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Selon le CIEP, l’utilisation de l’outil informatique pourrait être déterminante dans l’évaluation des programmes au Cameroun

Conseil des ministres

La 2e session du Programme de modernisation de l’administration publique camerounaise par la mise en œuvre de la gestion  axée sur les résultats (Promagar) s’est tenus le 18 septembre 2014 à Yaoundé. Lors de cette rencontre, l’utilisation de l’informatique dans l’évaluation des programmes au Cameroun  a été l’une des principales résolutions prises par le Comité interministériel d’examen des programmes (CIEP).

 

Dressant le  bilan de la cession du CEIP, le ministre des Finances, Alamaine Ousmane Mey, a fait savoir que 144 programmes, dont 103 opérationnels et 41 supports ont été examinés. En intégrant les programmes du Sénat, de l’Assemblée nationale, de la Commission nationale des droits et des libertés, il est projeté pour la loi de finances 2015, un ensemble de 160 programmes  et 169 indicateurs de performances.

« D’où la nécessité d’avoir recours à l’outil informatique dans la construction et l’évaluation des programmes », a-t-il conclu.

Le CIEP emboîte ainsi le pas au Comité monétaire et financier national du Cameroun (CMFN) qui, il y a un peu plus de deux mois, lors de la tenue d’une réunion (le 11 juillet 2014 Ndlr), recommandait l’utilisation de nouveaux outils, notamment l’informatique et de l’électronique, dans la lutte contre la corruption au Cameroun. La réunion était présidée par Alamine Ousmane Mey, ministre des Finances. 

La 2e cession du Programme de modernisation de l’administration publique camerounaise par la mise en œuvre de la gestion  axée sur les résultats (Promagar) était présidée par le Premier ministre, Philemon Yang. Outre l’exposé du Minfi, un exposé du ministre de la Fonction publique et de la réforme administrative (Minfopra) a été présenté. Il portait sur « Les axes de rénovation des cadres organiques ministériels induits par la réforme des finances publiques ».

 

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