[Digital Business Africa] – Hewlett Packard Enterprise (HPE) Africa a nommé Jean-Paul Clemente au poste de Directeur Général Afrique et DOM-COM (DOM-TOM comprenant plusieurs îles) à compter du 1er novembre 2019. Sa mission : développer considérablement les affaires à travers le continent, ce qui, selon HPE, est un domaine stratégique pour 2020 et au-delà, nous apprend Itwebafrica.
La société a publié un communiqué affirmant que Clemente faisait partie intégrante de HPE depuis plus de 30 ans, plus récemment en tant que directeur principal de l’unité commerciale des centres de données hybrides pour l’Europe centrale et orientale, le Moyen-Orient et l’Afrique (CEEMA).
L’entreprise
déclare : « Clemente a également
joué un rôle déterminant dans la gestion du portefeuille de technologies de
l’information hybride HPE (HIT) au cours des six dernières années et dans la
croissance de cette entreprise pour améliorer considérablement la part de
marché dans la région CEEMA. Avoir une exposition de fond en comble Au sein de
l’organisation, son expérience est inégalée avec des postes occupant divers
postes de direction, de vente, de canal et de gestion d’unité commerciale, lui
fournissant une compréhension approfondie de nombreux domaines de l’entreprise.
Clemente a 22 ans d’expérience en développement des affaires pour les marchés
émergents où ses compétences dans la définition et la mise en œuvre des
stratégies de croissance ont été reconnus, ce qui en fait le candidat idéal
pour son nouveau rôle. »
Clemente a ajouté: « L’innovation est un objectif central chez HPE, et j’ai hâte de rendre notre portefeuille unique et large de technologies et de services accessibles à travers l’Afrique et les îles DOM-COM.
Il a poursuivi: « Je suis ravi de relever ce nouveau défi et j’ai hâte de devenir un conseiller de confiance et un partenaire pour nos clients dans la région alors que nous faisons progresser la façon dont les gens vivent et travaillent en Afrique – aidant à combler la fracture numérique et à autonomiser communautés. »
[Digital Business Africa] – Jack Dorsey, le co-fondateur de Twitter, a annoncé la création de Bluesky, un groupe de travail indépendant composé de cinq personnes au maximum, chercheurs, développeurs et/ou ingénieurs, chargés de réfléchir à la création d’un protocole open source commun à tous les réseaux sociaux.
Dans ses messages, le co-fondateur de Twitter fait son mea culpa, expliquant qu’il regrette que sa plate-forme soit finalement fermée, et il défend l’idée d’un protocole open source, ouvert et décentralisé, qui permettrait de lutter contre la désinformation et les discours haineux.
Dorsey a ensuite expliqué comment la technologie blockchain pouvait fournir un modèle pour décentraliser l’hébergement des contenus et leur surveillance. « Cela nous permettra d’accéder à un corpus de conversations publiques beaucoup plus important et de concentrer nos efforts sur la création d’algorithmes de recommandation ouverts qui favorisent une conversation saine » écrit-il, précisant que ce groupe de travail restera indépendant, et ne sera lié à aucune entreprise privée. (Eureka Presse)
Twitter deviendrait ainsi un simple client de ce protocole, et il espère rallier tous les réseaux sociaux à cette cause avec la mise en place d’algorithmes mais aussi l’appui du blockchain pour sécuriser et filtrer les discussions, nous rapporte le site 01net.
[Digital Business Africa] – Google Chrome va désormais prévenir ses utilisateurs s’ils essaient de se connecter avec un mot de passe déjà volé par les hackers. Ces derniers pourraient recevoir un nouveau message d’avertissement en saisissant leur mot de passe pour les prévenir si le mot de passe qu’ils ont saisi a déjà été volé lors d’un piratage informatique.
La nouvelle fonctionnalité, annoncée par Google mardi 10 décembre 2019, est destinée à protéger plus de monde contre les hackers qui collectionnent les mots de passe volés et les utilisent pour se connecter à des comptes avec de mauvaises intentions, nous informe le site Businessinsider. « Au sein de la communauté secrète des hackers, les mots de passe s’achètent, se vendent et s’échangent gratuitement comme des cartes Pokémon », a déclaré Alex Heid, le directeur de recherche de l’entreprise SecurityScorecard, dans une interview accordée en octobre à Business Insider US. « Il y a des dizaines de forums de piratage sur lesquels circulent des téraoctets d’informations remontant à plus de 10 ans. »
Google
a rapidement rassuré ses utilisateurs en précisant que le navigateur n’allait
pas pour autant compiler leurs identifiants de connexion dans une liste.
Dans un post de blog, les ingénieurs de Chrome à l’origine de cette
fonctionnalité expliquent que Google utilise des copies chiffrées et cryptées
des mots de passe et les compare aux mots de passe que les gens saisissent, à
l’aide d’une clé cryptée, nous rapporte le site. Si un utilisateur reçoit un
message l’informant que son mot de passe a été volé, il ou elle est
encouragé(e) à le modifier immédiatement.
