier de journaliste. Tous les événements organisés sont relayés dans les réseaux sociaux. C’est la communication digitale. Elle passe bien aujourd’hui. Les gens se connectent pour lire les dernières informations, pour faire des recherches et aussi pour surfer dans des réseaux sociaux. Le digital, c’est un choix. Mon choix. C’est à la mode et cela fonctionne très bien.
Brazzaville, 16 avril 2019. Ouverture du Salon Osiane 2019. De g. à d. Le ministre des Postes, des Télécoms et de l’Economie numérique, Léon Juste Ibombo, le Premier ministre, Clément Mouamba, et Brenda Kabulo.
Digital Business Africa : Quel est votre parcours personnel ?
Brenda Kabulo : Je ne suis pas du genre à regarder en arrière. En une phrase, je dirai
simplement que le meilleur est devant moi.
Digital Business Africa : Quels sont les plus grands succès de
Brenda Kabulo?
Brenda Kabulo : Je pourrais évoquer mon passage du journalisme traditionnel au
journalisme online avec à la clé la gestion des évents. Parmi les succès, je
vais citer la participation à la réussite de plusieurs événements. Entre autres, le
salon OSIANE ; le programme de sensibilisation en milieu scolaire sur la
gestion des déchets et la protection de l’environnement « Averda va à
l’école » ; le Forum VoxEco (1ère et 2ème édition) ; IFRANE Forum, la plateforme
de rencontres et de réflexions pour le développement du commerce et de
l’investissement en Afrique ; la conférence débat à l’occasion des 10 ans
d’expertise et de confiance du cabinet d’audit, d’expertise comptable, de
conseil juridique & fiscal, ressources humaines, d’accompagnement à
l’international « EXCO CACOGES » ; la Semaine du Maroc au Congo avec la
Fondation Congo Assistance, fondation de la Première dame du Congo, Madame
Antoinette Sassou NGUESSO. On peut également citer les événements de plusieurs
autres grandes fondations actives au Congo comme la Fondation Génération à
Venir ou encore la Fondation Perspectives d’Avenir.
Digital Business Africa : Quel est à présent l’évent auquel vous
avez activement participé et qui fait votre fierté ?
Brenda Kabulo : Sans doute le Salon OSIANE et le programme de sensibilisation en
milieu scolaire sur la gestion des déchets et la protection de l’environnement
« Averda va à l’école ». Parcourir tous les établissements publics de
Brazzaville et de Pointe noire, parler et sensibiliser les enfants sur
l’importance de garder leur environnement propre et sain en permanence, etc., c’était
exaltant !
Je pense que contribuer à l’éducation et la formation des plus jeunes en leur inculquant des valeurs civiques et marquer positivement leur esprit en laissant une trace dans leurs parcours qui pourrait changer leurs vies est une véritable fierté. C’est également ce qui s’est observé au Salon Osiane dans le secteur du numérique.
Digital Business Africa : Sur quel projet précis travaillez-vous en
ce moment ?
Brenda Kabulo : En ce moment, je travaille sur la mise en place d’un cabinet pour
gérer toutes les demandes en termes de communication, de journalisme, de
gestion d’évents et de relations publiques.
Digital Business Africa : Quelles sont vos ambitions avec ce cabinet-là
?
Brenda Kabulo : Nous ambitionnons, avec ce projet, d’être une référence dans la
sous-région en matière de gestion des évents et de communication digitale de
grandes structures.
La formation est un atout majeur. Le savoir est un pouvoir. Les grandes questions auxquelles l’Afrique doit répondre dès aujourd’hui sont liées aux modèles de développement, à la jeunesse et son éducation, à l’immigration et à la stabilité de ses systèmes financiers.Brenda Kabulo
Digital Business Africa : Comment le gouvernement devrait-il venir
en aide aux jeunes du Congo Brazza ?
Brenda Kabulo : A mon avis, il serait intéressant de disposer d’un programme d’accompagnement dans l’entrepreneuriat des jeunes. Ceci afin de faciliter leur autonomisation. La formation est un atout majeur. Le savoir est un pouvoir. Les grandes questions auxquelles l’Afrique doit répondre dès aujourd’hui sont liées aux modèles de développement, à la jeunesse et son éducation, à l’immigration et à la stabilité de ses systèmes financiers.
De nombreuses pistes de croissance se dessinent dans une Afrique cherchant à sortir de la pauvreté. Nous devons donc disposer des compétences dans tous les domaines. Notamment dans les domaines des nouvelles technologies, de la santé et de l’éducation.
Pour moi, encourager la jeunesse à
apprendre et se former c’est créer une ressource quasi inépuisable pour une Afrique
qui est à la fois le berceau de l’humanité et le continent de l’avenir.
Digital Business Africa : S’il vous était donné de rencontrer le
président de la République, Denis Sassou Nguesso, que lui diriez-vous ?
Brenda Kabulo : S’il m’était donné de rencontrer le président de la République, Denis Sassou Nguesso, je lui demanderai de soutenir davantage la jeunesse congolaise ; d’imposer des programmes de formation professionnelle dans les écoles et établissements de formation et de soutenir davantage les projets d’entrepreneuriat des jeunes afin de les rendre autonome.
Je lui demanderai également de mettre
en place des outils de formation adéquats pour les jeunes filles afin qu’elles contribuent et répondent aux
défis de développement du pays. Car, je suis convaincue que les jeunes
congolaises actives peuvent devenir de véritables vitrines du Congo sur le plan
international.
Last but not least, je lui demanderai de
mettre en œuvre une réforme pour faciliter le cadre de vie juridique des veuves,
des personnes du troisième âge et des personnes vivant avec un handicap.
[Digital Business Africa] – Au Maroc, l’opérateur Maroc Telecom a annoncé le 26 août 2019 avoir procédé à la signature de la sixième convention d’investissement avec le Gouvernement marocain pour le développement des télécommunications dans le Royaume. Aux termes de cette convention, Maroc Telecom s’est engagé à réaliser sur les trois prochaines années (2019 – 2021) un programme d’investissement de 10 milliards de dirhams, soit un peu plus d’un milliard de dollars.
Ce programme d’investissement vise le développement et le renforcement de l’infrastructure de télécommunications, le déploiement du Haut et du Très Haut Débit Mobile et Fixe et la création de nouveaux emplois au Maroc. Maroc Telecom revendique, dans le cadre des cinq dernières conventions, plus de 58 milliards de dirhams. La présente convention portera le volume global cumulé des investissements à plus de 68 milliards de dirhams sur le territoire national.