[Digital Business Africa] – Apple vient d’être détrônée de sa place de société la mieux valorisée en Bourse et pour cause, le géant pétrolier saoudien Aramco a fait son introduction en Bourse ce mercredi 11 décembre 2019 et prend désormais la première place. La marque à la pomme, qui est évaluée à environ 1 200 milliards de dollars au moment de la clôture ce mardi, a été dépassée par Aramco, qui a fait un bond de 10% le jour de son IPO. Aramco vaut désormais près de 1 900 milliards de dollars, rapporte le site Businessinsider.
Depuis
février 2019, Apple était l’entreprise ayant la plus grosse capitalisation
boursière, avec Microsoft non loin derrière. En août 2018, elle était également
devenue la première entreprise du monde à être valorisée à 1 000
milliards de dollars.
Le
mois dernier, Markets Insider rapportait qu’Apple valait plus que l’ensemble du
secteur énergétique américain. À l’époque, Apple valait 1 170 milliards de
dollars et l’indice S&P 500 Energy ne valait que 1 130 milliards de
dollars. Aramco vaut désormais bien plus que cela. Le chiffre de 1 900
milliards de dollars signifierait également que si Aramco était un pays, il aurait le neuvième PIB le plus important au
monde, devant le Brésil et le Canada, et juste derrière l’Italie.
[Digital Business Africa] – La société de connectivité Internet, Loon et le gouvernement ougandais ont annoncé le lancement d’une connectivité Internet propulsée par des ballons. Opérant actuellement au Kenya, Loon va grâce à cet accord survoler la stratosphère au-dessus de l’Ouganda.
L’accord a été signé à Kampala entre des représentants de Loon, une filiale d’Alphabet, la société mère de Google, et le gouvernement ougandais. Loon travaille en collaboration avec d’autres gouvernements régionaux, dont le Kenya et la Tanzanie, pour obtenir des approbations de survol pour fournir des services sur le continent, et selon l’entreprise, de nombreux accords dans ce sens ont déjà pu être obtenus.
«Loon est reconnaissant de l’approbation que
le gouvernement ougandais a donnée alors que nous nous préparons à fournir des
services au Kenya et au-delà. Ces autorisations sont essentielles alors que
nous nous efforçons de faire avancer notre mission de connecter les gens
partout dans le monde », a déclaré Anna Prouse, chef des relations
gouvernementales avec Loon, dont les propos sont rapportés par IT News Africa.
L’intérêt
essentiel de ce type de connectivité réside dans la capacité de Loon à étendre
l’accès à Internet aux populations rurales et éloignées qui ne disposent pas
d’un service Internet mobile adéquat. Les ballons huards opèrent dans la
stratosphère terrestre, à 20 km au-dessus du niveau de la mer.
C’est
deux fois plus élevé que les avions commerciaux et bien au-dessus des
événements météorologiques au sol. Les ballons sont lancés depuis les
États-Unis et parcourent les courants de vent dans la stratosphère pour
atteindre l’emplacement souhaité.
[Digital Business Africa] – Mobilis, une filiale d’Algérie Telecom, est en voie d’obtenir une licence d’exploitation mondiale pour déployer des services et a décidé d’entrer dans le marché des télécommunications au Mali. La licence, garantie pour un montant non divulgué, permet à Mobilis de fournir des services 2G, 3G et 4G dans le pays d’Afrique de l’Ouest.
Un accord préliminaire d’attribution provisoire d’une licence globale (2G, 3G et 4G) pour se déployer dans ce pays a été annoncé ce 10 décembre 2019 par la ministre algérienne de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique, Houda-Imane Faraoun, sur les ondes de la chaîne 3 de la Radio algérienne .
« L’opérateur Mobilis vient de recevoir un écrit officiel des autorités maliennes lui notifiant que son offre technico-financière a obtenu un accord pour l’obtention d’une licence globale », a-t-elle précisé.
Côté Mali, l’on explique que des représentants de l’entreprise sont attendus à Bamako « dans les prochaines semaines » pour « signer les documents et concrétiser les dernières étapes, notamment financières, et entamer les travaux de construction du réseau ».
Fin juin 2018, Mobilis avait exprimé ses ambitions pour le marché des télécommunications au Mali dans le cadre de ses plans d’expansion internationale. Cependant, l’ingérence de l’État dans les télécommunications, selon les médias, reste un défi pour l’industrie et les opérateurs – y compris les nouveaux entrants sur le marché.
[Digital Business Africa] – Le fournisseur de services financiers sud-africain FNB a annoncé mercredi 11 décembre 2019 qu’il étend désormais le service Smart IDs and Passports à ses clients de Limpopo, renseigne Itnewsfrica. Les clients de FNB dans la province peuvent désormais présenter une demande via le système en ligne du ministère de l’Intérieur (DHA) et peuvent récupérer leurs Smart ID et passeports à la succursale de FNB à Burgersfort.
«Nous sommes ravis d’étendre ce service
pratique à nos clients de Limpopo. Cette collaboration et ce partenariat avec
le ministère de l’Intérieur fournissent un excellent cadre pour améliorer
l’accès aux services essentiels pour les communautés », a déclaré Lee-Anne
van Zyl, chef de la direction de FNB Points of Presence.
«À ce jour, FNB a délivré plus de 200 000
cartes d’identité intelligentes et passeports depuis le début du partenariat
avec le DHA. Nous sommes convaincus que l’extension à Limpopo offrira plus de
commodité à plus de clients en évitant les longues files d’attente lors de la
demande de leurs Smart ID et passeports », poursuit van Zyl.
Le
processus de réservation des documents d’identité et de passeport est facilité
par eChannel, un portail de réservation en ligne des affaires intérieures qui
capture les détails du demandeur. Une fois la demande traitée en ligne, le
client peut planifier une réservation pour visiter l’une des agences désignées
pour la vérification des empreintes digitales. La dernière étape est une
confirmation par SMS informant le demandeur que le document est prêt à être
collecté, précise Itnewsafrica.
L’agence
de Burgersfort marque la cinquième agence FNB à offrir le service aux clients.
D’autres branches incluent; Portside (Le Cap), Centurion Lifestyle (Pretoria),
Merchant Place (Sandton, Johannesburg) et Lynnwood (Pretoria).
«Nous restons attachés à notre partenariat
avec le ministère de l’Intérieur et à notre ambition d’étendre ce service à
l’échelle nationale pour tous nos clients. Nous donnerons la priorité au
déploiement de ce service dans d’autres provinces au cours de la nouvelle année
», conclut Van Zyl.
[Digital Business Africa] – La toute première réunion du Comité de Pilotage du Plan National Stratégique Gabon Digital 2025 (PNS GD 2025) s’est ouverte ce 12 Décembre 2019 à la direction générale de l’Agence nationale des infrastructures numériques et des Fréquences (ANINF). C’est le directeur général adjoint de l’ANINF, Michel Alain Igowa, qui a ouvert les travaux de cette rencontre. Comité qui réunissait outre les responsables de l’ANINF, les cadres de la BAD (conduits par Robert Masumbuko, responsable pays de l’institution), et les cadres du cabinet Evolving Consulting conduits par sa directrice générale Reine Essobmadje. Objectif des travaux, procéder au lancement des études de faisabilité des projets prioritaires du PNS – GD2025.
Pour Michel Alain Igowa, cette rencontre est le fruit de la volonté du Président de la République, Ali BONGO ONDIMBA, d’ériger l’utilisation des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) comme levier de modernisation de l’administration publique.
Pour l’éclosion de systèmes de paiement digitaux et d’identification digitale
Libreville, Gabon. 12 décembre 2019. Direction générale de l’ANINF. Rencontre des experts membres du COPIL
« Le PNS-GD 2025, permettra d’accélérer
la transformation numérique de notre administration et partant de notre pays. A
l’instar des pays développés, l’avènement d’une telle administration offrira
des services de qualité, la rendant par la même occasion plus sûre et plus
proche des citoyens. Nous assisterons ainsi à l’éclosion de systèmes de paiement
digitaux et d’identification digitale, à la mise en œuvre de plateformes
d’interopérabilité et d’échange de données, pour ne citer que ceux-là. Tout ceci
permettra à notre administration d’acquérir des systèmes d’informations
modernes, performants, efficaces et de rang mondial », explique Michel Alain
Igowa.
En effet, la BAD a accordé un don additionnel de financement à
l’ANINF à travers le Fonds fiduciaire de Coopération Afrique-Corée. Ce don permettra
de couvrir les études de faisabilité des aspects applicatifs de la dorsale à
fibre optique d’Afrique Centrale (CAB-GABON) par l’élaboration d’un Plan
National Stratégique Gabon Digital 2025 (PNS GD2025).
Cette assistance financière a pour objectif de permettre la
mise en place du Programme e-Gouvernement .De ce fait, la mise en œuvre du
PNSGD2025 reposera sur le développement de plusieurs axes prioritaires.
D’après les termes de référence de l’ANINF et conformément aux
expressions des besoins des différents secteurs, ces études de faisabilité du
PNS GD2025 concernant la mise en place de Systèmes d’Information des administrations
publiques tiendront compte des projets prioritaires du gouvernement.
Les projets
prioritaires
Robert Masumbuko, responsable pays de la BAD au Gabon
Les projets identifiés le
gouvernement gabonais étant la mise en place d’un système de gestion
électronique des documents et des courriers entrants et sortants ; le renforcement
des capacités en gestion des projets, en développement des logiciels et en
gouvernance de SI ; la mise en œuvre des grands Registres de l’Etat ;
la mise en place du référentiel des personnes morales ; la mise en place
du Système d’information d’échange des données des personnes physiques entre
les administrations (API ouverte) ; l’optimisation et l’extension du Réseau
de l’administration gabonaise (dorsale filaire fibre optique et développement
dorsale sans fil haut débit) ; le câblage et l’interconnexion des
bâtiments administratifs sur toute l’étendue du territoire national et dans les
représentations à l’Étranger ; la mise en place d’une plateforme de
production des applications à travers une infrastructure de développement collaborative,
souple et efficace (“usine logicielle”, audit et optimisation) et
enfin une étude sur l’implémentation d’un Centre de contrôle des fréquences.
En effet, le gouvernement
gabonais a identifié les Technologies de l’Information et de la
Communication (TIC) comme l’un des moteurs du développement économique. Cela
est inscrit dans le Plan sectoriel Gabon numérique découlant lui-même du Plan
Stratégique Gabon Émergent (PSGE) du président Ali Bongo Ondimba. La vision étant axée sur la conviction
selon laquelle le numérique constitue un vecteur accélérateur des autres
secteurs du Gabon Émergent.
Le Copil mis en place s’assure du
bon déroulé des opérations en fonction des objectifs généraux et entretien une
dynamique au sein des différents acteurs impliqués. Il a pour mission de décider
des orientations stratégiques du projet, de faire un point de l’avancement
général des projets, d’arbitrer les conflits et de valider les livrables du
projet. L’ANINF est accompagnée dans cette mission par Evolving Consulting, est
un cabinet camerounais spécialisé dans les conseils et services transactionnels
dans le domaine des TIC.
[Digital Business Africa] – Après 10 ans de bons services, le système d’exploitation de Microsoft Windows 7 est en fin de vie et Microsoft veut le faire savoir. L’éditeur vient d’annoncer qu’une notification apparaîtra en plein écran à partir du 15 janvier pour indiquer les risques de continuer à utiliser le système d’exploitation. En effet, Windows 7 ne recevra plus de mises à jour de sécurité et une éventuelle nouvelle faille ne sera donc pas corrigée. La notification apparaîtra sur les éditions Starter, Familiale Basique, Familiale Premium, Professionnelle et Integral du système d’exploitation, nous précise le site 01net.
Les entreprises qui désirent continuer à utiliser Windows 7 pourront le faire en achetant l’option payante ESU (Extended Security Updates), qui permet de continuer à recevoir des mises à jour de sécurité. Des hackers ont réussi à obtenir ce service gratuitement, mais Microsoft pourrait corriger rapidement le problème.
Pour
les dernières versions de Windows 10, Microsoft a communiqué les dates de fin
de service suivantes :
Windows 10 1909 : 11 mai 2021 (10 mai 2022 pour les éditions Entreprise et Education).
[Digital Business Africa] – L’Afrique de l’Ouest fait actuellement face à des défis majeurs, en termes de massification des besoins éducatifs et d’enseignement inclusif, de changement climatique et de transition écologique, de sécurité alimentaire et d’agriculture résiliente, de chômage de masse et de socialisation des jeunes. A cette liste, il convient d’ajouter les déséquilibres démographiques et d’épanouissement d’une vraie culture de la paix et de la sécurité des hommes, des données et de développement durable.
Quel est alors le potentiel de l’Intelligence Artificielle couplée au digital pour relever ces défis dans le respect de la diversité culturelle, de l’éthique et des droits humains ? L’IA peut-elle constituer une chance formidable pour la réalisation des objectifs posés par l’Agenda 2030 et l’Agence 2063 de l’Union Africaine en Afrique de l’Ouest et l’Agenda 2020 de la CEDEAO Ce sont, là quelques-unes des interrogations qui seront au centre du Symposium régional « Pour une Intelligence Artificielle (IA) éthique et inclusive au service du développement durable, de la paix et de la sécurité en Afrique de l’Ouest, Aného (Togo), 16-17 décembre 2019 », selon le communiqué de l’Agence francophone pour l’intelligence artificielle.
L’objectif
de ce symposium consiste à donner l’opportunité aux participants d’échanger, de
nouer des partenariats, d’exposer leurs innovations et de s’imprégner davantage
des enjeux et opportunités de l’IA en Afrique, afin de renforcer les capacités
des Etats, décideurs politiques, dirigeants du secteur privé et de la société
civile, dans l’appropriation de l’IA.
Pour l’OIF, ce symposium régional s’inscrit en suivi de l’atelier de sensibilisation des acteurs du numérique sur les technologies émergentes, en particulier les données massives (big data) et l’Intelligence Artificielle, organisé par l’OIF du 20 au 23 mai 2019 au Woelab Prime à Lomé. Il puise également ses fondements de la stratégie 2020 de l’OIF, adoptée au Sommet de Kinshasa en octobre 2012.
[Digital Business Africa] – La société Amazon PAYFORT a annoncé un nouveau partenariat avec DHL Express en Afrique du Nord le mardi 10 décembre 2019. Le partenariat permettra aux clients de DHL express à travers la région d’effectuer les paiements d’expédition en ligne dans leur monnaie locale via des cartes de débit et de crédit, tout en les protégeant contre les fraudes utilisation et autres problèmes de sécurité, nous apprend le site Itnewsafrica.
Les solutions de paiement de PAYFORT visent à permettre à DHL d’accepter les paiements en ligne locaux et d’effectuer des règlements en devises locales. En s’intégrant à PAYFORT, DHL fournira non seulement une gamme plus large d’options de paiement à ses clients, mais il permettra également aux clients de la région de passer plus facilement de leurs entreprises du local au mondial, sans limitations et en leur fournissant un service rapide, processus logistique transparent et sécurisé pour réduire le besoin de paiements physiques en espèces.
« PAYFORT
est ravi d’annoncer ce partenariat avec DHL, qui aidera les consommateurs et
les entreprises de la région MENA à payer les services de logistique et de
livraison plus efficacement dans leur propre devise locale », a déclaré
Omar Soudodi, directeur général de PAYFORT. « Conformément à notre mission de créer des expériences de paiement
robustes dans la région MENA, ce partenariat vise à simplifier le processus
pour des milliers de clients qui font confiance à DHL pour livrer leurs envois
urgents à des destinataires du monde entier.»
selon Itnewsafrica, les clients DHL de la région pourront payer en utilisant des méthodes de paiement locales telles que la carte mada ou SADAD en Arabie saoudite, KNET au Koweït et via la carte Meeza en Égypte, ainsi qu’Apple pay aux Émirats arabes unis, ce qui leur donne la commodité du service local Paiements. Le partenariat PAYFORT et DHL Express couvrira huit pays de la région MENA, dont l’Égypte, la Jordanie, le Liban, le Koweït, Oman, le Qatar, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis.
[Digital Business Africa] – Les législateurs fédéraux sont actuellement en cors d’examen du projet de loi nigérian sur la réglementation des médias sociaux, mais ce projet reste très controversé et vivement critiqué.
Selon le projet de loi, toute personne publiant sur les réseaux sociaux des déclarations “susceptibles de porter atteinte à la sécurité nationale” sera passible de poursuites. Il interdit également les publications sur les réseaux sociaux qui pourraient diminuer la confiance du public dans le gouvernement nigérian. La violation de la loi est passible d’une amende, d’une peine de trois ans de prison ou des deux. Le projet de loi autorise également les services répressifs à forcer les FAI à désactiver l’accès à Internet.
L’organisation non gouvernementale mondiale Human Rights Watch, est donc montée au créneau, estimant que la nouvelle loi proposée criminalisera les critiques du gouvernement et violera le droit des citoyens à la liberté d’expression. Il a noté que toute restriction à ce droit doit être justifiable dans une société démocratique, nous rapporte le site techinafrica.
« Ce [projet de loi] violerait le droit international protégeant la liberté d’expression. Avec environ 29,3 millions d’utilisateurs à travers le Nigeria, les médias sociaux sont un outil essentiel pour façonner le discours public », a déclaré l’organisation. Mais les responsables ont nié cette affirmation, le ministre nigérian de l’Information et de la Culture, Lai Mohammed ajoutant que le pays avait besoin d’une loi pour régir les médias sociaux.
Le projet de loi a été examiné pour la première fois en 2015, mais n’a pas été ratifié en raison du tollé général. Les législateurs ont cependant adopté la loi sur la cybercriminalité du pays qui contient une section sur le cyberharcèlement, qui a été utilisée pour inculper les blogueurs.
[Digital Business Africa] – PDG et fondateur du groupe Econet Wireless présent dans une vingtaine de pays africains, Strive Masiyiwa, par ailleurs homme le plus riche du Zimbabwe (plus de 600 millions de dollars en 2016, selon Forbes), va bientôt débarquer au Cameroun. Du moins, avec la fibre optique. Il l’a affirmé à Kigali au Rwanda ce 08 décembre 2019 alors qu’il participait au festival Kusi Ideas organisé par le Nation Media Group sur le thème : « The Next 60 years in Africa ».
Après avoir animé un panel avec le président Paul Kagame pour booster les jeunes innovateurs africains, Strive Masiyiwa a indiqué que qualité du leadership en Afrique aujourd’hui le rend optimiste. Car, dit-il, chacun des présidents africains qu’il a rencontrés a validé la vision de son groupe pour la construction des infrastructures numériques.
Il raconte par exemple une anecdote avec le président rwandais Paul Kagame. « Je m’en souviens encore. Lors d’une visite au Rwanda, le président Kagame m’a dit « tu as construit la fibre optique autour de l’Afrique du Sud ». J’ai répondu oui. Et il a rétorqué : « Qu’est-ce qu’il te faut pour installer et déployer la fibre optique jusqu’au Caire en Egypte ? Comment puis-je t’aider ? ». Puis, il a commencé à lancé des appels téléphoniques pour contacter des gens. Et avant la fin de son mandat comme président en exercice de l’Union africaine, nous avons réussi à installer la fibre optique jusqu’au Caire en Egypte », raconte l’homme d’affaires.
Au Cameroun…
Parlant du déploiement de la fibre optique en Afrique, le Président Kagame m’a demandé : « Une fois au Nigeria, j’espère que vous allez arriver au Cameroun… ».Strive Masiyiwa, PDG et fondateur d'Econet Wireless
Le président Kagame ne s’est pas arrêté là. Un autre jour, toujours assis dans le bureau du président rwandais, celui-ci lui a encore demandé : « Etant donné que tu es déjà jusqu’au Caire, quid de l’Afrique de l’Ouest ? Comment puis-je vous aider à arriver jusqu’en Afrique de l’Ouest ? ». Et Strive Masiyiwa de lui répondre : « Est-il possible de nous aider à déployer la fibre optique du Soudan au Nigeria ? ». Comme toujours, le président Paul Kagame l’a aidé à réaliser cela. « Et nous l’avons fait. Aujourd’hui, nous sommes au Cameroun. Et parlant du Cameroun, le Président Kagame m’a demandé : « Une fois au Nigeria, j’espère que vous allez arriver au Cameroun… ». Et aujourd’hui, nous sommes au Cameroun. Nous espérons arriver au Cameroun dans les prochains mois », a affirmé le tycoon zimbabwéen, patron du groupe Econet.
La fibre optique en RD Congo
Le Cameroun n’est pas le seul pays de la CEEAC dans le
viseur du patron zimbabwéen. La RD Congo est également un pays où il a déjà commencé
à investir. « Nous avons toujours
rêvé de construire les infrastructures numériques à travers la RD Congo. Et dès
que le président Tshisékedi est arrivé au pouvoir, le président Kagame l’a
appelé et ensemble nous sommes allés rencontrer le président Tshisékedi. Nous
sommes en ce moment en train de construire ces infrastructures numériques en RD
Congo. Nous avons déjà placé la fibre optique à Lumumbashi et bientôt jusqu’au
barrage Inga. Et à présent, nous sommes à 37 Km de la frontière avec l’Angola. Nous espérons arriver à Luanda en février
2020. Cela fera qu’on ait la fibre optique de l’Est à l’Ouest (de l’Afrique, ndlr) »,
explique Strive Masiyiwa.
Croyez en nous ! Nous voulons être votre partenaire pour la construction des infrastructures pour l’Afrique par les Africains. C’est le futur et nous nous devons d’aider nos jeunes Africains à être plus confiants…Strive Masiyiwa, PDG et fondateur d'Econet Wireless
Pour le magnat zimbabwéen, le secteur privé africain peut jouer un rôle
de premier plan dans la construction des infrastructures en Afrique. Y compris
pour la construction du barrage Inga qui peine à trouver des financements pour
sa réalisation et qui va offrir l’électricité à une bonne partie de l’Afrique. « Croyez en nous pour cela ! Nous voulons
être votre partenaire pour la construction des infrastructures pour l’Afrique
par les Africains. C’est le futur et nous nous devons d’aider nos jeunes
Africains à être plus confiants et prêts à construire. Parce que c’est leur
centenaire », a-t-il lancé à l’endroit du président Tshisékedi, lui
également présent à cette rencontre.
Liquid Telecom
En plus du secteur de la téléphonie mobile, le groupe Econet Wireless de Strive Masiyiwa possède une trentaine d’entreprise dont Liquid Telecom. Une entreprise dont le slogan est « Building Africa’s Digital Future ». Entendez : Construire le futur de l’Afrique digitale. Elle se présente en fait comme le premier fournisseur indépendant de données, de voix et d’IP en Afrique orientale, centrale et australe.
Mais surtout, Liquid Telecom
fournit des services de fibre optique, de satellite et même des services de
transport international des communications aux plus grands opérateurs de
réseaux mobiles d’Afrique, aux FAI et aux entreprises de toutes tailles. Parlant
de fibre optique, son réseau en Afrique se déploie sur plus de 50 000 km.
Par ailleurs, elle fournit des
solutions de paiement aux institutions financières, aux détaillants, ainsi que
des solutions premium de stockage de données et de communication aux
entreprises d’Afrique et d’ailleurs.
C’est avec cette entreprise que le patron zimbabwéen déploie la fibre optique dans la vingtaine des pays où il est présent. Et c’est davantage avec cette entreprise que le géant zimbabwéen compte arriver au Cameroun dans un premier temps. Mais, cela n’exclut pas le déploiement d’autres services numériques. Car Strive Masiyiwa développe aussi le bouquet panafricain de télévision appelé Kwesé TV.
[Digital Business Africa] – L’unité rwandaise de Jumia Technologies a déclaré qu’elle suspend ses opérations dans le pays après six ans de livraison de nourriture et de boissons.
« Nous regrettons de vous informer que Jumia
suspendra nos opérations de livraison à la demande auRwanda le 9 janvier2020 »,
a déclaré ce lundi 09 décembre 2019, la
plateforme de commerce électronique cotée à New York dans un message à ses
clients rwandais. Après le Cameroun et la Tanzanie, il s’agit du troisième pays
d’Afrique où la plus grande plateforme de commerce électronique du continent
ferme ses portes dans un délai d’un mois.
Cette annonce a fait chuter le cours de l’action de Jumia côtée à la bourse de New York, fait observer Financial Times.
Au Financial Times, l’entreprise explique qu’elle est victime d’une concurrence féroce des acteurs du e-commerce comme Amazon qui livrent également en Afrique. Aussi elle explique que ces fermetures entrent dans la stratégie du groupe qui cherche à recentrer ses activités. Car, Jumia qui veut être profitable accumule les pertes au fil des trimestres. L’une des stratégies consistera donc à recentrer les activités du groupe sur JumiaPay, la fintech du groupe qui, elle, affiche une croissance.
Il y a deux semaines, l’entreprise a fermé ses affaires en Tanzanie, une semaine seulement après la fermeture de ses activités au Cameroun. Albert Munyabugingo, directeur général de Jumia pour les opérations rwandaises, a déclaré au New Times que le groupe avait «des problèmes de rentabilité» sur différents marchés, ce qui a motivé la décision de suspendre certaines opérations.
Le
groupe souhaite «recentrer ses activités»,
a déclaré M. Munyabugingo sans faire plus de lumière sur leur activité dans le
pays ni mentionner le nombre de clients concernés. L’entreprise avait récemment
introduit un service de premier ordre dans lequel ses clients commerciaux
avaient le choix de s’abonner à une prestation de service d’un mois et
d’obtenir des livraisons sans frais de transport.
La société affirme qu’elle continuera à aider les acheteurs et les vendeurs à faire des affaires en ligne sur son «portail de petites annonces, anciennement appelé Jumia Deals et qui sera désormais le portail principal jumia.rw», nous informe New Times.
[Digital Business Africa] – Google Maps serait en train de développer une fonctionnalité qui indiquerait les rues les plus éclairées, selon le site spécialisé dans le code d’applications, XDA Developers.
En analysant le code de la dernière version beta de Google Maps, les experts ont remarqué un nouveau calque, “Lightning”. Cette fonctionnalité surlignerait en jaune sur l’application les rues les mieux éclairées, afin de permettre aux utilisateurs d’éviter les chemins peu ou pas illuminés. Le site XDA Developers précise qu’il n’est pas garanti que cette fonctionnalité voit le jour, il ne s’agit pour le moment que de quelques lignes de code. Récolter les données sur l’éclairage des rues du monde entier, et les mettre à jour en temps et en heure, serait un défi énorme pour le géant américain., apprend on du site Businessinsider.
Google n’a pas encore communiqué d’informations à propos de Lightning, mais si elle était intégrée dans l’application de cartographie, cette nouvelle fonctionnalité permettrait à des millions d’utilisateurs, et surtout d’utilisatrices, de se sentir davantage en sécurité.
Pour beaucoup de femmes, rentrer seule le soir à pied est synonyme de danger, au point de développer des stratégies, comme mettre ses écouteurs sans musique pour rester aux aguets, marcher vite, avoir une bombe lacrymogène dans son sac, et bien sûr, éviter les rues sombres, jugées plus risquées.
[Digital Business Africa] – Selon une directive révélée par The Financial Times, le gouvernement chinois ne veut plus voir de matériels ou de logiciels d’origine étrangère dans ses organisations et ses institutions d’ici à trois ans. Cette politique de purge high-tech est également connue sous le sobriquet « 3-5-2 », en raison du taux de progression exigé par le gouvernement : 30 % en 2020, 50 % en 2021 et les 20 % restants en 2022.
Selon le site 01Net, c’est un travail colossal, qui nécessitera de remplacer des dizaines de millions d’équipements matériels et de mettre en place une filière de production et d’approvisionnement complète, du petit composant électronique au logiciel applicatif en passant par les disques durs, les processeurs, les firmwares et les systèmes d’exploitation.
Les fournisseurs américains tels que HP, Dell, Microsoft ou Intel sont évidemment les premiers concernés par cette volonté d’isolement chinoise. Pour eux, c’est une très mauvaise nouvelle, car ils vont être exclus d’un marché gigantesque. Les raisons profondes de cette politique sont multiples. Comme beaucoup d’autres pays, la Chine veut que ses infrastructures critiques s’appuient sur des technologies « sécurisées et contrôlables », comme cela est précisé dans la loi de cybersécurité de 2017. La politique agressive des Etats-Unis vis-à-vis de la Chine, et notamment le bannissement de Huawei, a certainement accéléré ce processus.
[Digital Business Africa] –Microsoft a récemment découvert que 44 millions de ses utilisateurs se servent toujours des mots de passe pourtant piratés par le passé. Après avoir analysé une base de données de trois milliards de comptes utilisateurs, une équipe de recherche de Microsoft sur les menaces a déterminé que plus de 44 millions de comptes avaient un grave problème de sécurité. Le géant américain a procédé à cette analyse édifiante entre les mois de janvier et de mars 2019, précise le site ZDNet.
Selon
Microsoft, ces identifiants piratés mais toujours en usage concernent des
comptes de particuliers mais aussi d’entreprises. La firme a donc lancé une
large campagne de réinitialisation de ces mots de passe, envoyant un message
d’alerte à chacun des comptes concernés.
Selon le site Cnews, le géant américian met notamment en garde contre certaines pratiques à risque, notamment celle qui consiste à utiliser les mêmes identifiants partout sur le net. Même avec un mot de passe solide, le piratage d’un service tiers met à mal la sécurité d’un compte Microsoft, si ce dernier a été créé grâce aux mêmes identifiants.
Pour
vérifier si votre adresse e-mail et identifiant font partie d’une base de
données piratée, il est possible d’utiliser un site comme Have I Been Pwned? (que
l’on pourrait traduire par «est-ce que je me suis fait avoir?»). Écrivez
simplement votre adresse mail dans le champ prévu à cet effet et le site vous
indiquera si celle-ci est concernée par une fuite de données personnelles.
[Digital Business Africa] –MTN Ghana a écopé de lourdes sanctions de la part de l’Autorité nationale des communications (NCA). Il a ainsi été condamné à payer une amende de plus de 110 000 cédis (19 500 USD), pour ne pas lui avoir fourni, dans les délais impartis, le rapport exigé sur les nombreuses perturbations enregistrées récemment sur son réseau télécoms, nous rapporte le site Agenceecofin.
MTN Ghana est donc sommé de régler ces amendes à la fermeture des bureaux le mercredi 11 décembre 2019. Le retard dans leur règlement ne ferait qu’accroître le montant total à payer, qui viendra s’ajouter aux dédommagements que la société télécoms doit verser aux consommateurs.
Selon le site Agenceecofin, la dite amende comprend, conformément au barème défini par le régulateur une amende de 50 000 cédis pour défaut d’avertissement de la NCA, le plus tôt possible, et de toutes les personnes concernées, y compris les abonnés, en cas de problèmes de facturation concernant l’achat de service de télécommunication. Ensuite, une amende de 50 000 cédis pour défaut de notification à l’Autorité et à toutes les personnes concernées, y compris les abonnés, de l’inaccessibilité des lignes de l’assistance client. Enfin, une amende de 10 000, pour non-présentation du rapport dans les 24 heures. Chaque jour de retard est frappé d’une amende de 10 000 cédis
[Digital Business Africa] – C’est la toute première Institution régionale de l’Union Africaine que la Guinée abrite depuis son indépendance, ce, malgré le rôle de leader qu’elle joue dans le fonctionnement de l’Institution panafricaine depuis 1963 jusqu’à maintenant. La Guinée a en effet été choisie ce mercredi 4 décembre 2019 pour abriter le siège régional de l’A-eTrade, groupe qui vise à responsabiliser et d’encourager les petites et moyennes entreprises (PME) sur l’ensemble du continent
Selon le site Alternativeguinéee, c’est à la suite de la signature d’un accord de partenariat entre la Commission de l’Union Africaine et le partenaire privé AeTrade en octobre 2018, que la Guinée a été encouragé à exprimer à l’Union Africaine, en janvier 2019, son intérêt d’abriter le siège et/ou l’un des bureaux régionaux des plateformes du commerce électronique en Afrique, candidature motivée par la volonté politique du Président de la République, Professeur Alpha CONDE, de faire pleinement bénéficier à notre pays, les avantages de la quatrième révolution industrielle qui est le Numérique.
Pour les 15 prochaines années trois principaux objectifs sont fixés par A-eTrade group, répartis en trois phases à savoir : la création de 600 000 PME dans le secteur du commerce et contribuant à créer 22 millions d’emplois. Les solutions de commerce électronique, y compris les solutions de paiement et de financement, seront fournies à ces entrepreneurs. Ensuite la création de 5 millions de PME, lesquelles créeront en retour de 80 à 125 millions de nouveaux emplois sur le continent. Sur le long terme, il s’agit d’atteindre un milliard de personnes qui négocient sur les plateformes du groupe A-eTrade.
A-eTrade
semble ainsi se positionner durablement pour façonner l’économie du continent
au cours de la prochaine décennie, d’ou la fierté du gouvernement guinéen pour
ce choix porté sur lui.
[Digital Business Africa] – Le Directeur général de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP), Abdoul Ly est en tournée dans tout le pas afin d’évaluer de plus près la qualité des services dans différentes localités. Après le Sud-est du pays, à Kédougou, puis Tambacounda, il était ce vendredi 6 décembre 2019 à Matam, nous rapporte le site Laviesénégalaise, et il y a exprimé son ambition d’offrir une meilleure qualité des services des postes et des télécommunications aux Sénégalais de tous bords.
Selon l’APS, le directeur général de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes, Abdoul Ly a déclaré avoir été informé de « la mauvaise qualité des réseaux» de téléphonie dans la région de Matam. Ainsi, il a promis de discuter avec les responsables concernés pour l’amélioration de la qualité du réseau.
« Les informations qu’on a ici, à Matam, sont les mêmes que nous avons eues à Tambacounda et à Kédougou (sud-est), à savoir la mauvaise qualité des réseaux… » a dit M. Ly à la fin d’une réunion avec les autorités administratives de la région, sous la houlette du gouverneur, Mouhamadou Moctar Watt.
Abdoul Ly a également parlé d’un ‘’mauvais maillage’’, concernant le réseau téléphonique du territoire régional, à la fin de la réunion tenue à Matam, et il a également promis que des techniciens de l’ARTP vont sillonner la région pour améliorer les installations téléphoniques pour une bonne couverture du réseau.